• 1971- Immense sphère lumineuse en Ardèche

     

     1971 EN ARDECHE, UNE IMMENSE SPHERE LUMINEUSE ECLAIRE LA VALLEE COMME EN PLEIN JOUR

     

    En ce début de janvier 1971, le crépuscule de janvier a plongé cette vallée ardéchoise dans les ténèbres et, voilà que soudain, à peu plus de 7 heures du soir, une aurore éclatante vient de chasser la nuit.

     

     

    Emile Vialle repose sur sa table la miche de pain qu’il s’apprête à entailler et tourne la tête vers la fenêtre de la cuisine. Dehors, la vallée de la Veruègne vient de s’embrasser comme si dix soleils l’avaient brusquement envahie. Sidéré le vieux cultivateur repousse sa casquette en arrière pour se gratter le front. Il ne comprend pas d’où a jaillit cette subite clarté et il a beau interroger du regard Louise, sa femme, elle  ne trouve rien à lui répondre, tant elle est, comme lui interloquée. Lentement, comme s’il redoutait de découvrir dehors quelque diabolique fantasmagorie, il sort. Sa femme s’enhardit jusqu’à le rejoindre sur le seuil de leur vieille ferme, accrochée au flanc de la montagne.


    Ils s’y immobilisent, émerveillés devant le spectacle qui s’étale à l’infini sous leurs yeux.

    Toute la vallée ruisselle de lumière comme si était éclairée par une multitude de phares irréels.

    En bas, sur les rives escarpées du torrent, les maisons du village de Saint-Pierreville s’illuminent comme aux beaux matins d’été. Ces flots de lumière dont on ne voit pas la source, découpent les moindres rochers et chassent les ombres des plus profondes gorges, avant de « s’éteindre » aussi brusquement qu’ils s’étaient allumés. On y voyait comme à midi. J’aurais pu lire le journal, allait préciser Emile Vialle quelques semaines plus tard. Car, pour l’instant, les deux vieillards décident de ne pas parler de cette lumière, tant ils redoutent les moqueries.

    Pourtant ils ne peuvent se taire devant Fernand, leur fils. Et après leur récit, lui ne peut pas leur cacher plus longtemps la fausse aurore dont il a été victime la semaine précédente.

    Cette nuit-là, raconte-t-il, j’ai été brutalement réveillé par la clarté qui régnait dans sa chambre. Croyant que c’était l’heure de se lever, j’ai sauté du lit pour m’habiller. Mais j’avais tellement sommeil que j’ai un coup d’œil à mon réveil : il était une heure du matin. J’ai d’abord pensé, moi aussi, que je continuais à rêver. Mais en regardant par la fenêtre, j’ai vu que la vallée était illuminée comme par un soleil d’été. Fernand Vialle a eu le temps de remarquer que la source lumineuse jaillit de la vallée à 2 km de là, avant qu’elle s’éloigne brusquement. A coup sur, de nombreux autres habitants de ces pentes ardéchoises ont été surpris par ce phénomène. Mais pour que les langues se délient, il faudra attendre l’inoubliable nuit du 13 au 14 février 1972.


    Deux heures du matin. Dans cette nuit glaciale que les rafales de neige rendent plus opaque encore, Bernard et Jean-Claude Hilaire rentrent du bal de Saint-Julien-du-Gua. Au volant de sa 204, Bernard vient de franchir le col de la Ferriére. Prudemment, il amorce la décente sur cette route pleine d’embûches qui plonge vers Saint-Pierreville, leur village. Soudain, sur la gauche, les ténèbres se déchirent. C’est d’abord une pâle lueur qui ne fait que les intriguer, car ils savent que les flancs escarpés de cette montagne sont déserts.

    Puis, presque aussitôt, ils sont secoués d’un haut-le- corps.


    TRENTE METRES DE DIAMETRE


    Jaillissant du ravin, une énorme sphère lumineuse surgit à leur hauteur, à quelques dizaines de mètres de la route. Elle semble se diriger sur eux, comme si elle était attirée par les phares de la voiture.

    - Stoppe ! hurle Jean-Claude qui, malgré sa peur, veut essayer de comprendre ce qui arrive.

    - Bernard roule encore sur 2 ou 300 m et obéit. Il coupe les phares et les deux jeunes gens écarquillent les yeux devant cette boule gigantesque qui s’élève lentement et silencieusement au-dessus de la vallée. Elle pouvait mesurer une trentaine de mètres de diamètre, me dira Bernard Vialle. Elle était sombre en son centre et trainait une flamme intense à la base. Elle illuminait les flancs de la vallée sur 4 ou 500 mètres, d’une immense lumière semblable à celle que projettent les feux d’artifices.

    De plus, elle émettait des flashes lumineux très intenses à intervalles réguliers. Au bout de quelques minutes, la boule « s’éteint » comme une lampe électrique. Pourtant on peut encore voir son ombre glisser sur la montagne. Puis, soudain, elle reparait au-dessus de la vallée, plus haut dans le ciel. Elle  y scintille de mille couleurs où dominent le bleu et le rouge.

    Chez les deux témoins, la peur a fait face à une angoisse indéfinissable.

    - Allons avertir les gendarmes, propose Jean-Claude.

    Bernard dévale vers le village et, comme les gendarmes alertés ne peuvent se déplacer, il continue en direction du hameau de Féouzets, où ils habitent tous deux avec leurs parents. Pour y parvenir, il leur faut suivre la route qui emprunte le versant de la vallée opposée à celui où l’engin leur est apparu. Quand ils descendent de voiture, la sphère de feu est immobilisée au-dessus de la vallée. Quand on racontera ça demain, remarque Bernard Vialle, on va dire qu’on a trop bu au bal. Il faut qu’on ait un témoin. Ils s’en vont aussitôt réveiller Eugène Payot, un voisin qui habite le hameau. J’ai d’abord cru à une plaisanterie, a-t-il déclaré le lendemain. Mais quand j’ai vu cette boule multicolore au-dessus de notre montagne, je suis resté sidéré. Je n’avais jamais vu lumière aussi belle et nous étions là tous les trois, béats d’admiration devant ce mystère.


    Immobiles dans la neige et le froid, ils ne peuvent détacher leurs regards de ce nouvel astre des nuits. Vers 6 heures du matin, l’engin s’éloigne lentement vers l’est. Sa luminosité baisse progressivement, puis disparaît. Bientôt l’histoire de la sphère se répand dans toute la vallée.

    Et personne ne va douter de son authenticité pour de multiples raisons. D’abord, parce que les trois témoins sont connus comme des garçons sérieux et dignes de foi qui ne sauraient abuser de la crédulité de leurs compatriotes. De plus, plusieurs habitants des environs ont été témoins de phénomènes semblables qui se sont déroulés antérieurement. N’est-ce  le cas des époux Vialle et de leur fils Fernand, oncle et cousin de Bernard. D’autres ont observé, en cette nuit du 14 février, la même boule qui «  éclairait comme cent phares de voitures réunis. »

    Enfin et surtout, en dehors des témoignages humains, d’étranges phénomènes électriques qui démontraient la présence d’un O.V.N.I. dans les environs.


    A 22 heures avant que la boule ait été vue, une première panne électrique se produit dans la vallée. Elle dure quelques minutes.

    A 2 heures du matin nouvelle panne, un peu plus longue.

    A 3 heures, dans plusieurs maisons où l’on se lève très tôt, on fait d’étranges constatations : un réfrigérateur à compression ne fonctionne plus que par intermittence ; le voyant d’un appareil de chauffage reste allumé alors que le radiateur ne chauffe pas.

    A Saint-Julien-du- Gua, commune voisine, la micro-centrale électrique qui fournit du courant à l’E.D.F. s’arrête de tourner et son dispositif de secours tombe aussi en panne. Enfin, on constatera le lendemain matin que l’horloge électrique du clocher de Saint-Pierreville s’est arrêtée. La seule explication que l’on puisse avancer pour ces phénomènes électriques se trouve dans l’électromagnétisme crée par la présence de la boule lumineuse. Combien de moteurs d’auto n’ont-ils pas cafouillé à proximité d’un de ces engins au cours de nombreuses autres observations ? Car, devait nous confier le docteur Boneilli, maire du village, il ne fait pas de doute qu’il s’agissait bien d’un O.V.N.I. : J’en suis personnellement convaincu par les témoignages et les preuves matérielles. Je suis, de plus, en mesure de révéler que depuis deux mois, c’est-à-dire depuis le 13 décembre dernier, 18 observations du même ordre ont été faites dans un rayon de 15 km autour de Saint-Pierreville. (enregistrées à la Mairie de la commune)

    Depuis cette nuit de l’hiver 1972 d’innombrables lueurs mystérieuses ont encore jailli des ravins pour éclairer la rude montagne ardéchoise et pour illuminer au-dessus du torrent de la Vernègue, la vallée de la lumière.

    Cela me rappelle les observations d’Evillers, dans le Doubs, (30 en 2 ans de 1952 à 1970).

    Pour un rappel, il y a eu en 2004, une observation dans la vallée du même ordre, mais cela n’a pas été mentionné dans la presse (les temps ont changés ?) Pour information, l’origine du torrent de la Vernègue, vient de la vénération d’un dieu de lumière chez les romains que l’on retrouve en France dans la royauté.


     


    Source : Enquête personnelle sur le terrain en 1973

    C.F.R.U. et Lumière dans la Nuit. Ouranos

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  • Commentaires

    1
    SIRENE26
    Mardi 25 Janvier 2011 à 14:13
    j'ai pas entendu parler - je ne suis à valence que depuis 1972 - mais ça doit faire drole pour celui qui ne s'attend pas à voir ça
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