• Comment les tempêtes sont-elles baptisées ?

    Le phare de Tévennec dans la tempête, au large du Finistère. — Charles Marion

     

    Xynthia, Lothar, Klaus, Ulla, etc... Quand une tempête se forme en Europe, elle est baptisée par l’Institut météorologique de l’université de Berlin.

     

    Ses membres reprennent par ordre alphabétique une liste établie d’après les propositions de tout un chacun. Depuis 2002, il est possible de déposer un nom sur le site web de l’institution : «Adopt a vortex» («Adoptez une tempête»). 

    Mais plusieurs règles doivent être respectées. Lors des années impaires, seuls des noms masculins sont utilisés, alors que ce sont des noms féminins les années paires. Les noms composés, fantaisistes ou de marques sont interdits. Il faut aussi débourser entre 199 et 299 euros.

    Depuis le 1er janvier, quatorze noms de tempête ont été attribués, dont Marcel, qui a récemment frappé le Sud-Ouest, proposé par un certain Marcel Ziefle. Hors de l’Europe, les centres météo de chaque région du globe nomment eux-mêmes les tempêtes.

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  • Le Pentagone développe des robots-insectes depuis... 70 ans !

    Des documents récemment déclassifiés montrent comment la Darpa, l’agence en charge de nouvelles technologies pour l’armée américaine, est passée maitre dans l’élaboration d’insectes cyborgs.

     

    RÉVÉLATIONS. En juin 2016, à Villepinte (Seine-Saint-Denis), lors d'Eurosatory, le salon international pour l'armement et la sécurité, le laboratoire de recherche de l'armée américaine (Darpa) a présenté son projet d'hélicoptère-insecte (photo dessus): un drone équipé de plusieurs pattes mécanisées, sur le modèle des arthropodes, capable de décoller ou d'atterrir sur des surfaces inclinées, accidentées ou en mouvement, tel le pont d'un bateau voguant sur des eaux agitées ! Pour le Pentagone, ce n'est pas un coup d'essai. Une série de documents récemment déclassifiés montrent, en effet, que des scientifiques de l'armée américaine s'inspirent des papillons, libellules et autres bestioles à des fins d'espionnage… depuis au moins 70 ans !

    Des engins quasiment indétectables et peu coûteux

    Cette somme de 88 pages vient d'être déclassifiée dans le cadre du Freedom of Information Act, loi américaine obligeant les agences fédérales à rendre publiques des informations qui ne compromettent pas la sécurité nationale si un citoyen en fait la demande. La procédure a été initiée par Susan Maret, professeure à l'université d'Etat de San José (Etats-Unis) qui tient un blog très suivi sur les activités secrètes du gouvernement. Ces documents décrivent plusieurs engins mécaniques imitant des insectes (des mouches, par exemple) ou de petits mammifères (comme des chauves-souris), capables d'effectuer des vols de reconnaissance derrière les lignes ennemies ou en zones urbaines. L'intérêt de telles machines est qu'elles sont " difficiles à détecter ", " relativement peu coûteuses ", " remplaçables ", et " faciles contrôler ", précise un rapport de la Darpa. Un autre document fait référence à des " expériences clés conduites dans les années 1940 ", avant la création de la Darpa (en 1958), qui bénéficie aujourd'hui d'un budget annuel de 3,2 milliards de dollars.

    Le document le plus récent date de 2008. Il fait état de recherches menées par la Darpa et l'université Cornell, au nord-est des Etats-Unis, et montre que l'agence américaine ne s'attache plus seulement à imiter des animaux pour des missions d'espionnage mais à intégrer aussi des systèmes bioélectroniques dans des organismes vivants ! On apprend ainsi que des puces reproduisant des jonctions neuromusculaires ont été implantées sur des chrysalides de papillons de nuit, avant leur métamorphose, afin de contrôler leurs mouvements ! Aucun mot, bien sûr, sur le succès de ces expériences, ni sur leur éventuelle utilisation…

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  • Le codex Selden révèle des images restées invisibles à l'oeil nu pendant 500 ans

    Le codex Selden révèle des images invisibles...

     

    Des chercheurs de la bibliothèque Bodleian et d'universités des Pays-Bas ont fait appel à des technologies récentes pour lire un ouvrage resté invisible à l’œil nu pendant 500 ans. L’ouvrage en question, un codex mexicain rare, avait été écrit avant la colonisation de l’Amérique. Les résultats de la recherche ont été publiés dans le Journal of Archaeological Science : Reports.

     

    Le codex Selden révèle des images invisibles...

    L'imagerie spectrale a permis de découvrir ces dessins, cachés sous une couche de plâtre et de craie (Bodleian) 

     

    Sept pages du codex Selden ont été analysées après que l’ouvrage a été passé aux rayons X, et plus spécifiquement exposé à l’imagerie hyperspectrale par des chercheurs d'Angleterre et des Pays-Bas. Les images recueillies ont permis de rendre visibles une vingtaine de personnages, que l'on retrouve sur d'autres manuscrits mixtèques, et qui représentent un roi et son conseil. Or, l'analyse de ce texte en particulier montre que les personnages sont à la fois masculins et féminins, ce qui soulève des questions intéressantes sur ce que cette scène représente. 

    Les écritures et dessins récemment révélés étaient cachés par une couche de plâtre et de craie, ce qui laisse penser que ce manuscrit est en fait un palimpseste. Le Selden date environ de l'an 1560. Il s'agit de l'un des 20 codex mexicains qui ont survécu à la période précoloniale et coloniale du Mexique. 

    Encore plus remarquable, il est l'un des cinq manuscrits préservés provenant de la région mixtèque — désormais appelée la région d'Oaxaca. Ces codex sont écrits selon un système complexe d'images, de symboles et de couleurs vives, pour raconter des siècles de conquête, de dynasties et de généalogies, ainsi que les guerres et l'histoire des villes anciennes. Ils offrent donc le meilleur aperçu de l'histoire et de la culture du Mexique. 

    Le codex Selden révèle des images invisibles...

    « L'imagerie hyperspectrale nous aide à commencer à reconstruire l'histoire du codex caché et, finalement, à récupérer de nouvelles informations sur l'histoire et l'archéologie mixtèque », a déclaré David Howell, directeur scientifique du patrimoine aux bibliothèques Bodleian. « Il s’agit d’une nouvelle technique, et nous en avons tiré des leçons précieuses sur la façon d'utiliser l'imagerie hyperspectrale, aussi bien pour ce manuscrit très fragile, que pour d'innombrables autres comme lui. »  

    « Après quatre ou cinq années passées à essayer différentes techniques, nous avons été en mesure de révéler une abondance d'images sans endommager cet objet extrêmement vulnérable. Nous pouvons confirmer que le codex Selden est en effet un palimpseste », a déclaré Ludo Snijders de l'Université de Leiden. « Le texte que nous avons trouvé ne correspond pas aux autres manuscrits mixtèques. La généalogie que nous avons découverte semble être unique, ce qui signifie qu'elle peut se révéler précieuse pour l'interprétation des vestiges archéologiques du sud du Mexique », poursuit-il. 

     

    Le codex Selden révèle des images invisibles...

    Des rayons X pour lire des ouvrages anciens 

    Un procédé similaire avait été testé et approuvé en juin dernier, par des scientifiques et académiciens néerlandais, pour révéler des textes cachés dans les tranches des livres anciens. Ils voulaient déchiffrer et lire des fragments de manuscrits qui avaient été utilisés pour relier d’autres ouvrages sans forcément abîmer les exemplaires déjà fragilisés par le temps.

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  • QUEL EST LE POIDS DE L’AME ? 

    PREUVE DE LA VIE APRES LA MORT

     

    L’âme pèserait 21 grammes… Spiritualisme et matérialisme se rencontrent parfois : par exemple pour révéler qu’il y a « quelque chose » qui se dégage du corps, qui est lumineux et doué d’énergie. Gaz ionisé, électrons libres, et radiations... c’est ce qui reste à établir.

     

    Vingt et un grammes. Telle est sans doute le poids de ce qu’il est convenu d’appeler l’Âme, d’un être humain, cette forme d’énergie exceptionnelle qu’aucun accélérateur de particules ne peut lui rendre quand il est mort. C’est le résultat d’une expérience qui remonte dans les années 30, qui a été depuis lors presque complètement oubliée et qui mérite l’attention.

     

    Duncan Mac Dougall, frère du psychologue et parapsychologue William Mac Dougall, auquel l’Encyclopedia Britannica accorde une longue et honorable notice, avait l’idée que l’Âme devait posséder une certaine matérialité. Il fit donc placer des agonisants dans une clinique sur une balance intra sensible.

    Aux approches de la mort, il enregistra, en effet, rapporte le seul auteur qui ait il y a déjà longtemps rappelé cette expérience (Nils O’Jacobson) une déperdition progressive de poids ; elle s’élevait à 28 grammes par heure environ. Il l’attribua à la déshydratation de l’agonie. Mais, au moment exact de la mort, il enregistra une perdition, cette fois-ci soudaine, de 21 Grammes.  L’importance du phénomène réside dans un temps bref où il se produit. Mac Dougall décide alors d’en avoir le cœur net. Il recommence 92 fois la même expérience et obtient autant de fois les mêmes résultats. N’importe quel esprit scientifique en tirerait une loi et c’est ce que fait Mac Dougall ; il en conclut que l’Âme ou cette « chose » ainsi nommé pèse 21 grammes. Personne n’a refait ces expérimentations depuis lors (officiellement ?) ; la mort inspire un respect qui interdit pratiquement l’expérimentation. C’est dommage, car recherche ne porterait  nullement atteinte à la dignité humaine ; elle prouverait seulement que l’Âme existe.

    DES PHOTOGRAPHIES DE L’AME ?

    Plusieurs années plus tard, un Français, Hyppolite Barraduc, eut l’idée de photographier son fils mourant. Les photos montrèrent une tache blanche au-dessus de l’enfant. Quand sa femme rendit l’Âme, six mois plus tard, Baradue refit l’expérience. Même tache blanche, étirée, nébuleuse, comme si elle montait dans l’air.

    Il y avait bien « quelque chose » : une substance, assez matérielle pour impressionner  une pellicule photographique, de forme imprécise et douée  de mobilité, mais toutefois peu dense. Pour un physicien, une telle description  ne peut manquer d’évoquer les phénomènes d’ionisation de l’air. L’idée qu’il y ait dans le corps humain des électrons libres n’est pas du tout surprenante : notre système nerveux ne fonctionne que grâce à une circulation constante d’électrons le long des neurones. L’une des grandes questions de la physiologie, actuellement, est de savoir si ces électrons quittent les limites du corps : c’est d’ailleurs la thèse de ceux de ceux  qui croient que les fameuses photographies de Kirlian, ces photos prises directement  par contact d’un objet avec une plaque photographique dans un champ électronique intense et qui révèlent des auras lumineuses, régulières ou en aigrettes autour de l’objet, sont des photos « paranormales ». Il est tout à fait vraisemblable que la question sera résolue un jour, peut-être par un de ceux-là qui ne croient pas à « tout cela ». N’est-ce pas un neurologue américain qui vient Qui vient de découvrir que la tête possède un champ électromagnétique et que ce champ est orienté par le regard ?

    Restent les deux grands points de la luminosité et du poids de l’Âme. Il faudra certainement refaire plusieurs fois les expériences de Mac Dougall pour établir ce poids de 21 grammes, avec l’appareillage qui permettra de savoir, par exemple, combien de secondes ou de fractions de secondes ces 21 grammes mettent à se soustraire du poids du mourant. Ce  sont de ces précisions qui seules peuvent persuader les sceptiques. Mais il faut bien, nous semble-t-il, qu’il y ait à la fois masse ou énergie pour obtenir des phénomènes tels que les moulages ectoplasmiques.

    LA FEMME LUMINEUSE

    L’idée d’une énergie doublée de luminosité peut surprendre, quand on la rattache à la manifestation de l’Âme ou, en tout cas de la « substance » décelée par Baraduc et Mac Dougall.

    Nous sommes, en effet, habitués par une culture, assez vagues sur ces questions, admettons-le, à penser que l’Âme est « immatérielle » et dénuée d’énergie. Mais c’est que l’on ne s’est pas sérieusement penché sur ce problème et que l’on n’a pas assez étudié les cas qui permettent de l’éclaircir. Il y a un ainsi, le cas de la « femme lumineuse » de Pirsano, bourgade perdue du Nord de l’Italie. En 1934, cette femme attire l’attention des autorités de la région par le fait qu’elle devenait lumineuse à l’œil nu. La lumière bleuâtre qu’elle émettait et qui suscita un long article dans « The Times » du 5 mai 1934, finit par intéresser un médecin, le Dr Protti, d’une société médicale  affiliée à l’Université de Padoue. Le même médecin filma la femme de Pirsano, afin  d’en obtenir un document exact ; elle devenait lumineuse par pulsion. Lors de ces pulsions, sa respiration et les battements de son cœur s’accéléraient et le « crise » finissait par des sueurs diffuses. Le cas est rapporté, entre autres, par Thurston.

    EXPLIQUER CE FEU SCIENTIFIQUE…

    Toujours est-il que l’on peut très bien imaginer, lors d’états psychiques spéciaux et au moment de la mort, une libération importante d’électrons ionisant faiblement  l’air. On peut également supposer que la quantité d’électrons qui circulent durant la vie le long des milliers de kilomètres des circuits nerveux, tendent à s’en échapper en partie. Albert Szent-Gyorgi, Prix  Nobel de Médecine, attribue même le cancer à un dérèglement de la production de ces électrons, mais au niveau des cellules et non pas seulement des circuits nerveux ?

    Etant donné qu’il faut  10 / puissance 27 électrons pour faire un gramme (un milliard de milliards de milliards !), il en faudrait 21 milliard de milliards de milliards pour réaliser le poids relevé par Mac Dougall : à supposer que ces électrons ne soient pas mélangés à de la vapeur d’eau. Cela est une spéculation, mais elle n’est pas moins admissible pour cela.

    Après tout, il fallait que la femme de Pirsano libérât pas mal d’électrons pour parvenir à ioniser l’air ambiant pendant plusieurs minutes.

    APPARAITRE EN DEUX ENDROITS DIFFERENTS

    Ces électrons gardent-ils une « mémoire » des formes du corps abandonné

    C’est difficile à admettre, puisqu’ils sont, justement libres. Pourtant, les ectoplasmes photographiés ont souvent de ces formes floues  qui évoquent un suaire ; parfois aussi, ils se précisent, avec un visage ou des mains plus ou moins modelés. Quelquefois encore, et cela serait totalement inexplicable sous le point de vue des électrons, ils se présentent sous la forme exacte du vivant, vêtements inclus (comme dans la fameuse photographie de la femme descend un escalier de Blenheim Palace).

    Si l’on fait intervenir les cas de bilocation, les déplacements d’électrons peuvent difficilement être invoqués. Les cas de bilocation sont souvent sont autre endroit parfois à des centaines de kilomètres de distance, comme ce fut le cas avec le fameux Padre Pio sans cesser d’être…là où elle est ! De tels cas, qui foisonnent dans la littérature du paranormal, laïc et religieux, portent toujours sur des apparitions vêtues.

    Donc les électrons n’expliquent pas tout de cette matière-là. Peut-être faut-il alors faire intervenir l’idée d’une énergie cosmique diffuse, que l’on trouve, assez bizarrement, à la fois chez un théoricien de la cosmologie, le professeur Vallée, et chez un théoricien « bio-psychanalyse » singulier, le fameux Wilhelm Reich. Pour le premier, l’univers est rempli par des vibrations ultra-courtes qui font vibrer les atomes et qui seraient de nature électromagnétique ; ce serait une sorte de réservoir d’énergie, dans lequel la radioactivité permettrait de « pomper ».

    Or, justement, nous sommes constamment le siège de minuscules réactions radioactives. On peut donc imaginer que, lorsque la mort survient, c’est par arrêt de ces réactions : les électrons maintenus dans notre corps s’en échapperaient alors pour regagner, tôt ou tard, le réservoir d’énergie. Pour Reich, qui nomme « orgone » cette énergie diffuse, nous sommes tous des accumulateurs d’énergie plus ou moins bien réglés : la maladie et la mort ne surviennent que par dérèglement ou épuisement ; là, l’énergie s’échapperait de notre substance. Si l’on accepte l’une et l’autre théorie, on peut suggérer l’hypothèse suivante : c’est l’ensemble des phénomènes « paranormaux »seraient, en fait, des phénomènes de résonance, c’est-à-dire des sortes d’échos électromagnétiques très puissants propagés par des personnes offrant une forte résistance à l’énergie cosmique diffuse. Télépathie, télékinésie, manifestations spirites, etc., seraient, en quelque sorte, des réflexions énergétiques de certaines personnes. Cela expliquerait que ces échos aient un poids. Et tout les électrons posséderaient à l’intérieurs d’eux la mémoire de toute les informations de la  vie terrestre et aussi antérieurs humaines. L’affaire des 21 grammes deviendrait donc plausible pour la suite d’une autre vie.

    REPRENONS LES EXPERIENCES

    Ce genre de théorie souffre parfois de suspicion même si on accepte de s’y arrêter, ce n’est qu’avec méfiance. Cela vaut quand même la peine de dire qu’en s’inspirant des théories de Vallée, un Belge. M. Erci d’Hoker, a réussi à fabriquer une pile inépuisable, à carbone, puisant directement dans le rayonnement  électromagnétique universel.  Ne serions-nous, avec tout le carbone que nous contenons, que des piles de ce genre ?...

    Il est en tous cas regrettable que les biologistes ne s’intéressent pas plus à ces questions. Il suffirait d’un appareillage relativement simple, caméras à filtres faire des photos de barraduc. Des balances de précision permettraient également de vérifier les chiffres de Mac Dougall. Nous avons à notre époque en 2013 toute la technologie pour ce genre de recherches. La physiologie y gagnerait à coup sûr, la physique aussi, sans doute. La parapsychologie, en tout cas. Le contrôle d’un flux d’électrons libres dégagés par les êtres humains, soit au cours de leur existence, soit au terme de celle-ci, offrirait une base enfin solide pour l’analyse des phénomènes de télépathie et de télékinésie. Ni l’intérêt d’hommes aussi illustres que William James, Schiaparelli, Crookes, Thomas Mann, Flammarion, Koestler, ni leurs témoignages et ni les spéculations plus ou moins hasardeuses motivés par les manifestations psychiques n’offrent un poids comparable à celui d’un bon travail de laboratoire. Peu importe au fond, que l’Ame pèse 21 grammes ou 22, ce qui compte, c’est que l’on s’engage sur les sentiers de notre existence, et notre univers dans sont intégralité, mais il est certain que nos amis extra-terrestres, doivent eux le savoir.

    REF :Suite à des recherches faites par Georges ASSIER dans une revue L’INCONNU du N° 5 Avril 1976

    Certain éléments on été modifier pour ne pas perturber certaines personnes, et aussi sur les connaissances et recherches scientifiques en cours, merci a tous

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  • RECHERCHES SUR LE CANCER ET

    LES VIBRATIONS DES CELLULES

     

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    LES ONDES HUMAINES

    (Ou animales émises ou reçues par l’organisme)

     

    Tout ce qui vit émet des ondes et en reçoit, Monsieur Turennes à été le premier à prouver que ces ondes ont 8 m de longueur d’ondes, quand il y a bonne santé parfaite, et toujours diminution de longueur à moins de 8m, quand il y a déficience de santé ou maladie.

     

    NOUS EMETTONS DES ONDES :

     

    a)     d’abord des ondes horizontales simples sur tout les corps. Les ondes des vibrations de nos cellules sont :

    Positives pour l’homme et les animaux males, pendant le jour

    Négatives pour la femme et les animaux femelles pendant le jour.

    La nuit, c’est le contraire, très peu de personnes donnent des ondes inversent.

    Nous suivons le changement de sens de la fonction chlorophyllienne comme les plantes.

    b)    des ondes radioactives, elles sont émissent à différent endroit du corps, aux aisselles, au pubis, au plexus solaire, au bulbe lombaires, et pour les femmes pouvant avoir des enfants, de l’aisselle à la pointe du sein. (pour que le tout petit enfant avec ses lèvres puisse trouver le lait de la mère)

    Enfin, l’éminence thénar et hypothénar sont des condensateurs qui communiquent directement jusqu’au bulbe par le grand sympathique. Entre les yeux on sent aussi les ondes de l’hypophyse.

    Nota : Tout les autres point qui sont radioactif dans le reste de l’organisme est un point malade.

    c)     Des ondes verticales émises par le cerveau et que l’on détecte facilement aux temps.

    Nota : En dehors de ces ondes, nos cellules sont faites pour vibrer qu’avec des ondes à allures horizontales. Quand nous rencontrons dans l’organisme des ondes verticales, il est de toute nécessité de les supprimer tout d’abord. C’est l’ennemi N° 1 de toute maladie est particulièrement des CANCERS, ce dernier ce crée par ces ondes verticales

    Le cancer accuse selon son état une longueur d’onde entre 1m 50 et 4 m en général.

    Pour guérir les cellules et donc le cancer, il faut employer des graines de THUYA, l’onde passe a :

     

    1 graine l’onde passe à 6 m

    2 graines l’onde passe à 7 m

    3 graines l’onde passe à 7 m 80

    4 graines l’onde passe à 7 m 90

    9 graines l’onde passe à 8 m

    10 graines et plus aucune action.

     

    -CONCLUSION-

     

    L’action maxima du Thuya sur le cancer correspond à 9 graines avec lesquelles on devrait faire le médicament. 9 graines de Thuya à proximité de cellules cancéreuses (pendant quelques mois) redonnent une longueur d’onde de 8 m à ces cellules, et le cancer disparait.

    Attention le NICKEL vibre à la même fréquence que les cellules cancéreuses (attention aux pièces de monnaies dans les poches !)

    *

    Source : Recherches de TURENNE 1942

     

    claude burkel avatar

    Nota : des résultats ont été positifs par ma propre expérience sur des personnes de mon entourage, reste à voir…

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