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    LE POSTE RADIO "FANTÔME"

     Dans un musée écossais, situé sur une ancienne base de la RAF, le mystère de la radio fantôme fait parler de lui : le poste radio, qui n’est branché à aucune source d'électricité, continue à capter des programmes qui n’existent plus depuis plus de 60 ans… L'ancien aérodrome de la RAF, le Montrose Air Station, est de nos jours un musée du patrimoine. Depuis peu un transistor datant de la Seconde Guerre mondiale diffuse des émissions mettant en vedette ... Winston Churchill et de la musique du célèbre Glen Miller.

    L'aérodrome est réputé pour être un "haut lieu" concernant les phénomènes paranormaux depuis près d'un siècle. De nombreuses silhouettes fantomatiques y sont apparues. Le poste de radio est conservé dans une pièce reconstituée de l'époque. Plusieurs personnes raconte avoir entendu des vieilles émissions datant de la deuxième guerre mondiale... Certains experts estiment que c’est impossible. Les émissions "fantômes" s’ajoutent à une longue liste de mystères ; de nombreux visiteurs ont dit avoir ressenti d’étranges énergies ou même avoir observé, à plusieurs reprises, des fantômes de pilotes de la RAF en tenue d'époque sur le site de l’aérodrome. Les collections du musée du patrimoine narrent l'histoire de la RAF à travers les témoignages et les actes des hommes et des femmes qui ont servi durant les deux guerres mondiales. La Montrose Air Station est donc chargée d’Histoire et d’histoires.. Et il est indéniable qu’elle dégage une atmosphère mystérieuse. Plusieurs groupes d’experts paranormaux ont 
    enquêté sur divers phénomènes, en vain…
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    DANIEL DOUGLAS HOME

     

    L’EXPERIENCE BOULEVERSANTE DU MEDIUM AUX TUILERIES

     

     

    Daniel Douglas Home

     

    Napoléon III a serré la main de son illustre ancêtre Napoléon 1er, quarante-deux ans après sa mort. Cette fantastique aventure est arrivée en 1863 au palais des Tuileries, au milieu d’une assistance choisie et devant l’impératrice Eugénie elle-même qui, après un moment de recul, obéit aux injonctions de son mari et embrassa la main avec ferveur. C’est l’un des plus grands médiums du siècle dernier, Daniel Douglas Home, qui réussit cette matérialisation.

     

    La main, petite, élégante et couleur d’albâtre apparut en pleine lumière et les assistants, médusés, qui l’effleurèrent la trouvèrent tiède, douce et résistante, tout à fait semblable à une main naturelle. Obéissant aux ordres du mediums, la main prit un crayon sur une table et écrivit quelques mots sur une feuille de papier. On entendit distinctement le bruit de l’écriture. Et, plus tard, certains assistants qui l’avaient connu, authentifièrent les quelques lignes comme un autographe de la main du grand empereur. Cette expérience extraordinaire n’était pourtant pas la première qui se déroulait aux Tuileries.

    Napoléon III et sa femme étaient, en effet, très férus d’occultisme et ils avaient fait partager à toute la cour leur attrait pour les mystères de l’au-delà. L’empereur ne cachait pas qu’il était superstitieux. Il ne quittait jamais un talisman qu’il tenait de sa mère et qui avait appartenu à Charlemagne. Ce médaillon, orné de pierres précieuses, contenait un morceau de la croix du CHRIST. On l’avait enterré au cou de Charlemagne mais, lors d’une exhumation du vieil empereur, les prêtres d’Aix-la-Chapelle l’avaient retiré pour en faire cadeau à Napoléon 1er. C’est lui qui l’avait offert à sa belle-fille, la reine Hortense qui, en le transmettant à son tour à son fils, avait affirmé : « Si quelque danger te menace, voilà un talisman qui te protègera. » Le goût de Napoléon III pour le fantastique s’était encore accru lors de son premier mariage avec Eugénie de Montijo.

    UN FETICHE D’EMERAUDE

    Bien que très catholique, l’impératrice gardait, en effet, de ses origines espagnoles, un grand penchant pour les superstitions de toutes sortes. Elle avait un véritable culte pour les trèfles à quatre feuilles et ne sortait jamais sans un trèfle en émeraude orné de diamants dont l’empereur, connaissant sa passion, lui avait fait cadeau, au temps de leurs fiançailles. Eugénie adorait aussi toutes les séances de spiritisme. Elle réunissait souvent les dames de la cour, autour d’une tasse de thé, pour lire dans les lignes de la main- une science qu’Eugénie tenait des gitanes de son pays- ou pour faire tourner les tables. Au cours de ces séances les dames se groupaient par quatre ou cinq, autour de petits guéridons, et, dans la demi-obscurité des lampes à huile aux globes laiteux qu’aimait l’impératrice, on interrogeait les esprits. En prenant les eaux à Bade, l’impératrice s’était également entichée d’une science toute nouvelle, la phrénologie qui prétendait révéler le passé et l’avenir en étudiant les creux et les bosses des crânes. L’empereur, Eugénie et le prince impérial confièrent, ainsi, avec enthousiasme, leurs têtes royales aux mains de l’expert qui les avait initiés. C’est, pourtant, dans les grands salons du palais des Tuileries, en présence des souverains et de toute la cour, qu’eurent lieu les expériences les plus spectaculaires. Grâce à l’un des plus extraordinaires médiums de tous les temps : Daniel Douglas Home.

    Toutes les cours d’Europe s’arrachaient le célèbre médium, en particulier celle du tsar Nicolas 1er de Russie dont Homes avait épousé la filleule. Et les expériences fascinantes et incroyables auxquelles il se livrait : apparitions de mains ou de fantômes, déplacements d’objets à distance, lévitation etc., laissaient pantois les plus éminents spécialistes. Le médium avait eu, dès l’enfance, la révélation de ses pouvoirs paranormaux. A tel point que sa tante qui l’élevait, en Ecosse, le chassa de chez elle car elle le croyait envoûté par le diable. Home trouva refuge chez des amis, aux Etats-Unis, où les plus grands médiums l’examinèrent et tous furent obligés de reconnaître ses étonnants pouvoirs. Alors commença, pour le jeune médium, une suite de voyages en Europe et à travers les Etats-Unis. Au début on le prenait pour un sorcier et plus d’une fois des foules en délire voulurent le brûler. Mais, très vite, les grands de ce monde se passionnèrent pour ce personnage hors du commun et il devint la coqueluche de toutes les cours et le sujet d’études préféré de toutes les sociétés scientifiques. Daniel Douglas Home était, en effet, un médium peu ordinaire. Au lieu d’opérer dans le secret d’un cabinet obscur et devant une assistance choisie il pratiquait toutes ses expériences en pleine lumière, et devant une foule de spectateurs.

    SEULS LES SAINTS ET QUELQUES MEDIUMS…

    Il pouvait faire apparaître très distinctement des mains qui déplaçaient des objets- comme celle de Napoléon 1er- ou encore des fantômes entiers. Mais les expériences qui avaient, sans doute, rendu Home le plus célèbre c’était ses exercices de lévitation que seuls les plus grands médiums, et quelques yogis particulièrement saints des Indes, savent réaliser. Le médium était, en effet, très couramment, élevé en l’air au nez de tous les assistants. Il planait à plusieurs dizaines de centimètres du sol pendant quatre ou cinq minutes et il pouvait même s’élever jusqu’au plafond où il inscrivait des marques au crayon pour prouver aux spectateurs qu’ils n’étaient pas victimes d’une hallucination collective. Toutes ces séances spirites impressionnaient beaucoup la cour et les souverains qui ne pouvaient douter des pouvoirs paranormaux que le médium tenait de l’au-delà. C’est pourquoi ils accueillirent avec beaucoup d’angoisse la prédiction que leur fit un jour Home. Il leur annonça que leur fils Louis, le jeune prince impérial, ne règnerait jamais sur le trône de France. A cette nouvelle l’impératrice s’évanouit et l’empereur cacha mal sa tristesse sous un haussement d’épaules. La prophétie devait, pourtant, se révéler plus qu’exacte.

     

    Non seulement le prince impérial ne succéda pas à son père quand celui-ci dut abdiquer, en 1870. Mais le jeune homme devait périr neuf ans plus tard, dans des circonstances horribles. Engagé dans l’expédition anglaise contre les Zoulous, en Afrique, il fut blessé lors d’une reconnaissance et lâchement abandonné par ceux qui étaient chargés de veiller sur lui. Or, le jour même où le prince impérial tombait sous les flèches des sauvages, sa mère qui n’était plus qu’une souveraine veuve et en exil, fut soudain victime d’un étrange malaise. Ainsi qu’elle le raconta à sa dame de compagnie, Mme Lebreton qui lui faisait alors la lecture, elle sentit le frôlement d’une grande aile sur sa joue à laquelle succéda une accablante et inexplicable tristesse. Quelques semaines plus tard l’impératrice Eugénie apprit qu’elle avait ressenti cette funèbre impression à l’heure exacte où son fils agonisait à des milliers de kilomètres d’elle.

     

    La taverne de l'étrange- 14 février 2010

     

     

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    L'après vie : Faits & Témoignages 

    La taverne de l'étrange- 31 décembre 2009

     

     
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  • UN MORT PARLE SUR UN PLATEAU TV !

    EN DIRECT DES MILLIONS DE TELESPECTATEURS L’ONT ENTENDU

     

    Un mort a parlé à la télévision ! Il a raconté à son père, devant des millions de téléspectateurs bouleversés, quelle était sa vie dans l’au-delà. Cette histoire étonnante est arrivée le 3 septembre 1967 sur les écrans de la télévision canadienne. Et l’homme qui entendit ainsi les confessions de son fils, par delà la mort, était un lettré et un savant, le célèbre Monseigneur Pike, évêque épiscopalien de Californie, à l’époque des faits, connu pour ses positions contestataires au sein de son église et pour ses ouvrages sur les phénomènes psychiques ; celui qui disparut mystérieusement dans le désert qui entoure la mer Morte en 1969.

     

    C’est en raison justement, de son goût pour les phénomènes paranormaux que Mgr Pike avait accepté de se livrer, pour la première fois au monde, à cette extraordinaire expérience. Son fils James Pike s’était suicidé un an et demi plus tôt à New York, à l’âge de vingt-deux ans et, depuis, ses parents ne parvenaient pas à écarter l’idée qu’ils étaient peut-être un peu responsables de cette mort tragique. Pourquoi son fils avait-il décidé de se tuer ? Qu’avait-il pensé aux ultimes secondes de sa vie ? Où était-il désormais ? Pouvait-il garder quelque rancune contre ses parents dans l’univers qui était désormais le sien ?

    TOUTES CES QUESTIONS NE CESSAIENT D’AGITER L’EVÊQUE ET COMME IL CROYAIT A LA COMMUNICATION POSSIBLE AVEC LES MORTS, IL ACCEPTA DE TENTER L’EXPERIENCE EN DIRECT A LA TELEVISION.

    C’est un des plus célèbres médiums américains, Arthur Ford, qui fut chargé d’établir le contact entre le père et le fils. Ce médium extraordinaire avait déjà donné à plusieurs reprises aux Américains la preuve de ses étonnants pouvoirs. C’est pendant la Première guerre mondiale qu’il les découvrit : il connaissait, avant une bataille, la liste des soldats qui seraient tués. Depuis, Arthur Ford organise des séances publiques dans tous les Etats et il dévoile l’avenir aux assistants, sans jamais se tromper. Il est devenu le conseiller d’une foule de hautes personnalités américaines : sénateurs, généraux, ambassadeurs etc. qui vont toujours le consulter avant de prendre une grande décision. Il a déjà transmis aux vivants des messages d’autres morts, de John Kennedy qui s’est expliqué sur l’affaire de la « Baie des cochons » à Cuba et du grand prestidigitateur Harry Houdini. Il a dicté, à la veuve de ce dernier, un texte en code que seuls le prestidigitateur et sa femme connaissaient, et dont ils avaient convenu, tous les deux, pour se prouver la réalité de la survivance après la mort. Pourtant, l’une des particularités les plus sensationnelles d’Arthur Ford, c’est Fletcher, son double dans l’au-delà. Fletcher était un des camarades d’enfance du médium et il fut tué très jeune, en 1918.

    OR, UN JOUR DE 1924, ARTHUR FORD ETAIT ENTRE EN COMMUNICATION AVEC L’ESPRIT DE SON AMI ET CE DERNIER LUI AVAIT DECLARE : « SI TU VEUX, JE SERAI TON ASSISTANT DANS LE MONDE DE L’INVISIBLE. »

    Depuis, Arthur Ford et Fletcher font équipe, de part et d’autre de la mort. Le second se chargeant de découvrir, au royaume des morts, les esprits que les vivants demandent au médium de faire apparaître. C’est donc lui, une fois encore, qui servit à Arthur Ford d’intermédiaire entre Mgr Pike et son fils, au cours de la mémorable séance dans les studios de la télévision de Toronto, telle que la relate Martin Ebon dans ses « Dialogues avec les morts ». Face aux caméras, Arthur Ford s’assit, aux côtés de Mgr Pike sous la lumière crue des projecteurs. On lui banda les yeux pour lui permettre de se concentrer. Très vite, le médium entra en transes et, au bout de quelques minutes, la communication était établie avec Fletcher dont la voix, tout à fait différente de celle de Ford, et avec un léger accent français, s’exprima par la bouche du médium.

    « Pour qui est ce message, Fletcher », interrogea d’abord le speaker de la télévision ?

    « Il me semble que c’est pour un prêtre. Le jeune homme ne m’a pas encore dit son nom. Mais il s’agit du père et du fils… Il y aurait une histoire de mort violente dans la famille. »

    « C’est exact », répliqua l’évêque.

    « Il y a aussi, près de moi, un homme plus âgé que lui, reprit la voix de Fletcher. Il porte un nom biblique : Elijha ou Elijhe… C’était un vieillard très bon, très proche du jeune homme ».

    TOUS LES REGARDS SE TOURNERENT, INTERROGATIFS, VERS MONSEIGNEUR PIKE.

    « C’est vrai répliqua celui-ci. Elias était le nom du grand-père de Jim. Ils s’aimaient beaucoup ».

    « Il en est de même maintenant, reprit la voix d’outre-tombe. Le grand-père l’a précédé ici. C’est lui qui a expliqué à Jim pourquoi il s’était suicidé. »

    Il y eut un silence, puis la voix de Fletcher continua :

    « Jim veut absolument vous faire comprendre que ni vous, ni aucun membre de votre famille ne doit se considérer comme responsable de sa mort. Vous n’avez aucun reproche à vous faire. Son suicide est du uniquement a son caractère, au besoin d’autodestruction contre lequel il ne pouvait pas lutter ».

    « Oui, oui, merci Jim, murmure Mgr Pike, excessivement ému ».

    « Et il veut que vous sachiez qu’il a été heureux avec vous. Est-ce que vous n’avez pas séjourné avec lui à l’étranger ? »

    « Si, je suis allé en vacances à l’Université de Cambridge où il étudiait ».

    « Il en parle, répliqua Fletcher… mais, mais attendez, il y a un autre monsieur qui veut vous parler. Il dit qu’il était aussi à Cambridge… c’est Mac… Donald… Mac Kenney ou Kennon ».

    « Donald Mac Kinnon était professeur à Cambridge. Je l’ai bien connu et il m’a beaucoup influencé, coupa, très intéressé, Mgr Pike ».

    *

    Et la conversation se prolongea ainsi, pendant près de trois quarts d’heure. Fletcher, l’assistant du médium dans l’au-delà, parvint à réunir un grand nombre d’esprits que l’évêque avait connus de leur vivant. Tous lui donnèrent des preuves très précises- et qu’eux seuls pouvaient connaître- de leur identité. Après la séance, on put vérifier que certains détails inconnus étaient également authentiques. Fletcher, par exemple, avait prétendu que le professeur Mac Kinnon avait deux chats. On téléphona à Cambridge où ses proches révélèrent qu’à l’époque, en effet, le professeur ne quittait jamais ses deux chats. Alors Mgr Pike, bouleversé, conclut :

    « TOUT S’IMBRIQUE PARFAITEMENT, TOUS CES FAITS OUBLIES, TOUS CES DETAILS NE POUVAIENT ABSOLUMENT PAS ÊTRE CONNUS DU MEDIUM. J’AI VRAIMENT PARLE A JIM PAR-DELA LA MORT. »

    Et devant leurs récepteurs, des millions de téléspectateurs restaient abasourdis. Ils avaient pu, pour la première fois, assister à la télévision à l’extravagant dialogue d’un vivant avec un mort.

     

    Source- données personnelles/Mai 2009

     

    Aura2

     

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    Voici de nouveaux dessins envoyés par F. ce matin. Différent des premiers cela reste quand même un régal pour les yeux ! N'hésitez pas à laissez vos impressions cela lui fera plaisir !

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