•   

    CES ETRANGES CRÂNES DE CRISTAL…

     

    Quel piège à lumière que ces crânes en cristal de roche, même s’ils ne sont peut-être pas tous venus du fond des âges et de l’ancienne capitale des Aztèques, selon la controverse actuelle ! Quel regard magnétique, et, de toute façon, quelle fabrication énigmatique ! Quel mystère, dont le moindre n’est pas le trou qui les transperce de part en part ! Les propriétés optiques du crâne de cristal étonnent. Une partie du palais joue le rôle de prisme. Lorsqu’une source lumineuse est placée sous le crâne, le prisme projette la lumière vers le haut et à travers les yeux.

     

    crane01

    Ne vient-on pas du monde entier pour les contempler, même s’il peut s’agir de faux, exposés dans les musées qui les ont achetés ? Du coup, on les scrute au microscope électronique. On les bombarde de particules élémentaires. Alors vont-ils livrer tous leurs secrets ? Y aura-t-il de quoi encore « crâner » ? Quels qu’en soient les résultats, qui seront définitifs, leur histoire reste fabuleuse, à tel point que trois d’entre eux sont exposés dans trois grands musées internationaux. Et, ce, même s’il pourrait s’agir d’artefacts post-colombiens !

    Rappelons que le cristal de quartz utilisé dans nos ordinateurs stocke toutes les informations dans une puce minuscule en cristal de silicium. Ainsi, cette puce utilise les propriétés uniques du cristal. Autrement dit, le cristal de quartz est à la pointe du progrès scientifique. On peut se poser la question de savoir pourquoi ces crânes ont été précisément façonnés dans ce type de quartz ? D’ailleurs n’est-ce pas l’occasion de signaler que la puce RFID (Radio Frequency Digital) reproduit en miniature le labyrinthe de la cathédrale d’Amiens, comme si la puce de l’antivol actuel détectait le voleur ainsi enfermé dans un labyrinthe ?

    crane02

    Cathédrale d’Amiens- le labyrinthe (photo A. S. Flament).

    Le Dr. John Pohl, spécialiste des civilisations méso-américaines à l’Université de Los Angeles semble penser que les descendants actuels des anciens Maya connaissaient les caractéristiques du quartz actuel : « Ils le comparent à une sorte d’antique poste de radio de télévision ou à un ordinateur, un appareil pour communiquer entre les mondes, une sorte de passage donnant sur d’autres dimensions, un moyen de communication avec le monde des esprits et des ancêtres ». Après tout, un « circuit intégré » assure la fonction mémoire de l’ordinateur. Un crâne de cristal peut, en théorie, stocker l’information. En d’autres termes, un morceau de dioxyde de silicium piézo-électrique d’origine naturel a des capacités de stocker de l’information comme une puce de cristal de silicium. Aucun scientifique n’est cependant parvenu à imaginer un moyen d’introduire des informations dans un morceau de quartz pur et de les récupérer ensuite. Rappelons par ailleurs qu’à l’époque des anciens Egyptiens, la célèbre croix de vie Ankh signifierait d’après certains, Anode, Neutre, Cathode ! Et il s’agirait alors de télépsychie.

    crane03

    Calendrier Maya

    Chez les Mayas et les Aztèques, une très vieille légende affirmait que le monde avait été détruit quatre fois et que nous vivions actuellement sous le cinquième soleil. La prédiction affirme que le cinquième monde arrivera par un tremblement de terre. Cela pourrait être dû à une possible inversion du champ magnétique terrestre. Alors toute vie devrait-elle disparaître ? Bien sûr que non ! Mais l’on peut s’attendre à des changements qui d’ailleurs se sont déjà manifestés sur Terre, lors d’inversions des pôles dont certains fossiles en sont la preuve. Or, le début du calendrier Maya se situe au 13 août 3114 avant J.-C., et il est dit que sa fin surviendra le 21 décembre 2012. Ce calendrier était relié à Vénus. D’ailleurs, les scribes Mayas qui ont laissé des codex (manuscrits) étaient considérés comme de fameux astronomes, surtout en ce qui concerne les éclipses solaires. On peut se demander par quel miracle les Mayas purent-ils découvrir les phases synodiques de la planète Vénus, ainsi que la durée exacte de l’année solaire (365,242 jours) !

    D’après la légende, quand les gens habitaient sur douze planètes, ils laissèrent treize crânes de cristal aux habitants de la Terre. Les Atlantes les remirent aux Mayas. Si on arrivait à les réunir, ces crânes pourraient receler des informations sur nos origines et nous révéler comment éviter de futures catastrophes. Nos prédécesseurs pourraient les avoir fait parler en faisant mouvoir leurs mâchoires. Certains supposent qu’il s’agissait d’ordinateurs puissants comme on l’a évoqué. Or, les résultats de multiples examens sur ces crânes sont étonnants. Par exemple, les recherches sur le fameux crâne d’Anna Mitchell-Hedges, réalisées par les laboratoires d’Hewlett Packard, peuvent se résumer ainsi : « Nos scientifiques ne peuvent expliquer comment ces crânes ont pu être sculptés dans les temps anciens, sans les instruments et outils d’aujourd’hui ». Selon les experts de la société, il aurait fallu au moins un an, avec les instruments de notre époque pour réaliser le crâne d’Anna Mitchell-Hedges.

    crane04

    Anna Mitchell-Hedges (1907-2007). Anna et son père en 1924.

    Ainsi, répondre à toutes ces questions créditerait l’authenticité de la légende. Avant de tenter des éléments de réponse à cette interrogation pour le moins mystérieuse, les Sumériens proclamaient notre système composé d’un Soleil et de onze planètes, dont nous avons connaissance aujourd’hui, il existait un douzième membre de notre système solaire : la planète des Néphilims. L’auteur Zecharia Sitchin l’appelle désormais la Douzième Planète. Alors, lorsque cette planète (dont il est écrit qu’elle est à l’origine de l’humanité sur Terre) annoncée par les astronomes paraîtra dans le Ciel, mieux vaudra savoir ce qu’en disaient les Anciens ! Certes, il faut mentionner que le commerce des crânes de cristal avait commencé dès la fin du XIXème siècle, et que plusieurs d’entre eux étaient des copies. Mais il faut reconnaître que voir un crâne de cristal à travers une lumière brillante est assez impressionnant, quelles que soient vos considérations sur son origine. La plupart des personnes qui l’ont vu affirment avoir été impressionnés. Selon les Mayas, si les rites devaient un jour être oubliés, l’ordre cosmique serait rompu et le soleil, qui, tous les soirs, disparaît dans l’inframonde, ne pourrait renaître. Chaque fin de période, qu’il s’agisse du jour, du mois, de l’année ou d’un siècle, remet en péril toute la création.

    crane05

    Zecharia Sitchin (1922-2010).

    Et pour ne pas se tromper, on observe les étoiles et les astres. La date de l’an 3114 déjà évoqué figure sur des stèles dans les cités les plus anciennes de l’ère Maya. S’agit-il alors d’un cataclysme, d’un déluge, d’une éclipse ? On l’ignore. Toujours est-il que les Mayas combinent deux calendriers : le premier de 260 jours, qui est religieux, et le second qui s’étend sur 360 jours, soit dix-huit mois de vingt jours chacun. Ce qui ne fit aucune autre civilisation au dire des experts. Grâce à un système arithmétique abouti (les Mayas ont inventé le zéro, leur permettant de jongler avec des nombres infinis), les prêtres chamanes prédisent ainsi les possibilités d’éclipses sur des milliers d’années.

    D’après l’anthropologue Carlos Barrios, né au Guatemala, l’alignement de toutes les planètes est prévu le 21 décembre 2012. Les dates du dernier cycle d’existence pour nos civilisations correspondent pour le début au 12 août 3114 av. J.-C. et au 21 décembre 2012 pour la fin. Ce calendrier qui a attiré l’attention depuis 1987 est basé sur le cycle des Pléiades. Selon Barrios : « Ce sera le démarrage d’une nouvelle ère résultant du réalignement de l’axe polaire avec le centre de notre galaxie ». Autrement dit, la date qui correspondant au solstice d’hiver de l’année 2012 n’indique pas la fin du monde, mais la fin d’une ère calendaire. S’il s’agit donc d’une finalité, ce n’est pas pour autant la fin !

    crane06

    Revenons à la controverse actuelle. Celle-ci peut se résumer ainsi : « L’histoire de Mitchell-Hedges est impossible à prouver et contredit tout ce que nous savons. » d’après le professeur Norman Hammond de l’université de Cambridge et spécialiste de l’histoire Maya. Cependant, le Dr. Adrien Digby du British Museum à Londres avait rédigé, un rapport, en 1932, concluant à l’authenticité du crâne de cristal examiné alors. Le professeur Ian Freestone, de l’Université du Pays de Galles, à Cardiff, a examiné le crâne et croit  maintenant qu’il a été taillé et poli avec un instrument à roue. Or, les Aztèques n’ont jamais utilisé la roue. Mais ce professeur a déclaré qu’en dépit de fortes preuves indirectes suggérant une origine européenne du XIXème siècle, cela ne constituerait pas une preuve irréfutable. C’est depuis les années 1950 que le débat sur la véritable origine des crânes de cristal fait rage depuis qu’un examen a soulevé la question qu’ils auraient pu être conçus à l’aide d’un instrument rotatif. Même les meilleurs ateliers lapidaires d’Europe n’ont pas connaissance de tels objets ! Tout ce qui est connu actuellement sur le travail lapidaire indique que les crânes auraient du se briser après avoir été taillés.

    C’est en 1927, dans le Honduras (actuel Belize) que des archéologues entreprennent des fouilles à Lubaatun. Le crâne découvert ne porte pas de traces d’usinage ; il est impossible de dater sa fabrication, d’autant que le cristal ne vieillit pas ! Un tel objet fabriqué de nos jours serait hors de prix. Cela aurait pris 1600 ans avec des journées de travail de douze heures ! D’après l’enquêteur Joe Nickel, Mitchell-Hedges aurait acheté aux enchères de Sotheby, en 1943 (pour 400 UKP) ce crâne de cristal…

    crane07

    L’une des ruines du site à Lubaatun, Belize.

    Pourtant les partisans de l’authenticité citent toujours le cas du Crâne du destin (tel est son nom), trouvé comme nous l’avons dit à Lubaatun et dont le site avait été repéré en 1924 par Frederick A. Mitchell-Hedges. D’ailleurs en 1926, sa fille adoptive, alors âgée de sept ans, prétendait avoir mis la main sur ce crâne de cristal translucide en haut d’une pyramide Maya. Taillé dans du quartz transparent, composé de deux parties articulées, le crâne semblerait disposer d’un système interne élaboré de lentilles et de prismes qui permettraient à la lumière de se réfléchir et de se réfracter, lorsqu’elle passe au travers. Pourtant à l’état naturel, le cristal de quartz ne présente pas de telles propriétés. Et aucun sculpteur contemporain n’a pu reproduire l’étrange phénomène constaté sur la pièce originale. Ainsi les exemplaires les plus prestigieux sont : le crâne de Paris, aujourd’hui au Musée du Quai Branly, le crâne de Londres au British Museum et celui de Washington au Smithsonian Institute. Le crâne dit de Paris a la particularité d’être traversé de haut en bas par un orifice de forme bi-conique, ce qui indique qu’il a été fait à la main. Alors les crânes les plus anciens comme ceux de Paris et de Londres sont-ils des faux fabriqués probablement en Allemagne, entre 1867 et 1886, à partir de cristal brésilien ? Lorsqu’il était auparavant au Musée de l’Homme, derrière le Palais de Chaillot, ce crâne maya en cristal de roche de toute beauté se déplaçait tout seul la nuit, deux ou trois fois par semaine. C’est du moins ce qu’on racontait alors !

    crane08

    Le crâne de Paris visible au Musée du Quai Branly.

    C’est pourquoi, jusqu’à la fin des années 1990, le crâne façonné dans un bloc de cristal de roche (2,8 kg, 11 cm de haut) faisait l’orgueil du Musée de l’Homme, où il était considéré comme l’un des plus beaux témoignages de la civilisation aztèque. Même s’il est exposé aujourd’hui, le crâne de cristal du Musée Branly n’a rien de pré-colombien. Les rainures et perforations trahissent en effet l’utilisation de fraises en joaillerie. Par conséquent, les études ont montré des traces d’outils n’existant pas à l’époque pré-colombienne comme les traces de polissage par molette, alors que les Aztèques ne connaissaient pas la roue. Et on affirme que le crâne du Quai Branly aurait été façonné au XIXème siècle à Idar-Oberstein au sud de l’Allemagne et travaillé avec du cristal de roche brésilien.

    Contrairement au crâne de cristal de Paris qui est en quartz translucide, ce lui de Londres est opaque. Le crâne de Londres a bénéficié d’une analyse poussée en 2004, qui tend à prouver qu’il s’agit d’un faux apportant la preuve de l’utilisation d’une roue de polissage moderne. Quant au crâne de Washington, qui est le plus grand et le plus lourd (25,5 cm sur 22,5 cm pesant 14 kg) il s’agirait aussi d’un faux. Il faut donc reconnaître que les résultats d’expertise concernant le crâne du British Museum et celui du Smithsonian Institute portent des traces d’usinage. Quant au crâne de cristal dit à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées, ainsi que le trou que les Espagnols ont percé pour y introduire la croix. Quant aux neufs autres crânes, ils appartiennent à des personnes privés. Nick Nocerino est le propriétaire de Sha-na-ra. Ce crâne de cristal fut mis à jour dans un temple de l’Etat du Guerrero (Mexique) par le chamane cité, à la fin des années 1990. Le propriétaire de Max, Jo Ann Parks prétend qu’il a été volé dans une tombe Maya du Guatemala, vers 1925. Norma Redo détient le crâne de cristal à la croix reliquaire. Pour Max et Sha-na-ra, ce serait le black-out officiel ! Pourquoi ?

    Y aurait-il démission scientifique ? En 1996, les trois propriétaires ont accepté de prêter leurs crânes au British Museum, à la fin d’expertises. Il faut encore citer les crânes synergie, le crâne surnommé E.T,  le crâne d’améthyste et le crâne de cristal rose. La liste n’est peut-être pas exhaustive ! D’un point de vue mythique, le crâne cristallise en quelque sorte une tête de mort. Pour les anthropologues, le fait que le crâne de cristal soit percé verticalement et non pas par les temporaux comme c’est le cas sur les crânes humains archéologiques permet de rejeter l’authenticité des fouilles. Enfin, l’engouement des crânes de cristal a éclaté dans le milieu des années soixante-dix. Dans le milieu des années quatre-vingt-dix, les tailleurs modernes ont commencé à produire des milliers de crânes en cristal.

    crane09

    Pour conclure, il faut rappeler que les Mayas sont considérés par les autres tribus indiennes comme étant les « gardiens de crânes », mais aussi les « gardiens du temps ». Seraient-ce alors des « capsules de temps » produisant spontanément des images holographiques comme cela a été remarqué ? Peut-on encore les faire « parler » et « chanter » comme des ventriloques ou des marionnettes, leurs mâchoires bougeant ? On l’a vu pour certains crânes, le British Museum refuserait de livrer ses conclusions… A moins que la légende Maya des crânes de cristal ne révèle son secret que lorsque les treize crânes seront réunis ! Au fond, ces crânes de cristal ne seraient-ils pas les ancêtres de nos boules de cristal ? D’ailleurs pourquoi ne pas rêver à un autre monde cristallin virtuel ou parallèle ?

    *

    crane10

    Source- Mondes Etranges N°1 d’octobre 2008

    Pour Commander la revue :

    http://www.exportpresseditions.com/boutique/product.php?id_product=35

    Partager via Gmail Pin It

    5 commentaires
  •  

     « The Anguished Man » est sans doute l’une des œuvres picturales les plus effrayantes qui soient. Et pas uniquement à cause de ce qu’elle représente.

    En février 2011, « L’Homme Angoissé » s’est de nouveau manifesté…

    Sous le pseudonyme de « Mr Modnation », un utilisateur anglais de YouTube a récemment présenté les phénomènes entourant un mystérieux tableau hérité de sa grand-mère représentant un homme hurlant, grimaçant et semblant crier son angoisse à la face du monde.

    A en croire l'auteur de la vidéo qui va suivre, des phénomènes paranormaux seraient associés à cette peinture. Dès l'acquisition dudit tableau, la vieille dame commença à avoir des hallucinations et à entendre des bruits, la nuit...

    « L’Homme Angoissé  », des cris venus d’outre tombe

    Cette œuvre singulière, qui fait le buzz outre-manche, est l’objet de rumeurs persistantes, la plus troublantes est la suivante : l'auteur du tableau aurait peint avec son propre sang.

    Peu après avoir hérité de ce tableau, les phénomènes eurent lieu également  chez Mr Modnation.

    Des pleurs , des cris, des ombres, et même des apparitions furent de plus en plus fréquentes...

    Apparition et EVP

    Le nouveau propriétaire s'est finalement décidé a filmer la pièce où se trouvait le tableau. Le tournage s'est effectué à l'aide d'un camescope, pendant cinq nuits consécutives.

    Plusieurs bruits étranges, des chuchotements et d’autres sons inintelligibles ont été captés par la caméra, Mais le plus surprenant est sans conteste, l'apparition d'une ombre evanescente... 

    Mr  Modnation précise que de nombreux autres sons enregistrés n’ont pas été inclus dans ce montage, car ils lui semblaient venir de l'extérieur.

     

     

    Source de cet article : http://www.besoindesavoir.com/article/article/id/778627

     

    Partager via Gmail Pin It

    4 commentaires
  • Les chemtrails ou sillons de la mort  

    Partager via Gmail

    1 commentaire
  •  

     LE MYTHE DE LA TERRE CREUSE

    1968, un satellite photographie un « trou » au pôle Nord


    On pourrait croire, au XXe siècle, que la thèse selon laquelle la Terre comporterait une vaste cavité intérieure est devenue définitivement caduque. Pourtant, divers faits, jusqu’en 1968, montrent que des gens croient encore- ou feignent de croire- qu’une telle cavité existe.

     

    Les adeptes de la Terre creuse se recrutent surtout dans les sectes ou parmi les illuminés rêvant d’un gigantesque royaume souterrain habité par des surhommes. Tous les moyens leur sont bons pour « prouver » la véracité de leur théorie, y compris le détournement abusif de documents officiels. Le 23 novembre 1968, le satellite américain Essa-7 prend une série de clichés du pôle Nord. Moins d’un an et demi plus tard, le ministère du Commerce fait publier deux photographies montrant, l’une le pôle recouvert de nuages et l’autre la même région polaire remplacée par un immense « trou » qui semble découpé à l’emporte-pièce dans la couche nuageuse. En juin 1970, la revue américaine Flying Saucers, un magazine à sensation, spécialisé sur le sujet des OVNI, publie à son tour les deux documents. Son rédacteur en chef, Ray Palmer, enfourche immédiatement le vieux cheval de bataille de la Terre creuse. Pour lui, le « trou » sur la photo est l’ouverture donnant sur le monde intérieur où vit une civilisation inconnue qui se manifeste, entre autres, par les OVNI !

    En fait, Palmer est un personnage aussi suspect que la théorie de la Terre creuse, et son seul véritable don est de trouver des sujets sensationnels qui font le succès des magazines populaires. Dans les années 1940, il s’est signalé par ce qu’on appelle alors « l’affaire Shaver », une mystification concernant le continent légendaire de la Lémurie. Une fois le fameux cliché publié dans sa revue, Palmer tente de réhabiliter la thèse de la Terre creuse en se référant une nouvelle fois à des déclarations falsifiées de l’explorateur Richard Byrd, amiral de l’US Navy mort en 1957 et célèbre pour ses survols des pôles Nord (1926) et Sud (1929, 1933-1935, 1939-1941, 1946-1947 et 1956). Selon Palmer, Byrd aurait dit avoir découvert en Antarctique un grand passage souterrain par lequel il serait descendu avec son avion vers le centre de la Terre, où il aurait aperçu un pays verdoyant. Les déclarations réelles de Byrd (qui ne parle que d’une « zone inconnue pour laquelle nous avons dû tant lutter » à propos du désert glacé entourant le pôle Sud) étant disponible dans le National Geographic d’octobre 1947, la polémique finit par s’enliser d’elle-même. D’autant plus qu’il est rapidement prouvé que le « trou » observé sur les clichés est dû à un effet d’absence de lumière passager résultant d’une inclinaison particulière du globe terrestre par rapport au Soleil.

    L’affaire de 1968 ne fait qu’actualiser une polémique aux origines assez anciennes. Dès le XVIIIe siècle, on trouve des savants, certains très célèbres, pour imaginer que notre planète est creuse et qu’elle renferme un univers éclairé par un minuscule soleil intérieur. Parmi eux, Edmund Halley, mieux connu par la découverte de la comète qui porte son nom. A la décharge de ces savants, il faut dire qu’on ne sait pas, à l’époque, qu’une étoile d’aussi petite taille est une impossibilité physique. Le mythe est entretenu ensuite au XIXe siècle (surtout par l’Américain Symmes) et au XXe siècle. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, une expédition est même montée par le gouvernement nazi en direction du Grand Nord pour tenter de prouver l’existence d’une entrée vers le monde intérieur ! Plus récemment, le pseudo-lama Lobsang Rampa (un Anglais du nom de Cyril Henry Hoskins et qui n’a jamais mis les pieds au Tibet), auteur en 1956 du best-seller international le Troisième Œil, se fait le champion de la Terre creuse. Dans l’un de ses derniers livres, il consacre un chapitre entier à ce thème en comparant notre planète à une noix de coco percée à chacune de ses extrémités et vidée de son lait… Comme ses prédécesseurs, il évite bien d’expliquer comment les eaux des océans ne se déverseraient par dans le « trou » du pôle Nord. Mais il prétend en revanche que, si aucun astronaute ni cosmonaute n’a vu les fameux orifices, c’est qu’ils sont trop occupés par d’autres tâches. Quant aux explorateurs polaires, rien ne prouve, en fait, qu’ils ont atteint réellement les pôles, ce qui expliquerait pourquoi ils n’ont pas découvert de « trous ». Et, pour Rampa, les aurores boréales ne seraient que « le reflet du soleil interne ». Ce genre de déclaration pour le moins hasardeuse ne l’empêche pourtant pas de se moquer des tenants de la Terre plate (une association anglaise défend cette théorie) qui proclament, eux, que toutes les photos prises de l’espace ont été volontairement truquées pour cacher la vérité…

    *

    MYTHOLOGIE DES ROYAUMES SOUTERRAINS

    Avant que la science, ou une pseudoscience, et la littérature de fiction ne prennent possession, à l’époque moderne, du thème de la Terre creuse, les religions anciennes, puis encore le christianisme, affirment la croyance en l’existence d’un monde souterrain, qu’ils réservent généralement aux dieux et aux morts.

    Les civilisations de l’Antiquité situent les Enfers à l’intérieur de la Terre, par opposition aux contrées aériennes réservées aux bienheureux. C’est le cas des dieux grecs, par exemple, pour qui le séjour aux Enfers apparaît comme un exil : Déméter n’aura de cesse de ramener Proserpine, sa fille enlevée par le dieu du monde souterrain Hadès, à la lumière. Elle obtient de Zeus de voir Proserpine sur l’Olympe la moitié de l’année. C’est encore des Enfers qu’Orphée tente d’arracher son épouse Eurydice, et sous la terre que le héros babylonien Gilgamesh va visiter Outanapishtim, un autre héros rescapé du Déluge. Dès l’Antiquité, la notion d’enfer glisse peu à peu des dieux aux simples mortels. Les religions asiatiques connaissent aussi ce monde intérieur : les bouddhistes l’appellent Agartha. C’est là, selon eux, que vit le roi du monde. Pour les chrétiens, le souterrain est associé à la damnation, le supplice des âmes perdues a lieu sous le monde terrestre, dans l’antre infernal de l’ange déchu, Satan. Enfin, tout un ensemble de légendes concerne l’existence d’un monde souterrain qui n’est pas obligatoirement réservé aux morts : une tradition américaine veut ainsi que les Incas aient dissimulé leur immense trésor après l’invasion des conquistadores en se réfugiant avec lui dans une contrée souterraine ; en Irlande, dans l’esprit des gens du pays, un peuple mythique, les Tuatha de Danaan, qui partirent pour fuir des envahisseurs étrangers, serait venu s’installer sous terre pour s’y confondre, à la longue, avec les fées.

     

    Tyron- Octobre 2010

     

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire
  •  

     L’ATTENTAT CONTRE KENNEDY ET LES OVNI

     

    Les motifs de l’attentat contre J.F. KENNEDY sont l’objet de violentes spéculations depuis novembre 1963. Nous savons que le jeune président se préparait à choisir sa propre orientation concernant des questions d’une grande importance stratégique, ce qui l’opposait fortement aux puissants intérêts politiques et financiers de l’ESTABLISHMENT. Il n’était pas un bon « partenaire » et l’une des causes de son assassinat fut qu’il renvoya, peu après sa prise de fonction en 1961, le chef tout-puissant de la CIA, ALLEN DULLES, qui venait de subir un échec dans, l’opération de la « Baie des Cochons » (il s’agissait d’exilés  cubains qui ne purent pas atterrir dans la « bais des cochons » à Cuba en avril 1961). Ce qui gênait aussi énormément les Illuninati fut le fait que Kennedy voulait nettement diminuer les activités militaires de la CIA dans l’Asie du Sud-est.


    Si nous voulons prendre en compte un autre motif beaucoup plus important, quittons, une fois encore, mais brièvement, le secteur de la politique. Cela se rapporte à la découverte de l’OVNI qui s’était écrasée le 2 juillet 1947 à ROSWELL, au Nouveau Mexique. On découvrit dans cet appareil venu de l’espace quatre petits humanoïdes. Il y eu 92 témoins, 35 témoignages de première main (du personnel de l’Air Force). Le 13 février, on trouva un autre vaisseau spatial dans les environs d’Aztec, au Nouveau Mexique. La deuxième chute d’un autre vaisseau dans cette même région eut lieu le 25 mars 1948 dans le Heart Canon. Le disque avait 33m de diamètre, il était fabriqué avec un métal qu’on n’avait jamais vu et l’on  y trouva seize morts qui mesuraient environ 1,20 m. En 1949, un autre OVNI fut trouvé à Roswell, et l’un des passagers survécut.


    Un officier d’aviation reçut l’ordre de l’emmener à Los Alamos où se trouvaient, à cette époque, les installations les plus sûres des forces armées des Etats-Unis. On décrivit le passager comme humanoïde avec certaines caractéristiques propres aux insectes. On le nomma... EBE... (Extraterrestrial Biological Entity). EBE relate que ceux de sa race rendaient visite à la Terre depuis 25000 ans, qu’il venait d’un système d’une étoile double que leur planète était désertique et que leur soleil menaçait de disparaître. Il dit aussi qu’ils disposaient de bases souterraines dans différents pays de la Terre. EBE enseigna au jeune colonel qui lui tenait compagnie l’existence de la réincarnation et la survie de l’âme qui correspondent aux lois de l’Univers. Tout fut noté et rassemblé  sous le code « Yellow Book ».

    On essaya de prendre contact avec la race d’EBE mais sans succès. Ce projet portait le nom de « project SIGMA ». Fin 1951, EBE tomba gravement malade. Comme les fonctions biologiques de son corps dépendaient de l’apport en chlorophylle, on fit appel à un botaniste ; le Dr Guillermo Mendoza, pour le traiter, EBE resta à Los Alamos jusqu’à ce qu’il mourut le 18 juin 1952, pour un motif inconnu. Le colonel qui s’occupait de lui aurait pleuré à sa mort, il l’aurait aimé comme un enfant. Plus tard, sous le projet ROBERTSON-PANEL, on adapta cet événement à l’écran ; le film porta le titre, E.T. Ce film de science-fiction avait pour but de familiariser le public avec cette réalité-là. Le 6 décembre 1950 un autre OVNI (de 30 m) tomba près de Laredo, au Texas. On trouva dans les débris un passager calciné d’1 m 30 avec une tête extrêmement grosse. Cet incident suscita une vive émotion lors de la parution des photos. Le 20 mai 1953, en récupéra à Kingman, en Arizona, un autre OVNI qui ne mesurait, cette fois, que 10 m de diamètre. Il y avait quatre morts qui, eux aussi, furent emmenés comme les autres, à la Wright Patterson Air Force Base (Hangar 18). (Comme le disent si justement les Américain : Reality is sometimes stranger than fiction ! = La réalité dépasse parfois la fiction)

    Dès la première chute, plusieurs organisations secrètes furent créées, elles s’occupaient de tout ce qui concernait les OVNIs. La plus importante fut l’opération MAJESTIC 12, fondée le 12 septembre 1947 par le président Truman et dont dépendaient tous les autres projets (MAJESTY est le nom de code pour le président). Parmi les membres, il y avait le Dr Vannevar Bush, conseiller scientifique du Président ; le ministre de la Défense Forrestal et aussi, plus tard, Nelson Rockefeller, Allen Dulles, chef de la CIA et J. Edgar Hoover, chef du FBI. Les autres faisaient partie du CFR. Tous les douze étaient aussi membres de la JASON SOCIETY ou JASON-SCHOLARS, de l’élite de l’ordre …SKULL et BONES… Le siège du groupe situé à Maryland, accessible seulement par les airs, connu sous le nom de « Country Club » par les cercles d’initiés.


    LES PROJETS CONCUS SOUS LA DIRECTIONS DU MAJESTIF 12, ETAIENT, ENTRE AUTRES, LES SUIVANTS :


    Le projet MAJI, c.-à-d., Majority Agency for Joint Intelligence. Ce service réunit toutes les informations concernant les services secrets MAJIC signifie contrôlé par Maji. Toutes les informations et désinformations à propos des OVNIs et des extra-terrestres sont exploitées par MAJI, en collaboration avec la CIA, la NSA, le DIA (service de renseignements de la défense du pays) et le Naval Intelligence (service secret de la marine).

    Le projet SIGN : concerne l’étude des phénomènes OVNIs. Plus tard, ce projet pris le nom de :

    Projet GRUDGE (peut-être à cause des nombreuses parties de corps humains qui furent trouvées dans deux vaisseaux).

    Le projet BLUE BOOK : se rapporte au sauvetage d’objets volants tombés à terre, et, de concert avec le projet ROBERTSON-PANEL, il vise à désinformer intentionnellement le public.

    Le projet SIGMA : concerne la communication avec la race d’EBE.

    Le projet SNOWBIRD : se rapporte à la technologie d’objets volants extra-terrestres pour tenter de piloter un de ces objets.

    Le projet AQUARIUS : sert de couverture pour coordonner les programmes de recherche et de contacts avec les extra-terrestres.

    Le projet GARNET : étudie l’influence des extra-terrestres sur l’évolution humaine.

    Le projet POUNCE : concerne le dépouillement des vaisseaux spatiaux qui ont chuté et les examens biologiques faits sur les corps des passagers.

    Le projet REDLIGHT : décide des essais à faire en vol avec des vaisseaux spatiaux qui ont été trouvés où été mis à disposition par des extra-terrestres. Ce projet est mené, en ce moment, dans le domaine de AREA 51/ GROOM LAKE, au Nevada.

    Le projet LUNA : nom de code pour la base extra-terrestre sur la lune qui fut observée et filmée par les astronautes d’Apollo. On y exploite une mine, et on y gare les grands astronefs en forme de cigare.

    Les DELTA FORCES ; ce sont des unités spécialement formées par ces projets. Selon le rapport de William Cooper et George Segal, la CIA aurait été créée spécialement pour dissimuler l’existence des extra-terrestres. D’après W. Cooper et G. Segal, le groupe d’élite secret international, Die Bilderberger, que nous étudierons au cours des recherches, a été créé aussi pour cacher les contacts établis avec les extraterrestres. Je ne traiterai, cependant, des Bilderberger que d’un point de vue politique.

    Qu’attendent-ils donc de nous, les extraterrestres ?

    Pourquoi ne s’adressent-ils pas aux dirigeants ou au président d’un pays ? Ils l’ont fait ! Et ils ont été plusieurs à le faire !

    Il n’y a pas que Georges Washington et Abraham Lincoln qui ont affirmé avoir été contactés par des extraterrestres. Le président Roosevelt aurait eu, en 1934, lors d’une croisière sur le Pennsylvania dans le Pacifique, une rencontre arrangée par Nicolas Tesla avec les passagers d’un OVNI. Le président Truman, lui aussi, aurait eu une entrevue personnelle avec des extra-terrestres le 4 juillet 1945.

    Il y a, cependant, des preuves concrètes des rencontres du président DWIGHT D. EISENHOWER. Michael HESEMANN  écrit à ce sujet (UFOs- Die Kontakle, p. (suivantes) :

    Ainsi qu’il ressort des rapports établis par les personnes en contact avec les extra-terrestres, ceux-ci, depuis leur apparition massive au-dessus de Washington l’été 1952, ont pris contact avec le gouvernement américain. De plus, ils chargèrent différentes personnes, entre autres George van Tassel, d’envoyer des messages au président. Après les présidentielles de l’automne 1952, ce fut le général Dwight D. Eisenhower qui occupa le poste de président. Auparavant, pendant sa carrière militaire, il avait déjà été informé des chutes d’OVNIs Rosewell, Aztec et Laredo qui se produisirent entre 1947 et 1950. Après son élection le 18 novembre 1952, il reçut un rapport sur la situation de la commission gouvernementale, Majestic 12, qui avait été chargée par son prédécesseur Truman d’examiner les épaves d’OVNIs récupérées. La commission recommanda au président le secret absolu pour raison… de sûreté nationale. Le lieu choisi pour qu’Eisenhower établisse son contact fut la base de l’armée de l’air Edwards (MUROC) en Californie. Des démonstrations d’OVNIs s’étaient déjà déroulées à cet endroit-là depuis des mos, voire même des années. Le 8 juillet 1947 ; quatre différents objets non identifiés en forme de disque sont aperçus au-dessus de MUROC AFB et du terrain d’essais secret de Roger Dry Lake. Le 31 août 1948 : un grand objet avec une trainée de flammes bleues, longue de plus d’1km, passe au-dessus de MUROC à 17000 m d’altitude. Le 14 juin 1950 : un pilote de la marine et différents pilotes civils observent un astronef en forme de cigare à 40 km à l’est de MUROC. Le 10 août 1950/ Robert C. Wykoff, physicien dans la marine, observe dans son télescope un grand objet en forme de disque qui manœuvre près d’Edwards. Le 30 septembre 1952 : le photographe spécialiste Dick Beemer et deux autres témoins observent deux objets en forme de boule, légèrement aplatis, manœuvrant au-dessus d’Edwards.

    Le 20 février 1954 fut le jour J. Cet événement est confirmé par des prises de vues cinématographiques et par différents témoins, dont Geralt Light du puissant groupe médiatiques CBS, comte de Clancerty, membre de la chambre haute des lords en Angleterre, William Cooper, ex-agent secret. Paul Salomon, membre du personnel de l’armée de l’air et beaucoup d’autres qui étaient stationnés, à cette époque-là, à MUROC/Edwards.

    Ce jour-là, tous les officiers, y compris le commandant, accoururent à la tour de contrôle pour y observer un grand disque de 60 m à 100 m de diamètre qui planait au-dessus de la piste de décollage. Ils l’observèrent pendant des heures jusqu’à ce que tous ceux de la base, jusqu’au dernier, soient au courant. Le disque faisait des manœuvres en vol défiant toutes règles de la physique, il se déplaçait de bas en haut, d’un côté à l’autre, en angle droit, etc.

    Un peu plus tard, il y eu, au total, cinq objets volant, trois en forme de disque et deux en forme de cigare. Eisenhower arriva en avion à la base, il faisait, à ce moment-là une cure à côté de Palm Springs. Lui-même ainsi que tout le personnel de la base furent témoins de la descente d’un petit groupe d’occupants qui s’approchèrent d’eux. Ils avaient un aspect humanoïde, leur taille était à peu près celle des êtres humains, ils étaient blonds et parlaient anglais. Ils proposèrent leur aide pour le développement spirituel de l’humanité à condition, dirent-ils, que nous acception de détruire nos armes atomiques. Ils n’étaient pas prêts à mettre à notre disposition leur technologie puisque nous n’étions même pas capables d’utiliser la nôtre en humains responsables. Ils pensaient que n’importe quelle technologie nouvelle ne servirait qu’à nous entre-tuer. Cette race expliqua que nous étions sur une voie d’autodestruction, que nous devions cesser de nous détruire, de polluer la Terre, d’en exploiter les richesses minières. Nous avions à vivre en harmonie avec la création. Il était capital pour nous d’apprendre à nous considérer comme les citoyens d’une famille planétaire et nous avions le devoir de nous comporter comme tels. Nous devions abandonner au plus vite notre croyance de pouvoir agir à notre guise. Nous ne pouvons entrer en contact avec eux que si nous commencions  à nous conduire comme citoyens d’un système planétaire. Ils étaient, eux aussi, une partie de cette famille planétaire, et nous devions les traiter ainsi, eux et tous nos semblables sur cette terre.

    Dès que nous aurions appris à avoir des rapports de paix avec les autres nations, nous pourrions accéder à des rapports interplanétaires. Toutes les personnes présentes étaient des plus sceptiques face à ce langage, surtout en ce qui concernait l’exigence impérative du démantèlement nucléaire, du démantèlement nucléaire. Personne ne pouvait imaginer qu’un désarmement pût être dans l’intérêt des Etats-Unis. Tous craignaient de se trouver sans défense face aux extraterrestres. L’offre fut refusée ! Les étrangers déclarèrent alors qu’ils continueraient à des contacts seulement avec des individus tant que les humains ne les accepteraient pas. C’est alors que les extraterrestres firent une démonstration de leurs possibilités techniques qui imposèrent le respect au président, qui se tenait là, paralysé, et à son entourage. Ils montrèrent leurs vaisseaux spatiaux au président et prouvèrent même leur capacité à se rendre invisibles. Eisenhower en éprouva un malaise ! Personne ne pouvait les voir mais tous savaient qu’ils étaient là. Les étrangers montèrent ensuite dans leurs vaisseaux et décollèrent. L’astronaute américain Gordon Cooper confirme cet événement en racontant qu’il vit un film pendant son service montrant un atterrissage d’OVNIs dans une base de l’armée en Californie dans les années cinquante. (Vous trouverez dans les livres de Michael Hesemann, UFOs –Die Beweise, OVNIs- Les preuves) et, UFOs – Di  Kontakte, (OVNIs- Les contacts) toute l’histoire dans les moindres détails ainsi que les réponses à tous les comment et pourquoi. Il s’est donné la peine de faire un condensé de plus de 50 livres et spécialement des livres américains et de les documenter avec de nombreuses et d’excellentes photos, UFOs – Die Beweise, contient les documents secrets de la CIA qui ont été rendus accessibles au public grâce au Freedom of  information Act, au bout de trente ans de secret.

    Il  eut d’autres contacts avec des gouvernements mais il faudrait prendre connaissance de tous ces contacts pour avoir un aperçu de la diversité des thèmes touchant aux OVNIs. Il y a, en outre, des vidéos qui contiennent en particulier l’atterrissage d’une soucoupe en, 1964, dans la base de l’armée de l’air Holloman. Ces vidéos sont consignées dans la littérature complémentaire.

    *

    REVENONS-EN MAINTENANT A KENNEDY

     

    Après avoir été élu président et informé des OVNIs récupérés et des projets secrets qui incluaient l’étude des survivants, il voulut rendre CES INFORMATIONS PUBLIQUES. Forestal, le ministre de la Défense et membre de Majestic 12, avait déjà essayé d’en faire autant, il fut jeté par la fenêtre de l’hôpital avec un drap de lit autour du cou le 22 mai 1949. Kennedy eut droit à un traitement similaire. Il fut assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas.

    Le premier coup de fusil vint effectivement du toit de l’entrepôt mais il n’était pas mortel. Le coup mortel fut donné par le conducteur de sa propre voiture, l’agent de la CIA. Quand on regarde au ralenti le film original de l’attentat et qu’on prête attention au chauffeur, il est clair que celui-ci se retourne, l’arme à la main tire et c’est alors que l’arrière de la tête de Kennedy éclate. Dans les films projetés dans la plupart des pays occidentaux, le chauffeur n’apparait pas. Dans une émission de l’ARD. (Première chaine de télévision allemande). Le Spiegel TV, on essaya, le 21 novembre 93, de convaincre que la RTL, de la diffusait, presqu’au même moment, un avis contraire. Sans parler des commentaires, on ne montra sur les deux chaines qu’une seule fois le film en entier : dans les films suivants, il n’y avait pas le chauffeur. Mais celui qui savait où il devait porter son attention pouvait dans le film original reconnaitre le chauffeur tirant avec son arme. John Lear, fils de Lear Aircraft (aujourd’hui propriétaire) et autrefois désigné comme meilleur pilote de l’US Air Force, trouva trois films orignaux, entre autres au Japon. Il les fit analyser par un ordinateur pour prouver leur véracité. Lui-même et William Cooper, ex-membre de la Naval Intelligence (service secret de la NAVY) et auteur de, Behold a Pale Horse, font, de nos jours, des conférences aux Etats-Unis où l’on peut obtenir les flims orignaux par l’intermédiaire de William Cooper, il perdit sa jambe droite à cause de ce film : il fut victime d’un attentat en 1973. La télévision japonaise a, par la suite, diffusé plusieurs fois ces films originaux dans les actualités télévisées de grande écoute.

    L’analyse par ordinateur permit d’identifier l’arme et la décrivit comme étant d’un calibre spécial employé par la CIA. Quand à la balle, il s’agissait également d’un projectile spécialement conçu par la CIA qui explosa dans le cerveau de Kennedy et provoqua sa désintégration.

    Avaient participé à la préparation de l’attentat les membres de la CIA, Orlando Bosch, E. Howard Hunt, Frank Sturgis et Jack Rubenstein (alias Ruby). La CIA épongea, en remerciement, les énormes dettes de jeu de Ruby. Lee Harvey Oswald, qui avait aussi été membre de la CIA, travaillait au moment de l’attentat pour Jack Ruby. Sa mort fut programmée. Jack Ruby le tua avant qu’il ne pût prouver son innocence. Le coupable était trouvé ; il ne pouvait plus prouver le contraire. La CIA haïssait Kennedy. Il était, d’après elle, responsable de la mauvaise tournure que prenaient leurs projets concernant le Viêt-Nam, Cuba et les OVNIs. Un collaborateur de la CIA, qui avait participé à l’opération de la « Baie des Cochons », dit que toute les personnes travaillant dans son secteur se levèrent et applaudirent lorsqu’ils apprirent la nouvelle de la mort de Kennedy. Aux auditions devant le comité spécial pour attentats, nombre de ces faits furent dévoilés mais selon la loi de sûreté de l’Etat américain, les archives sont closes jusqu’en 2029. Après ces auditions, la CIA se vit défendre toute opération secrète à l’intérieur des Etats-Unis. (Qui peut croire qu’elle s’y est tenue ?).

     

    Source : Commission trilatérale, Bilderberger, CFR, ONU

    Printed in Canada ISBN 3-89478-817-X

    De JAN VAN HELSING –Fon & Fax 93592570

    Ce texte est totalement interdit en Europe depuis sa parution en 1996.

     

    23 novembre 2009- pour la taverne de l'étrange


    P.S : Le Président OBAMA veut faire également une divulgation sur le contact extraterrestre en 2010, bonne chance pour lui !

     

    Partager via Gmail Pin It

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique