• La route maudite !!!


    LA ROUTE MAUDITE

     

    Le 4 janvier 1960, à 14h10, l’écrivain Albert Camus trouve la mort sur un platane du kilomètre 88,4 de la Nationale 5, entre Pont-sur-Yonne et Paris. Quelle coïncidence, dit quelques heures plus tard le conducteur du fourgon mortuaire de Villeblevin. C’est le deuxième habitant de Lourmarin qui vient se tuer à cet endroit et juste sur le platane du kilomètre 88,4 ! Quarante ans auparavant, des gitans chassés des ruines du château de Lourmarin ( Vaucluse ), avaient jeté une malédiction sur tous ceux qui participeraient à la résurrection de cette vieille demeure. Douze personnes, entre 1925 et 1960, parmi les habitués du château, moururent subitement ou de mort assez peu naturelle. Albert Camus, qui riait de la malédiction, fut la treizième victimes. En 1949, l’industriel Jean-Luc Michelin roulait sur la Nationale 7, entre Briare et Montargis. Il n’y avait aucun véhicule en vue, quand soudain, et sans aucune raison apparente, sa voiture quitta la route et dans un fracas d’explosion, il percuta un arbre et fut tué sur le coup, ainsi que ses 3 passagers. C’est curieux, raconta  un témoin de l’accident. Sa voiture roulait vite, mais la voie était libre…Il y a bien eu, en dix ans, plus de dix personnes qui se sont tuées à cet endroit. La famille Michelin et ses alliés ont particulièrement été éprouvés : - en 1937, Pierre Michelin et ses 4 passagers furent tués trouvèrent la mort sur cette même route. Et en 1947, Pierre Boulanger, président de la société Michelin, échappe de justesse à la mort, encore une fois, sur cette même route…On avança des explications incohérentes : il existe des endroits maudits. C’est la vengeance de la route sur les rois du pneu.

     

    La route maudite !!!

     

    L’accident d’Albert Camus, sous quelque angle qu’on le prenne, offre un aspect mystérieux : il était mathématiquement impossible- pas une chance sur 100 milliards- que deux habitants de Lourmarin, puissent trouver la mort à 600 km de distance de leur village, sur le même arbre de l’Yonne…

     

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    solution possible lue sur un site ici !


    "On considère que les deux frères ont été victimes d’un effet stroboscopique dû aux flashes de lumière solaire, ces éclats étant produits par les intervalles d’ombre et de lumière consécutifs à la disposition régulière des platanes. Il semble que dans certaines conditions ce phénomène puisse entraîner une sorte d’hypnose. Les deux frères ont roulé au même moment de l’année (donc avec la même intensité lumineuse, le même angle de rayonnement) et probablement à la même vitesse."

     

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    ID4- des réactions inattendues

    Du propre aveu des écrivains et des réalisateurs, une oeuvre de fiction n'a de succès que lorsqu'elle est étroitement liée à la vie quotidienne. Les récits antiques, oeuvre de fiction originelles, abondent justement en métaphores simples permettant au public de rattacher le récit à son expérience vécue. Cette justesse de ton justifie d'ailleurs leur pérennité. Bien que plus complexes, les oeuvres de fiction contemporaines fonctionnent selon le même principe. Des sociologues ont d'ailleurs prouvé que leur succès était à mettre en corrélation avec un réel désir du public de voir ses expériences mises en scène. Cette interprétation est néanmoins contestable: un film peut répondre à un autre désir collectif inconscient. Indépendance Day ( 1996 ) en est la preuve.

    ID4- des réactions inattendues

    Dans la phase de préparation du tournage, il a été judicieusement décidé que l'action du film se déroulerait dans la zone qui sépare Las Vegas de la zone 51: un film se passant sur " la route des extraterrestres " n'en serait que plus crédible et aurait préparé la population à d'importantes révélations officielles sur le phénomène extraterrestre. Or, à sa sortie aux Etats-Unis, ce film fut surtout un forum où le public exprima sa méfiance et son mécontentement vis à vis de son appareil étatique. Dans tout les cinémas où était projeté le film, la salle a applaudit bruyamment la séquence où un rayon extraterrestre dévaste la Maison Blanche !

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    Grâce à un examen très poussé du tableau, des scientifiques canadiens et français révèlent que Mona Lisa venait d’accoucher lorsque Léonard de Vinci a peint son portrait. Un nouveau voile se lève sur le mystère de la Joconde. Le très sérieux Conseil national de recherches du Canada (CNRC) a publié mercredi les résultats d’une étude commanditée par le musée du Louvre.La conclusion est sans appel : « Ce tableau a été peint pour commémorer la naissance du second fils de Mona Lisa. C'est une femme qui vient d'avoir un enfant, qui se tourne vers vous, vous fixe des yeux et sourit légèrement », révèle Bruno Mottin conservateur au Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF). Et d’ajouter : « C'est cela le vrai mystère que nous avons découvert ». Pour percer le secret du plus célèbre des sourires du monde, la toile a été passée dans un scanner sophistiqué, en couleurs et en trois dimensions. Le scanner utilisé par les 11 chercheurs du CNRC qui avaient numérisé la Joconde en octobre 2004, avait même la précision du micron, soit du dixième de diamètre d’un cheveu humain. « Notre surprise a été de découvrir des choses qui n'avaient jamais été vues jusqu'à présent », grâce à une technique de réflectographie infrarouge, qui permet de rendre transparents certains pigments et de voir à travers les couches de peinture, a expliqué Bruno Mottin
        
    Première révélation, pour les chercheurs : Mona Lisa était enveloppée d'un « voile de gaze » fine et transparente, attaché à l'encolure du corsage, normalement porté à l'époque par les femmes enceintes ou venant d'accoucher. Deuxième constat : la Joconde avait les cheveux retenus en un chignon couvert par un bonnet à l'arrière de la tête. Ce qui met un terme à quelque 500 années d’ignorance. On avait toujours cru qu’elle avait les cheveux libres, mais cela surprenait les historiens car ce type de coiffure à la Renaissance était typique des jeunes filles de mauvaise vertu, ce qui n'était pas normal pour cette femme de bonne famille, épouse d'un marchand de soie. « Aucun risque de dégradation »
    Enfin, les travaux ont permis d’établir que le fameux sourire énigmatique de la jeune femme pourrait être admiré pendant longtemps encore. « Dans les conditions d'entreposage actuelles, il n'y a aucun risque de dégradation », indique le CNRC. Bien que fissurée, la couche de peinture reste soudée au panneau de peuplier qui lui sert de support. « C'est une excellente nouvelle », a jugé un des chercheurs. Tous les mystères du sourire de Mona Lisa ne sont toutefois pas encore percés. Les experts vont poursuivre leurs recherches sur la célèbre technique du « sfumato », ces effets vaporeux fortement ombrés. La couche de pigment est « extrêmement mince et uniforme, souligne l’un des chercheurs. La technique du maître ne ressemble donc à aucune autre. Léonard de Vinci est un cas à part » ajoute-t-il, indiquant encore ignorer si, comme le pensent certains de ses confrères, le peintre avait, ou non, utilisé ses doigts pour faire le portrait de la Joconde

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    source : article du journal " le figaro " du 27 septembre 2006

     
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  • Le mystère de Rudloe Manor

    En 1983, un habitant de Birmingham, George Dyer, prétendit qu'il avait aperçu un ovni. Il téléphona au ministère de la Défense anglais pour signaler ce dont il avait été témoin et on le renvoya à un numéro du sud-ouest de l'Angleterre. Lorsque Timothy Good, l'un des spécialistes britanniques en matière d'ovnis, décida d'enquêter, les officiers du ministère de la Défense lui répondirent qu'ils ne " connaissaient aucun centre de recherche officiel dans ce domaine ". Mais il apprit que l'armée de l'Air menait des recherches ultra-secrètes sur les ovnis à Rudloe Manor, dans le Wiltshire. Quartier général du commandement de la R.A.F, le bâtiment servait de couverture à ces recherches. Toutes ne demeurèrent pas secrètes. Ainsi, en 1971, un spécialiste en matière de radar passa deux jours à suivre un objet aérien non identifié, qui ne se comportait comme aucun véhicule connu ou phénomène naturel recensé. Ralph Noyes, chef de département au ministère de la Défense, ne connaissait pas cet établissement. Il téléphona au Rudloe Manor, en se présentant, et ajouta qu'il souhaitait qu'on lui communique un rapport sur les ovnis. Il demanda s'il avait téléphoné au bon endroit; " Parfaitement ", répondit l'officier. Cela ne signifie pas que les trente employés de Rudloe Manor enquêtent sur les apparitions d'ovnis. Toutefois, la police arrêta Timothy Good en 1985, pour avoir pénétré à l'intérieur du parc; il fut ensuite relâché mais raconta qu'il avait pu y entrer que très difficilement...

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  • La mouche dans le lait !

     

    Depuis des décennies, toutes les informations qui touchent de près ou de loin aux phénomènes ufologiques ont été censurées, tronquées ou tout simplement tournées en dérision. Une volonté perverse dissimule la vérité sur ces sujets que le " peuple d'en bas " ne doit pas connaître. Imaginez un génie capable de s'introduire dans 53 ordinateurs de l'armée américaines, 26 de l'US Navy, 16 de la Nasa, un du département de la défense et un de l'US Air Force, répartis sur 14 Etats Américains !

    La mouche dans le lait !

    C'est ce que fit Gary McKinnon, un britannique de 39 ans, entre le début 2001 et le début 2002. C'est selon le procureur général du gouvernement Américain : " Le plus important piratage de système informatique militaire qui ait jamais eu lieu ". Gary McKinnon vit toujours en Angleterre mais les Américains multiplient les pressions pour le rapatrier sur le territoire U.S. Leur but est de faire un exemple avec un procès de cyber criminalité apte à décourager tout futur hacker international. Pourquoi un tel acharnement ?... Est-ce parce que les documents récupérés par ce pirate du clavier révèlent d'autres secrets que celui des " ballons sondes "... qui volent à mach 2 contre le vent, ou le mystère des mannequins en caoutchouc tombés à Roswell, plus de vingt ans après le crash de 1947 ! Dans une interview donnée au quotidien " le guardian ", McKinnon a expliqué qu'il cherchait des preuves de l'existence des ovnis et qu'il en avait trouvé :

    La mouche dans le lait !


    " J'ai trouvé une liste de gradés avec le titre de " Non Terrestrial Officers "... Ce que j'ai interprété comme étant des gradés sur des bases non-terrestres. J'ai également trouvé une liste correspondant à des transferts entre flottes, associée à une liste de noms de vaisseaux qui, après recherche, ne faisaient pas partie de la flotte US. J'en ai donc déduit qu'ils devaient être des vaisseaux spatiaux non listés ". Voilà qui commence à nous intéresser : McKinnon déclare avoir trouvé des listes d'officiers envoyés sur des bases extraterrestres ou transférés sur des vaisseaux spatiaux ! Ces déclarations méritent de s'y arrêter. Un homme capable de pénétrer 97 machines militaires parmi les plus protégées de la planète ne peut pas être un imbécile ! Et le but en soit s'apparente donc plutôt à une véritable quête ! Il est à noter que plusieurs ufologues de renom avaient depuis longtemps avancé cette possibilité. A une époque où la navette Columbia conçue dans les années 70 est obsolète, il serait temps que l'Amérique dévoile ses véritables possibilitées... Supposons un instant que Gary ait confié à quelques journalistes ou à des amis sûrs, les résultats de son braconnage informatique, et que ces derniers apportent les preuves que nous sommes visités par des intelligences issues d'un autre espace, d'une autre dimension, ou d'un autre temps ; certains " déboulonneurs " risquent de rire jaune ! Certains chercheurs parmi les plus respectés, et notamment notre ami Guy Tarade, s'intéressent de très près en tout cas au sort qui sera réservé à Gary McKinnon. C'est le début du vrai cauchemar pour celui que la presse spécialisée présente comme l'un des hackers les plus impétueux de ces dernières années. D'après Scotland Yard, Gary McKinnon serait le plus important pirate de systèmes informatiques militaires. L'une des cibles du hacker était notamment le Pentagone.

     

    En 2002, McKinnon fut l'objet d'une inculpation par la justice fédérale américaine qui avait retenu contre lui pas moins de 8 chefs d'accusation de crimes informatiques perpétrés dans 14 États différents. La justice a mis trois années pour retrouver l'individu et l'appréhender. La note risque d'être salée et les américains ne lui feront pas de cadeaux. L'histoire de McKinnon se rapproche de l'épopée de Kevin Mitnick, un autre pirate très médiatisé, qui avait écopé de cinq années de prison ferme en 1995. Il a été libéré en 2000 à l'age de 36 ans. Le gouvernement britannique vient de donner le feu vert à son extradition vers les États-Unis. Après 3 années de cavale, il a été arrêté, en juin 2005. Le montant des dommages occasionnés par ces piratages est estimé par le gouvernement américain à 700.000 dollars. Gary McKinnon, qui s'est largement exprimé dans la presse et dans les forums dédiés au hacking risque jusqu'à 70 ans d'emprisonnement et une amende salée de 1,75 million de dollars. Mais le personnage bien qu'inquiet n'a pas encore dit son dernier mot...

    La mouche dans le lait !


    http://www.zunya.org/zun/articles/ufocoverup.html


    source- revue " Top Secret n° 21 " oct/nov 2005

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