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    Un Américain chanceux a remporté deux millions de dollars à un jeux de grattage. Il a remporté son premier million au mois de juin et son deuxième au mois de septembre.

     

     Ernest Pullen se considère «chanceux»... et plutôt deux fois qu'une. Cet Américain de 57 ans a gagné un million de dollars à la loterie en juin et deux autres millions en septembre, à chaque fois avec des jeux de grattage.

    La probabilité pour que cela se produise était pourtant infime. Il avait en effet une chance sur 2,28 millions de tomber sur un ticket gagnant au «$100 Million Dollar Blockbuster», et à peu près autant au «Mega MONOPOLY», selon John Wells, un responsable de la loterie du Missouri. Alors rafler la mise pour les deux? «C'est une coïncidence assez incroyable», souligne M. Wells, en expliquant qu'il est impossible d'en calculer la probabilité car il s'agit de deux jeux distincts. Militaire à la retraite, Ernest Pullen travaillait au service d'assistance d'une société de télécommunication lorsqu'il a gratté son billet gagnant en juin. Comme il a encaissé son lot en un seul versement, il a reçu 700.000 dollars (513.410 €) au lieu du million de dollars (733.377 €). Il a alors pris sa retraite mais a continué à jouer. Six ans plus tôt, il avait fait un rêve où il gagnait beaucoup d'argent et, raconte-t-il, son lot lui laissait une impression d'inachevé. Le ticket gagnant qu'il a acheté le 17 septembre va lui rapporter environ 1,3 million de dollars (953.366 €), parce qu'il a là encore refusé le versement par annuités. Cette fois-ci, Ernest Pullen considère que son rêve s'est entièrement réalisé. «Tous les numéros dont j'ai rêvé, tous mes chiffres porte-bonheur étaient sur le ticket», confie-t-il.

    Jamais deux sans trois? Le gagnant récidiviste pense en tout cas que la chance ne tombe jamais très loin: «Ma femme dit que c'est elle qui va gagner la prochaine fois».

     

    source : 20min.ch

     

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    LA TRANSMISSION DE PENSEE

     

    Le matin du 29 mai 1814, vers onze heures, alors qu’il se promenait dans les jardins surplombant la mer de son refuge de l’île d’Elbe, tout en bavardant de choses anodines avec le général Bertrand, Napoléon se mit à pleurer. Au général qui s’inquiétait de ce soudain accès de tristesse, l’empereur ne sut que répondre. Il ignorait tout à fait pourquoi les larmes lui étaient ainsi, soudain, montées aux yeux.


    Mais quelques jours plus tard, quand un messager arriva de France, Napoléon comprit tout de suite sa soudaine tristesse. A l’heure où il pleurait dans les jardins de l’île d’Elbe, à des milliers de kilomètres, la femme qu’il avait le plus aimée au monde, l’ancienne impératrice Joséphine, mourait dans son château de la Malmaison qui avait, jadis, abrité leurs amours.

    L’empereur Napoléon avait été ce jour-là, témoin et acteur d’un phénomène de transmission de pensée. Il n’est pas nécessaire d’avoir une personnalité aussi prodigieuse que celle du grand empereur pour être ainsi marqué. En réalité, presque tout le monde peut, à un moment ou à un autre, entrer soudain en contact avec un de ces mystérieux messages qui ne passent par le canal d’aucun sens. Oui, la transmission de pensée existe. Les savants eux-mêmes ont bien été obligés de le reconnaître. Ils lui ont donné le nom de télépathie (du grec télé : loin) et les parapsychologues qui l’étudient dans la célèbre Duke University de Caroline du Nord la font entrer dans le domaine des facultés Psi, c’est-à-dire des facultés extra-sensorielles qui ne passent par le canal d’aucun des cinq sens classiques : la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat. Dans la télépathie, tout se passe, en fait, comme si l’esprit d’un des protagonistes sortait de lui-même et, en faisant fi des kilomètres qui l’en séparent, pénétrait, à son insu, dans l’esprit d’un être qui lui est cher. Les médecins qui ont ausculté les télépathes, au cours des séances organisées par les instituts de recherche, ont d’ailleurs remarqué que l’on pouvait observer, à la même seconde, les mêmes modifications cardiaques, respiratoires et vaso-motrices sur les deux sujets. Ce qui prouve que les deux protagonistes sont bien en liaison, qu’ils sont bien placés sur la même longueur d’onde. C’est pourquoi, aussi, on a constaté dans les cas de télépathie spontanée que les messages étaient surtout transmis entre personnes affectivement très proches : un mari et une femme, un frère et une sœur, une mère et son enfant, et, surtout, les statistiques le prouvent : une mère et sa fille.

    Ainsi, dans une clinique de Moscou où les nouvelles accouchées sont installées dans un bâtiment séparé et assez éloigné de leurs bébés, on a remarqué que 45% au moins des mamans montraient des signes évidents de nervosité au moment même où, sans qu’elles puissent le voir ou l’entendre, à plusieurs dizaines de mètres de là, leurs nouveau-nés pleuraient. Ces manifestations télépathiques sont capricieuses, déroutantes. Pourtant, les spécialistes qui les ont, depuis de nombreuses années, analysées et comparées, ont pu retenir quelques lois principales présidant à leur apparition. Elles sont plus fréquentes chez les enfants et les adolescents. La plupart des enfants, d’ailleurs, accueillent ces manifestations comme des faits absolument normaux, d’une banalité quotidienne et n’en parlent pas. Cette faculté s’altère généralement avec l’âge pour disparaître souvent complètement. Ces manifestations affectent également davantage les personnes un peu frustes et même les simples d’esprit que les intellectuels. Elles préfèrent les caractères sensibles, les artistes, les poètes, les imaginatifs aux raisonneurs et aux esprits trop cartésiens. Elles sont beaucoup plus fréquentes dans le demi-sommeil. En particulier dans celui, léger, du matin, quand l’esprit du dormeur est à mi-chemin entre la veille et le sommeil. Elles s’opèrent pratiquement toujours en-dessous du seuil de la conscience. C’est pourquoi tant de gens confondent ces messages télépathiques avec des rêves et n’y prennent pas garde. On pense aussi, selon des observations récentes, que la fréquence et la qualité des messages télépathiques dépendent, curieusement, des facteurs météorologiques. Elles sont en relation avec certains rythmes terrestres et même cosmiques. Ce sont les sensations, les émotions qui se transmettent le mieux et rarement les messages d’ordre abstrait. Sans doute parce qu’il s’agit davantage d’un phénomène d’ordre émotionnel qu’intellectuel. On a, d’ailleurs, remarqué que le plus grand nombre de messages télépathiques avaient lieu dans des circonstances dramatiques : accidents, souffrances, mort.

    La Society for psychical research qui, à la fin du 19ème siècle, fut une des premières en Angleterre à s’intéresser aux problèmes de la télépathie remarqua ainsi que sur 668 cas qu’elle avait recensés, 399 avaient un rapport avec un évènement de mort. C’est, par exemple, ce cas typique, signalé par Sigmund Freud, d’une femme tchèque réfugiée aux Etats-Unis et qui, un jour de 1939, se sentit soudain prise d’une angoisse indescriptible. En une seconde, elle fut persuadée que sa mère, qui était restée dans son pays, venait de mourir. Son mari, ses amis essayèrent de la persuader qu’elle se trompait, que rien ne motivait une telle alarme. En vain. Et, deux jours plus tard, un télégramme arrivait, confirmant le sinistre pressentiment. Compte tenu du décalage horaire, sa mère était morte à l’instant même où elle avait senti monter cette inexplicable angoisse. Il semble qu’au moment de la mort, en effet, lorsque l’organisme physique s’affaiblit, l’agonisant dispose d’une force psychique décuplée qui lui permet d’adresser, par-delà les distances, un dernier message angoissé à l’être qu’il chérit le plus. C’est également ce qui peut se produire en cas d’accident grave. Un employé américain, M. Skirving, était parti très tôt de chez lui, comme chaque matin, pour se rendre à son travail. Or, il n’était pas à son bureau depuis une heure que, soudain, il fut pris d’une envie terrible de rentrer chez lui. Pendant une demi-heure, il lutta contre ce désir incongru qui l’empêchait de travailler. En vain. Il se décida alors à quitter son bureau et à rentrer chez lui où il s’attendait à trouver sa femme étonnée de le voir rentrer si tôt. Mais à peine eut-il poussé la porte qu’il se trouva nez à nez avec sa belle-sœur. Que faisait-elle là ? Elle lui apprit alors que sa femme avait été renversée, une heure plus tôt, par une voiture, qu’elle était gravement blessée et qu’elle ne cessait de le réclamer à grands cris, dans sa demi-inconscience. M. Skirving comprit alors le brusque désir de partir qui l’avait saisi et il ne le regretta pas.

    Tous les savants ont également remarqué que les messages télépathiques étaient particulièrement nombreux et très clairs entre frères ou sœurs jumeaux. Comme si les liens du sang, particulièrement étroits chez eux, rapprochaient davantage leurs esprits. Deux sœurs jumelles qui avaient, pourtant, été séparées depuis l’âge de deux mois et qui vivaient à des centaines de kilomètres de distance, étaient ainsi toujours atteintes de douleurs étranges quand l’autre était malade. Elles avaient pu vérifier d’exactitude de ce phénomène à travers les lettres qu’elles échangeaient. Or, un soir, l’une d’elles fut prise d’une crise particulièrement violente qui la plia en deux dans des hurlements, à la manière des coliques néphrétiques. Appelé d’urgence, le médecin ne décela pourtant aucun trouble. Un parent de la jeune femme lui parla alors de la curieuse association qui semblait unir les deux jumelles, ce qui fit éclater de rire le médecin. Le lendemain, pourtant, quand il revint, il trouva sa patiente guérie. Mais un télégramme était arrivé, annonçant la mort de sa sœur, la veille au soir ! Tous les messages télépathiques, heureusement, ne sont pas aussi sinistres. Il en est de beaucoup plus agréables et  qui simplifient, quelquefois, la vie de ceux qui en sont les bénéficiaires. Ainsi, Elizabeth Smithson ne téléphonait jamais à son frère quand elle avait décidé d’aller dîner avec lui. Pas plus qu’elle ne lui écrivait ou ne lui télégraphiait. Elle se contentait de prendre le train dans sa petite ville du Connecticut, distante d’une dizaine de kilomètres de l’endroit où habitait son frère Allan, un jeune agronome. Elle sonnait et la porte s’ouvrait, découvrant la table mise avec son couvert. Allan ne se montrait jamais étonné de l’arrivée impromptue d’Elizabeth. Il savait qu’elle allait venir et il l’attendait. Cela durait depuis des années. Une telle anecdote n’étonnerait pas les moines du Tibet. La télépathie, en effet, est utilisée chez eux depuis des millénaires pour communiquer d’un moine à un autre ou d’un monastère à un autre. Et l’invention de notre téléphone n’est pour eux qu’une imitation malcommode de cette faculté… et qui peut tomber en panne !

    En fait, il semble bien que la faculté de communiquer directement d’un cerveau à un autre soit inhérente à la nature humaine, que nos ancêtres la possédaient à un très haut niveau, mais que nous l’avons perdue peu à peu. Et que le fait de se servir désormais d’instruments de communication électriques comme la TSF ou le téléphone ne fait qu’aggraver cet oubli au fil des ans. Les hommes primitifs, on en est sûr, étaient bien meilleurs télépathes que nous. Certains saints chrétiens étaient également réputés pour les messages télépathiques : Saint-Thomas d’Aquin, le curé d’Ars et plus près de nous, le padre Pio. On dit aussi que Jeanne d’Arc avait une très grande maîtrise de la transmission de pensée et qu’elle aurait convaincu le dauphin de la sainteté de sa mission, lors de l’entrevue de Chinon, en lui répétant mot pour mot une prière qu’il avait souvent faite dans le secret de son âme et qu’elle aurait « captée ». Un phénomène aussi fréquent et aussi étonnant que la télépathie ne pouvait manquer d’intéresser les savants. Et c’est pourquoi, pour l’étudier, ils ont essayé de la provoquer sur des sujets sélectionnés en laboratoire. Soit à l’aide de cartes dites de Zener dont il faut deviner les dessins, soit en faisant deviner des objets ou des dessins. Mais parallèlement, d’autres savants ont été plus loin et ils ont tenté des expériences à distance, dans la nature. Ainsi, en 1937, un scientifique américain, Hubert Wilkers, partait en expédition vers le pôle. Il décida de tenir son journal tandis qu’un de ses amis, Sherman, resté à New-York, essayerai, chaque jour, d’entrer en contact télépathique avec lui et consignerait, au fur et à mesure, les impressions qu’il recueillerait. Un an plus tard, au retour d’Hubert, on compara les deux journaux de bord et on resta confondu devant le nombre de coïncidences extraordinaires. Sherman avait vu, un jour, son ami en compagnie de militaires. Il était en habit, au milieu d’une grande assemblée. Ce qui était étonnant pour quelqu’un qu’on supposait perdu au milieu des glaces du Grand Nord. Mais à la même date, l’explorateur racontait qu’à la suite d’un atterrissage forcé dans le Saskatchewan, il avait été invité à une cérémonie pour commémorer l’Armistice. Et qu’il avait dû emprunter un habit à l’un des militaires de la base. Un autre jour, Sherman avait écrit : « Il fait nuit. Je vois un feu vif. Il fait froid. Il y a beaucoup de vent. » A quoi cela pouvait-il correspondre ? On trouva la réponse dans le journal de Wilkers. Ce jour-là, le 7 décembre, il expliquait qu’une cabane d’esquimaux avait pris feu et qu’il avait participé au sauvetage.

    Depuis, ces expériences ont été reprises, tant chez les Russes que chez les Américains, dans des buts stratégiques, très clairs. Ainsi, dans les années 60, un marin resté à terre, a communiqué à l’aide de cartes de Zener, avec un de ses camarades, embarqué sur le Nautilus, le sous-marin atomique américain qui part pour de longues missions sous les glaces du pôle et reste, ainsi, de longs jours sans contact radio avec sa base. En dépit de la glace, de l’eau, des tôles épaisses du sous-marin et de la distance, les résultats furent bons à 70%. Lors du vol Apollo 14, l’astronaute E. Mitchell, passionné par les phénomènes paranormaux, renouvela l’expérience en communiquant chaque jour, cinq minutes, avec quatre receveurs à terre. Il s’agissait de sélectionner certains chiffres dans des colonnes établies à l’avance. Les résultats furent gardés secrets, mais on sait qu’ils furent excellents.

    Petit rappel : Le 23 juillet 1959, le Nautilus, premier sous-marin atomique américain opérationnel, entreprenait une longue croisière d’essai sous les ordres du commandant Mitchell. Battant tous les records de navigation en plongée, il réalisait en outre l’exploit de traverser la banquise arctique de part en part, passant sous les glaces à la verticale du pôle. A l’époque, toute la presse internationale salua cette performance comme il se devait. Mais bientôt cette expédition devait révolutionner le monde fermé de la parapsychologie. Les journaux révélèrent en effet ce détail étonnant : enfermé dans une cabine à l’abri des regards indiscrets de l’équipage, officiers compris, un télépathe serait resté en contact mental avec un autre télépathe basé à 2500 km du pôle ! L’expérience peut-être décrite ainsi d’après les informations qui ont filtré : un « agent » (émetteur) du Westinghouse Special Research Center de Friendship, aux Etats-Unis, tirait l’une après l’autre des cartes Zener (un carré, un cercle, une croix, une étoile, trois lignes ondulées) en se concentrant mentalement sur les figures obtenues. A bord du submersible, le « récipient » (récepteur) s’efforçait de trouver l’ordre de tirage des cartes. Les résultats positifs furent de 70% alors que le simple hasard n’aurait donné que vingt chances de réussite sur cent, ainsi que nous l’apprend le calcul des probabilités.

    « La télépathie est-elle une arme secrète ? La P.E.S (perception extra-sensorielle) jouera-t-elle un rôle dans la guerre future ? » « Les militaires américains ont-ils percé le secret de la puissance de l’esprit ? » Tels sont les titres que l’on put lire dans les journaux de l’époque. Cependant, il y eut aussitôt des échos discordants. Chaque fois que des porte-parole de l’U.S. Navy étaient interrogés sur ce sujet, ils répondaient invariablement : « No comments ! »

    Et plusieurs amiraux ont été formels : « Personne dans la marine ne s’est jamais occupé de télépathie ». Ajoutons une autre pièce au dossier. Le défunt commandant Cousteau était un ami du commandant Mitchell. Voici quelques années, il déclara publiquement que toute cette affaire était un canular monté par son camarade. Qui croire ? La marine américaine a-t-elle l’habitude de confier un engin unique, valant plusieurs millions de dollars, à un plaisantin ? Le commandant Mitchell a donc menti, mais quand ? En démentant la présence du télépathe ou auparavant, en parlant de sa présence à bord ? Quant au commandant Cousteau, c’est un pionnier de la recherche océanographique, mais certains de ses travaux ont une importance stratégique indéniable. N’a-t-il pas été conduit à inventer de toutes pièces la version du canular pour dissuader des curieux de s’intéresser à certaines recherches ? Aucune réponse satisfaisante n’a encore été donnée à ces questions, et c’est bien dommage. Toutefois, les spécialistes ne prennent pas au sérieux ces dénégations. Aux Etats-Unis, la presque unanimité des parapsychologues sont persuadés de la réalité des expériences de radio mentale à bord du Nautilus. Il en va de même en Russie et que le commandant Cousteau l’admettre ou non, cela c’est quand même un argument de poids !

    Les Russes font d’ailleurs bien plus qu’y croire. C’est lorsque la presse a parlé de l’expérience américaine que le coup d’envoi de la recherche parapsychologique a été donné en Russie. Et, depuis, les savants travaillant pour le haut état-major mettent les bouchées doubles pour rattraper le retard. Détail révélateur, quand le biologiste Naumov a rencontré les Américains Ostrander et Schroeder, il leur a déclaré en toute candeur : « Si votre marine n’a pas effectué d’expériences à bord du Nautilus, dans ce cas, les savants russes ont été les premiers au monde à expérimenter la P.E.S. à bord d’un sous-marin. » On peut comprendre que les militaires américains aient désiré conserver pour eux le secret sur leurs recherches. Mais, maintenant que ce secret a été percé à jour par les Russes, il n’y a aucune raison pour que l’immense public passionné par la parapsychologie soit privé d’informations. Oui, ce mystère qui entoure le Nautilus est vraiment ridicule !

    En réalité, les savants et les responsables de la défense ne cachent plus aujourd’hui leur intérêt pour ce pouvoir étonnant que possède l’homme et dont il se sert si peu : la télépathie. Un observateur militaire américain ne l’a pas caché à la suite du voyage du Nautilus. « Nous voulons savoir, a-t-il dit, si l’énergie émise par le cerveau des hommes peut influencer à distance le cerveau d’un autre être humain. Si nous parvenons à définir la véritable nature des ondes de la télépathie, nous pourrons alors nous efforcer d’amplifier ce phénomène et l’utiliser à des fins qui semblent encore inimaginables. »

     

    Source- recherches personnelles, mai 2009

     

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  •   LA TELEPATHIE AVEC L’INFINI

    COMMENT DONC DES GENS ONT-ILS PU DECRIRE DES PHENOMENES SCIENTIFIQUES INCONNUS A LEUR EPOQUE ?

     

    On ne trouve qu’une expression pour qualifier ces extraordinaires évènements, celle de « télépathie avec l’infini ». Il s’agit, mieux que de messages, de textes volumineux transcrits très vite, en une forme quelconque d’écriture automatique, par des êtres qui ne savaient rien, au départ, du sujet abordé ou de la foule de thèmes ainsi développés. Chaque cas de ce genre s’entoure d’un certain romanesque qui suffirait à rendre toutes choses suspectes. Seulement les textes sont là avec leurs révélations, leurs données scientifiques que les progrès enregistrés, ensuite, dans les divers secteurs de la recherche, viennent toujours confirmer dans leur intégralité.

     

    Voyons l’aventure du Dr Newbrough et son prodigieux apport à la connaissance. Ce dentiste américain vivait à New York au XIXe siècle. Un matin d’hiver de 1880, alors qu’il faisait encore sombre et qu’il n’y avait personne d’autre que lui dans sa chambre, il fut tiré de son sommeil « comme par une main, dit-il, qui m’aurait touché l’épaule. » Il vit que la pièce était éclairée par les faisceaux d’une lumière qui ne partait d’aucune source et il entendit une voix lui ordonner : « Va t’en acheter une machine à écrire. »

    La dactylographie n’en était, à cette époque, qu’à ses tout premiers cliquetis ; et, de telles machines, il n’y en avait que trois à vendre dans tout New York. Le Dr Newbrough s’en fit livrer une. Il ne savait pas taper, cela va de soi ; personne, autant dire, ne savait encore le faire. Mais une force mystérieuse prit comme possession de lui, l’obligea à s’installer devant le clavier et à pianoter… à une cadence de 1200 mots à l’heure. Il délaissa dès lors ses daviers et tire-nerfs pour se consacrer à ce nouveau travail, à cette longue rédaction que « la force » lui dictait. Cela dura des années. Il obtint, au bout du compte, un manuscrit fort épais, celui d’un livre dont le titre lui fut également imposé : « Oahspe ».

    C’est une histoire de système solaire fort en avance non seulement sur les connaissances du XIXe siècle en la matière mais sur celles, même, de la science actuelle. On y trouve révélées et décrites, notamment, les ceintures de radiations qui entourent notre globe, ces fameuses « ceintures de Van Allen » qui ne seraient découvertes que beaucoup plus tard par les satellites artificiels. Comment expliquer ce phénomène de réception automatique de messages très longs, complexes et cohérents ? On a envie de dire qu’il se diffuse quelque part dans l’univers une « heure de culture galactique » analogue à nos programmes éducatifs de radio et de télévision, et que quelques humains disposent de l’étrange pouvoir de la capter, non en simples auditeurs mais en se faisant eux-mêmes appareils de réception. Le cas le plus récent que l’on connaisse est celui d’un médium qui écrivit sans rien comprendre l’énorme série d’ouvrages connue sous le nom d’ « Encyclopédie d’Uranta. »

    Mais un autre, plus célèbre, l’avait précédé, celui de Mme Blavatsky et de ses deux livres fort longs : « Isis dévoilée » et « La Doctrine secrète. » Cette Mme Blavatsky était née en Russie le 30 juillet 1831. Quant à ses fameux livres, elle les a prétendus tirés d’un ouvrage ancien apporté sur Terre par des habitants de Vénus. Elle ajoutait que ces visiteurs avaient mis à profit le même voyage pour donner à notre planète ces précieux auxiliaires : le feu, l’arc et le marteau. Le nom de ce volume vénusien ? Les « Stances de Dzyan ». Mme Blavatsky ne put jamais le montrer, hélas, à qui que ce soit. Aussi préféra-t-elle, ensuite, invoquer une autre origine. Elle prétendit que ses gros messages étaient, en réalité, ceux d’un « initié », un ermite de l’Himalaya nommé Kout Houmi Lal Sing. On ne réussit pas davantage à joindre ce personnage. Grosse farce que tout cela, donc ? Pas en ce qui concerne les deux livres, en tout cas. Ils sont bien là et ce qu’ils contiennent a de quoi stupéfier. On y trouve des données scientifiques que nul humain ne connaissait à l’époque où ils furent écrits. La structure des comètes, par exemple, et même la définition et description de l’énergie nucléaire. Et aussi l’antigravitation, ce qui n’est plus en avance sur le XIXe siècle seulement mais sur le temps même que nous vivons. Si l’on s’en tient aux récits vérifiables, il y a au moins 100 sinon 150 données scientifiques précises et confirmées dans les livres de notre aventurière, des connaissances qu’elle n’avait pu, de toute évidence, acquérir par l’étude. A mesure que le temps passe, ce bilan s’accroît, d’ailleurs ; de nouvelles « prophéties » sont vérifiées par l’évènement, ou, en l’occurrence, le progrès. Mais on s’interroge toujours sur la source de ces fabuleux renseignements, ces écrits parfois effrayants dans leur simplicité même et qui font dire à l’écrivain américain H. P. Lovecraft :

    « Les théosophes annoncent des choses qui glaceraient le sang de terreur si elles n’étaient pas énoncées avec un optimisme aussi désarmant que béat. »

    Ce cas de Mme Blavatsky est certainement le plus extraordinaire de tous les exemples de « télépathie avec l’infini ». Mais il y en a bien d’autres. Et tous les documents d’aussi mystérieuse origine comportent quelques points communs. Tous insistent, par exemple, sur un vaste continent qui, un jour, disparut : il s’appelle Pan dans les écrits du Dr Newbrough, Atlantide dans ceux de Mme Blavatsky, Mu dans quelques autres. Tous aussi, parlent abondamment de Jésus. Et pour citer des épisodes de ses « années perdues » c’est-à-dire celles dont aucun Evangéliste n’a traité et que nul historien n’a pu reconstituer, fut-ce très partiellement. On trouve ainsi des centaines de pages qui parlent de voyages de Jésus au Tibet, au Japon et même en Amérique du Sud. Autres points communs : tous parlent de civilisations aujourd’hui disparues et qui furent en avance sur celles que nous connaissons ou avons répertoriées. Impossible, on le voit, de croire à de simples coïncidences. Mais où se situe la source de ces informations communiquées à certains et transcrites de leur main ? Mystère, toujours, et plus épais que jamais. On en vient forcément à se demander si les grands livres des religions, et plus spécialement la Bible et le Coran, ne sont pas de semblable origine. Et l’on pense davantage encore au livre sacré des Mormons, un message bien récent puisqu’il ne remonte qu’à 1827.

    Télépathie, donc, c’est bien la seule hypothèse que nous puissions retenir dans l’état actuel… de notre ignorance, puisque l’existence de ce surprenant mode de communication est scientifiquement démontrée. Quant aux hypothèses d’ « émissions de culture galactiques », constatons qu’elles sont maintenant prise aux sérieux dans les milieux de recherche les plus officiels (lire le livre du Dr Jacques Vallée, Le Collège invisible chez Albin Michel).

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    En 1934, s'éteignait l'homme le plus chanceux aux jeux, à tel point que les directeurs de casinos le payaient pour qu'il ne joue plus ! Charles Brigg-Karrer fut l'exemple type de la personne chanceuse aux jeux : "Une petite voix intérieure me dit tout simplement un chiffre et c'est le bon numéro. Il m'arrive de me tromper mais c'est rare." C'est ainsi qu'au début du siècle, ce jeune américain, issu d'une famille modeste, devint la coqueluche de tous les salons pour finir comme une véritable curiosité nationale ! On le traita bien sûr de tricheur, on prétendit qu'il avait des complices, mais toutes les enquêtes menées par la police restèrent sans résultat. On tenta même de le supprimer, il échappa à de nombreux attentats ! Et en 1922, les plus grands directeurs de casinos des USA se réunirent et convoquèrent Charles et lui annoncèrent qu'ils préféraient lui payer une rente mensuelle confortable à condition qu'il accepte de ne plus mettre les pieds dans leurs casinos !

    Charles Brigg-Karrer hésita car il aimait bien jouer et parce que la solution qu'on lui proposait lui donnait l'effet de voler son argent au lieu de le gagner. Mais il finit quand même par accepter. Mais le 27 juillet 1934, cet homme touché par la grace divine mourut étrangement. Un mois après son mariage, il se leva en pleine nuit, ouvrit la fenêtre de sa chambre, et se jeta du 32ème étage malgré les cris de sa femme ! Cette dernière hérita de 23 millions de dollars, ce qui somme toute était une somme assez rondelette en 1934 ! Malheureusement elle mourut quelques mois plus tard dans un accident de voiture et cette fortune colossale disparut à tout jamais. Personne à ce jour n'a été capable de mettre la main dessus ! Cette histoire assez extraordinaire pourrait laisser supposer qu'à toute chance hors du commun, correspond un revers de médaille. C'est bien évidemment une idée fausse !

     


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