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    THOMAS BUSBY et la malédiction de la chaise hantée

      

    Depuis trois siècles, la chaise de Thomas Busby constitue un véritable mystère.
     

    La malédiction de la chaise hantée !

     
    Quelle est la véritable histoire de cette chaise hantée ? A-t-elle vraiment causé la mort de ceux qui s'y sont assis ?
     
    Dans un petit village près de la ville de Thirsk, dans le North Yorkshire en Angleterre, se trouve un établissement désormais connu sous le nom de l'auberge de Busby Stoop, un charmant endroit ayant appartenu à Thomas Busby.
     
    L'histoire originelle
     
    C'est la mort de Busby qui serait à l'origine de la malédiction et/ou de la hantise : en effet, la chaise sur laquelle Busby avait l'habitude de se reposer  serait à l'origine des décès et des maladies de ceux qui s'y sont assis... après sa mort. L'histoire commence en 1702, quand Busby assassine son beau-frère, Daniel Awety, avec lequel il est complice dans de nombreuses malversations. Après une dispute violente à propos des méthodes de Awety, durant laquelle celui-ci avait osé s'asseoir sur la chaise, Busby l'assomme avec un marteau et cache le corps au fond des bois.
     
    La police locale retrouva le cadavre et arrêta Busby - plusieurs témoins avaient entendu la dispute et Busby avoua son crime. Alors qu'il est conduit à la potence, il maudit ceux qui auraient le malheur de s'asseoir dans sa chaise.
     
    Cette malédiction n'attira pas l'attention des spectateurs, même si elle a été relevée par plusieurs témoins. Certains rapports disent que Busby cria que toute âme assise dans sa chaise mourrait d'une mort horrible...
     
    Busby fut pendu sans que les témoins n'aient pris au sérieux les jurons et les rodomontades du condamné...
     
    La malédiction de la chaise hantée !
     
     
    Validité de la malédiction
     
    Depuis que Busby a lancé sa malédiction, de nombreux témoins auraient vu son fantôme sur sa chaise ou à proximité de la potence. Toutefois, ce ne sont  pas ces apparitions, mais sa malédiction qui est devenue un sujet de prédilection  du folklore mythique local. Car, plusieurs personnes qui ont siégé sur la chaise maudite sont décédées peu après.
     
    Au XVIIIème Siècle, une dizaine de décès seraient dues à la malédiction de la chaise hantée...
     
    A la fin du XIXème Siècle, un ramoneur et son ami avaient plaisanté à propos de la légende en s'asseyant à plusieurs reprises dans le fauteuil de Busby : ils ont  été retrouvés morts le lendemain matin...
     
    Une dizaine de témoins, des clients de l'hôtel, ont pu attester la véracité des faits...
     
    Au XXème Siècle, deux pilotes de la Royal Air Force discutaient de la légende de Busby, ils voulaient relever le "défi" du condamné. Le jour même , leur voiture a heurté un arbre : les deux pilotes sont morts. Plusieurs récits impliquant des cyclistes et des motocyclistes, qui se sont arrêtés à l'auberge pour se rafraîchir et qui s'étaient assis sur la chaise, ont été impliqués dans des accidents de voiture .. tous mortels et se déroulant peu après la visite à l'auberge....
     
    L'auberge est devenue célèbre "grâce" à cette malédiction..Dans les années 1970, le propriétaire a demandé que la chaise soit retirée du pub.
     
    Aujourd'hui, les visiteurs intéressés par la malédiction de Busby peuvent observer la chaise hantée au Musée de Thirsk. Malheureusement, ou heureusement, il n'est plus possible de s'y asseoir.... Depuis 1978, aucune personne n' a siégé sur la Stoop Busby Chair, mais l'auberge est toujours une étape de prédilection pour les chasseurs de fantômes, les curieux et aux touristes en mal de sensations fortes !
     
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  • Le Great Eastern est sans aucun doute l’un des plus grands navires qui aient jamais vogué sur les sept océans. Ce fut aussi l’un des plus marqués par la fatalité. La malédiction s’était abattue sur lui avant même sa mise à flots sous la forme du fantôme de l’un des ouvriers qui l’avaient construit et qui était mort emmuré dans sa cale.

     

     
    Le créateur du navire, Isambard Kingdom Brunel, avait déjà fait ses preuves en construisant des ponts et des chemins de fer lorsqu’il avait eu l’idée de construire une cité flottante qui relierait Londres au reste du monde. A cette époque, les architectes navals avaient déjà conçu et fabriqué des vaisseaux de ligne d’un tirant de 3 000 tonnes. Mais le Great Eastern de Brunel les laissait loin derrière. Avec son tirant d’eau estimé à 100 000 tonnes, il pouvait faire rougir de honte tout ce qui flottait. Dix énormes chaudières alimentées par 115 fournaises activaient deux roues à aubes de 10 mètres et un propulseur d’appoint de 7 mètres. La fumée s’échappait par cinq cheminées. Le Great Eastern avait un matériel auxiliaire qui aurait pu équiper une petite armada – dont deux ancres de cinq tonnes chacune, six mâts immenses et son propre générateur de gaz.
     
    Il n’empêche : il était hanté. Lors du repas donné pour son lancement, Brunel avait invité tous les ouvriers qui avaient participé à sa construction et un seul manquait à la fête, un charpentier qui avait travaillé à la cloison double de la cale.
     
    Le baptême et le lancement du navire ne se déroulèrent pas comme prévu : le volume et le poids du navire firent se bloquer le mécanisme de lancement. Il n’aurait probablement jamais pu être lancé si une marée d’équinoxe ne l’avait fait flotter jusqu’à la Tamise. Pourtant, ce petit succès fut aussitôt suivi par la faillite de la compagnie de navigation de Brunel et par la mort de Brunel lui-même. Le jour de sa mort, le capitaine s’était plaint à son chef mécanicien d’avoir été dérangé dans son sommeil par des « coups venant d’en bas ».
     
    Dans la foulée de cet incident lugubre, l’une des cheminées du Great Eastern explosa, tuant six personnes et détruisant le grand salon. Puis tout parut se calmer mais, lors de la quatrième traversée de l’Atlantique du paquebot de luxe, un vent de travers faussa une des roues à aubes et projeta les canots de sauvetage par-dessus bord. On n’avait jamais cessé d’entendre, même par grand vent, les coups frappés par un fantôme au fond de la cale.
     
    Le Great Eastern put rejoindre son port d’attache mais sa carrière était terminée. Ses derniers propriétaires eurent même du mal à se débarrasser de sa ferraille. En 1885, alors qu’on finissait de le démonter, les soudeurs firent une étrange trouvaille : derrière un tapis enveloppant des outils rouillés, ils découvrirent le squelette du charpentier disparu, coincé entre les deux cloisons métalliques de la coque du Great Eastern.
     
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    Sources : Extrait de « Les Phénomènes étranges du monde » de Charles Berlitz
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    L'emblématique acteur et spécialiste des arts martiaux, Bruce Lee, et son fils Brandon Lee sont morts tous deux très jeunes lors du tournage d'un film.

     

    Bien que les deux décès soient officiellement accidentels, les circonstances des drames ont  conduit à  l'élaboration de nombreuses théories du complot et de rumeurs d'une malédiction familiale.

    Bruce Lee, le maudit

    La mort de Bruce Lee serait due à une réaction allergique rare aux médicaments analgésiques qui aurait causé un œdème cérébral.

    Les théoriciens du complot estiment, eux, que la mafia chinoise est impliquée dans la mort de la star du Kung-Fu. En effet, Bruce Lee avait refusé de travailler avec la mafia, celle-ci aurait décidé de se venger. Une autre théorie suggère que la famille Lee est maudite.

    La maison familiale des Lee avait plusieurs fois fait l'objet de cérémonies afin de conjurer le mal qui se serait abattu sur les âmes et les biens de la famille.

    Les théories sur la mort de Bruce Lee et la malédiction familiale semblent confortées par la mort mystérieuse de son fils !

    Brandon Lee

    À l'âge de 28 ans, Brandon Lee est décédé dans des circonstances étranges et des coïncidences qui conduisent de nombreux fans à croire que sa mort n'est pas accidentelle.

    Pendant le tournage de ''The Crow'', Brandon Lee a été tué par une arme factice censée tirer des balles à blanc.

    En mars 1993, lors d'une scène d'action, un figurant doit tirer sur Brandon Lee avec un revolver chargé de balles à blanc. À la surprise générale, Brandon Lee s'écroule et ne se relève pas.  La balle a perforé l'abdomen puis l'estomac, provoquant une hémorragie interne et un le coma. Quelques heures après son arrivée aux urgences, Brandon décède.

    Comme celle de son père Bruce, la mort de Brandon Lee a été considérée comme un accident. Comme son père, brandon est mort jeune.
     
    Les experts en balistiques se demandent comment Brandon Lee aurait pu être tué par une arme factice. Des tests ont prouvé que la balle n'avait pas assez de puissance pour causer des dommages physiques !

    Certains fans avancent la malédiction familiale : l'idée que les démons régissant la vie et la mort des membres de la famille expliquerait le fait que la balle ait pu tuer l'acteur.

    En outre, de nombreux événements étranges se sont déroulés sur le plateau de The Crow : technicien électrocuté, accidents inhabituels et répétés etc. Là encore, la malédiction ou les démons sont invoqués.

    Le mystère de la mort de Bruce Lee et Brandon Lee fait désormais partie de l'histoire du cinéma. Bien que les circonstances soient officiellement élucidées, l'idée que la famille est maudite demeure une explication plausible pour de nombreux fans.

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    Le chef indien Tecumesh aurait lancé une malédiction en 1811 à tous les présidents américains élus lors d’une année qui se termine par un zéro. Ces présidents élus ne pourraient pas terminer leur mandat.


    L’histoire de Tecumseh et de son frère, le prophète Shawnee, a une conséquence superstitieuse. Henry Harrison de William a été élu président en 1840. Un mois plus tard, il est mort de la pneumonie. Les partisans de la “malédiction de Tecumseh” précisent que Harrison, le vieil adversaire de Tecumseh, fut le premier d’une série de 7 présidents des Etats-Unis élus mort au cours de leur mandat.

    Lorsque, en 1840, Harrison fut élu président des Etats-Unis, Tecumseh était furieux et jeta sur chaque président élu pendant une année se terminant par zero : « Le président va mourir d’une mort prématurée et inhabituelle. » Quelques mois après , alors qu’il était au pouvoir,

    1840 première année concernée : William Harrison est élu président des Etats-Unis, il meurt un mois après son élection d’une pneumonie.
    La première année concernée par la malédiction de Tecumseh lancée en 1811 est 1840 puis 1860, en numérologie on constate un cycle de 20 ans, et en astrologie ces années correspondraient exactement à une conjonction Jupiter/Saturne qui ne se passe que tous les 20 ans.

    1840+20 = 1860 : Abraham Lincoln est élu, puis réélu en 1864, mais il meurt assassiné juste après sa seconde élection.

    1860+20 = 1880 : James Garfield est élu, il décède des suites d’une tentative d’assassinat.

    1880+20 = 1900 : William Mc Kinley est réélu mais il meurt assassiné au cours de ce second mandat.

    1900+20 = 1920 : Warren Harding est élu mais il meurt d’une pneumonie à la fin de son mandat.

    1920+20 = 1940 : Franklin D. Roosevelt est réélu pour son 3ème mandat, il meurt après une 4ème élection de maladie.

    1940+20 = 1960 : John F. Kennedy est élu mais il meurt assassiné en fin de mandat.

    1960+20 = 1980 : Ronald Reagan est élu, et c’est le premier président américain à sortir de la Maison Blache vivant depuis cette « malédiction » malgré, il est vrai un très grave attentat en 1981.

    1980+20 = 2000 : George W. Bush est élu et réélu président des Etats-Unis en 2004, comme Reagan. Il a terminé vivant son mandat, fin 2008.
    Donc l’année 2008, semble apparament marquer la fin de la malédiction de Tecumesh qui s’était « amoindrie » déjà en 1980 avec un attentat sans être mortel pour le chef d’Etat.

    Le cycle de 20 ans en numérologie correspond à une conjonction Jupiter/Saturne en astrologie qui montre le lien étroit de ces deux disciplines.

    Barak Obama élu en Novembre 2008 ne semble pas concerné par cette malédiction.

    Sources :
    http://www.besoindesavoir.com/article/509707/malediction-tecumseh-les-propheties-tenskwatawa
    http://www.astrologieconseil.com/ , 0660171854

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  • HEIATA & MOANA

     

    MOANA LA STATUE MALEFIQUE

     

    Le 12 novembre 1933, le capitaine de la goélette « La Denise », Stevens Higgins et son second, Tetua Mervin, amenèrent à Papeete les deux grands tikis de Raivavaé, qui furent d’abord dressés à l’emplacement du palais de justice, puis devant l’ancien musée de Mama’o. Peu après, la goélette d’Higgins fit naufrage ; le capitaine fut sauf, mais quelques semaines plus tard, il décédait d’une hépatite puis deux mois plus tard ce fut sa propre soeur. Entre temps le propriétaire des tikis et sa femme sont eux aussi morts à Raivavaé. Quant aux ouvriers qui procédèrent à l’installation des tikis, ils moururent presque tous de façon accidentelle ou imprévisible.

     

    Les deux statues ont chacune un nom : HEIATA pour l’homme et MOANAHEIATA pour sa compagne, que l’on appelle MOANA tout court. Heiata est « mort » ; il mesure 2,17 mètres, pèse 900 kg et il est émasculé (Heiata étant « mort », c’est-à-dire non habité par un esprit, n’a pas besoin de ses attributs sexuels ». C’est pour cette raison qu’il fut émasculé). Moana est « vivante », mesure 2,02 mètres et pèse 2110 kg. C’est elle qui est chargée et qui lance les malédictions. Particularités : elle avait primitivement six doigts à chaque main et des inscriptions indéchiffrables gravées sur son dos. Ces statues sont taillées dans une roche assez tendre, sorte de basalte rouge, comme pour les géants de l’île de Pâques. Du temps où elles étaient à Raivavaé (Îles Australes), elles étaient placées face au nord et on les considérait comme des génies du sable et du rivage, qu’elles protégeaient contre les usurpations de la mer. Quand fut projetée la construction de l’hôpital à Mama’o, le tabou dont jouissait les statues commença à causer des soucis : aucune entreprise privée n’accepta de les déterrer pour les transporter ailleurs. On fit alors appel à la Marine, qui allait exécuter le travail, quand un commandant, en retraite à Tahiti où les militaires sont difficilement admis, dissuada l’autorité navale de braver les croyances des indigènes. Finalement, les Travaux publics furent chargés de l’opération, qui s’effectua en juin 1965, avec dix Marquisiens. Les tikis furent définitivement érigés devant le musée Paul Gauguin, à Papeari, à 55 km de Papeete.

    De nouveau, la malédiction parut jouer. Le contremaître des T.P. mourut d’une crise cardiaque ; un de ses employés disparut dans le lagon au cours d’une pêche en pirogue ; un jeune homme qui avait brocardé les tikis lors de leur transport (il aurait même donné un coup de pied à Moana) se tua à vélomoteur. Depuis, les tikis ne font plus parler d’eux, mais aucun vieux Tahitiens n’oserait les toucher ou les approcher à moins de six pas. Si, en Polynésie, vous trouvez une pierre travaillée de forme anthropomorphe, ne la touchez pas, disent les indigènes. Si vous désirez l’acquérir, il vous faudra d’abord vous renseigner sur sa famille d’origine, puis la faire déposer chez un sorcier pour savoir si le tiki est encore vivant. Si oui, le sorcier gardera la statue chez lui, le temps de chasser l’esprit qui l’habite. Ensuite, vous pourrez, sans crainte, prendre livraison de votre acquisition.

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    Plus d'info ici !

    Tyron – données personnelles/Août 2010

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