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    Dans le sud et le centre de la Roumanie loin des villes, on trouve des pierres bien surprenantes.
     
    Les autochtones les appelles les trovants. Ces pierres sont capables non seulement de grossir mais aussi de se multiplier !
     
    Dans le departement de Valcea il y a 2 endroits ou on trouve ce type de pierres, mais le plus connu est le Musee en plein air de Costesti. Cette commune se trouve a environs 40 Km de Rm. Valcea (la capitale du departement), sur la route vers Tg. Jiu. Le lieu a été déclaré réserve naturelle depuis 2005.
     
    Il est impossible de les conserver fendues en morceaux. Elles peuvent êtres sectionnées mais finissent toujours par s’arrondir. Dans ces régions, il y a certes beaucoups de différentes pierres qui sont également très grosses et se distiguent en apparence peu de ces pierres mystérieuses sauf que celles ci ont une particularité : lorsqu’il pleut elles se mettent à grossir comme si elles étaient vivantes !
     
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    Un trovant de quelques grammes peut devenir gigantesque et atteindre près d’une tonne ! Ce sont les pierres jeunes qui grandissent le plus vite et avec l’âge cette particularité tend à s’atténuer.
     
    Lorsqu’on les sectionnent on peut voir apparaitre comme sur un tronc d’arbre les cercles concentriques semblant indiquer leur âge.
     
    Ce qui est étrange, c’est que 30 ou 40 minutes après une pluie, le sable humide commence à présenter de nouveaux petits éléments en formation, semblables aux pierres environnantes, phénomène qui fait penser à une « multiplication » ou à une « croissance ».
     
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    à la surface de ces pierres apparaissent des petites boursouflures qui se cassent et tombant à terre se multiplient.
     
    Les trovants sont assurément une des plus grandes curiosités pour les touristes visitant la Roumanie.
     
    Quoiqu’il en soit le mystère demeure intact, on dit, par exemple que les trovants representent une forme intérmediaire entre le minéral et le végétal.
     
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  • Voila déjà à quoi ressemble un billet de 20$ :
     
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    Maintenant passons au surréalisme !
     
    Si vous avez un billet de 20 dollars sur vous, alors faites le pliage qui suit:
    AU FAIT – La série de ce billet a commencée en 1996, donc 5 ans avant ce que vous allez découvrir…
     

     
    LE PLIAGE
     
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    Maintenant Observation ! 
     
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    On voit une tour en feu sur le billet de 20$ !
     
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    Une fois le billet retourné on peut voir un bâtiment qui se rapproche du design du pentagone mais en feu !
     
    Magie du billet de 20 dollars
    9 + 11 = 20
     
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    Ousama (Osama en anglais) est même sur le billet ! Ce Pliage là n’est possible que sur le billet de 20 dollars. Enfin ça c’est plutôt un plus créatif qu’autre chose.
     
    Coïncidence ?
     
    Préparez vous a réviser vôtre jugement. Vous en voulez encore ?
     
    5 Dollars
     
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    On peut voir la tour avec l’antenne intacte.
     
    10 Dollars
     
    10
     
    On peut voir une tour en feu.
     
    50 Dollars
     
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    Les 2 tours en feu entrain de s’effondrer sur le billet de 50 dollar
     
    100 Dollars
     
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    Et sur le billet de 100 dollars on aperçoit de la fumée.
     
    Et avec un pliage de plus votre billet se transforme en avion.
     
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    Maintenant, s’il vous plait, au lieu de faire le type qui se moque de tout ça, ou qui visite ce site pour passer du temps, restez dessus et renseignez-vous. Il y a des sujets bien plus intéressants que ça, ou que les signes sataniques 666 ou le 666 dans les codes-barre, ou ce genre de chose. Ne vous limitez pas à cette page.
     
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  • Facts-About-Mars

    Famine et asphyxie attendraient les astronautes prêts à s'embarquer en aller simple pour Mars, selon une étude publiée mardi 14 octobre 2014.

     
     
    Voilà de quoi démotiver quiconque rêvait de vivre un jour sur la planète rouge. Selon une étude scientifique publiée mardi 14 octobre, les pionniers qui embarqueront en aller simple sur Mars avec le concours de la société néerlandaise Mars One commenceront à mourir au bout de 68 jours. Cinq étudiants en aéronautique du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont analysé, à l’aide de graphiques et de formules mathématiques les ressources en oxygène, nourriture et technologies disponibles pour cette mission censée être auto-suffisante qui doit donner lieu à une émission de télé-réalité.
     
    Tout d'abord, les astronautes risquent de mourir de faim. En effet, les estimations du stock d’alimentation nécessaire pour la mission ne correspondraient pas aux apports caloriques nécessaires des participants. L’eau potable pourrait aussi poser problème. Par ailleurs, Mars One prévoit de permettre à ses volontaires de cultiver des plantes une fois sur Mars. Mais celles-ci dégagent de l’oxygène, qui, en trop grande quantité dans un espace clos pourrait rendre l’environnement inflammable. Enfin, les pièces de rechange seront difficiles et extrêmement couteuse à obtenir. "Dans le scénario le plus optimiste", la mission devrait couter quelques 4,5 milliards de dollars. Toutefois, selon les scientifiques, les colons dépendront de plus en plus de l’envoi de pièces détachées. Or, ces envois supplémentaires alourdiront énormément la facture.
     
    Mars One est un projet lancé par le Néerlandais Bas Lansdorp. Il a pour but d’envoyer une première équipe de quatre volontaires pour coloniser Mars en 2024. Bas Lansdorp a réfuté les chiffres de l’étude, clamant qu’elle utilisait des données incomplète. Il a toutefois admis que la question des pièces détachées posait en effet problème. "Ils ont raison, le plus grand défi de Mars One est de garder tout en état de marche", a-t-il concédé. Plus de 200 000 personnes se sont portées volontaires pour faire partie de l’aventure. En juin dernier, Mars One a signé un accord avec la société Endémol pour que cette dernière film le processus de sélection et d'entrainement des participants. Pas sûr qu'ils se bousculent encore aux portillon après la publication de cette étude... 
     
    mars2005a
     
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  • Tyron- Les géants.docx by Tyron

     

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  • Lac Khyargas-Nuur1
     
    Un groupe de chercheurs russes est revenu des rives du lac mongol Khyargas Nuur. Ils ont essayé de découvrir d’où venaient les traces qui apparaissent régulièrement sur les rives du lac. Elles pourraient appartenir à un grand reptile.
     
    Les grandes traces sur les rives du lac Khyargas Nuur ont été découvertes au milieu des années 1980 lorsque des membres d’une expédition géologique soviético-mongole dirigée par Viktor Iarmoliouk s’étaient arrêtées là pour se reposer. Les années suivantes, les géologues y ont encore fait une halte à plusieurs reprises. Des zoologues y sont allés aussi. À chaque fois, les scientifiques ont vu des groupes de traces relativement fraîches, s’étalant à plus d’un kilomètre et demi de l’eau, comme si un reptile était sorti de l’eau et était resté un bon moment sur le sable.
     
    Les hypothèses voulant que ces traces proviennent d’un animal habitant sur la terre ferme ou qu’elles aient été laissées par l’homme ont été réfutées. Celle sous-tendant qu’elles aient pu être formées par les vagues ou le vent a aussi été écartée. Le rivage du lac Khyargas Nuur est un lieu désert et inhabité, se trouvant à une centaine de kilomètres du village le plus proche. Les nomades avec leurs animaux et les clients de l’auberge de tourisme à proximité ne passent pas près des rives. De plus, les géologues ont une nuit entendu des mugissements provenant du milieu du lac.
     
    Toutefois, aucune expédition zoologique ou hydrologique sérieuse ne s’est rendue sur les rives du lac mongol. Il y a cependant des amateurs qui explorent différents sites étranges. L’écrivain et homme public Igor Grichine s’est rendu au lac Khyargas Nuur avec le groupe cet été. C’est la deuxième fois qu’il y va, la première était en 2010. Cette année, ils se sont armés de bon matériel, dont une sonde acoustique de dernière génération.
    « La dernière fois, à côté des traces de tailles différentes, nous avons trouvé des os qui ne peuvent pas appartenir à un autre animal en Mongolie. Nous pêchons assez souvent des poissons avec des traces de dents. Tout le monde sait qu’il n’y a qu’un seul genre de poisson, Oreoleuciscus, qui vit dans ce lac, et il n’a pas de dents. Cette année, à l’aide d’un catamaran et d’une sonde acoustique, nous avons pu trouver les traces au fond du lac. Cela nous pousse à penser que soit elles appartiennent à plusieurs individus de tailles différentes, soit qu’elles proviennent de différentes parties du corps d’un même animal, » raconte Igor Grichine.
     
    Lac Khyargas-Nuur2
     
    Qui plus est, les trappeurs ont aperçu sur le rivage des sillons, comme si quelqu’un avait tiré une barge ou un canot sur le sable. Mais il y a nulle part où prendre un tel engin au Khyargas Nuur. Les chercheurs en ont donc conclu qu’il s’agissait de traces de pierres que les animaux auraient pu bouger. En fouillant un peu dans la littérature, ils ont appris que les habitants préhistoriques des fonds marins, comme les plésiosauriens, avalaient des pierres. Sans elles, ils ne pouvaient pas digérer. Valéri Nikolaïev, zoologue et chercheur à la réserve de Valdaï, qui n’a pas eu l’occasion d’aller au Khyargas Nuur, partage l’hypothèse de l’existence d’un reptile préhistorique géant. Il explique que les gens ne vont pas près du lac parce qu’ils ont peur d’un animal inconnu, qu’ils appellent « baleine ».
     
    « La population locale mongole, même si elle ne passe pas très loin du rivage, ne s’intéresse pas du tout au lac. De plus, ceux qui vivent assez près du Khyargas Nuur disent que d’énormes créatures y vivent. C’est évidemment une légende, un mythe, mais il y a de nombreux cas dans l’histoire de la science où des animaux ont été découverts grâce à de tels incroyables récits. Prenons par exemple le panda ou le “fossile vivant”, le cœlacanthe, un poisson qui n’a pas changé depuis 400 ans, l’okapi de la famille des Giraffidés. Ils étaient tous une légende au début. »
     
    Le maitre du Khyargas Nuur pourrait être un animal vestige, qui pourrait dater de la période préglaciaire. Dans les régions sud de la planète, en Asie centrale y compris, tous les animaux n’ont pas eu à subir la glaciation. Les chercheurs pensent que les fleuves mongols de la région sont des restes d’une mer pléistocène préhistorique et que le poisson Oreoleuciscus, dont pourrait se nourrir le mystérieux reptile, est un genre vestige.
    Des observations ultérieures de scientifiques chevronnés et d’équipements de haute qualité pourraient bien sûr résoudre ce mystère de la nature. Cependant, l’audacieux groupe d’Igor Grichine n’a pas encore réussi à s’agrandir. Il est convaincu que le rivage désert du lac, semblable à la surface de Mars, effraie et n’est pas très accueillant.
     
    « Aussi étrange que cela puisse paraître, tous les zoologues qui devaient partir avec nous pour l’expédition se sont désistés au dernier moment. Honnêtement, cet endroit n’est pas très accueillant. Nous avons l’impression que tous les éléments réagissent à notre présence. Cette région est très sèche, mais dès que nous nous sommes installés, il y a eu des bourrasques et de la pluie pendant quatre jours. Il y avait de l’orage. Mener des recherches dans le lac est difficile, et même risqué à cause des tempêtes et des rafales de vent. On peut être emporté en une seconde à un endroit d’où on ne peut pas se sortir. »
    Cependant, les trappeurs n’abandonnent pas et espèrent que l’année prochaine ils pourront relancer une expédition avec des scientifiques.
     
    Monstre Du Loch Ness - GIFMANIA
     
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