• LA PYRAMIDE DE KHEOPS

     

    1- Une enquête longue et difficile...

     

     

     

    UNE NOUVELLE HYPOTHESE ARCHITECTURALE TRANSFORMEE EN THEORIE DES 12 CONTRAINTES INCONTOURNABLES

     

    Les pyramides recèlent encore bien des mystères, entre autres quant aux techniques utilisées pour leur construction. L’auteur du livre "le mystère de la construction des pyramides" ose présenter au public une hypothèse des plus révolutionnaires et complètement inédite. Un éclairage particulièrement convaincant qui nous transporte littéralement dans ce lointain passé et nous dévoile enfin une véritable relecture plausible des capacités scientifique et techniques des ingénieurs de Kheops.

     

    Le premier ouvrage de cet auteur autodidacte résume en 12 chapitres méthodiques et clairs cette fabuleuse épopée de 23 années durant lesquelles des dizaines de milliers d’hommes se sont acharnées à ériger ce prestigieux monument. Cette théorie est le fruit de dizaines d’années de réflexion et de méticuleuses observations. En fait, un document rare et une base de travail pour les spécialistes architectes et historiens notamment. Depuis que le génial Champollion a résolu le mystère des hiéroglyphes et posé par la même les paramètres liés à cette grande aventure architecturale des milliers de chercheurs ont tenté en vain d’y apporter une explication judicieuse. Pour la grande pyramide 2 300 000 blocs de pierre, dont un granit de 70 tonnes, ont été hissés jusqu’à 146 mètres de haut.

     

    Nous voici donc cette fois en face d’une proposition d’un scénario logique et scientifique qu’ont probablement suivi à cette époque les concepteurs du monument.

     

    Un dispositif d’une extrême ingéniosité, fondé sur une étonnante maîtrise des lois physiques, de la géométrie et de la mécanique du mouvement, a permis les démultiplications indispensables à la réalisation de cette prouesse technique. Au passage, l’efficacité de ce système remet en question la conviction selon laquelle les conditions de travail des ouvriers étaient atroces. De récentes fouilles archéologiques mettent d’ailleurs en évidence la qualité de l’intendance et le soin apportés à ces travailleurs de l’extrême. En outre, les technologies mises en œuvre révèlent un degré de maîtrise de l’énergie que notre époque ultra consommatrice gagnerait à méditer. Et ce n’est pas tout, 45 siècles avant Taylor et Ford, une telle réalisation témoignait d’une production organisée et standardisée avec même des travaux confiés à des sous traitants. Enfin, dans ces pyramides dotées de surprenantes propriétés astronomiques,  la barque solaire symbolisant le voyage de l’âme ne s’apparente-t-elle pas à nos actuels engins spatiaux qui fouillent les confins de l’univers ?

    Tyron


     

    1-UNE ENQUETE LONGUE ET DIFFICILE

    par Gilles Job (8/1/08)

     

    Pour moi, auteur du livre, mon aventure de candide scientifique commence dans le milieu des années 60 avec la découverte de la dynamo et l’ampoule électrique de Thomas Edison. L’opération qui consiste à faire tourner ce petit rotor métallique, véritable usine à électrons, exerce sur ma  personne une fascination grandissante. Au fil du temps je m’intéresse très vite aux petits moteurs électriques très présents déjà dans les jouets de l’époque. Me voici malgré moi entraîné dans une spirale irrésistible, comprendre l’éclairage en va et vient en 220 volts cette fois, réaliser des branchements en parallèle ou en série, et aussi la découverte de ces magnifiques grandes ampoules présentent dans les premiers postes de radio de grand-père. Survient le choc pétrolier de 1973 et cette visite inopinée au cœur de la centrale hydroélectrique de  Revins dans les Ardennes alors en construction. Quelqu’un explique à mon père venu livrer du carrelage pour la finition du poste de travail le principe de base qui régit le fonctionnement de ce type de centrale. Je découvre alors la véritable puissance motrice de l’eau en chute organisée qui vient animer de gigantesques dynamos appelées turbines ou alternateurs. L’énergie blanche tellement celle-ci est propre, l’exploitation maîtrisée de la chute des corps elle-même en lien direct avec la gravitation universelle.

     

    Plus encore, j’apprends aussi cette particularité liée à ces équipements qui la nuit ont un fonctionnement inverse alors que trop d’électricité produite par les centrale nucléaires ne trouve preneur il devient possible de transformer la génératrice en moteur ce qui permet ainsi de reconstituer plus haut le stock de houille blanche contenue dans les réservoirs. Par ce biais détourné il est donc possible de stocker et de sauver une partie de l’énergie en surproduction, phénomène que je décrirai plus tard comme le ‘principe d’inversion’ et sur lequel je devrai revenir plus longuement car j’y vois un lien direct avec la mécanique industrielle de Kheops.

     

    L'’intérêt pour la question cruciale de l’élévation des millions de pierres de la pyramide de 7 000 000 de tonnes estimées m’apparaît, nous sommes en 1980 et ma recherche globale sur la force descendante de Newton et ascendante d’Archimède m’accapare particulièrement. A ce moment je tiens en main une photographie qui met en relief la disproportion hallucinante entre la géante de 146 mètres et une autre très petite. Je perçois clairement qu’une révolution s’est produite en ces temps reculés que je compare à l’évolution technique des objets volant de l’appareil de Blériot à la fusée Ariane. Je n’ai jamais cru à un système archaïque comme la rampe qu’elle soit droite ou circulaire, encore moins  à  une violence quelconque pour propulser une pierre de 70 tonnes à plusieurs dizaines de mètres de hauteur, la réponse est ailleurs.

     

     

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  • Gilles Job a écrit un livre sur le mystère des constructions des pyramides- l'énigme résolue, l'astuce inattendue. Depuis près de 20 ans il y a travaillé et j'ai tenu absolument a en savoir plus... ici l'article lui étant dédié ! Voici son interview :

     

     

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  • toutankhamon1

    La momie de Toutankhamon exposée pour la première fois au public

     

    LOUXOR, Egypte - Le visage de Toutankhamon révélé pour être mieux protégé: la momie du jeune pharaon a été sortie dimanche (4/11/07) de son sarcophage pour être exposée au public pour la première fois sous une vitrine transparente, à l'abri de la chaleur et de l'humidité. Quatre-vingt-cinq ans jour pour jour après la découverte de son tombeau dans la Vallée des rois, à Louxor, Egypte, des archéologues ont extrait la momie du jeune pharaon du sarcophage doré dans lequel il reposait depuis 3.000 ans pour l'étendre dans une vitrine transparente, sarcophage de plexiglass, où les touristes pourront le découvrir à partir de lundi. Seul le visage noirci et tanné comme du cuir et les pieds de Toutankhamon dépassent du drap de lin blanc recouvrant son corps.

     

    Le secrétaire général du Conseil supérieur des antiquités égyptiennes Zahi Hawass, qui a présenté dimanche la momie à la presse sous l'ardent soleil de Louxor, a évoqué "la magie et le mystère" du jeune homme décédé à 19 ans, dont la vie et la mort captivent le monde depuis près d'un siècle. "Je peux dire pour la première fois que la momie est en sécurité et bien préservée, et en même temps, tous les touristes qui entreront dans ce tombeau pourront voir le visage de Toutankhamon pour la première fois".

    Zahi Hawass a expliqué que des scientifiques avaient commencé à restaurer la momie, gravement endommagée, il y a plus de deux ans. Elle avait alors été brièvement sortie de son sarcophage et placée pour la première fois dans un scanner. Une grande partie du corps du jeune roi est brisée en 18 morceaux. Il semble qu'une partie ait été abîmée quand l'archéologue britannique Howard Carter a découvert la momie, l'a sortie de son tombeau et voulu retirer son fameux masque d'or. Mais Zahi Hawass a ajouté qu'un phénomène plus récent, le tourisme de masse, contribue à la détérioration de la momie alors que des milliers de touristes visitent chaque année la chambre mortuaire souterraine.

    "L'humidité et la chaleur provoquée (...) par les personnes qui entrent dans le tombeau et leur respiration va réduire la momie en poudre", a-t-il expliqué. "La seule bonne chose (qui reste) de cette momie, c'est son visage. Nous devons préserver son visage". La momie sera maintenue à température et niveau d'humidité constant dans sa vitrine. Le mystère de Toutankhamon, considéré comme le 12e pharaon de la XVIIIe dynastie d'Egypte, monté sur le trône à l'âge de huit ans, fascine les passionnés de l'Egypte ancienne depuis la découverte du tombeau caché et de ses fabuleux trésors d'or et de pierre précieuses, le 4 novembre 1922. Ces dernières années, les experts ont tenté de résoudre les questions persistantes sur la cause exacte du décès du jeune pharaon et sur sa lignée. En 2005, les scientifiques ont fait subir à la momie un scanner de 15 minutes qui a permis l'obtention d'une image numérique en trois dimensions.

    Les résultats ont permis d'exclure que Toutankhamon ait été assassiné, mais n'ont pas pu établir de façon certaine la cause de sa mort, aux environs de 1.323 avant Jésus-Christ. Les experts pensent toutefois que quelques jours avant de mourir, le jeune homme s'était fracturé la hanche, apparemment accidentellement, et qu'il aurait pu succomber à une infection provoquée par cette blessure. Le scanner a apporté également un éclairage inédit sur la vie du plus célèbre pharaon de l'Egypte ancienne, qui s'est révélé être un jeune homme bien nourri, en bonne santé mais gracile, qui mesurait 1,70cm au moment de sa mort, avec la mâchoire supérieure en avant caractéristique de sa famille, incisives proéminentes et dents du bas mal alignées.

    L'Egypte, qui a reçu 9 millions de touristes cette année, espère en attirer encore plus avec cette nouveauté, la momie du jeune pharaon: on estime que le nombre de visiteurs du tombeau devrait doubler, passant à 700 par jour, maintenant qu'on peut y voir Toutankhamon de manière permanente, selon Mostafa Wazery, responsable du site de la Vallée des Rois pour le Conseil des Antiquités égyptiennes.

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    sphinx01
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  • 132844-cinq-fragments-rendus-egypte

     

    Un fragment pharaonique restitué à l'Égypte pour sauver l'âme de son voleur !

    Agence France-Presse- Le Caire

     

    Un Allemand a remis à l'Égypte des fragments présumés d'un bas-relief pharaonique pour rendre la paix à l'âme de son beau-père, victime d'après lui de la «malédiction des Pharaons», a annoncé mercredi le service égyptien des Antiquités.Cet homme, qui n'a pas révélé son identité de crainte de poursuites judiciaires, a remis la semaine dernière à l'ambassade d'Égypte à Berlin, après le décès du pillard, un paquet contenant ces fragments qui auraient été arrachés en 2004 dans une tombe de la Vallée des Rois.

     

    Selon le Conseil supérieur des antiquités (CSAE), la note qui accompagnait ce paquet affirmait que le coupable du vol, dont le nom est inconnu, avait été frappé par «la malédiction des Pharaons» dès son retour en Allemagne. Il aurait ainsi commencé à souffrir de fièvres et de coups de fatigue inexpliqués, puis s'est retrouvé paralysé avant d'être victime d'un cancer et de décéder la semaine dernière. C'est pour que l'âme de son beau-père puisse reposer en paix que cet Allemand affirme, dans cette note, avoir ressenti le devoir de restituer les fragments dérobés à l'Égypte. Le patron du service des antiquités, Zahi Hawass, a créé un comité pour s'assurer de l'authenticité de ces pièces et de leur provenance, afin de les remettre en place et calmer l'ire du Pharaon à la tombe profanée.

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    toute l'info ici !

     

    sphinx01
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  • empreinte pied

     

    20 août 07- Peut être la plus ancienne empreinte humaine découverte en Egypte !

     

    Le CAIRE (Reuters) - Des archéologues égyptiens ont trouvé ce qu'ils pourraient être l'empreinte de pas humaine la plus ancienne de l'histoire. C'est ce qu'a dit le chef du Conseil suprême des antiquités égyptiennes, Zahi Hawass. « Celle-ci daterait d'environ deux millions d'années », a t-il déclaré. « C'est peut être la découverte la plus importante en Egypte, » a t-il confié à l'agence Reuters. Les archéologues ont trouvé l'empreinte de pas, l'ont protégé sur place, dans la boue puis l'ont durci dans la roche, tout en découvrant un site préhistorique vers Siwa, une oasis de désert à l'ouest à 560 km du Caire. Les scientifiques lui font des tests de carbone 14 pour déterminer son âge exact. Khaled Saad, directeur du département préhistoire au conseil a dit que l'ancienneté de l'empreinte est basée sur l'âge de la roche où celle-ci a été trouvée." Précédemment, la plus ancienne découverte archéologique humaine en Egypte  remonte a 200.000 ans ", a déclaré K. Saad.

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    la source de l'info ici en anglais...

     

    sphinx01

     Reuters 2007. Tous droits réservés.

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