• Caucase- étrange cavité découverte

    La rivière Baksan près de Terskol - Kabardino-Balkarie . 

     

       Arthur Zhemukhov a découvert dans la gorge de la rivière, un trou d’homme rectangulaire taillé dans la roche. 

    Caucase- étrange cavité découverte Caucase- étrange cavité découverte

    En septembre 2012, l'association publique de recherche scientifique Kosmopoisk y a mené sa troisième expédition d’exploration de la cavité.

    Caucase- étrange cavité découverte

    Sans des compétences d'escalade, il est impossible d’y pénétrer. 

     

    D'abord, vous devez passer dans un trou de 40 sur 120 cm, puis descendre à l’aide une corde le long d'un axe vertical étroit, formé par deux dalles de pierre parallèles. 

    Après 9 mètres, le premier coude : le conduit va sur le côté puis se décompose.

        Déjà, le silence absolu : de l'extérieur ne pénètre aucun son. 

    Caucase- étrange cavité découverte

    Débouchée du conduit à 17 mètres - Vue de dessous 

     

    A 23 mètres de profondeur, un nouveau coude : le « col de la bouteille ».

    Puis à 42 mètres, vous débouchez dans une grande salle, que les chercheurs ont appelé « le flacon ».

    Caucase- étrange cavité découverte

    Débouchée et descente dans « le flacon ».

    Caucase- étrange cavité découverte Caucase- étrange cavité découverte

     Arrivée au fond du « le flacon ».

    Pour atteindre le fond de la cavité, vous devez descendre plus de 78 mètres et cela prend plus d'une heure. 

    Caucase- étrange cavité découverte

     « La première chose qui attire votre attention est que les murs de l’ensemble de la cavité sont à l’évidence d'origine artificielle », explique Vadim Chernobrov, coordinateur de l'association Kosmopoisk.

    « Ils sont composés de blocs en pierre lisse, soigneusement polis ».

    Caucase- étrange cavité découverte

    Les parois sont rectilignes, lisses et polies. 

    Caucase- étrange cavité découverte

    Les joints entre les blocs sont précis et sans mortier.

     

     « Il est facile d’en calculer la masse : chacun pèse environ 200 tonnes. Et comment les manœuvrer pour composer avec précision une telle structure est totalement incompréhensible. Et en ce sens que c'est fait par l'homme, j'ai peu de doute ».

    Le même avis est partagé par Viktor Kotlyarov, historien étudiant la région :

    Caucase- étrange cavité découverte

    Viktor Kotlyarov

    « Lorsque nous avons montré des photos de cette cavité aux géologues, y compris des  géologues étrangers, la plupart étaient inclinés penser à une origine artificielle. 

    En tout cas, tous étaient unis dans le fait qu'ils n'ont jamais vu quelque chose comme ça ailleurs. Il n'y a pas de structure souterraine analogue dans le monde ».

    « Dans la cavité, les chercheurs ont trouvé une colonne « flottante » : un mégalithe est attaché au mur par un seul bord, ce qui fait qu'il semble suspendu dans l'air. 

    Malheureusement, il n'y avait aucune trace de présence humaine ou de restes organiques ».

    « Le séjour d'une personne ou d'autres êtres vivants dans cette structure n'a pas été envisagé initialement.

    Cette construction souterraine n'a pas été conçue comme un habitat, mais avait d'autres fonctions » a déclaré Vadim Chernobrov.

    Caucase- étrange cavité découverte

     

    Vadim Chernobrov

    « Selon notre version, cette cavité est une structure technique, qui a servi de sorte de résonateur, un convertisseur d'ondes et de radiations de nature inconnue.

    Son âge est d'environ 5 mille ans. En termes de taille et de fonctionnalité, la cavité de la gorge de Baksan est comparable à la grande pyramide égyptienne ».

    « Les chercheurs pensent que cet objet n'était très probablement pas souterrain auparavant. 

    Il était situé à la surface, attaché à la colline. Ainsi, cela peut expliquer pourquoi un des murs de la chambre « le flacon » est inégal, cahoteux, c'est un fragment de roche naturelle, et l'autre est lisse, poli et a été érigé par des constructeurs inconnus ».

    « Pendant plusieurs millénaires, la structure géante a été couverte de terre, de sable et de débris de roche, les arbres ont poussé dessus. Et des blocs de pierre, autrefois situés en dehors de la colline, se sont retrouvés à l'intérieur.

    La cavité de la gorge de Baksan peut également être déterrée, bien qu'il soit difficile d’imaginer ce qu'il faudra mettre en œuvre ».

     

    Dès le moment où le public a appris l’existence de la mystérieuse cavité de la gorge de Baksan, il n'y a pas eu pénurie de versions sur son but. 

    Il a été supposé qu'il s'agissait d'un lieu d'inhumation pour des déversements d'animaux infectés, un bac de stockage de nourriture, une habitation aryenne, une structure de fortification, un repaire d'hommes des neiges...

    Certains des explorateurs qui sont descendus dans la cavité ont entendu des hurlements, des bruissements et même des chuchotements, ce qui, si on le souhaite, peut être confondu avec une langue ancienne inconnue.

    Mais il n’a été trouvé aucun reste ni trace d’une quelconque présence ou même occupation. Et cela réfute toutes les hypothèses farfelues ci-dessus.

    Les chercheurs sont enclins à la version que cette construction d'une forme inhabituelle, conservée à l'intérieur de la roche, pourrait faire partie d'une structure plus globale.

    Des légendes anciennes du Caucase du nord, qui se transmettaient de génération en génération, parlent de villes souterraines et de grottes.

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    source de l'article (forum taverne)

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  • Une petite fille a-t-elle découvert la mythique épée Excalibur ?

    Une jeune Britannique a mis la main sur une épée dans le lac de Cornouailles où, selon la légende arthurienne, a été jetée Excalibur.

     

    Matilda Jones, 7 ans, était en vacances en Cornouailles avec sa famille à la fin du mois d'août lorsqu'elle a été soudain rattrapée par la légende. Alors qu'elle se baignait dans un lac de cette région du sud-ouest de l'Angleterre, elle y a découvert une épée reposant au fond de l'eau. Elle a alors prévenu son père, qui a d'abord pensé qu'elle était tombée sur « un morceau de clôture », comme le rapporte The Star. Celui-ci a alors rejoint sa fille dans l'eau, pour constater qu'elle avait bien trouvé une épée de près d'1,20 m de longueur et ressemblant fort à une arme médiévale.

    Une petite fille a-t-elle découvert la mythique épée Excalibur ?

    Une trouvaille étonnant vu le lieu de cette découverte. Dozmary Pool, le lac en question, est en effet bien connu des nombreux amateurs de la légende arthurienne. C'est dans cette étendue d'eau de près de 15 hectares que le jeune Arthur aurait pris possession d'Excalibur des mains de la Dame du Lac. C'est également dans ce lac que Bédivère, chevalier du roi, aurait jeté l'épée à la mort du souverain, blessé mortellement lors de la bataille de Camlann.

    Un accessoire de cinéma ?

    Matilda aurait-elle retrouvé la célèbre épée, réputée incassable et capable de trancher tout ce qui se présente face à elle ? Difficile à dire, même si son père, lui, a fait part de ses doutes quant à la provenance de l'objet. « Je ne pense pas qu'elle soit très vieille, elle a peut-être 20 ou 30 ans. Il s'agit certainement d'un vieil accessoire de cinéma », a-t-il déclaré, manifestement peu sensible à la magie de la légende. La jeune fille a quoi qu'il en soit ramené un très beau souvenir de ces quelques jours de vacances. Et elle a aujourd'hui une belle histoire à raconter à ses camarades de classe.

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    source de l'article

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  • Comme vous l'attendiez tous avec une impatience non dissimulée voici le numéro 92 !

    Quizz 92

    Quizz 92

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  • Île de Pâques: L'emplacement des moaîs ne serait pas le fait du hasard

    Les mystérieuses statues de l'île de Pâques font partie des sculptures les plus célèbres au monde. Ces sculptures de roche volcanique font de l'île du Pacifique l'un des endroits les plus mystérieux de la planète, inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco. Mais pourquoi ont-elles été placées à cet endroit par la population autochtone? Les scientifiques pensent avoir enfin percé ce mystère.

     

    Une nouvelle étude indique que les monolithes de pierre qui parsèment l'île lointaine du Pacifique ont peut-être été placés pour permettre aux habitants de... boire de l'eau. En effet, un grand nombre d'entre eux ont été construits sur d'anciennes plates-formes situées à proximité des ressources en eau douce, selon l'étude publiée dans la revue Plos One ce jeudi. La découverte pourrait permettre aux scientifiques d'en savoir davantage sur la civilisation qui a occupé l'île plusieurs siècles durant, et comment elle a survécu dans un environnement aux maigres ressources.

    Île de Pâques: L'emplacement des moaîs ne serait pas le fait du hasard

    "Pas un rituel étrange"

    "Ce qui est important, c'est que nos recherches montrent que les emplacements des colosses ne résultent pas d'un rituel étrange, mais sont intégrés dans la vie de la communauté", déclare au Guardian Carl Lipo, professeur d'anthropologie à la Binghamton University et co-auteur de l'étude.

     

    Les peuples autochtones de l'île de Pâques, appelés Rapanui, ont construit près de 1.000 statues anthropomorphes du XIIIe siècle jusqu'à ce qu'ils entrèrent en contact avec des explorateurs européens au XVIIIe siècle. Mais le but des statues, connues sous le nom de moaîs, et des plates-formes sur lesquelles elles se tiennent, ou ahu, a longtemps dérouté les scientifiques.

    Île de Pâques: L'emplacement des moaîs ne serait pas le fait du hasard

    Que d'eau... que d'eau!

    Une équipe de scientifiques a analysé les emplacements de 93 ahu et les a liés à trois facteurs qui ont déterminé le conflit entre les zones habitées: l'agriculture, les lieux de pêche et la présence d'eau douce. Ils ont constaté que les ahu correspondaient à des endroits où l'eau s'infiltrait puis atteignait l'océan, plus précisément des endroits où des roches poreuses rencontraient l'océan.

     

    À marée basse, un ruisseau d'eau douce se forme dans la mer. L'eau salée était été donc potable et a été consommée par les habitants. L'étude démontre que la population "dépendait en grande partie d'eaux saumâtres et buvait en réalité l'eau du Pacifique".

    "Dans les endroits où l'on trouvait d'énormes quantités d'eau douce se trouvent d'immenses statues", souligne Carl Lipo. C'est pourquoi les auteurs de l'études pensent également que la taille des moaîs et ahu indique la quantité et la qualité de l'eau à l'emplacement où ils se trouvent.

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  • Un trèfle gravé sur un œuf de poule !

    Un habitant de la ville de Saint-Caradec, en Bretagne, a fait une découverte déconcertante. En ramassant les œufs de ses poules, il a trouvé un trèfle parfait gravé sur l'un d'eux …

     

    Jean-Luc Guyadec, qui vit dans sa propriété de Keropert, non loin de Loudéac, élève une quinzaine de poules « qui meurent toutes de vieillesse car je ne veux pas les tuer ». Il y a quelques jours, il a repéré un œuf inhabituel qui était plus petit que les autres.

    En l'examinant plus attentivement, il a remarqué qu'un trèfle était miraculeusement gravé sur la coquille !

    « Il est trop curieux, je ne le mangerai certainement pas, celui-là. »

    Que pensez-vous de cette histoire ?

    Un trèfle gravé sur un œuf de poule !

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