• Quel est le mystère du trésor d’Oak Island ?

    Tout commence avec la mort par pendaison de William Kidd, dit Capitaine Kidd, en 1701 à Londres. Celui que certains considèrent comme l’un des plus grands pirates que la Grande-Bretagne ait jamais connu avait écumé les mers du monde entier. Selon la légende et de sérieux indices, il aurait enterré son trésor sur l’île Oak au Canada. Un petit bout de terre de 1,600 m de long sur 800 m de large.

     

    A l’été 1795 trois adolescents, Daniel, John et Anthony, sont étonnés depuis le littoral par de la lumière se trouvant sur une petite île à quelques kilomètres du continent en Nouvelle-Écosse, au Canada. Précisément l’ile Oak. Ils s’y rendent, et trouvent une poulie de bateau accrochée à un arbre. Dessous ils remarquent que la terre est un peu affaissée sur la surface d’un disque, comme si un trou avait été fait puis comblé. Ils creusent et une fois à 3 mètres de profondeur, tombent sur une plate-forme en bois. Puis encore 3 mètres et à nouveau une plateforme. Ainsi de suite jusqu’à neuf mètres de profondeur. Mais ne découvrant rien de plus ils abandonnent les lieux.

     

    En 1804 un entrepreneur du nom de Siméon Lynds fait des travaux sur l’île. Ses ouvriers découvrent le trou avec ses plateformes. Ils creusent plus profondément, jusqu’à atteindre 27 mètres de profondeur. Là ils butent sur une pierre rectangulaire. Cette pierre présente des signes gravés indéchiffrables. Ils poursuivent et à 33 mètres l’eau inonde le puit. Pendant des semaines ils vont écoper avec des seaux et des pompes pour tenter en vain d’abaisser le niveau d’eau. Le trou est protégé par un système de défense. Des canaux d’inondation font qu’à chaque fois qu’un certain seuil est franchi le puits se remplit d’eau, empêchant de progresser. A son tour Siméon Lynds se décourage et décide d’arrêter de creuser.

    Quel est le mystère du trésor d’Oak Island ?

    Quarante années passent. Ayant eu vent de l’existence de ce trou les équipes de la Truro Company se rendent sur les lieux. Ils forent et trouvent des objets : des maillons en or d’une montre gousset et des fibres de coco datées « du VIe ou du VIIe siècle ». En 1850, la société creuse un autre trou mais il s’inonde comme le premier. Ils abandonnent.

    Quel est le mystère du trésor d’Oak Island ? Quel est le mystère du trésor d’Oak Island ?

    C’est alors qu’en 1866, un professeur d’université d’Halifax, James Leitchi indique avoir décodé le message sur la pierre rectangulaire. Selon lui, il est le suivant : « 13 mètres plus bas sont enterrés 2 millions de livres ». 13 mètres c’est-à-dire à 40 mètres de profondeur.

    Dès lors différents explorateurs se rendent sur les lieux, certains de découvrir le fameux trésor.  Parmi eux, en 1909, le jeune Franklin Roosevelt, futur président des États-Unis.

    Quel est le mystère du trésor d’Oak Island ?

    Mais rien. Plus rien jusqu’en 1971.  Le propriétaire de l’île se lance alors à son tour dans des recherches. Il parvient à creuser jusqu’à 60 mètres de profondeur et affirme avoir découvert des restes humains. On dit aussi que des coffres auraient été trouvés mais impossibles à extraire du trou.

    Aujourd’hui après plus de 200 ans de fouilles, l’île est un véritable bourbier. Que cache ce fameux trou appelé « Money Pit » ? Pour certains il s’agit d’un butin de pirates, pour d’autres des documents secrets. Mais pour beaucoup c’est un simple puits, et la pierre gravée n’est qu’un mensonge.

    À ce jour, finalement très peu d’objets confirmant la thèse de la présence d’un trésor ont été remontés. En tout et pour tout quelques chaînons de fer datant du 18ème siècle, une paire de ciseaux d’origine espagnole vieille de 300 ans et des monnaies de cuivre.

    Quel est le mystère du trésor d’Oak Island ?

    Mais le mystère n’est pas épuisé. Le trou fait depuis trois ans l’objet d’une télé-réalité « La malédiction d’Oak Island » diffusée sur la chaîne History aux États-Unis. Si jusqu’à aujourd’hui rien de plus n’est sorti du trou la quête elle se poursuit.

    Quel est le mystère du trésor d’Oak Island ?

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  • Un camion veut éviter un péage, il roule sur les célèbres lignes de Nazca

    Les célèbres lignes de Nazca, au Pérou, ont été endommagées par un camion semi-remorque qui a ignoré la signalisation protégeant ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

     

    Un camion semi-remorque a fait fausse route et endommagé les célèbres lignes de Nazca (01/2018), tracées au Pérou il y a plus de 2 000 ans et représentant animaux et plantes, visibles uniquement du ciel.

    Le véhicule est entré samedi 27 janvier sur ce site classé au patrimoine mondial de l’humanité en dépit des panneaux de signalisation en interdisant l’accès, "endommageant la superficie de la plaine, dont trois géoglyphes", a indiqué le ministère de la Culture péruvien, qui a déposé plainte. "Le camion a laissé de profondes traces sur 100 mètres environ".

    Un camion veut éviter un péage, il roule sur les célèbres lignes de Nazca

    Le chauffeur voulait "éviter un péage"

     

    Mardi soir, le site Peru21 a annoncé que le chauffeur incriminé, qui avait été arrêté par la police, a été remis en liberté, la justice ne disposant pas d’éléments suffisants pour affirmer qu’il avait agi volontairement. Le suspect, qui avait affirmé vouloir "éviter un péage", reste toutefois visé par une enquête.

    En mai dernier, un militant de Greenpeace, Wolfgang Sadik, avait été condamné à une peine de trois ans de prison avec sursis et 160 000 euros d’amende pour avoir apposé un slogan de lutte contre le changement climatique près de la célèbre figure du colibri.

    Nazca, une des plus grandes énigmes de la planète

     

    Les lignes de Nazca, découvertes il y a un peu plus d’un demi-siècle dans le sud du Pérou, sont des figures géométriques représentant 70 animaux et plantes, visibles uniquement du ciel, ce qui a alimenté au fil des années l’une des plus grandes énigmes de la planète. Selon les archéologues ces lignes qui s’étendent sur une zone de 750 km2 avaient une fonction cérémonielle pour les Nazcas dont la civilisation s’étendait du désert, aux Andes et à la forêt vierge.

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  • Quizz 101

    Quizz 101

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  • Les 10 films a voir sur la conquête spatiale

    Nombreux sont les documentaires et fictions à revenir sur les exploits de certains grands hommes dans l'espace. Voici une liste non-exhaustive de classiques ou de nouveautés à (re)découvrir à l'occasion des 50 ans du premier pas sur la Lune.

     

     «FIRST MAN», DE DAMIEN CHAZELLE (2018)


    Après l’avoir fait danser dans «La La Land», le réalisateur franco-américain Damien Chazelle a demandé à Ryan Gosling d’enfiler la combinaison de l’astronaute Neil Armstrong pour «First Man». L’acteur canadien incarne cette légende qui fut le premier homme à marcher sur la Lune le 21 juillet 1969 lors de la mission Apollo 11. Ce biopic qui retrace les huit années qui précèdent l’alunissage et la phrase légendaire «Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité», évoque aussi bien l’intimité de l’Américain que les entraînements et les sacrifices nécessaires à un tel exploit.

     

     «16 LEVERS DU SOLEIL», DE PIERRE-EMMANUEL LE GOFF (2018)

     

    Le réalisateur Pierre-Emmanuel Le Goff s’est intéressé à l’astronaute Thomas Pesquet, qui a passé six mois au sein de la Station spatiale internationale (ISS). Ayant pour fil rouge un dialogue imaginaire entre l’homme de 40 ans et Antoine de Saint-Exupéry, l’aviateur disparu en mer, ce long-métrage se concentre sur les travaux de recherche menés lors de la mission Proxima, ainsi que sur le quotidien du scientifique normand. Pour capter ses instants de vie, ce dernier a dû se transformer «en cameraman, preneur de son, pigiste et figurant», et s’est entraîné à manier des caméras très haute définition (6K), ainsi qu’une Go Pro 4K.

     

     «LES FIGURES DE L’OMBRE», DE THEODORE MELFI (2017)

     

    L’histoire méconnue de trois scientifiques américaines au début des années 1960 portée sur grand écran. Ce drame revient sur le parcours incroyable de de Katherine Johnson, Mary Jackson et Dorothy Vaughan qui, grâce à leurs recherches abouties et leurs calculs, ont permis à la Nasa de faire de grandes avancées, dont la mise en orbite de l’astronaute John Glenn.

     

     «SEUL SUR MARS», DE RIDLEY SCOTT (2015)

     

    Avec pour héros Matt Damon, ce film met en scène le combat pour rester en vie d’un astronaute isolé sur la planète rouge. En mission sur Mars, une équipe d’astronautes de la Nasa doit quitter d’urgence son camp de base afin d’échapper à une tempête. Dans la précipitation, Mark Watney est abandonné par l’équipage qui le croit mort parce qu’il a été happé par une antenne satellite emportée par le vent. Pourtant, quelques heures plus tard, Mark reprend connaissance. Résolu à ne pas mourir, il organise pas à pas les moyens qui lui permettront de survivre tandis que sur Terre, la Nasa, qui a remarqué de l’activité à la surface de Mars, organise les secours. Sur un scénario simple et efficace adapté du roman d’Andy Weir par Drew Goddard, «Seul sur Mars» adopte un ton atypique pour un film qui se déroule dans l’espace. L’humour et l’optimisme sans faille du personnage principal accouchent d’un récit divertissant et passionnant qui réussit à distiller aux moments propices le suspense autant que l’émotion.

     

     «INTERSTELLAR», DE CHRISTOPHER NOLAN (2014)

     

    Le cinéaste britannique livre une odyssée SF aussi grandiose qu’émouvante. Dans un futur proche, alors que l’humanité est menacée par une crise écologique sans précédent, Cooper (Matthew McConaughey), producteur de maïs, élève son fils et sa fille au côté du père de sa défunte épouse. Un jour, cet ancien pilote de navettes se retrouve au sein même d’un des laboratoires de la Nasa. Le professeur Brand lui propose de collaborer à une mission secrète : faire équipe avec des scientifiques pour partir au-delà des limites de l’espace connu, grâce à une faille spatio-temporelle, et trouver des planètes susceptibles d’accueillir la race humaine. Ce blockbuster aux effets spéciaux grandioses n’en oublie pas pour autant d’être réaliste et d’évoquer les grands sujets écologiques de notre époque. Philosophique aussi, «Interstellar» s’interroge sur la place et le rôle de l’homme dans l’Univers.

     

     «GRAVITY», D’ALFONSO CUARÓN (2013)

     

    Œuvre folle et novatrice, «Gravity», par son réalisme époustouflant, propulse le spectateur à 10 000 km/h dans l’infiniment grand. En mission à 600 kilomètres d’altitude, Matt Kowalski (George Clooney) et l’ingénieur Stone (Sandra Bullock) effectuent ce qu’ils croient être une banale opération de maintenance. Leur vaisseau est alors pulvérisé par une nuée de débris. Jetés dans le vide, les deux astronautes vont alors se confronter au froid galactique. L’angoisse monte, et les premières minutes resteront longtemps gravées dans l’histoire du cinéma. Prenant, le film est aussi une formidable prouesse technologique. Après un tournage titanesque de quatre ans et demi, et des animations 3D à la limite de la perfection, «Gravity» réussit à placer le spectateur dans le casque et la peau des astronautes.

     

     «SPACE COWBOYS», DE CLINT EASTWOOD (2000)

     

    En 1958, Frank Corvin, Hawk Hawkins, Jerry O'Neill et Tank Sullivan s’entraînent pour partir en mission spatiale. Mais à leur grande surprise, la Nasa ne les choisit pas et choisit d’envoyer un singe dans l’espace. Près d’un demi-siècle plus tard, alors qu’un satellite russe pourrait s’écraser sur la Terre, Franck Corvin est contacté pour sauver le monde, étant le seul à maîtriser ces anciennes machines. Pour assurer cette mission, il décide de partir avec ses trois anciens acolytes. Avec cette épopée fictive, le réalisateur Clint Eastwood rend hommage aux pionniers de l’espace, à l’instar de Chuck Yeager qui fut le premier à franchir le mur du son le 14 octobre 1947.

     

     «APOLLO 13», DE RON HOWARD (1995)

     

    «Houston, nous avons un problème»… Ce long-métrage sur la mission Apollo 13 de 1970 a attiré plus de deux millions d’entrées en France et récoltait 355 millions de dollars de recettes - soit 308 millions d'euros - à travers le monde. Ce film catastrophe avec Tom Hanks en héros revient sur le destin de trois astronautes qui ont failli perdre la vie à cause de l’explosion d’un des réservoirs d’oxygène. Ou comment un vol de routine s’est transformé en cauchemar.

     

     «L’ÉTOFFE DES HÉROS», DE PHILIP KAUFMAN (1984)

     

    Inspiré du livre éponyme de Tom Wolfe, ce classique du cinéma américain nous fait revivre le destin des sept premiers astronautes à conquérir l’espace. Entre entraînements, conférences de presse et instants de vie en famille, on suit ces pilotes d’essai d’après-guerre pendant seize années, du passage au mur du son aux premiers vols spatiaux du programme Mercury. L’interprétation de Sam Shepard, John Glenn et Ed Harris contribue largement au succès de ce long-métrage, dont un grand nombre de plans ont inspiré de futurs films.

     

     «2001 : L’ODYSSÉE DE L’ESPACE», DE STANLEY KUBRICK (1968)

     

    Culte, superbe. 2001 est un chef-d’œuvre. En 1968, soit un an avant le premier pas sur la Lune, Stanley Kubrick signe une production stupéfiante qui se déroule à différentes périodes. Le film allie des effets spéciaux de pointe avec une histoire mystique et philosophique sur le progrès, et la place de l’homme dans l’humanité. Sélectionné par la bibliothèque du Congrès pour son «importance culturelle, historique ou esthétique», «2001 : l’odyssée de l’espace» est ressortie en 2018 dans une version restaurée.

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  • Il jette une bouteille à la mer : 50 ans après, elle est retrouvée...

    En 1969, un jeune Anglais lançait six bouteilles à la mer dans l'espoir qu'elles refassent surface, raconte ABC. On vient d'en retrouver une en Australie.

     

    L'histoire est digne d'un roman. Un jeune garçon a fait une découverte étonnante lors d'une partie de pêche avec son père sur une plage de la péninsule d'Eyre, en Australie. Dans les dunes situées près des eaux, il a retrouvé une bouteille à la mer contenant un message daté du 17 novembre 1969. Son auteur, Paul Gilmore, était alors âgé de 13 ans lorsqu'il a lancé cette missive dans l'eau, dans l'espoir qu'elle puisse être retrouvée un jour. Grâce à une mobilisation des internautes et de ABC, il a pu être retrouvé.

    Il jette une bouteille à la mer : 50 ans après, elle est retrouvée...

    Sur le parchemin, on peut lire : « Je m'appelle Paul Gilmore. J'ai 13 ans. Je suis originaire d'Angleterre et je voyage actuellement vers Melbourne en Australie. Nous sommes à plus de 1 600 kilomètres de Fremantle, dans le sud de l'Australie. S'il vous plaît, répondez-moi. » L'auteur donne même une adresse. Il aurait voyagé à bord du TSS Fairstar Sitmar Line, un bateau qui faisait la liaison entre l'Angleterre et l'Australie dans les années 1960. Il transportait de nombreux migrants britanniques.

    L'auteur retrouvé

    Dans un premier temps, le père du petit garçon a cru à une blague. Mais la lettre, marquée par le temps, semblait bien authentique. Depuis, le jeune aventurier a écrit une réponse à l'adresse indiquée sur la lettre. Des internautes se sont joints à la chasse au trésor et ont rapidement découvert la carte d'immigration de Paul Gilmore dans des archives.

    Il jette une bouteille à la mer : 50 ans après, elle est retrouvée...

    Le TSS Fairstar Sitmar Line

    C'est finalement ABC qui s'est chargé de retrouver l'auteur mystérieux. Le site d'information australien a réussi à localiser sa sœur, Annie Crossland. Mais Paul Gilmore n'était pas joignable... il était en mer. Sa famille assure qu'à son retour le jeune garçon finira par avoir une réponse à son tour.

    Il jette une bouteille à la mer : 50 ans après, elle est retrouvée...

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