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    LE SECRET DES EGYPTIENS POUR COMMUNIQUER A DISTANCE

     

     

     

     

     

    Nombreux sont les gens qui ont suivi passionnément les expériences de télépathie réalisées par les américains lorsque leur sous-marin atomique « Nautilus » est passé sous la banquise qui recouvre le pôle Nord. Les astronautes ont réalisés la même chose bien plus tard, et les expériences dans ce domaine restent maintenant secrètes ?

     

    On sait que Rhine a fait des études et des expériences prolongées sur la télépathie, en utilisant des cartes portant certains dessins ; ces dessins, qui sont des figures simples très nettes ont été conçus et sélectionnés par Zener, d’où leur nom de « cartes de Zener ». Sur chaque carte, d’un trait net, noir, épais, on a tracé une figure : un triangle, un carré, une ligne ondulée, etc. Le sujet étant isolé, on mêle les cartes ; on tire une et on y pense fortement, tandis que le sujet doit dire quel est le dessin qui est tracé sur la carte tirée. Or, il y avait, parmi l’équipage du Nautilus un sujet réceptif à la télépathie et, à Washington un sujet capable d’émettre. Depuis cette expérience, tout s’est curieusement compliqué : selon Lyall Watson (Histoire Naturelle du Surnaturel, Albin Michel, édit) les américains auraient démenti l’expérience… Mais les russes, saisissant la balle au bond, auraient annoncé de leur côté qu’ils se penchaient depuis des années sur le problème et que l’application technique de la télépathie n’avait plus de secret pour eux.<o:p></o:p>

     

    -PHENOMENE SPONTANE-

     

    En fait, l’application de la télépathie sur le plan technique  ne semble guère possible en l’état actuel de nos connaissances parapsychologiques. Si c’est là un phénomène qui peut se produire spontanément entre deux sujets, aussi complexe que soit le message que l’un envoie à l’autre, une transmission systématique, en revanche se révèle aléatoire. Pour deux raisons. D’abord parce que rien ne garantit que le sujet émetteur et le sujet récepteur communiqueront à coup sûr. Ensuite parce qu’un sujet émetteur n’est pas récepteur et vice-versa. Pour établir un dialogue, la présence de quatre personnes serait donc nécessaire. Or, les Egyptiens de l’antiquité communiquaient à distance sans avoir à leur disposition nos facilités actuelles. Faisaient-ils alors de la télépathie purement expérimentale ?

     

    Non, pas tout à fait. Ils avaient mis au point une technique de base qui leur garantissait, à tout coup, de bons résultats. A la suite d’expérience effectuées par des chercheurs qui ont réussi, récemment, à transmettre des messages entre correspondants se trouvant à des kilomètres de distance (cela sans qu’intervienne la télépathie proprement dite, encore moins aucune des techniques habituelles de la radio) on a maintenant la certitude que les Egyptiens s’appuyaient sur des formes géométriques pour capter et transmettre l’énergie universelle et, probablement aussi, pour exprimer leur pensée en communication avec le cosmos. 

     

     

    Et cette forme géométrique était une pyramide. 

     

     

     

    Pas n’importe laquelle : celle de KHEOPS. De sorte que si vous voulez à votre tour tenter l’expérience, il faut que vous en construisiez une vous-même. Rassurez-vous, vous n’aurez pas besoin de vous transformer en maçon. Votre pyramide sera une mini pyramide en carton fort. Mais, attention ! Il est essentiel de lui donner la forme et les proportions de celle de Chéops. Pour mener à bien votre ouvrage, suivez les directives de Lyall Watson qui vous donne les dimensions exprimées en centimètres. Découpez, écrit-il, quatre morceaux de carton fort en triangles isocèles ayant la proportion bas-côté de 15,7 à 14,94. Collez-les ensemble. Vous avez, d’autre part, choisi votre correspondant. Supposons qu’il habite le Bourget et vous Paris. Vous êtes l’émetteur, il est le récepteur et vous convenez ensemble du jour et de l’heure de l’expérience. Bien sûr, votre correspondant est aussi en possession d’une pyramide qui ressemble à la vôtre comme une sœur car il est indispensable que vous vous livriez, chacun de votre côté, aux même préparatifs. Disposez chacun votre pyramide de façon que deux de ses côtés soient orientés nord-sud et les deux autres est-ouest. Munissez-vous également d’un pendule égyptien.

     

    Ensuite, placez sous vos pyramides respectives un petit carré de papier portant le nom de votre correspondant et celui du lieu où il se trouve. L’expérience, explique son inventeur, M. de Bélizal, est réalisable à quelque distance que ce soit à condition que les deux opérateurs (émetteur et récepteur) aient soin de placer en même temps sous leur pyramide un témoin mot représentant leur correspondant. Ce témoin mot est constitué par un petit papier où sont inscrits le nom et l’adresse exacte où l’un et l’autre sont installés. Cette marque, que les expérimentateurs exécutent et placent eux-mêmes, donne la direction à suivre à l’onde pensée, ou l’onde de forme de chacun d’eux.

     

     

    Ainsi, l’'émission se dirigera vers le lieu indiqué par le témoin mot.

     

     

    A ce témoin mot, ajoutez un morceau de serviette en papier blanc neuf. Faites tourner votre pendule au-dessus de la pointe de la pyramide pour le charger. Désormais, tout est prêt pour la transmission proprement dite. Appuyez un doigt sur un côté de la pyramide en pensant fortement à un signe simple (un cercle, un carré, un triangle, etc.)  Votre correspondant percevra ce signe quand il prendra en main son morceau de serviette.

     

    -L'’ORIGINE DES HIEROGLYPHES-

     

    C’est une méthode identique qu’utilisaient les Egyptiens pour envoyer et recevoir des messages. Ils partaient de la grande pyramide de Khéops (où étaient reçus par son intermédiaire) et l’on cherche maintenant à établir les distances qu’ils pouvaient couvrir. Peut-être avec la pyramide de la planète Mars, qui sait ! Il est évident que le langage parlé est trop compliqué pour ce genre de communication. C’est pourquoi il est préférable d’utiliser des signes symboliques codés et dont la signification apparaît clairement au récepteur. Peut-être ne faut-il pas chercher ailleurs l’origine des hiéroglyphes, un moyen de communiquer avec les Dieux de l’espace et des extraterrestres, tout cela demande réflexion.

     

     

    Et si c’'était la véritable fonction des pyramides ?

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    QUELLES FORCES MYSTERIEUSES DEGAGENT DONC LES PYRAMIDES ?

     

    Quelles forces dégagent donc les pyramides ?

     

    Un chat momifié dormait depuis des siècles dans la chambre funéraire de la grande pyramide de Chéops,  non loin du Caire. L’égyptologue qui découvrit l’animal ainsi conservé, avec des apparences de la vie, ne comprit pas par quel miracle, ce chat avait échappé aux altérations du temps. Il supposa que les conditions particulières à la chambre, funéraire, conditions naturelles mais inconnues, pouvaient suffire à expliquer la momification parfaite du chat. On ne parla donc pas de cette découverte.

     

     

    Jusqu’'en 1959, quand un ingénieur électronicien de nationalité tchécoslovaque déposa un brevet concernant une pyramide de plastique, ayant exactement  les même proportions que la pyramide au 1/10000°. Cet ingénieur  du nom de Karel Drbal fit inscrire dans le libellé de son brevet N° 91304 que cette pyramide était un système aiguiseur de lames de rasoir. Aujourd’hui, les pyramides de Drbal se vendent couramment dans les boutiques du monde. Les utilisateurs en sont satisfaits. Et les ventes rapportent beaucoup d’argent. Depuis bien d’autres applications lui ont été trouvée plus formidable encore.

     

    Comment fonctionnent ces pyramides ? Pourquoi cette reconstitution de molécules d'’acier, ou cette momification de viande ?

     

    Pour le moment personne n’'est capable de le dire. On se contente d’'expérimenter à tour de bras, et dans toutes les directions. Dans les laboratoires du monde, commence à s’intéresser à ces productions de la pyramide. Pour qu’il y ait effet, on doit respecter les dimensions du célèbre ouvrage d'’art : 137 mètres de hauteur, et 227 mètres de base, au 1000° ou au 10000° près, avec un face au nord magnétique, quelque soit les matériaux utilisés. On place l’'objet à traiter au centre du carré de la base, sans que l'’objet de puisse jamais dépasser le tiers de la hauteur  total de la pyramide. On a observé que toute la partie d'’un objet ou d’un être dépassant cette hauteur limite échappe aux effets du phénomène. Selon les indications assez sûres de l'’histoire égyptienne, les grandes pyramides furent édifiées voilà environ 45 siècles.

     

    A maintes reprises, on a ressenti une étrange impression, face à ces gigantesques monuments de pierres. Dans son ouvrage « Secrets de la Grande Pyramide », Peter Tompkins interroge : Ces pyramides furent-elles imaginées par de mystérieux architectes extra-terrestres qui auraient possédé une profonde connaissance des secrets de l’'univers. Il faut reconnaître que la plupart des égyptologues sont fascinés par les mystères de l’orientation, la forme pyramidale, qui ressemble à la constitution moléculaire osseuse de l'’être humain. Mystère du gigantisme, mystère du destin de ces constructions réellement  inhumaines. Il y a 20 ans des scientifiques comme le professeur de physique Karm et le professeur de biophysique Cherbit ont longuement expérimenté eux-mêmes, dans leurs laboratoires, en se servant de modèles réduits de la pyramide de Khéops, qui ont été  fabriqués par eux-mêmes.

     

    Le professeur Karm a momifié toutes sortes de produits : œufs, viandes, légumes, et même vieillir du vin. Et le professeur Cherbit a momifié des insectes qui restent parfaitement protégés contre toute altération. La reconstitution moléculaire du fil des lames de rasoir est sans doute les effets de la pyramide qui s'’explique le moins aisément. On ne voit guère comment des forces peuvent redonner du fil à la lame qui a été forcément émoussée par la barbe ? Les spécialistes de l'’effet pyramide nous disent que c'’est pourtant très simple : il y a une sorte de retour à l'’état originel. Vu au microscope le profil de coupe de la lame apparaît comme une scie plus ou moins échancrée, selon le nombre de services assurés par la lame, et la dureté de la barbe à couper. Une lame normale de bonne qualité est à peu près hors d'’usage après 4 coupes. Son profil est extrêmement dentelé. Mais si cette lame est placée dans la cavité de la pyramide pendant une semaine environ, on constate effectivement que le fil devient de nouveau régulier. Pourtant aucun affûtage n'’a été réalisé.

     

    Il semble vain de vouloir expliquer un tel phénomène, pour le moment du moins, tant que l'’on ne connaîtra pas la nature de la force, ou des forces qui jouent aux seins du volume pyramidal. Rappelons aussi que le sommet de la pyramide est plat puisqu'’il n’y a pas de pyramidion. Celui à exister, on peut considérer que c’'est le condensateur du monument, celui-ci à disparu à une époque très lointaine. Certains phénomènes électriques se produisent encore au sommet à l’'heure actuelle.

     

    On se trouve dans la situation des navigateurs du 15e et 16e siècles qui se servaient d'’une sorte de boussole appelée « noirette », et ignoraient tout du magnétisme terrestre.

     

    J'’ai moi-même expérimenté tous ces phénomènes qui restent positifs mais totalement mystérieux.

     

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    La taverne de l’'étrange- 26 octobre 2007

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  • Les courants telluriques

    courants telluriques de la cathédrale d'Amiens

     

    L E S   C O U R A N T S  T E L L U R I Q U E S

     

     

    L'’étude méthodique des énergies souterraines de la Terre ce détermine par:

     

    1) Courant magnétique

    2) Courant magnétique spiralé

    3) Courant statique

    4) Courant radioactif

    5) Courant gravimétrique

     

    L'’ensemble de ces courants engendre ce que l’'on appelle les courants TELLURIQUES. Le développement de la prospection géologique releva son existence. Les courants telluriques se forment à environ 100km en dessous de la croûte terrestre. La naissance de ces courants est due à la friction entre les différents éléments cités plus haut. C'’est pourquoi qu’il faut bien comprendre la formation de ces forces, ainsi que leurs mouvements, pour expliquer le Tellurisme et ses effets sur la nature. Les courants électriques naturels circulant sous la croûte terrestre sont dus à l'’effet d'’induction produit par le sous-sol, conducteur par les variations des champs magnétiques. Nés du noyau composé de Nickel et de fer, très conductible, ils traversent les couches concentriques terrestre pour former en surface un vaste quadrillage, dont les circuits sont sensiblement ou parallèles ou perpendiculaires au méridien magnétique. Au cours de leur périple, ils devraient s'’atténuer et s'’évanouir par effet de joule de l’ordre de 20000 ans.

     

    Il n’en n’est rien, les recherches faites par les physiciens ont donc supposés un mécanisme « d’entretien »: l’'interaction des champs terrestre et extraterrestre et du fluide tellurique ferait se comporter celui-ci à la façon d'’une dynamo auto-excitée. Mais cette remontée vers la croûte terrestre est jalonnée d’'aventure, l’'hydrographie en est la base de lancement. C’est en effet par les fleuves et cours d’'eau souterrain, jouant le rôle de bains électrolytiques, que les courants sont drainés en surface, et sortent à la verticale, bien souvent aidé par les ruptures du socle et faille géologique de grandes profondeurs.

     

     

    Cela détermine leurs directions et leurs intensités.

     

    Si bien que dans un sous-sol homogène, ils circulent en nappe uniformes, alors que dans un sous-sol hétérogène ils subissent de nombreuses déformations. Tout cela revient à dire que le magnétisme et le tellurisme se rejoignent et se complètent (en partie). Tous deux donnant lieu à un nouveau champ. Des irradiations mesurables par des appareils particuliers sensibles au micro vibrations. Tout se passe comme si la planète était ceinturée d'’un double réseau : l’'un magnétique aérien : l'’autre tellurique souterrain. Tous deux constituant le système nerveux de la planète. C'’est un des points d’émergence bien déterminée que le tellurisme manifeste son influence sur l'’homme. Sur certain point, le fluide jaillit du sol comme un invisible geyser et monte droite vers la stratosphère.

     

    En d'’autres lieux, les circuits se croisent et s'’agglomérent en ganglions ou nœoeuds telluriques, pouvant ouvrir ou développer certaines cellules du cerveau (les chambres initiatiques étaient situées sur ces croisements). Tous les courants telluriques sont positifs pour l’homme, malheureusement ils peuvent passer dans certaines zones néfastes et alors transporter des ondes nocives. Ils deviennent alors dangereux pour l’homme. Le paysan, qui chemine encore dans des sentiers, sur les routes de pierres dans les campagnes et dans les forêts, et s’'il a conservé ses semelles de cordes ou de cuirs (parfait conducteur) reçoit les courants parfaitement, détail important :

    CAR C’'EST PAR LES PIEDS QUE SE CAPTE LE TELLURISME POUR L'’HOMME

     

    A la fin du siècle dernier, un précurseur anglais le docteur Havilland, soulevait un tollé général à la société de médecine de Londres, en soutenant l’influence bénéfique des forces telluriques sur la santé physique et morale de l’homme.

     

     

    Aujourd'hui, en 2007, nul ne nie cette évidence.

     

    C'’est que le tellurisme est à la fois facteur de vie et de dégénérescence. Les initiés, jadis ne l’'absorbaient qu’'avec prudence. Ils se créaient un transformateur qu’'ils sacralisaient et qu'’ils leurs permettaient d'’atténuer le rayonnement tellurique, ainsi est naquit le culte de la VIERGE NOIRE, aimants des courants de la Terre. Inutile de souligner que les cartes géographiques des vierges noires, doubles celles des courants telluriques et recoupent exactement celles des chemins initiatiques. Mal réparti, le courant devient « déformant » la personne qui y séjourne a souvent des déformations osseuses. Tout abus de tellurisme noircit, le feu de la terre carbonise à ses heures. Et le rayon tellurique inversé, est utilisé comme tel dans le sabbat est désigné sous l’épithète de RAYON NOIR, rayon de la mort.

     

    Par opposition au rayon de la vie cosmique le RAYON VERT.

     

     

    L'’homme lui-même, et chacun de ses organes est un émetteur de radiation électro-magnétique. L'’interaction entre ses radiations et le courant tellurique sain, provoque chez l’'organe malade une régénération, chez l'’organe normal une amélioration, dans une exposition courte et des troubles multiples dans le cas d’une exposition longue, jusqu'’au retour à la maladie. On s’'aperçoit que les fourmis et les abeilles avaient un goût pour les zones telluriques, les premières y construisent leurs nids, les secondes essaient sur les branches situées au-dessus d’un champ. Quant au chat… il se prélasse en de tels lieux. Par contre des souris placées dans le champ refusent de dormir, les lapins perdent leurs poils et leur mouvement se ralentit. Les plantes, la Mandragore se nourrissent presque uniquement de radiations. Les concombres, oignons, céleris ne poussent guère aux lieux ou elles affleurent, ainsi que le maïs, troènes et les frênes.

     

    Les points les plus importants dans les courants telluriques sont les croisements, ils sont très bénéfiques et à la fois un dangereux paradoxe qui demande une importante explication, mais dont je ne veux pas parler ici. Ce qui est certain, c’est qu’il est possible de pouvoir dévié les champs avec des effets de champs utilisés par les radiesthésistes de hauts niveaux. Une chose très importante qui n’a pas été encore révélé publiquement, les courants telluriques peuvent être un moyen de transport pour certaines ondes de toutes fréquences, mais le seul inconvénient, les ondes doivent être muté avant leur transport par un moyen vibratoire harmonique (les services secrets travaillent sur ces éléments), un grand avantage est qu’elles ne perdent aucune puissance quelque que soit la distance et sans aucune perturbation.

     

    Au cours des temps, les forces naturelles de la Terre ont été utilisées par les peuples de toutes origines. Les Celtes utilisaient les courants telluriques aux points d’émergences (les puits), ensuite ce fut les constructions des cathédrales sur ces mêmes lieux. Mais bien avant encore les Mégalithes et Dolmens (dit chambre a écho), il y aurait tellement a dire sur les peuples qui ont utilisées toutes ces forces, qu’il faudrait des livres entiers pour expliquer tout ces mystères des forces qui nous entourent. Les apparitions mariales ont toujours eu lieu a proximité ou l’eau sortait de la terre, les lignes de forces se profilent comme un terminal d’ordinateur, je pense que je me fait bien comprendre à ce sujet ?

     

    Certains O.V.N.I. utilisent pour leurs repérages et leurs réalimentations d’énergies les forces naturelles de la planète. Une étude approfondie pourra même faire comprendre la raison de leur passage à certains endroits et pas à d’autres, et souvent plusieurs fois au même emplacement. J’ai moi-même émis une théorie à ce sujet, ceci pourrait bouleverser, et surtout mettre en place une nouvelle façon d’aborder les recherches E.T.

     

    Quelques sages doivent retrouver le mode d’emploi total de ces puissances fantastiques, mais aussi très dangereux mis dans des mains de personnes négatives de notre monde.

     

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    http://www.limen-arcanum.org/interieur/tellurisme.php

     

    La taverne de l'’étrange- 23 octobre 2007

      

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    UNE LUMIERE EN PLEIN MOYEN-ÂGE

     

    Hildegarde de Bingen

     

    Une figure étonnante va marquer l’'Europe médiévale du XIIe siècle : Hildegarde de Bingen, connue sous le nom de Sainte Hildegarde. Musique, littérature, philosophie, médecine... pas un domaine où elle n’'excelle. Elle devient alors si célèbre que le Pape Eugène III, subjugué, décrète « d’'essence divine » les « visions » et des « messages » que prodigue cette religieuse d’'exception.

     

    Certains de ses contemporains l’'appelaient familièrement la « Bonne Mère de Bingen », exactement comme on nommait alors la Mère de Dieu. Aux dires de ceux qui l’'ont connue, elle vibrait d'’amour envers le monde. Bernard de Clairvaux, le futur Saint Bernard, se serait même déplacé jusqu'’en Allemagne pour la rencontrer. Et aujourd'’hui, la présence de cette femme du XIIe siècle est toujours aussi stupéfiante. Elle a laissé une œoeuvre imposante, remarquable et très en avance sur son siècle, particulièrement au niveau médical. Avec la vogue des médecines douces, nombre de praticiens modernes s’y intéressent. Et ils se réfèrent aux thérapies qu’elle préconisait, il y a près de neuf siècles ! Jusqu'’à ses « chants de l’extase », ses symphonies et cantiques qui sont enregistrées sous des labels prestigieux.

     

    LA VOIX DU CIEL 

     

    Hildegarde de Bingen naît un 17 août de l’an 1098 à Bermersheim, un petit bourg de l’'opulente Rhénanie. Dès sa prime enfance, elle a des visions. A aucun moment, elle ne doute de leur origine divine. Et c’est presque naturellement qu’elle entre au couvent à l’'âge de huit ans, comme si ses visions la conduisaient sans dévier à une vie monacale, dédiée toute entière à Dieu. A quinze ans, elle prononce ses vœoeux et prend la robe de l’'ordre des Bénédictines. En 1136, elle est élue abbesse du couvent de Rupersberg près de Bingen, sur les rives du Rhin. Pendant de nombreuses années, elle garde le silence sur ses extases mystiques, ses visions et les voix qu’elle entend depuis qu’elle est fillette. Des « voix du ciel » qui lui permettent, expliquera-t-elle plus tard, d’'écrire et d’'imaginer pêle-mêle textes et musiques, prédictions et remèdes. Puis, à quarante-trois ans, pendant un instant de grâce, elle reçoit enfin l'’autorisation de Dieu de partager ses visions. D’'abord, elle hésite, réticente. Elle tombe alors très malade et s’'aperçoit qu’elle guérit dès qu’elle raconte ses visions et ses expériences. C'’est à ce moment qu’elle se met à écrire livre sur livre comme si elle se libérait d’'un poids trop lourd à porter...

     

    *** UN SAVOIR FANTASTIQUE ***

     

    L'’énumération des ouvrages qu’elle a consacrés à tous les domaines de la connaissance de son temps, prend très vite l’allure d’un catalogue de bibliothèque savante. Cela va du Scivias ( Connaissance des voies ), au Liber meritorum ( Livre des mérites dans et de la vie ), en passant par un De operatione Dei ( Livre des travaux divins ), ou un Physica ( Livre d’histoire naturelle ). Ces ouvrages touchent à la spiritualité, à la morale chrétienne et à la culture générale. D'autres vont suivre, oeœuvres plus spécialisées, directement reliées à la médecine ou à la nature. Elle y aborde néanmoins une multitude de sujets. Dans le Livre des subtilités des créatures divines, elle s'’intéresse aux plantes et à leurs propriétés respectives, mais aussi aux métaux, aux pierres et aux animaux.

     

    Dans le Causae e curae ( Livre des causes et des remèdes ), elle traite des maladies, de leurs causes et des thérapies appropriées à chacune d’'entre elles. De la goutte au cancer, en passant par les affections de la bile, les oedèmes, les maladies nerveuses, les rhumatismes ou les dermatoses diverses, pas une maladie qui ne soit étudiée avec sensibilité par Sainte Hildegarde. Ces deux ouvrages médicaux furent inscrits plus tard dans le grand codex. Puis, ils tombèrent dans l'’oubli pendant des centaines d’'années, avant de réapparaître au XIXe siècle. Depuis, des médecins, naturopathes ou chercheurs s'’en servent, étonnés de la modernité de certaines formules de la Sainte. Certes, ses remèdes sont simples et naturels : gemmothérapie, saignées, scarifications ( cicatrices d’appel ), moxibustion ( pointe de feu ), soupe d’épeautre, etc. Ses compositions musicales elles-mêmes ( plusieurs Chant de l’extase vendus en CD ), soigneraient certaines affections.

     

    Mais son approche de l’'art de guérir rejoint tout à fait celle des partisans d’une médecine globale holistique. Bien avant eux, Sainte Hildegarde recommandait déjà de pratiquer une médecine de « terrain », soignant les causes profondes et pas seulement les symptômes. Elle envisageait vraiment chaque malade en tant qu’être humain, avec ses propres spécificités. Toute sa vie, Hildegarde de Bingen a donc fait montre d’'une incroyable activité, en particulier dans le domaine littéraire. Voilà qui ne manque pas d’étonner ; elle n’avait en effet reçu aucune éducation scolaire ou universitaire. Elle était complètement autodidacte, comme toutes les femmes de son époque, qui ne pouvaient être admises à la vie scolastique. Telle était la règle. Indéniablement, Hildegarde puisa toute la force et la plénitude de son savoir dans les arcanes de ce don de visionnaire, qui en fit une femme remarquable dont la mémoire intrigue encore neuf cents ans après sa mort. Esprit assurément frappé par une lumière éclatante, Hildegarde de Bingen pose son regard sur toute chose en y observant cette étincelle divine, ce morceau du créé, qu’elle sait venir de Dieu.

     

    Alchimiste de la pensée, sous sa plume, chaque élément se transmute. Tout devient sensible et sensuel, agité d'’humeurs malignes ou de caresses voluptueuses. Elle est une « voyante » d'’une incroyable humanité, avec une perception du monde tout à fait particulière. Dans ses livres, textes, musiques, etc., on trouve toujours la trace de savoirs antiques et une sensibilité à toutes les formes du visible et de l’invisible, que l’'on peut définir comme une « solidarité » avec les divers règnes de la vie. Nous sommes en plein dans la globalisation de l’'univers, chère aux adeptes de l’'Art royal qui prônaient la relation de tout avec tout. Et puis, elle disposait d’'un exceptionnel « art de voir », comme le laissent supposer ces prophéties. Et comme en témoigneront plusieurs de ses contemporains.

     

    *** DES PREDICTIONS SURPRENANTES ***

     

    Hildegarde de Bingen

    D’après le moine Wibert de Gembloux, Hildegarde de Bingen disait volontiers à son entourage « qu’elle ne voyait pas les choses avec ses yeux ou ne les entendait pas avec ses oreilles ». Elle affirmait « les ressentir dans son âme, avec les yeux de son intérieur ». Elle décrivit aussi ses états de visions ou d’'écoute céleste comme des moments d'’extase. Elle ajoutait qu’elle percevait alors une étrange « lumière », qui n’'avait rien à voir avec celle du jour. Ses prédictions étaient étonnantes : elle prédit notamment la réforme et la chute du Saint Empire romain. Ensuite, toujours informée par la « voix » céleste, elle déclara que l’'Eglise « subirait un amoindrissement de sa puissance séculière » ; et qu’il arriverait un temps « où le Souverain Pontife perdrait son pouvoir temporel et ne conserverait qu’'une propriété dans Rome et quelques domaines des environs ». Hildegarde annonça aussi la fin du monde, de notre monde.

     

    Cependant, elle ne donna jamais de date. La « voix du ciel » lui révéla simplement que « tout ce qui vit sur terre tend à périr, que le monde sent ses forces faiblir ». Dans cette prophétie de fin des temps, elle ajouta une bien curieuse vision : « Les Juifs se joindront alors aux Chrétiens et reconnaîtront, avec allégresse, l’'arrivée de Celui qu'’ils niaient jusque-là être venu en ce monde ».

     

    Hildegarde de Bingen mourût en 1179, à l’'âge avancé de quatre-vingt-un ans. Elle laissa, elle la benjamine d’'une famille nombreuse, un héritage qui appartient tout entier à l’'humanité. Elle fut une lumière en son siècle, une lumière éclatante qui resplendit encore presque un millénaire après sa disparition.

     

     

     

     

    Source- Revue Le monde de l’'inconnu N° 274 de juillet 1999

     

     

    La taverne de l'’étrange- 5 juillet 2007

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  • Le Feng Shui

     

    Le Feng Shui

     

     

    Découvrez le Feng Shui, la méthode Chinoise permettant d’introduire la paix et l’harmonie dans son environnement.

     

     

    Des siècles avant que les Occidentaux ne s'’intéressent aux problèmes écologiques, les Chinois savaient déjà que notre bien-être est inextricablement lié à l’environnement dans lequel nous vivons. Cette science s’'appelle l’'effet Feng Shui, qui signifie littéralement « vent et eau ». De nos jours, l’intérêt pour le Feng Shui dépasse les frontières de la Chine, et nombreux sont ceux qui, venant des horizons les plus divers, prennent conseil auprès d'’un spécialiste de cet art avant d’'acheter une maison ou de prendre une décision importante. Le Feng Shui est lié à la conviction que toute chose doit être en parfaite harmonie avec son environnement, que ce soit une ville ou une simple fleur dans un vase. Pour un Chinois, trouver une place pour s'’asseoir dans un restaurant ou accrocher un tableau au mur sont des décisions qui doivent être prises en tenant compte des règles du Feng Shui. Mais la raison qui motive cette démarche n’'est pas seulement d'’ordre esthétique ; pour les Chinois, l’'harmonie créée par une situation Feng Shui parfaite attire la prospérité, la santé et la chance. L'’essentiel de la tradition du Feng Shui relève du bon sens, tout d'’abord, il est évident qu’'un décor agréable stimule notre esprit. Les Chinois ont dressé des descriptions très précises de ce qui constitue l'’environnement Feng Shui idéal. Et s'’ils accordent une importance toute particulière à la présence de collines à l’'arrière plan d’un paysage, ce n'’est pas seulement parce qu’elles sont agréables à la vue, mais aussi parce qu’elles arrêtent les nuages et freinent les orages.

     

    Le Feng Shui

     

    Le Feng Shui reconnaît cinq formes de construction essentielles. La forme Bois est grande et étroites, à l'’image d’un tronc d’'arbre ; la forme Feu est faites de points proéminents ; la forme Terre est plate sur le dessus ; la forme Métal est en arche ou en dôme ; et la forme Eau est irrégulière. De même que dans l’'astrologie Chinoise, la séquence Bois-Feu-Terre-Métal-Eau-Bois ( grand-pointu-plat-en dôme-irrégulier-grand ) est considéré comme productive. La juxtaposition de formes dans cet ordre produit des effets positifs ; en revanche, lorsqu’'une de ces formes manque, la séquence est dangereuse. Ainsi, il n'’est pas conseillé de construire un bâtiment en dôme à un endroit où la plupart des constructions présentent des toits pointus parce que le « Feu fond le Métal ».

     

     Rendez votre maison ou votre appartement plus harmonieux grâce aux principes du Feng Shui

     

    Créer un intérieur parfait n’'est jamais facile, les Chinois pensent qu’'en obéissant aux principes du Feng Shui il est possible d’'améliorer considérablement son environnement, que l’'on vive dans une maison spacieuse ou dans un studio.

     

    Première règle : il est indispensable de vous assurez qu'’un flux régulier de forces positives circule dans votre demeure. Les Chinois appellent cette énergie le Chi ( prononcer ki ); dans une pièce, le Chi peut être considéré comme un souffle d’'air qui entre et qui sort par les fenêtres ; il risque d’'être détourné de son chemin par les miroirs. Lorsqu'’il circule facilement, il stimule et insuffle de la vigueur. Mais lorsqu'’il se disperse trop rapidement, l’'effet de stimulation disparaît ; s'’il est emprisonné, il devient dangereux pour la santé. Cette énergie créatrice s'’écoule sous forme d’'ondulations légères, à la différence du Sha, son contraire, qui se déplace en ligne droite et dont l'’effet est négatif. En règle générale, il est indispensable d’'encourager le Chi à suivre sa course ondulatoire, tandis que l’on détournera les lignes droites du Sha à l’'aide de miroirs ou d’'ornements, les dispersant ainsi définitivement.

     

    1/ l’'entrée- ...l’'allée qui mène à la maison doit décrire une courbe ou former un angle, évitez toutes les allées en ligne droite. Par ailleurs, les portes doivent s’'ouvrir vers l’'intérieur pour encourager la circulation du Chi. De même, si vous bénéficiez d’'un porche, il faut que ses battants s’'ouvrent vers l’'intérieur. En Occident, il n’'est pas rare de trouver un escalier en face de la porte d’'entrée ; cette disposition entraîne un Feng Shui peu harmonieux, car elle encourage la circulation du Sha. De même, la porte de derrière, lorsqu'’il y en a une, ne doit pas non plus être visible de l’'entrée, sinon le Chi risque de traverser directement la maison sans repartir ses bienfaits. Il est possible d’améliorer ces dispositions en interposant un rideau ou un meuble entre la porte d’'entrée et l’'escalier ( ou la porte de derrière). Vous pouvez également installer un miroir en haut des marches, face à la porte.

     

    2/ la pièce à vivre- ... les salles de séjours qui possèdent une fenêtre à chaque extrémité sont très perturbatrices ; non seulement elles ne disposent pas de point central, mais elles induisent  inconsciemment le sentiment de se trouver dans un tunnel, car le milieu est sombre, éclairé à ses deux extrémités. On peut éviter cet inconvénient en divisant l’espace en deux avec des panneaux coulissants. Le soir, lorsque les volets sont fermés, on peut rabattre les panneaux, une autre solution consiste à assombrir une des fenêtres avec un store, ce qui permet à l’œil d’'être attiré par l’'endroit le plus lumineux de la pièce.

     

    3/ la chambre à coucher- …des jeunes gens doivent, de préférence, être orientées à l’'est, car le lever du soleil a un effet revigorant ; pour les personnes âgées, l’'ouest est préférable, car le repos prime à cette période de la vie. Evitez les miroirs dans les chambres, car ils stimulent le Chi, rendant l’'endroit moins paisible. Les pièces ayant des pans de murs entiers recouverts de glaces ne sont pas conçues pour dormir. Même si vous n’avez qu’'un petit miroir, celui-ci ne doit pas être visible du lit, car il risque de provoquer des cauchemards. Placez le lit de manière qu’il ne soit en face ni de la fenêtre ni de la porte, l'’idéal étant qu’il ne soit pas visible depuis celles-ci. N'’utilisez pas comme chambre à coucher une pièce située au-dessus d’une cave ou, pire encore, d’'un garage ; en effet, les espaces confinés accumulent un Chi stagnant qui peut avoir un effet néfaste sur la santé. Par ailleurs, dans la mesure où nous passons, en règle générale, un tiers de notre temps dans notre chambre, il existe un réel danger à s’'exposer d’'une façon prolongée aux gaz d’échappement. En effet, des recherches récentes ont révélé que l’'accumulation de certains gaz dans des espaces confinés peut se révéler très dangereuse, aussi doit-on tout faire pour l’'éviter.

     

    4/ la cuisine- ...selon le Feng Shui, la meilleure situation pour une cuisine est à l’'arrière de l’'habitation ; si elle se trouve proche de l’'entrée, elle donne aux visiteurs l’'impression que les habitants sont avant tout intéressés par la nourriture et qu’'ils mangent trop. Ici, l’'élément Feu devra être séparé de l'’eau. Il est déconseillé, selon les règles du Feng Shui mais aussi de la sécurité, d’'installer l’évier juste à côté du coin cuisson. Vous pouvez les séparer par un plan de travail ou de rangement.

     

    5/ le bureau- ...de nombreuses personnes placent leur bureau face à la fenêtre ; cette disposition n’'est valable que si la fenêtre est orientée au nord, qui donne une lumière plus diffuse. Sinon, la clarté en provenance de la fenêtre risque de vous aveugler et de provoquer des maux de tête. Ne vous asseyer pas le dos à une fenêtre, car votre coin travail se trouverait dans l’'ombre. L'’idéal consiste à placer le bureau sur un des côtés de la fenêtre. Dans cette pièce, il faut encourager la circulation lente du Chi, mais éviter sa stagnation ; disposez classeurs et meubles de rangements en évitant les angles morts. Le désordre est excusable, car il prouve que la pièce contient au moins un espace ouvert. Enfin, créez un point dans l’espace qui permette la méditation ; les étudiants Chinois utilisent souvent à cet effet une pierre ornementale qui rappelle une montagne.

     

    6/ les salons- ... la meilleure orientation pour toutes les pièces destinées au délassement et aux distractions est l’'ouest, situation associée au soleil couchant et au repos après une journée de travail. Musique et jeux bénéficieront au maximum des effets du Feng Shui s’ils sont situés sur le côté ouest. Dans un petit appartement, on peut placer sa chaine hi-fi contre un mur situé à l’'ouest ou dans le coin ouest de la pièce.

     

    7/ la salle de bains- ...dans la mesure du possible, il vaut mieux installer la salle de bains au nord, car  cette orientation est associée à l’'élément eau. Cette pièce étant vouée à la propreté, le Chi doit pouvoir circuler rapidement. Peu importe la taille de la salle de bains, mais elle doit comporter une fenêtre. Par ailleurs, une multitude de miroirs stimuleront le Chi et le feront circuler plus efficacement. Une règle importante du Feng Shui indique que l’'on ne doit jamais voir l’'eau quitter sa demeure (cela porte malheur dit-on). En effet expliquent les Chinois, lorsque l’'eau s’'en va, elle est contaminée par l’'utilisation que nous en avons faite. Aussi, vaut-il mieux que les eaux usées s’'évacuent par le sous-sol. Vous devez également vous arranger pour que vos canalisations ne soient pas visibles. Bien qu’'extrêmement décoratives, les plantes en pots ne sont pas recommandées dans une salle de bains ; elles retirent à l’'environnement toute sa vitalité et créent des réserves importantes de Chi négatives.

     

    En Extrême-Orient, les hommes d’'affaires consultent toujours un spécialiste en matière de Feng Shui avant de prendre une décision importante. Ainsi, lorsqu'’ils doivent ouvrir de nouveaux bureaux ou engager un employé, ils se plient aux principes de cet art. On peut appliquer ces règles aux lieux de travail occidentaux si l’on souhaite en améliorer l’'atmosphère et favoriser le succès commercial. L'emplacement est la première considération à prendre en compte, le bon sens joue, en général, un rôle décisif lorsqu’'il s’'agit de déterminer la localisation d’'une activité nouvelle. Mais le Feng Shui va plus loin que les simples évidences ; la forme des bâtiments et le sol sur lequel ils sont installés jouent un rôle essentiel. Les bâtiments massifs, de forme carrée, symbolisent la stabilité et conviennent bien aux entreprises qui ont besoin de gagner la confiance de leurs clients. Les sites triangulaires, pour leur part, sont jugés plus hasardeux ; en effet, selon le Feng Shui, les pointes d’un triangle représentent des flammes, lesquelles symbolisent la destruction par le feu de documents précieux ! Pour l’'entrée, les spécialistes préfèrent les portes qui s’'ouvrent de l’'intérieur, car elles encouragent un flux harmonieux de l’'énergie Chi. Dans des locaux professionnels, portes tournantes ou battantes résoudront habilement le problème. La pièce de réception constitue une zone neutre, mais il vaut mieux que la réceptionniste occupe une position lui permettant à la fois d’'accueillir les visiteurs et de transmettre des ordres ; son bureau doit faire face à l’'entrée, tout en se trouvant dans un angle, afin d’éviter les lignes directes, qui génèrent l’'énergie Sha. Sur les lieux de travail, il est important d’encourager la libre circulation du Chi, autrement dit, la disposition des bureaux et des autres équipements doit être conçue de manière à éviter toute obstruction, ou angle mort, qui gênerait la répartition des vibrations bénéfiques. Selon les Chinois, cela permet un meilleur rendement et une moindre fatigue. Qui sait, travailler vous en paraîtra peut-être d’'autant plus amusant !

     

    Le Feng Shui

     

    La taverne de l’'étrange- 25 déc. 2005

     

    pour plus d'info passez voir les sites de Frédéric (un ami)

    qui est un grand expert de Feng Shui devant l'éternel !!!

     

    http://www.gdle.net

    http://www.citezen.net

    http://www.fengshui-occidental.com

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