• Le gouvernement anglais réclame l’anneau de Jeanne d’Arc

     Le parc vendéen du Puy du Fou avait acheté le 26 février cet anneau attribué à la Pucelle d’Orléans et l’a présenté au public ce dimanche. Mais les Anglais veulent le récupérer. Et un nouveau rebondissement, un ! La saga de l’anneau de Jeanne d’Arc se joue décidément en plusieurs épisodes et avec un certain sens du suspense, depuis plus de trois semaines.

    Ce dimanche, à l’occasion de la présentation publique de cet anneau acheté lors d’une vente aux enchères à Londres le 26 février 2016 — pour près de 377 000 € — plusieurs milliers de personnes avaient fait le déplacement dans la cour du château du Puy du Fou.

     

    Et c’est Philippe de Villiers, conscient de son effet, qui a douché l’enthousiasme, pendant son discours. « Un élément nouveau nous arrive du Royaume-Uni. Le gouvernement anglais a adressé à notre avocat une demande inouïe  : le retour de l’anneau à Londres ». Stupeur générale et bronca. « On nous dit que le conseil national des arts (The Arts council of England, grande autorité culturelle, NDLR) considère que cet objet fait probablement partie, je cite, des objets à haute valeur symbolique nationale et qu’à ce titre, il devait être soumis à une législation particulière. »

    Selon cette demande, le Puy du Fou aurait dû passer par l’obtention d’une licence d’exportation, prévue par un règlement européen. « Nous avons vérifié ce fameux règlement, reprend Philippe de Villiers. Il dit que les biens culturels sont soumis à une licence d’exportation s’ils franchissent les frontières de l’Union européenne. Dans l’esprit des Anglais, il y a donc un Puy du Fou exit, qui signifierait que nous serions hors de l’union européenne. Ça n’est pas du tout notre intention. »

    Le gouvernement anglais réclame l’anneau de Jeanne d’Arc

    Le Puy du Fou, qui prépare actuellement un grand spectacle, dans le nord-est de l’Angleterre, dont la première débutera en juillet, assure ne pas vouloir se fâcher avec les sujets de Sa Majesté. « Nous porterons notre réponse au gouvernement anglais demain. » Mais pas question pour autant de rendre l’anneau. « Messieurs les Anglais, si vous voulez voir l’anneau, welcome to the Puy du Fou, conclut Philippe de Villiers, en anglais dans le texte. Pour le reste, it’s too late. »

     

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  • Cette sculpture colossale du 16e siècle a des pièces cachées à l’intérieur
     
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    Cette sculpture colossale épique d’un homme dans une montagne a été créée à Florence vers la fin des années 1500 par le sculpteur de renommée italien Giambologna en tant que symbole des montagnes rocailleuses Appenine d’Italie.
     
    La statue renferme un magnifique secret – l’intérieur est constitué de plusieurs pièces avec différentes fonctions qui donnaient vie au colosse. Il est cru que l’espace dans sa tête fût conçu pour un foyer qui, lorsqu’allumé, expirait de la fumée de ses narines.
     
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    Le monstre qu’il tient dans sa main gauche crachait de l’eau d’un ruisseau souterrain.
     
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  • super héros
    Le Huffington Post/saltlakecomiccon.com - Le Salt Lake City Comic Con tente de battre le record du plus grand rassemblement de cosplays.
     
    COMIC CON - Les fans de comics ne sont jamais à court d'idées lorsqu'il s'agit de se déguiser. Pour le prouver, le Salt Lake City Comic Con les invite à battre le record du monde du plus grand rassemblement de cosplays le 26 septembre.   Si le Salt Lake City Comic Con est devenu en 2013 le Comic Con le plus fréquenté du monde lors son inauguration avec plus de 70.000 participants selon Forbes, ce n'est donc pas le seul record que la convention entend battre. L'événement prend toutes les précautions pour s'assurer cette nouvelle performance. Les participants de la prochaine édition, se tenant du 24 au 26 septembre 2015, sont formellement invités à enfiler le costume de leur héros préféré pour donner place au plus grand rassemblement de l'histoire mais la convention biennale (elle se tient en avril et en septembre), a exposé sur son site internet les conditions nécessaires pour que le record puisse être officiellement enregistré.   Pour pouvoir être comptabilisés par le Guiness Book, les participants doivent se déguiser en un héros apparu en premier dans un comics, et ne pas incarner un héros inventé. Une liste de héros a en outre été publiée sur le site. Par ailleurs, les participants doivent au préalable s'enregistrer de manière gratuite sur le site officiel.   L'échec de Washington   super heros2   Le précédent record avait été établi dans la ville de Changzhou en Chine qui avait rassemblé 1530 personnes en 2011. La ville de Washington avait ensuite essayé de battre ce record lors de son Awesome Con le 18 avril 2014. Un échec, avec seulement 237 personnes comptabilisées, mais des clichés magiques à la clé.   Films-Superman-31675
    https://fr.news.yahoo.com/super-h%C3%A9ros-%C3%A0-salt-lake-084811253.html
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  • 6ae09ad61008b29d1f3056806a26ccf0-l
     
    Toutes les œuvres d’art ne sont pas accrochées sur les murs des musées au milieu d’objets anciens. En fait, on peut trouver des œuvres d’art incroyables dans les rues du Portugal. Le Portugal est connu comme le berceau des graffitis, et il y a tellement d’artistes au même endroit, qu’il faut vraiment être très talentueux pour être reconnu comme l’un des meilleurs en graffitis. Odeith, un artiste de rue portugais très doué qui crée des graffitis 3D qui semblent littéralement flotter dans les airs, est l’un des meilleurs. Sa maîtrise de l’art anamorphique et de la perspective est tout simplement stupéfiante. Passez plusieurs minutes à contempler son art, car c’est le temps nécessaire pour analyser et percer à jour le mystère de ces merveilleuses œuvres d’art. Découvrez son merveilleux travail ci-dessous !  
     
    Des graffitis en 3D magnifiques:  
     
     
     
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    Chaque œuvre est remplie de détails et d’illusions qui prennent du temps à admirer. Remarquez à quel point ses œuvres semblent projeter des ombres et donner de la lumière, rendant la qualité 3D de son travail d’autant plus spectaculaire.   Dans une interview avec Bored Panda, Odeith a révélé : « j’en avais assez des lettres en 3D conventionnelles donc j’étais toujours à la recherche de quelque chose d’original. J’ai fait ressortir un morceau de lettre du mur. Depuis, j’essaie toujours d’atteindre un nouveau niveau. » Et Odeith a certainement atteint un nouveau niveau avec ses dernières œuvres d’art de rue.  
     
     
     
     
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    Né en 1976, Odeith a pris sa première bombe au milieu des années 80. Pourtant, il ne s’est découvert une passion pour les graffitis que dans les années 90, et c’est au même moment qu’a eu lieu le boom de l’art de rue au Portugal.   Il a commencé tout petit à esquisser des œuvres d’art sur les murs des rues locales et les voies ferrées. Il a révélé son talent bien avant d’avoir pu créer de grandes fresques à Damaia, Carcavelos, ainsi que dans d’autres quartiers, dont Santa Filomena, Cova da Moura et
    6 de Maio.  
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    Dès le début Odeith a montré un grand intérêt pour les ombres, qu’il a commencé à appeler « 3D sombre. » Son objectif général est de créer des images et des messages qui se distinguent par leur réalisme, ainsi que des compétences techniques.   Odeith explique comment son travail a évolué et grandi au fil des ans. Si vous comparez son travail du début à son art de rue d’aujourd’hui, vous pouvez voir les changements à la fois dans son art et son style avec les années qui passent.  
     
     
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    “J’ai quitté l’école à l’âge de 15 ans, et je n’ai jamais suivi de cours d’art. Je crois que chacun peut faire ce qu’il désire, il suffit de le vouloir vraiment.”  
     
     
     
     
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    Travailler avec de la bombe aérosol n’est pas l’outil le plus facile, et il faut beaucoup de pratique pour y arriver. Odeith explique : « Cela prend beaucoup de temps avant d’atteindre un niveau de perfection élevé. Pour beaucoup d’artistes, la bombe aérosol est un casse-tête, car il est difficile d’obtenir le résultat que l’on recherche. »   
     
     
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    Voici ce que conseille Odeith à ceux qui désirent réaliser leurs rêves, « Si vous êtes un rêveur, n’abandonnez jamais vos rêves. Et parfois, il faut attendre quelques années pour gagner en crédibilité. » Il a fallu un certain temps à Odeith, mais aujourd’hui il a certainement acquis une crédibilité dans son domaine. Il a maintenant un portefeuille complet de projets de grande envergure avec des noms tels que Coca-Cola, Samsung, Londres Shell, et beaucoup d’autres.
     
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  • IL N’Y A PLUS DE SAISONS

    UNE REFLEXION QU’ON AURAIT PU FAIRE A TOUTE EPOQUE

    les saisons
     
    A l’aube du 11 novembre 1076, l’hiver saisit l’Europe  dans ses tenailles. Le froid arriva  sans crier gare. En quelques heures le Rhin, à Strasbourg, fut gelé, permettant aux voituriers de franchir le fleuve sans emprunter les ponts. D’une rigueur tout à fait exceptionnelle le froid, sans désemparer, s’obstina jusqu’au mois de mars de l’année suivante. Il faudra attendre 1150 pour retrouver un hiver si féroce que la mer du Nord se trouva gelée jusqu’à trois milles de nos côtes.

     

     

    Ces anomalies ne sont certes pas originales mais il est difficile, faute de pouvoir remonter assez loin dans le temps et surtout par manque d’informations, de saisir le mécanisme mystérieux commandant les coups de folie de la nature. Au-delà d’un siècle, on ne trouve pratiquement rien de  sérieux. Pour collationner les faits, il a été nécessaire de compulser maintes archives, des chroniques familiales aux registres des impôts qui faisaient ressortir les bonnes ou les mauvaises récoltes, en passant par les registres paroissiaux dans lesquels les curés de l’époque notaient tous les événements marquants de l’année en cours, mettant en relief les anomalies saisonnières lorsque celles-ci avaient une importance particulière.

     

    Après le très dur hiver de 1150 aucun texte biographie ne parle plus de rien. Mais voilà qu’en 1407 le général Hiver ouvre de nouveau les hostilités. En quelques heures un froid très vif fera grelotter la France entière. Il est vrai qu’à cette époque les moyens de chauffage, lorsqu’ il y en avait, étaient plutôt rudimentaires.

    En 1494 le froid se déplaça vers le sud. En Italie le port de Gênes est tout bonnement pris dans les glaces le jour de Noël au  grand dam des Génois qui  n’en croyaient pas leurs yeux. En contrepartie et certainement pour se faire pardonner, dame Nature octroya à l’an 1495 un hiver très doux et en 1505 un hiver encore plus tendre puisque les roses se mirent à fleurir en janvier. Las de cette mesure de clémence, 1506 paiera les pots cassés. Juste retour des choses, la mer gèlera à Marseille. En 1540 ce sont les vignes qui gèleront sur pieds à Montpellier un 23 mars. En 1557 Arles contemplera le Rhône pris par les glaces sur sa largeur et les oliviers de Provence mourront par centaines durant les terribles hivers de 1565, 69, 71, 73, 87, et 1595.

    Ce nombre impressionnant d’hivers rigoureux durant la seconde moitié du XVIe siècle jusqu’au début du XVIIe s’est traduit en France, par l’avance spectaculaire des glaciers alpins détruisant autour de Chamonix maints chalets et hameaux. L’épouvante se prolongea lorsque les malheureux habitants, qui n’y comprenaient plus rien, s’aperçurent que l’été ne parvenait pas à stopper l’avance des glaciers qui, tels des bulldozers, emportaient tout dans leur marche silencieuse. Là encore il aurait été fort intéressant de comptabiliser toutes les températures atteintes lors de ces offensives hivernales hors du communs mais hélas, à cette époque l’emploi du thermomètre était fort peu étendu. Ce n’est qu’en 1709 qu’on prendra l’habitude de mesurer les assauts du temps. Cette année-là le thermomètre accusa moins 23 degrés à Paris. On notera de très basses températures en 1870, en 1873, en 1879 où on enregistra moins 33° à Langres, et moins 27° à Commercy et moins 25° à Paris. La ronde des hivers très rigoureux se poursuivit allégrement : moins 25° à Limoges en 1893, des températures extrêmement basses en 1917, 29, 54, 56, et 1967.

    Mais à ces périodes de grande froidure il est encourageant de comptabiliser les époques de très grande chaleur. En 1303 la Seine et Oise, aux alentours de Paris, se trouvaient à sec. Cette année se singularisa par une folle course à l’eau, sources, puits et ruisseaux se trouvant taris. L’an 1504 enregistra une sécheresse exceptionnelle. A Paris la chaleur fut telle que le thermomètre de Cassini et de La Hire éclata. En 1707 nouvelle offensive. Cette fois les animaux qui paieront de leur vie cette insolation exceptionnelle. La France « crèvera » de faim en 1709, les récoltes ayant été brûlées sur pied par un ensoleillement implacable de longue durée. Une accalmie s’ensuivra. On ne retrouvera de telles températures caniculaires qu’en 1790, en pleine Révolution.

    Que faut-il déduire de ces colères intempestives ?

    On sait que le climat actuel de nos régions ne date pas d’une période fort récente, six ou sept mille ans environ. On a déterminé d’autre part que notre pays avait été influencé auparavant par des périodes très froides, à preuve la découverte dans les grottes préhistoriques d’ossements de mammouths et d’ours, animaux particulièrement adaptés aux pays froids et aujourd’hui disparus. Dernière constatation : si, à fin de comparaison, nous prenons le temps qu’il a fait durant les 10 ou 20 années écoulées et le mettions en parallèle avec le temps qu’il faisait il y a cent ans, nous ne relèverions aucune différence notoire.

    Pendant un certain temps on avait misé, pour tenter une explication sur la cause des intempéries exceptionnelles, sur l’état des masses d’air situées aux pôles. Il est exact qu’on les connaissait très mal mais aujourd’hui, alors qu’il semble que ce mécanisme soit parfaitement interprété, la probabilité d’y trouver une explication s’amenuise de plus en plus C’est dans une direction toute autre que les recherches se dirigent maintenant. Sachant que la terre, sans interruption, est bombardée par des particules venues du Soleil ; que les particules sont plus nombreuses et plus agressives durant certains cycles où l’activité magnétiques du soleil est plus forte ; et que l’arrivé de ces particules « suractivées » agresse à son tour la haute atmosphère, il reste à élucider le pourquoi et le comment de cette réaction puis à déterminer quelle influence ceci ou cela peut avoir sur le déroulement cyclique des saisons. De nos jours, sans répit, des centaines d’appareils hautement sophistiqués transmettent des milliers d’informations à la seconde.

    En attendant, le temps semble suivre des alternances dont on n’a pas encore percé les lois. Longtemps on a cherché à mettre en évidence le cycle de 11ans dans l’activité solaire, mais peu à peu les météorologues abandonnent cette piste. La fin du XVIe siècle a été marquée par un notable refroidissement. Le début du XXe par un sensible réchauffement. Mais maintenant au début du XXIe siècle nous venons de trouver la raison. Notre pollution de notre monde moderne enfin le peuple de la planète est responsable, toute notre activité industrielle et en est la cause. Les scientifiques ne disent pas tout au monde, il existe dans la haute atmosphère des trous où s’échappe notre pollution, et cela depuis la nuit des temps ? De plus les Astronomes depuis 30 ans d’observations du système Solaire, se sont aperçu que plusieurs planètes de notre groupe ont perdues une importante partie de leur calotte glacière ?

    Donc notre réchauffement actuel serait dû à notre Etoile « Notre soleil », une

    Déclaration officielle serait catastrophique pour la population, avec une panique qui pourrait sans découler. Dans ce cas c’est pour le bien de tous, restons à notre pollution, qui de toute façon reste un handicap pour toute notre société moderne.

    Seule consolation, c’est qu’il est vraisemblable que beaucoup d’eau coulera encore sous les ponts avant que quelques apprentis sorciers ne découvrent le moyen de maîtriser et de réagir à sa guise les forces de la nature. Celle-ci a, jusqu’alors, parfaitement su faire son ménage. Pourquoi lui retirer notre confiance.


    claude burkel avatar
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