• LA BIBLE RESPECTE LA VERITE HISTORIQUE


      LA BIBLE RESPECTE LA VERITE HISTORIQUE

     

    LA BIBLE RESPECTE LA VERITE HISTORIQUE


    On a longtemps suspecté les récits bibliques. Certes, leur valeur spirituelle, même pour l’incroyant, n’a jamais été mise en doute. Mais la science réfutait a priori leur intérêt historique. Il n’était pas question de prendre pour argent comptant des textes narrant des événements par l’extraordinaire. On préférait, par facilité sans doute, les verser au dossier du mythe et de la légende religieuse. Aujourd’hui, avec les nouvelles découvertes archéologique et les progrès de la recherche tous azimuts, une nouvelle conception se fait jour chez les savants.


    A la lueur de récents travaux, scientifiques et international, (et du CNRS), il apparaît qu’elle est beaucoup plus exacte qu’on le croyait, du moins quand on la déchiffre correctement. Des recherches intenses archéologiques conduites depuis 1948 à 1998  en territoire Hébreu prouvent cette version.

    Soucieux d’affirmer leur identité et surtout leurs droits imprescriptibles (sur cette terre), les Israélien ont été pris d’une véritable frénésie archéologique. Le général Moshe Dayan, mort depuis 30 ans a passé ainsi toute sa vie à l’époque, à effectuer des fouilles en se guidant avec la bible… En trente ans, les trouvailles se sont multipliées et l’on commence à savoir avec précision ce qu’était la vie en ces terres voici plusieurs millénaires. Et chaque découverte confirme ce qui est écrit dans la Bible.

    Ainsi, a-t-on récemment exhumé les restes de la Jérusalem bâtie par le roi David qui régna de 1010 à 970 (environ ?) avant notre ère. On croyait sa cité quasiment mythique, ne connaissant que les ruines de fameux temple de Salomon et la partie de la ville de l’époque d’Hérode, contemporain du Christ. En outre, dans le reste du pays, l’historien Aharoni a pu faire le relevé de trois cent soixante-villes identifiables à l’époque royale sur les quatre cent soixante-quinze dont la Bible cite les noms à de nombreuses reprises. Exactitude historique, donc, en ce qui concerne les lieux et les hommes dont, par ailleurs, on retrouve largement trace dans les textes des civilisations voisines, de l’Egypte à la Babylonie. Mais que faut-il penser des événements eux-mêmes, surtout lorsqu’ils prennent un caractère d’épopée comme la destruction apocalyptique de Sodome et Gomorrhe, la prise de Jéricho ou l’épisode curieux de la tour de Babel ?

    Un historien allemand qui fut très connu, à sont époque, Werner Keller, a publié une synthèse à ce sujet. Pour lui, cela ne fait aucun doute. Tout ce que l’on croyait être légende et récits mythiques est au contraire absolument exact. Les dernières découvertes de 1998 le démontrent et, dans l’avenir, nous n’avons pas fini d’être étonnés par la précision historique de ce grand texte sacré.

    « Alors l’Eternel, nous dit la Genèse (XIX, 24), fit pleuvoir du ciel sur Sodome et Gomorrhe, du soufre et du feu de par l’Eternel, il détruisit ces villes, toute la plaine et tous les habitants des villes, et toutes les plantes de cette terre. »

    On a longtemps pensé que les deux cités maudites n’existaient peut-être même pas ou qu’elles n’étaient que deux bourgades accidentellement détruites par un petit cataclysme naturel que la religiosité du temps avaient attribué à une hypothétique colère divine. Or, Keller démontre qu’il s’est effectivement passé quelque chose de plus étrange dans le coin de la mer Morte où se situaient les deux villes. Il cite à l’appui de cela les travaux des deux archéologues italiens, Paulo Matthias et Giovanni Pettinato. Ces derniers ont découvert des tablettes d’argile qui mentionnent le nom des deux cités et la catastrophe. Déluge de soufre et de feu, éruptions volcaniques ou quelque chose d’autre, comme une intervention Extraterrestres, vu la radioactivité importante dans ce lieu ?
    Il semble qu’à Sodome et Gomorrhe se soit produit une curieuse et terrible explosion qui oblige d’évoquer une technologie que l’on s’attendait fort peu à trouver dans cette Antiquité lointaine.

    Est-ce une déflagration nucléaire qui aurait réveillé le volcanisme local ? Mais par qui ? L’utilisation d’une arme singulière dont le secret est aujourd’hui perdue et appartenait alors au mystérieux peuple des anges (qui a averti Lot et sa famille de quitter la ville menacée ?) Nous le saurons sans doute jamais ce qui s’est exactement passé. Mais la Bible a exactement rendu compte de l’événement. D’étranges traces de la « colère divine » demeurent dans les sites archéologiques du Jourdain où l’on croit avoir découvert les vestiges des malheureuses cités. Keller cite ensuite la miraculeuse destruction de Jéricho. Les Hébreux de Josué auraient abattu les murs de la ville avec des cris et son des trompettes sacrées. L’archéologie a prouvé que les fameux murs de Jéricho existaient bel et bien et qu’ils ont sans doute été détruits de curieuse façon. On doit à ce sujet des fouilles significatives à l’historienne britannique Kathleen Kenyon qui a exhumé les fortifications de la cité biblique.

    Elle s’est demandé comment elles avaient été détruites. Toutes hypothèses examinées, force lui a été de conclure qu’il fallait accorder foi au récit du livre de Josué. Les Hébreux ont abattu les murs en émettant avec leurs trompettes certaines fréquences d’infrasons, amplifiées par la mystérieuse Arche d’Alliance. (Les infrasons et ultrasons utilisés actuellement pour la destruction des calculs rénaux, et dans des armes secrètes pour arrêt cardiaque à distance, et oui…) Cette dernière en effet devait être une sorte de générateur de forces inconnues et terribles. On en a la preuve dans d’autres passages du texte sacré. Uzza fut frappé à mort parce qu’il la toucha simplement, et les habitants de Beth-Schémesch furent mystérieusement châtiés pour avoir voulu regarder à l’intérieur. Rappelons encore les immenses pouvoirs qu’elle conférait à Moïse ou à David. A Jéricho furent mis en œuvre les pouvoirs secrets du son.
     
    La science actuelle les découvre ou les redécouvre. Il semblerait qu’ils aient été couramment utilisés dans l’Antiquité indienne, égyptienne ou grecque. D’où les tenaient nos lointaines ancêtres ? Si la Bible dit vrai, pourquoi n’en serait-il pas de même des autres mythes nous parlant de continents engloutis dont les peuples auraient maîtrisé des forces à la fois simples et terrifiantes qui les auraient d’ailleurs conduits aux catastrophes que l’on sait ?

    Les historiens nazie ont cherché la clé de ces mystères et après eux les spécialistes russes qui ont eu accès aux dossiers secret du III° Reich. On ignore tout de ce qui a pu être découvert par les uns ou les autres. Notons simplement au passage que les Russes multiplient depuis trente ans, les expériences en matière de sonorités étranges et qu’ils ont mis au point certaines armes uniquement basées sur les fréquences qui ont abattu les murs de Jéricho. En France même dans les années 70, un scientifique, le professeur Gavreau, mit au point dans ses laboratoires de Marseille, un canon sonore aux terrifiants effets sur l’homme comme sur tous les matériaux. Ses recherches furent interrompues par décision spéciale, mais le secret défense à tous les détails de cette arme ?
     
    Il se peut que nous ne sachions pas lire la Bible et avec elle les textes sacrés fondamentaux de l’histoire des hommes. Ils sont historiquement exacts, du moins quand on possède les clés pour les décrypter. Alors, pourquoi ne pas penser que s’y trouvent dissimulés quelque part les secrets de ces sciences perdues. Sans sa thèse la Musique de la Bible révélée, S. Haïk Ventours à découvert que le graphisme même des versets hébraïques traditionnel recelait une notation oubliée. (Les Templiers utilisent la Musique comme codage secret pour les initiations). Musicienne avant tout, elle s’est attachée à restituer le caractère artistique de cette musique. Mais, n’en doutons pas, dans l’écriture même de la Thora se trouve cachée quelque part une formidable puissance. Il reste à la découvrir. Dans son livre, Werner Keller évoque encore de nombreux aspects des textes bibliques qui ont été confirmés récemment par les découvertes des archéologues et des historiens. Le royaume de Salomon, par exemple. On pensait que la gloire de ce souverain était surtout le fait de ses historiographes désireux  de le porter aux nues pour lui être agréables.

    Il n’en est rien. Le docteur Nelson Glueck, de la prestigieuse American School of Oriental Research, a démontré que Salomon était à la tête d’un empire qui dépassait de loin les frontières du petit Etat hébreu. Il exploitait des mines de fer et de cuivre dans le désert d’Arabie. Ses bateaux firent le tour de l’Afrique, peut-être avant ceux de Phénicie. Ses ingénieurs étaient les plus remarquables de l’époque et des tablettes babyloniennes prouvent qu’ils disposaient de technologies secrètes ramenées de très loin. Quel peuple perdu ont-ils rencontré là-bas ? Il ne fait pas de doute que Salomon entretenait avec lui des relations commerciales et culturelles poussées. Certains historiens parallèles ont écrit qu’il disposa peut-être des connaissances du GONDWANA dont étaient issus les constructeurs oubliés de la cité africaine aux murs cyclopéens. Certes, c’est là pure hypothèse. Mais, encore une fois, tout est possible.

    Même l’histoire de la tour de Babel n’est pas un mythe. Le chercheur allemand Robert Koldewey a découvert les vestiges de cette construction. Il a noté, comme les autres, que la structure en briques de la tour correspondait exactement à la description qu’en fait la Bible. Alors, il nous faut croire aussi à la civilisation qui a édifié la tour. Celle des hommes, nous dit le texte, aux temps où les langages ne les séparaient pas encore. Celle d’une humanité au noyau commun avec des dieux venus du ciel pour la guider…

    Si tout cela est vrai, une fois de plus, pourquoi pas le reste, tout le reste.

    *
     


    Sources : Centre de recherches de Jérusalem et de Kasrin
    Centre des documentations Archéologiques du CNRS
    Archéologue Michael Sanders (Archives des recherches)
    Centre de recherches Française de Jérusalem
    Centre Jean Berard (40 ans de fouilles)
    Laboratoire de géologie UMR 8538- ENS-CNRS
    Documentations  de Paulo Matthias et Giovanni Pettinato (archéologues)


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  • Commentaires

    1
    MargeSimpson
    Dimanche 29 Mai 2011 à 16:21
    Je suis soufflée par cette présentation. Si la Bible nous avait été enseignée et non frappée d'interdiction par l'Eglise de l'époque (années 60) nous aurions beaucoup plus et mieux avancé.
    Il a fallu que des profanes pour ne pas dire païens fassent des recherches sérieuses pour nous réconcilier avec Dieu par son Livre.
    Merci pour ce site.
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