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Ovni filmé par un hélicoptère de la Police au-dessus du Canal de Bristol le 24 septembre 2016.
L'objet a été repéré par une caméra thermique d'un hélicoptère surveillant le traffic routier. L'objet avait la même signature d'où sa visibilité par la caméra. Il a été filmé environ 7 mn.
L'apparition s'est déroulé vers 21h30 par l'hélicoptère basé sur l'héliport du village de St Athan au Pays de Galles du Sud.
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Localisé juste au sud du Mur d'Hadrien, au nord de la Grande-Bretagne, Vindolanda était autrefois un fort romain important. Pendant les 45 dernières années il a été soumis à une série continue de fouilles, qui ont permis de découvrir des milliers d'artefacts.
Ce qui rend ces objets ordinaires en objets extraordinaires c'est le fait qu'ils ont près de 2000 ans et pourtant tant d'eux semblent avoir été jetés ou perdus récemment.
Le professeur Andrew Birley, PDG et Directeur de Fouilles pour le Vindolanda Trust explique :
"Nous connaissons très bien ce site et au début de chaque saison il y a des constructions et des artefacts que nous espérons découvrir. Il y a bien sûr des découvertes illusoires que vous voulez faire et que vous cherchez toujours, puis il y a les découvertes à faire dresser les cheveux sur la tête !"
Le 16 juin une de ces découvertes a été faite dans les tranchées anaérobies profondes où les conditions sans oxygène permettent la conservation presque parfaite des restes antiques. Une barre de tonneau, datant d'environ 90 ap J.-C., complétée par une marque nette et des numéros a été déterrée.
La barre, faite de pin et très certainement importé d'Espagne porte la marque de fabricants encore non identifiés. Les chiffres MCC indiquent que le tonneau a contenu une quantité de 1200 (litres ?), mais ce qu'il contenait reste un mystère.
Le professeur Briley déclare :
"La barre de tonneau a été jusqu'ici l'un des points culminants de la saison et nous espérons au cours des prochaines semaines que nous en saurons plus sur ALBIN - NORB, les images de la barre ont été envoyées aux spécialistes tant en Espagne qu'ici au Royaume-Uni pour une interprétation plus poussée. Cependant, nous pouvons supposer qu'ALBIN pourrait vouloir dire ALBINVS, le nom du fabricant du tonneau et que NORB est l'endroit d'origine."
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Il mérite sûrement le titre «d'homme le plus chanceux de la planète». Mohamed Basheer, 62 ans, peut en tout cas savourer : après avoir survécu à un crash, il a remporté 1 million de dollars à la loterie.
Cette histoire incroyable a commencé à l'aéroport de Dubaï le 6 juillet dernier, lorsque cet employé d'un concessionnaire automobile de l'émirat a pris l'avion pour retourner dans sa ville natale de Pallickal, dans la région du Kerala, en Inde. Avant d'embarquer, Mohamed Basheer a décidé d'acheter un ticket de loterie du jeu «Millenium millionaire», comme il en avait l'habitude. Il pense que c'était le 17e ticket qu'il achetait, sans avoir rien gagné jusqu'alors.
Un peu moins d'un mois plus tard, Mohamed Basheer prenait place à bord d'un vol de la compagnie Emirates à destination de Dubaï, sur un Boeing 777-300. Alors que le vol se passait bien, une grosse frayeur attendait les passagers au moment de l'atterrissage. L'avion a violemment percuté la piste, rebondissant dessus avant que la cabine ne commence à se remplir d'une épaisse fumée noire. Sans hésiter, Mohamed Basheer se précipite alors vers l'issue de secours et se jette sur le toboggan déployé par les pompiers. Il a alors juste le temps de se retourner pour voir le Boeing prendre feu, avant d'exploser. Un pompier y perdra la vie.
Ce sera la seule victime, tous les passagers étant sains et saufs. «C'est vraiment un miracle. Merci à Dieu et merci au pilote», a déclaré Mohamed Basheer. Malgré le choc, ce dernier est ensuite parti directement travailler.
Le lendemain, alors qu'il se trouve au travail en début d'après-midi, il reçoit un appel téléphonique. Au bout du fil, on lui annonce qu'il a gagné le gros lot à la loterie, soit 1 million de dollars. «Arrêtez vos blagues !», lance-t-il à son interlocuteur, qui lui confirme qu'il a bien gagné. Malgré l'excitation, Mohamed Basheer a continué à travailler comme si de rien n'était, prenant les appels des clients.
Depuis, il a décidé de continuer à travailler, à temps partiel tout de même. S'il assure que l'argent ne changera pas sa vie, il lui permettra d'aider son fils paralysé, et compte bien en faire profiter sa fille adulte, ses petits-enfants et son épouse. Il a également l'intention de mettre sur pied un programme destiné aux pauvres, afin de leur permettre d'acquérir des compétences pouvant leur permettre de gagner leur vie. La chance a, semble-t-il, bien choisi sa cible.
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Des archéologues estiment avoir percé le mystère qui entoure les géoglyphes de Nazca grâce à des images prises depuis l’espace, rapporte le journal britannique Daily Mail. Découverts en 1927...
Des archéologues estiment avoir percé le mystère qui entoure les géoglyphes de Nazca grâce à des images prises depuis l’espace, rapporte le journal britannique Daily Mail.
Découverts en 1927 dans le sud du Pérou, les géoglyphes de Nazca représentent de grandes figures d’animaux stylisés et des lignes parfaitement droites, qui s’étendent sur plusieurs dizaines de kilomètres dans un désert à perte de vue, rappelle le quotidien en guise de préambule.
Jusqu’alors, l’origine de ces prouesses techniques pour le moins étranges, réalisées il y a environ 3.000 ans, demeurait un mystère absolu qui n’avait de cesse de passionner les chercheurs chevronnés et les simples amateurs d’anciennes civilisations.
Aussi impénétrable qu’elle puisse paraître, cette énigme aurait toutefois été résolue. Du moins, c’est ce qu’estime une équipe d’archéologues, sous la houlette du docteur Rosa Lasaponara, de l’Institut pour la surveillance et la recherche environnementales (Italie).
Selon les scientifiques, les géoglyphes de Nazca auraient fait partie d’un réseau d’aqueducs très ramifié, dont les vestiges, connus sous le nom de Puquios (source, en quechua), ont été préservés jusqu’à nos jours.
Bien que certains chercheurs affirment que le Puquios n’a rien à voir avec la civilisation Nazca, Mme Lasaponara ne partage pas ce point de vue, tout en soulignant que les géoglyphes « faisaient partie intégrante d’un système hydraulique très sophistiqué qui facilitait de façon considérable l’approvisionnement en eau potable ».
« Grâce au Puquios, les habitants de cette région avaient accès à une source d’eau potable durant toute l’année », explique la chercheuse.
Quoique la civilisation Nazca n’ait pas laissé de traces écrites de son ascension fulgurante et de son déclin pas moins spectaculaire, le niveau de maturité technologique dont elle faisait preuve avait permis à ses bâtisseurs de réaliser de telles prouesses techniques », concluent les archéologues.
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