• LA TELEPATHIE

      LA TELEPATHIE AVEC L’INFINI

    COMMENT DONC DES GENS ONT-ILS PU DECRIRE DES PHENOMENES SCIENTIFIQUES INCONNUS A LEUR EPOQUE ?

     

    On ne trouve qu’une expression pour qualifier ces extraordinaires évènements, celle de « télépathie avec l’infini ». Il s’agit, mieux que de messages, de textes volumineux transcrits très vite, en une forme quelconque d’écriture automatique, par des êtres qui ne savaient rien, au départ, du sujet abordé ou de la foule de thèmes ainsi développés. Chaque cas de ce genre s’entoure d’un certain romanesque qui suffirait à rendre toutes choses suspectes. Seulement les textes sont là avec leurs révélations, leurs données scientifiques que les progrès enregistrés, ensuite, dans les divers secteurs de la recherche, viennent toujours confirmer dans leur intégralité.

     

    Voyons l’aventure du Dr Newbrough et son prodigieux apport à la connaissance. Ce dentiste américain vivait à New York au XIXe siècle. Un matin d’hiver de 1880, alors qu’il faisait encore sombre et qu’il n’y avait personne d’autre que lui dans sa chambre, il fut tiré de son sommeil « comme par une main, dit-il, qui m’aurait touché l’épaule. » Il vit que la pièce était éclairée par les faisceaux d’une lumière qui ne partait d’aucune source et il entendit une voix lui ordonner : « Va t’en acheter une machine à écrire. »

    La dactylographie n’en était, à cette époque, qu’à ses tout premiers cliquetis ; et, de telles machines, il n’y en avait que trois à vendre dans tout New York. Le Dr Newbrough s’en fit livrer une. Il ne savait pas taper, cela va de soi ; personne, autant dire, ne savait encore le faire. Mais une force mystérieuse prit comme possession de lui, l’obligea à s’installer devant le clavier et à pianoter… à une cadence de 1200 mots à l’heure. Il délaissa dès lors ses daviers et tire-nerfs pour se consacrer à ce nouveau travail, à cette longue rédaction que « la force » lui dictait. Cela dura des années. Il obtint, au bout du compte, un manuscrit fort épais, celui d’un livre dont le titre lui fut également imposé : « Oahspe ».

    C’est une histoire de système solaire fort en avance non seulement sur les connaissances du XIXe siècle en la matière mais sur celles, même, de la science actuelle. On y trouve révélées et décrites, notamment, les ceintures de radiations qui entourent notre globe, ces fameuses « ceintures de Van Allen » qui ne seraient découvertes que beaucoup plus tard par les satellites artificiels. Comment expliquer ce phénomène de réception automatique de messages très longs, complexes et cohérents ? On a envie de dire qu’il se diffuse quelque part dans l’univers une « heure de culture galactique » analogue à nos programmes éducatifs de radio et de télévision, et que quelques humains disposent de l’étrange pouvoir de la capter, non en simples auditeurs mais en se faisant eux-mêmes appareils de réception. Le cas le plus récent que l’on connaisse est celui d’un médium qui écrivit sans rien comprendre l’énorme série d’ouvrages connue sous le nom d’ « Encyclopédie d’Uranta. »

    Mais un autre, plus célèbre, l’avait précédé, celui de Mme Blavatsky et de ses deux livres fort longs : « Isis dévoilée » et « La Doctrine secrète. » Cette Mme Blavatsky était née en Russie le 30 juillet 1831. Quant à ses fameux livres, elle les a prétendus tirés d’un ouvrage ancien apporté sur Terre par des habitants de Vénus. Elle ajoutait que ces visiteurs avaient mis à profit le même voyage pour donner à notre planète ces précieux auxiliaires : le feu, l’arc et le marteau. Le nom de ce volume vénusien ? Les « Stances de Dzyan ». Mme Blavatsky ne put jamais le montrer, hélas, à qui que ce soit. Aussi préféra-t-elle, ensuite, invoquer une autre origine. Elle prétendit que ses gros messages étaient, en réalité, ceux d’un « initié », un ermite de l’Himalaya nommé Kout Houmi Lal Sing. On ne réussit pas davantage à joindre ce personnage. Grosse farce que tout cela, donc ? Pas en ce qui concerne les deux livres, en tout cas. Ils sont bien là et ce qu’ils contiennent a de quoi stupéfier. On y trouve des données scientifiques que nul humain ne connaissait à l’époque où ils furent écrits. La structure des comètes, par exemple, et même la définition et description de l’énergie nucléaire. Et aussi l’antigravitation, ce qui n’est plus en avance sur le XIXe siècle seulement mais sur le temps même que nous vivons. Si l’on s’en tient aux récits vérifiables, il y a au moins 100 sinon 150 données scientifiques précises et confirmées dans les livres de notre aventurière, des connaissances qu’elle n’avait pu, de toute évidence, acquérir par l’étude. A mesure que le temps passe, ce bilan s’accroît, d’ailleurs ; de nouvelles « prophéties » sont vérifiées par l’évènement, ou, en l’occurrence, le progrès. Mais on s’interroge toujours sur la source de ces fabuleux renseignements, ces écrits parfois effrayants dans leur simplicité même et qui font dire à l’écrivain américain H. P. Lovecraft :

    « Les théosophes annoncent des choses qui glaceraient le sang de terreur si elles n’étaient pas énoncées avec un optimisme aussi désarmant que béat. »

    Ce cas de Mme Blavatsky est certainement le plus extraordinaire de tous les exemples de « télépathie avec l’infini ». Mais il y en a bien d’autres. Et tous les documents d’aussi mystérieuse origine comportent quelques points communs. Tous insistent, par exemple, sur un vaste continent qui, un jour, disparut : il s’appelle Pan dans les écrits du Dr Newbrough, Atlantide dans ceux de Mme Blavatsky, Mu dans quelques autres. Tous aussi, parlent abondamment de Jésus. Et pour citer des épisodes de ses « années perdues » c’est-à-dire celles dont aucun Evangéliste n’a traité et que nul historien n’a pu reconstituer, fut-ce très partiellement. On trouve ainsi des centaines de pages qui parlent de voyages de Jésus au Tibet, au Japon et même en Amérique du Sud. Autres points communs : tous parlent de civilisations aujourd’hui disparues et qui furent en avance sur celles que nous connaissons ou avons répertoriées. Impossible, on le voit, de croire à de simples coïncidences. Mais où se situe la source de ces informations communiquées à certains et transcrites de leur main ? Mystère, toujours, et plus épais que jamais. On en vient forcément à se demander si les grands livres des religions, et plus spécialement la Bible et le Coran, ne sont pas de semblable origine. Et l’on pense davantage encore au livre sacré des Mormons, un message bien récent puisqu’il ne remonte qu’à 1827.

    Télépathie, donc, c’est bien la seule hypothèse que nous puissions retenir dans l’état actuel… de notre ignorance, puisque l’existence de ce surprenant mode de communication est scientifiquement démontrée. Quant aux hypothèses d’ « émissions de culture galactiques », constatons qu’elles sont maintenant prise aux sérieux dans les milieux de recherche les plus officiels (lire le livre du Dr Jacques Vallée, Le Collège invisible chez Albin Michel).

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