• Italie- un défunt gâté par son chat

    Certains animaux se laissent mourir de faim lorsqu’ils perdent leurs patrons. D’autres, comme le fameux chien japonais «Hatchi», attendent tous les jours patiemment qu’ils reviennent. Mais tout cela n’a rien à voir avec ce que fait le chat «Toldo». Depuis maintenant un an, il dépose tous les jours des offrandes sur la tombe de son maître.

     

    Lorsqu’il a été adopté par un vieux monsieur il y a trois ans, ce chat de gouttière n’avait que 3 mois. Des gens l’avaient trouvé au bord d’une route. Pendant ces trois années, le vieil homme et son petit compagnon ne se sont jamais quittés d’une semelle. Et puis, l’an dernier, Renzo Iozzelli est mort. Le jour de l’enterrement, l’animal a marché aux côtés de la famille du défunt, sa femme, Ada, sa fille et son beau-fils. Ils ont traversé le village de Montagnana (nord) et sont allés au cimetière.

    Le lendemain, Ada et sa fille ont trouvé un petit rameau d’acacia sur la tombe. «J’ai tout de suite dit à ma fille que c’était le chat qui l’avait apporté. Elle m’a répondu que la douleur m’avait fait perdre la tête», se souvient Ada. Le soir même, son gendre trouvait le chat en train de monter la garde devant la tombe de Renzo.

    Des tas de feuilles

    Tandis qu’ Ada dépose chaque jour des fleurs, le chat apporte des petits cadeaux. Un jour, c’est un mouchoir en papier qu’il a dû ramasser au coin d’un bar. Un autre, un gobelet en plastique. Parfois, il fait des tas de feuilles ou de brindilles. «Mon mari aimait beaucoup les animaux et il s’entendait très bien avec «Toldo». J’ai comme l’impression que ces cadeaux, c’est une façon pour le chat de remercier Renzo», estime Ada. Dans le village, tout le monde ne parle que de cela. Le matin, quelques habitants lui disent même bonjour en le voyant passer pour se rendre au cimetière. (Le Matin)

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  • Une étude prouve que les chiens peuvent distinguer le bien du mal

    Selon cette étude, les chiens évaluent socialement les être humains avec lesquels ils interagissent. 

     

    Des chercheurs de l’université de Kyoto ont découvert que les chiens ont un sens de la morale, leur permettant de distinguer le bien du mal.

    Partant du constant que les bébés développent à partir d'1 an une forme de morale innée, le psychologue James Anderson et son équipe ont cherché à savoir si d’autres espèces possédaient un tel sens.

    Expérience sur l'entraide

    L'équipe a ainsi procédé à une expérience avec des chiens. Les animaux devaient regarder leur propriétaire essayant d’ouvrir une boîte sans y parvenir tandis qu’une deuxième personne lui venait en aide et qu’une troisième assistait à la scène sans bouger d’un cil. Les deux acteurs proposaient ensuite un aliment au chien. Selon leurs résultats, publiés dans New Scientist, les animaux acceptaient la nourriture uniquement de la personne ayant fait preuve d’entraide à destination de leur propriétaire. Les chercheurs ont obtenu des résultats similaires avec des singes.

    Selon James Anderson, ces résultats prouvent que les singes et les chiens évaluent socialement les être humains avec lesquels ils interagissent. «Si quelqu’un se comporte de manière antisociale, cela provoque probablement une sorte de réaction émotionnelle», détaille-t-il. Le psychologue estime par ailleurs que la relation des chiens avec les humains «peut les avoir fait évoluer, les rendant sensibles à nos comportements». 

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  • la tortue avait avalé 915 pièces de monnaie

     

    Elle avait avalé 915 pièces, il a fallu 7 heures d’opération pour la sauver: pendant des années, Tirelire, une tortue thaïlandaise, a avalé la monnaie lancée dans sa mare par les visiteurs du parc et a failli en mourir.

     

    Agée de 25 ans, elle a été envoyée, avec la carapace fracturée, il y a quelques jours dans une clinique de Bangkok quand les médecins ont découvert cinq kilos de pièces coincés dans son ventre. 

    « Il y avait 915 pièces dans son ventre, nous les avons enlevées une par une », a expliqué à l’AFP Nantrika Chansue, la vétérinaire responsable du centre de recherche aquatique de l’hôpital Chulalongkorn.

    « Tirelire va bien maintenant, mais elle devra rester au centre pendant deux semaines », a-t-elle ajouté, précisant que c’était la première fois que le centre avait à réaliser ce genre d’opération.

    Tirelire vit depuis plus de 20 ans dans un petit parc de la province de Chonburi, à deux heures au sud de Bangkok, et elle était l’une des mascottes de ce parc où les visiteurs venaient nombreux pour jeter des pièces.


    Thaïlande: la tortue avait avalé 915 pièces de... par jacq35

    « Une tortue peut vivre jusqu’à 80 ans et les gens disent que la personne qui jette une pièce de monnaie dans l’étang de la tortue pourra vivre plus longtemps », explique Rungroj Thanawongnuvej, doyen de la Faculté des sciences vétérinaires de Chulalongkorn dans un communiqué.

    Mais pour lui, c’est au contraire synonyme de mauvais karma « puisque cela nuit à des animaux ».

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    Info de ce jour (27/03)

    Pas de miracle pour la tortue thaïlandaise "Tirelire"

    La tortue marine thaïlandaise surnommée "Tirelire" pour avoir avalé 915 pièces de monnaie est morte mardi des suites des complications de l'opération qui l'avait soulagée de son trésor. Agée de 25 ans, elle avait été envoyée début mars, avec la carapace fracturée, dans une clinique de Bangkok où les médecins avaient découvert cinq kilos de pièces coincés dans son ventre, lancés par les visiteurs de son parc.

     

    Son histoire avait fait la une dans le monde entier après une première opération réussie pour extraire les pièces. Le sort du reptile tenait en haleine la Thaïlande, qui avait suivi avec émotion mi-mars ses premières leçons de natation. La suite de l'article dessous :

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  • Des chiens de l'Institut Curie s'entraînent à détecter le cancer du sein

    Depuis septembre, deux chiens qui appartiennent à l'Institut Curie, à Paris s'entraînent à détecter le cancer du sein à l'aide de leur seul odorat. AFP/PASCAL LACHENAUD

     

    Nom de code : Kdog. Derrière cette appellation, se cache un projet original qui consiste à détecter le cancer du sein, grâce à l'odorat canin. Depuis septembre, Thor et Nykios, deux bergers malinois âgés de deux ans qui appartiennent à l'Institut Curie, à Paris s'entraînent en ce sens. 

    L'apprentissage se déroule loin des regards, sur un ancien site militaire à Magnac-Laval (Haute-Vienne) et sous la férule de leur dresseur Jacky Experton, pionnier des techniques cynophiles. « Ce type d'étude n'a jamais été mené sur le cas du cancer du sein. Tous les paramètres sont susceptibles de changer au fil de l'étude. Pour l'instant, l'Institut Curie est parti sur six mois de travail. Tout dépendra de la réponse des chiens », résume Jacky Experton.


    Le flair des chiens pour dépister les cancers... par afplp

    Ambiance studieuse, exercices gardés secrets, « pour préserver la recherche »... Thor et Nykios exécutent chacun quinze passages par jour dans la salle d'examen où les attendent des bocaux contenant des échantillons fournis par l'Institut Curie. « Ils travaillent séparément, détaille Jacky Experton. Quand ils entrent dans la salle, rien ne doit les distraire de leur parcours. Nous sommes au tout début d'une histoire nouvelle: pour l'instant, j'en suis à travailler pour trouver le mode d'emploi de la méthode de dressage sur ces composés odorants particuliers. » 

    Chaque séance est filmée 

    Depuis septembre, les chiens planchent sur la phase dite de mémorisation. Nykios est par exemple formé à reconnaître les composés odorants du cancer extraits directement de la tumeur de patientes choisies par les chercheurs et imprégnés sur un tissu duveteux. De son côté, Thor exerce son flair sur des tissus qui n'ont été en contact qu'avec la transpiration issue de la peau du sein de patientes malades. « Pour le chien c'est un jeu: je lui apprends à associer sa récompense à une odeur singulière », précise le dresseur. 

    Chaque séance est filmée puis analysée par Jacky Experton avec les professionnels de santé à Paris, en particulier Isabelle Fromantin, qui pilote la recherche pour l'Institut Curie.

     

    Si, d'ici à quatre mois, l'étape de mémorisation se révèle concluante, le jeu devrait se corser pour Thor et Nykios, qui devront échanger leur rôle, afin de confirmer l'hypothèse selon laquelle les marqueurs odorants du cancer du sein sont repérables par les chiens, même en quantité faible. 

    L'espoir : mettre au point un moyen de dépistage peu coûteux

    Jacky Experton - jusqu'alors spécialisé dans le dressage d'animaux pour la détection d'armes, d'explosifs ou de drogues -- espère que la recherche financée par l'Institut Curie grâce au mécénat (100 000 €) attirera l'attention du monde médical et que de nouveaux financements permettront de pousser plus loin le travail. En premier lieu, il s'agira de mener une nouvelle étude clinique sur un plus large panel de patientes. 

    A plus long terme, Isabelle Fromantin et Jacky Experton souhaitent aboutir à un moyen de dépistage du cancer du sein efficace, peu coûteux et mobile, facile à mettre en oeuvre dans des pays sinistrés en matière d'infrastructures et de personnel médical. 

    « En dehors de la dimension humanitaire, qui me tient beaucoup à coeur, c'est aussi l'hypothèse d'un temps précieux gagné sur la maladie qui motive notre travail », conclut Jacky Experton. C'est en découvrant que des études prometteuses avaient été menées sur les cancers de la prostate à partir des composés odorants laissés par la maladie dans l'urine des patients que Jacky Experton a eu l'idée du projet Kdog. 

    Une étude-pilote réalisée en Autriche avait ainsi suggéré en 2012 que les chiens étaient étonnamment doués pour détecter les cancers du poumon grâce à leur odorat, avec un taux de réussite de 70%.

     

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  • Les chiens comprennent ce que vous dites...

    Les chiens ont la capacité de distinguer les mots et les intonations grâce aux mêmes régions du cerveau que les humains, révèle une étude sur la manière dont le meilleur ami de l'homme interprète notre langage.

     

    Publiée lundi dans la revue américaine Science, elle montre que le cerveau canin prête attention à la fois à ce que nous disons et à la manière dont nous le disons, expliquent des chercheurs de l'université Eötvös Loránd de Budapest.

    L'intonation juste

    Les chiens comme les humains utilisent l'hémisphère gauche du cerveau pour interpréter les mots et des régions de l'hémisphère droit pour analyser l'intonation. Le centre du plaisir dans leur cerveau est activé seulement quand des paroles de gentillesse et de louanges sont accompagnées de l'intonation juste, ont déterminé ces chercheurs. 

    Selon eux, ces observations suggèrent que les mécanismes neuronaux permettant de traiter les mots ont évolué beaucoup plus tôt qu'estimé jusqu'alors et qu'ils ne sont pas spécifiques au cerveau humain. 

    L'étude montre que si un environnement est riche en paroles comme c'est le cas dans une famille où vit un chien, les représentations du sens des mots peuvent se développer même dans le cerveau d'animaux incapables de parler.

    Des similitudes de fonctionnement entre cerveaux humains et canins

    «Le cerveau humain non seulement analyse séparément les mots que nous entendons mais aussi la manière dont ils sont dits, intégrant les deux types d'informations pour parvenir à un sens», explique Attila Andics du département d'éthologie de l'université Eötvös Loránd. «Nos conclusions suggèrent que le cerveau des chiens fonctionne de manière très similaire», une découverte qui pourrait aussi aider à faciliter la communication et la coopération entre chiens et humains, poursuit-il. 

    Pour cette étude, ces scientifiques ont dressé treize chiens pour qu'ils restent couchés totalement immobiles pendant un scanner du cerveau afin de mesurer leur activité cérébrale alors qu'ils écoutaient parler leur maître. Ils ont constaté que les chiens activaient une zone de l'hémisphère droit du cerveau pour distinguer une intonation signalant la gentillesse et une ne l'indiquant pas. Ce même centre cérébral traite des sons qui suscitent des émotions mais qui ne sont pas des paroles, avaient déjà identifié ces chercheurs.

    La même zone du cerveau humain joue un rôle similaire, suggérant que les mécanismes d'interprétation des intonations ne sont pas spécifiques à la parole. Selon ces scientifiques, ce qui «rend les mots uniquement humains ce n'est pas une capacité neuronale particulière mais notre créativité pour leur utilisation».

     

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