• Alice Springs – Le plus imposant des squelettes humains jamais exhumés a été découvert par une équipe d’archéologues de l’Université d’Adelaide sur le site archéologique d’Uluru près d’Ayers rock dans le parc national d’Uluru-Kata Tjuta, a rapporté l’Adelaide Herald il y a quelques jours.
     
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    Le gigantesque spécimen d’hominidé qui mesure près de 5,3 mètres de haut a été découvert près des anciennes ruines de l’unique civilisation mégalithique jamais trouvée en Australie, ce qui fait que la découverte représente un double mystère, a admis le professeur Hans Zimmer apparemment désemparé par les fouilles, de l’Université d’Adelaïde.
     
    « L’année dernière, la découverte sur le site archéologique d’Uluru nous a pris par surprise, mais celle-ci est encore plus incroyable, » a-t-il admis, visiblement abasourdi. « En théorie, un hominidé de cinq mètres de haut ne peut pas exister. Comment cela a-t-il pu se produire? Comment c’est possible ? Bien que cette découverte est fascinante, nous avons plus de questions que de réponses, » reconnaît-il.
     
    La découverte d’un squelette humain de 5 mètres de haut près d’Ayers rock est le plus gros squelette humain jamais découvert et laisse les scientifiques avec « plus de questions que de réponses » a reconnu Hans Zimmer, professeur d’archéologie à l’Université d’Adelaide.
     
    Certains experts ont émis l’hypothèse que le spécimen aurait souffert d’un cas extrême de gigantisme, une condition provoquée par la surproduction d’hormones de croissance, une théorie que le professeur Hans Zimmer rejette comme une « pure spéculation ».
     
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    « Seules de plus amples recherches peuvent nous aider à percer le mystère concernant cette anomalie de la nature. Jusqu’à ce que nous ne trouvions plus de restes de squelettes, nous ne devrions pas nous précipiter dans des explications dangereuses », a-t-il déclaré aux journalistes locaux. « Nous avons trouvé plusieurs squelettes incomplets, dont les os étaient aussi d’une taille gigantesque. Il semblerait qu’une catastrophe majeure a complètement emporté toutes les traces de cette civilisation perdue et inconnu, » note-t-il.« Ce spécimen n’est apparemment pas unique, ce n’est qu’une question de temps avant de découvrir d’autres spécimens similaires, » croit-il fermement.
     
    Le site archéologique d’Uluru, exhumé en 2014 par une équipe de chercheurs de l’Université nationale australienne, a mené à la découverte d’une civilisation mégalithique jusqu’alors inconnue qui pourrait aider à résoudre le mystère de cette découverte.
     
    « Nous avons découvert en février dernier un bloc mégalithique dont il est estimé que son poids approximatif est de 80 tonnes. Les qualités du basalte contenues dans le monolithe se trouvent à 200 km du site. Comment ont-ils déplacer des centaines de blocs sur plusieurs kilomètres dans le désert? Quelles technologies cette civilisation a-t-elle bien pu utiliser? Nous ne pouvons pas répondre à ces questions avec satisfaction à l’heure actuelle, », admet John Thomas Buckler, le chef archéologue qui a effectué les fouilles en 2014.
     
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    Certains spécialistes croient qu’une catastrophe majeure a provoqué la destruction de la civilisation d’Uluru, transformant toute cette région fertile en désert stérile.
     
    « Les dépôts ferreux sont trouvés partout dans le désert australien, ce qui prouve peut-être l’impact d’une météorite dans la région », explique le chercheur basé à Sydney, Allan DeGroot. « L’analyse des dépôts géologiques a confirmé qu’un gigantesque impact s’est produit dans la région il y a 3500 ans », admet l’expert principal. « La destruction catastrophique révélée par des traces de vitrification et des niveaux élevés de radioactivité dans les ruines du site archéologique d’Uluru nous incitent clairement à songer que les deux événements sont intimement liés », conclut-il.
     
    Les qualités radioactives des restes du squelette ont extrêmement compliqué les travaux des scientifiques, mais l’équipe de Hans Zimmer espère qu’une coopération internationale avec d’autres grandes universités pourrait aider à résoudre l’énigme du géant.
     
    Source : World News Daily Report
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    Lors d’une expédition sous-marine au large de la Sicile, des archéologues ont mis en évidence 39 lingots d’un mystérieux métal. Les analyses menées sur les vestiges semblent suggérer qu’il s’agit du légendaire orichalque, associé dans les textes antiques au mythe de l’Atlantide.  Il suffit parfois d'une simple découverte archéologique pour relancer une mythique légende. Lors d’une expédition au large des côtes de la Sicile, une équipe d’archéologues italiens a découvert de nombreux lingots dispersés sur le fond marin. Les analyses menées sur ces vestiges témoignent d’une composition inédite qui pourrait bien correspondre à celle l’orichalque. Décrit dans de nombreux textes antique, ce métal rare proviendrait, selon le philosophe grec Platon, de l’île légendaire d’Atlantide. Au total, 39 lingots de forme rectangulaire ont été remontés à la surface. Ils ont été retrouvés aux abords d’une épave gisant dans les eaux peu profondes, à 300 mètres au large de la ville de Gela. L’embarcation aurait échoué il y a près de 2.600 ans et a été découverte en 1988 à quelques mètres de profondeur sous la surface. Selon les archéologues, celle-ci était en provenance de la Grèce ou de l’Asie mineure et se rendait en Sicile. Un métal destiné aux ornements Elle transportait à bord le métal, destiné à être utilisé comme ornement lorsque, prise dans un violent orage, elle aurait sombré avec son précieux butin dans les profondeurs de l’océan. Les lingots représentent une découverte de taille et pour cause, jamais rien de tel n’avait encore émergé de l’histoire. Selon Sebastiano Tusa, archéologue à l’office maritime de Sicile, elle "ouvre d’importantes perspectives pour la recherche et l'étude d’anciennes routes d'approvisionnement en métaux dans la Méditerranée antique". "Nous connaissions l’orichalque d’après les textes anciens et quelques objets décoratifs", précise le chercheur dans un communiqué. Les écrits du passé permettent en effet de se faire une idée sur le mystérieux métal, même si son origine et sa composition ont largement été débattue. Un alliage de laiton et de zinc Selon les historiens, l'orichalque est un alliage ressemblant au laiton, fabriqué à partir de zinc, de charbon et de cuivre. Les lingots nouvellement découverts ont été soumis à une analyse par fluorescence à rayons X afin de mettre en évidence leur composition. Les résultats de cette expérience indiquent une proportion de 75 à 80% de cuivre, de 15 à 20% de zinc et des traces de nickel, de plomb et de fer.
     
    Cette caractéristique a ainsi poussé les chercheurs à penser qu’ils se trouvaient face à de l’orichalque. "Cette découverte confirme qu'un siècle après sa fondation, Gela est devenue une ville riche avec des artisans spécialisés dans la production d'artéfacts précieux", explique le scientifique repris par Discovery News. Ainsi, les lingots étaient très certainement destinés à ces commerces et à la fabrication de nouveaux produits. Attention cependant aux conclusions hâtives. Les lingots ne constituent pas une preuve de l’existence de l’Atlantide, souligne l'équipe d'archéologues. Du métal mais pas d'Atlantide Interrogé par Nextme, Sebastiano Tusa explique : "La découverte des lingots est associée à Atlantide, car dans le Critias, Platon mentionne le métal comme étant présent sur le continent mystérieux et utilisé pour la décoration du temple de Poséidon". Aussi, la découverte du métal légendaire dans une épave ne confirme en rien l'existence de l'Atlantide. D'ailleurs, certains chercheurs évoquent la possibilité qu'il s'agisse seulement d'un métal mêlant laiton, cuivre et zinc sans que cela ne soit réellement de l'orichalque. De leur côté, le Dr Tusa et son équipe envisagent désormais de continuer les recherches à bord de l’épave dans l’espoir de tomber sur d’autres vestiges aussi importants que les lingots. Ces découvertes devraient permettre d’en savoir davantage sur l'histoire de la Sicile et notamment sur l’économie et l’artisanat de la région.
     


    Le mystérieux métal de l'Atlantide découvert dans une épave au large de la Sicile par Gentside Découverte

    Publié par Maxime Lambert, le 05 février 2015
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    LES ATLANTES

    VIENNENT-ILS D’UN AUTRE MONDE ?

    Par Aurèle Baugandon

     

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     Le mythe de l’Atlantide fascine les hommes depuis des millénaires. L’histoire fabuleuse du continent perdu est gravée dans notre mémoire collective et l’île fabuleuse évoquée par Platon demeure la référence d’un lieu légendaire incontournable, base fantasmée des origines même de l’humanité. Mais que savons-nous vraiment sur les Atlantes, ce peuple mystérieux dote de connaissances très avancées et possédant une technologie de pointe ? Venaient-ils d’une autre galaxie avant de s’implanter durablement sur Terre ? Enquête

    -RETOUR SUR LE RECIT DE PLATON-

     

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    Le Critias et le Timée, deux textes rédigés par l’incontournable philosophe Platon, composent les sources uniques et originelles de l’histoire de l’Atlantide. Platon sans conteste était l’un des plus grands penseurs de l’Antiquité, Platon (427-347 avant J.-C.) est issu d’une noble famille athénienne férue de politique et de philosophie. Disciple de Socrate et grand voyageur, ses travaux constituent la base de la philosophie moderne. Trente-six écrits de Platon sont parvenus jusqu’à nous, des textes qui provoquent encore aujourd’hui interprétations polémiques et débats enflammés. Mais c’est son récit sur l’existence de l’Atlantide et ses mystérieux habitants qui fascine le plus le grand public ! Quatre siècles avant J.-C., le savant grec évoque en effet une île merveilleuse située dans l’Océan Atlantique, au-delà des Colonnes d’Hercule, l’actuel détroit de Gibraltar. L’Atlantide aurait constitué un immense empire insulaire qui aurait atteint une apogée culturelle, scientifique et sociale, avant de sombrer dans la corruption pour être finalement réduit à néant il y a près de 11.500 ans. Les sources de Platon à l’origine de son récit : l’homme d’Etat athénien Solon ; lui-même tenait ses informations de prêtres égyptiens ayant compilé des siècles de traditions et de transmissions orales sur l’incroyable île-contient originelle.

     

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    Platon nous propose une description extrêmement détaillée de l’Atlantide, de sa géologie, son architecture, sa végétation luxuriante et ses animaux exotiques, mais surtout de son organisation politique, militaire et économique. Dans le Timée, Platon décrit l’Atlantide avec une certaine précision : « Car, en ce temps-là, on pouvait traverser cette mer Atlantique. Elle avait une île, devant ce passage que vous appelez, dites-vous, les Colonnes d’Hercule. Cette île était plus grande que la Libye (dans l’Antiquité, la Libye désignait l’Afrique du Nord NDR) et l’Asie réunies. Et les voyageurs de ce temps-là pouvaient passer de cette île sur les autres îles, et de ces îles, ils pouvaient gagner tout le continent, sur le rivage opposé de cette mer qui méritait vraiment son nom. (…) Or, dans cette île Atlantide, des rois avaient formé un empire grand et merveilleux. Cet empire était maître de l’île toute entière et aussi de beaucoup d’autres îles et de portions du continent. En outre, de notre côté, il tenait la Libye jusqu’à l’Egypte et l’Europe jusqu’à la Tyrrhénie. (…) ».

    Il revient également sur son extinction soudaine :

    « Mais, dans le temps qui suivit, il y eut des tremblements de terre effroyable et des cataclysmes. Dans l’espace d’un seul jour et d’une seule nuit terribles, toute votre armée fut engloutie d’un seul coup sous la terre, et de même l’île Atlantide s’abîma dans la mer et disparut. Voilà pourquoi, aujourd’hui encore, cet Océan de là-bas est difficile et inexplorable, par l’obstacle des fonds vaseux et très bas que l’île, par son engloutissement, a déposé ».

    Cité idéale aux limites géographiques imprécises, elle fut au commencement un monde parfait, harmonieux, régi par l’équilibre et la bonté. Mais ses habitants, à l’origine purs et sages, basculent progressivement dans les travers humains et deviennent belliqueux, décadents, corrompus. Ils seront précipités au fond de l’océan par la colère de Zeus et d’une Nature déchaînée… Doit-on y voir l’allégorie d’une civilisation extraterrestre dotée d’une grande sagesse qui s’est laissée progressivement dépraver par la race humaine ?

     

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    -ENQUÊTE SUR LES ATLANTES-

    L’histoire de Platon est certes passionnante, mais elle ne nous indique pas l’origine première des habitants de l’île fabuleuse. Comment expliquer le degré hautement évolué de civilisation mis en place par les Atlantes dans des temps si reculés ? Pour plusieurs chercheurs, l’explication est claire : les Atlantes sont venus d’une autre planète et étaient très en avance d’un point de vue scientifique et technologique ; arrivés sur Terre, ils auraient partagé une partie de leur savoir avec les hommes de l’Antiquité, qui se contentaient alors d’une vie austère et spartiate, cueillant et chassant pour se nourrir, et ne possédant quasiment aucune connaissance scientifique. Nombreux sont les spécialistes du dossier à envisager que ces Atlantes d’origine extraterrestre maîtrisaient de nombreuses capacités perçues comme « magiques » pour leurs voisins géographiques. Selon différentes sources, ils avaient le pouvoir de faire léviter d’énormes blocs de pierre par ultrasons, de maîtriser le climat, les forces telluriques et les énergies vibratoires, ou encore de communiquer par télépathie et de guérir les blessures par simple contact.

    Arthur Conan Doyle dans son ouvrage de science-fiction « Le Monde perdu » publié en 1912, dépeint une Atlantide engloutie mais encore habitée par des Atlantes possédant également d’extraordinaires aptitudes, comme la capacité d’opérer la scission de l’atome ou de transformer leurs pensées en images. Autant d’indices qui laissent supposer que le peuple de l’Atlantide était bien différent des civilisations humaines alors naissantes sur la planète Terre. Dans cette même perspective, c’est la technologie hautement évoluée des Atlantes qui aurait déclenché le cataclysme final : plusieurs auteurs spécialisés voient ainsi dans l’engloutissement du continent perdu le déchaînement épouvantable de forces nucléaires déclenchées par des armes d’une puissance inimaginable pour l’époque… Accident dû à une mauvaise manipulation ? Catastrophe préméditée ? Guerre destructrice avec une autre peuplade extraterrestre ? Nul ne le sait vraiment, même si de nombreuses sources évoquent un conflit extrêmement dévastateur entre deux îles-continent légendaires occupées par des créatures venues d’un autre système solaire : et l’Atlantide. 

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    -MAIS D’OU VIENNENT-ILS ?-

    Quoi qu’il en soit, les Atlantes auraient donc rayonné sur notre planète dans les temps anciens, apportant les prémices de la sagesse et de la connaissance aux peuples voisins, établissant les premières bases d’une civilisation moderne et favorisant l’émergence de la culture et de l’art, avant de s’autodétruire en pulvérisant intentionnellement ou non l’île Atlantide, devenue depuis mythique dans le cœur des hommes. Reste à se poser une question complexe : si les Atlantes ne sont pas originaires de la planète Terre… alors d’où viennent-ils ? Dans l’hypothèse selon laquelle les Atlantes constituent une peuplade extraterrestre il convient en effet de se demander de quelle région galactique les créateurs du continent Atlantide sont originaires. De nombreux channels et contactés affirment recevoir régulièrement des informations d’êtres de lumière leur indiquant la véritable histoire de la civilisation atlante. C’est notamment le cas de Billy Meier, un contacté suisse qui assure avoir régulièrement des discussions télépathiques avec des entités extraterrestres physiques et non physiques. Des « rencontres » qui lui permettent d’obtenir de précieuses informations sur les connaissances philosophiques, spirituelles et métaphysiques de ces êtres venus d’une autre partie du cosmos.

     

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    Billy Meier le contacté suisse (1937- ….)

    Meier s’intéresse tout particulièrement à un mystérieux groupe extraterrestre : les Pléiadiens. Selon le contacté, les Atlantes sont originaires de l’étoile de Barnard, un astre céleste appartenant à la constellation d’Ophiuchus, également connu sous le nom d’origine latine de Serpentaire. Cette constellation de l’hémisphère Nord se situe entre le Scorpion à l’Ouest et le Sagittaire à l’Est : elle représente un homme portant un serpent à bout de bras, le Serpentaire divisant la constellation du Serpent en deux parties ; la tête et la queue. L’étoile de Barnard est en réalité une naine rouge très connue des astronomes pour être l’étoile possédant le mouvement le plus important dans la sphère céleste. Située à environ 6 Années-Lumière de notre chère planète bleue, elle représente la cinquième étoile la plus proche de la Terre (juste après le Soleil et les trois étoiles d’Alpha Centauri) mais est invisible à l’œil nu en raison de sa très faible luminosité. Elle se serait formée il y a environ 10 milliards d’années…

    Bien plus ancien que la race humaine, le peuple des Atlantes aurait donc acquis des connaissances supérieures alors que les dinosaures régnaient encore sur Terre ! Mais nul ne sait exactement à quelle date ces êtres venus de l’espace décidèrent de s’installer sur la planète bleue, rayonnant parmi les peuples de l’Antiquité et gravant le souvenir de l’Atlantide et gravant le souvenir de l’Atlantide dans la mémoire de tous les hommes.

     

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    -UNE SURVIVANCE DE LA RACE ATLANTE ?-

    La destruction de l’Atlantide dans un cataclysme extraordinaire aurait pu signer la fin des atlantes extraterrestres, engloutis avec leur île fabuleuse. Mais bien que Platon indique dans son récit qu’aucun habitant de l’Atlantide n’échappa à l’anéantissement, il semble pourtant que certaines entités cosmiques survécurent… des centaines d’ouvrages se sont d’ailleurs penchés sur une survivance supposée de la « race atlante ». Des rescapés extraterrestres ayant échappé à la tragédie se seraient réfugiés sur d’autres continents, emportant avec eux des millénaires de savoir et de culture, influençant profondément les civilisations qui les accueillirent. En outre, la réalisation de certaines œuvres antiques à l’architecture monumentale est fréquemment attribuée aux descendants de l’île engloutie. Des constructions telles que le Sphinx, les pyramides de Gizeh et les pyramides précolombiennes, les dessins de Nazca au Pérou, les statues de l’île de Pâques ou encore le site mégalithique de Stonehenge seraient ainsi les ultimes vestiges de cette civilisation cosmique hautement évoluée.

    Toujours selon Billy Meier, les sages de l’Atlantide sont parvenus à s’échapper avant la destruction de l’île. Ils se seraient alors réfugiés en Egypte et dans la péninsule du Yucatan au Mexique, où ils auraient sauvegardé leurs connaissances spirituelles et technologiques. Des « salles des archives atlantes », pour reprendre l’expression du célèbre médium Edgar Cayce, seraient donc encore aujourd’hui enfouies quelque part dans ces lieux, les spécialistes évoquant tout particulièrement des pièces secrètes subtilement dissimulées dans le dédale complexe des pyramides de Gizeh…

     

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    Plusieurs grands prêtres égyptiens de l’époque antique aurait donc été des Atlantes ayant adopté une nouvelle apparence… hors Platon affirme qu’il tire ses sources de ces grands prêtres d’Egypte ! La boucle est-elle bouclée ? Les archives des Atlantes, si elles venaient un jour a être retrouvées, pourraient profondément bouleverser notre conception du monde. Civilisation extraterrestre hautement évoluée, les Atlantes ont assisté à l’émergence de la race humaine et des peuples initiaux, témoins primordiaux des premiers pas de l’humanité.

    « En terre égyptienne, dans un lieu où l’on pénètre à partir de la patte droite du Sphinx, se trouve la salle des archives de l’humanité. Ces archives vont depuis le commencement des temps où l’esprit prit forme et commença à descendre sur cette Terre. Elles comportent l’histoire de toutes les nations de la Terre, l’histoire de la destruction finale de l’Atlantide, et l’histoire de la construction de la Pyramide de l’initiation, avec les noms des individus, des lieux, avec les dates et les temps où ces archives seront à nouveau ouvertes » affirmait déjà en son temps Edgar Cayce.

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    -UNE ENIGME EN SUSPENS-

    Les Atlantes extraterrestres ont sans doute joué un rôle plus fondamental encore. Certains chercheurs pensent qu’à leur arrivée sur Terre, ils auraient effectué des manipulations sur le patrimoine génétique des primates, créant ainsi les premières « races » d’hommes en accélérant d’une manière considérable le développement des hominidés sur notre planète. Mais suite à la destruction de l’Atlantide et après s’être assurés que leurs archives étaient en lieu sûr, les Atlantes sont-ils retournés sur leur planète d’origine ou bien se sont-ils durablement installés sur Terre, se mélangeant au fil du temps avec les autres peuples « humains », distillant leur savoir au fil des générations ? Les avis des experts sont partagés à ce sujet. Pour certains, l’anéantissement de leur base terrienne a poussé les Atlantes à rejoindre leur galaxie, d’autres estiment au contraire que ce peuple extraterrestre est toujours présent, apportant dans le plus grand secret sa bienveillance et sa protection à l’humanité, pour la protéger d’autres entités exotiques bien plus belliqueuses et vindicatives…

    Les rescapés Atlantes auraient ainsi constitué les fameux Dieux des légendes sumériennes, indiennes et aztèques entre autres. Espérons que la découverte prochaine d’archives appartenant aux Atlantes nous permettra d’apporter une conclusion définitive aux origines de cette fascinante civilisation, qui garde encore tous ces mystères.

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    Source- Revue « Mondes Etranges » N° 13 d’octobre 2011

           

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