• L’HYPNOSE UN FAIT INDISCUTABLE

    DE MESMER A FREUD EN PASSANT PAR CHARCOT…

     

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    Hypnose et magnétisme, ces deux mots sont chargés pour beaucoup de personnes d’un contenu magique. Qu’en dit le Petit Larousse ? « L’hypnotisme est défini comme l’ensemble des phénomènes qui constituent le sommeil artificiel provoqué » et le magnétisme comme l’« influence vraie ou supposée qu’une personne peut exercer sur une autre, aux moyens de mouvements appelés passe ».

     

    Ces définitions ne sont évidemment pas fausses- le dictionnaire ne se le permettrait pas- mais elles sont loin d’être satisfaisantes et son interchangeable. Hypnotisme et magnétisme sont synonymes. C’est l’anglais James Braid qui a créé le mot hypnose en 1841. Avant lui, on parlait de magnétisme parce qu’on croyait que ce phénomène était produit par un fluide comme l’aimantisation des aimants (magnès signifie aimant en grec). Le pionnier du magnétisme animal n’est autre que le célèbre Paracelse (1490-1541), tout à la fois médecin, astrologue, alchimiste, philosophe hermétiste et théoricien de la loi des « signatures ». Son idée du magnétisme dérivait de l’hypothèse de l’existence d’un fluide pénétrant les corps animés et leur conférant des propriétés particulières. Mais il eut également la prescience de ce qu’est réellement l’hypnose. « Supprimez la confiance et l’imagination et vous n’aurez rien, disait-il à ses disciples. Que l’objet de votre croyance soit vraie ou imaginaire, vous obtiendrez le même résultat. »

    Après lui, des occultistes comme Burgraeve, Van Helmont et le père Kircher s’intéressèrent également au magnétisme, cependant c’est François-Auguste Mesmer qui devait lui donner ses lettres de noblesse. Personnage étrange que cet Autrichien né en 1734. Après des études religieuses et juridiques, il étudia la médecine, soutenant à Vienne une thèse sur les influences planétaires sur la santé. Peu après, il découvrait le magnétisme minéral et commença à soigner des malades nerveux en les soumettant à l’influence d’aimants. Ayant épousé une riche veuve, il traitait ses patients dans un château où il donnait des fêtes somptueuses. Mozart venait y jouer et Mesmer lui-même, doué pour la musique, l’accompagnait quelquefois (c’est d’ailleurs lui qui introduisit l’harmonica en France). Une telle existence lui valut des ennemis. Une cabale fut ourdie contre lui et, en 1778, il dut se réfugier en France. A Paris, il loua un hôtel particulier où il recevait les malades que sa réputation lui attirait. Déçu par les aimants, il ne tarda pas à abandonner le magnétisme minéral au profit du magnétisme animal et mit au point ses fameux baquets qui firent beaucoup pour sa réputation.

     

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    Le marquis de Puységur, son disciple, les décrit en ces termes : « Le fond est composé de bouteilles arrangées entre-elles d’une manière particulière. Au-dessus de ces bouteilles, on met de l’eau jusqu’à une certaine hauteur. Des baguettes de fer dont une extrémité touche l’eau sortent de ce baquet et l’autre extrémité, terminée en pointe, s’applique sur les malades. Une corde, en communication avec le réservoir magnétique et le réservoir commun, lie tous les malades les uns aux autres, ce qui, s’il existe une circulation de fluide ou de mouvement, sert à rétablir l’équilibre entre-eux. »

     

    Il y avait quatre baquets, l’un dans une antichambre étant réservé aux pauvres, les trois autres dans les salons luxueux. Des instrumentistes créaient une ambiance musicale pendant que Mesmer passait d’un groupe à l’autre, captant l’attention des malades par des gestes de la main, les « passes », intimement liées à l’hypnose et dont il est l’inventeur. Parfois, des malades entraient en transes. Ils étaient alors conduits dans des petits cabinets capitonnés dénommés « malles de crise ». Les baquets furent vite à la mode. La bonne société s’y pressa et il fallait retenir sa place longtemps à l’avance. Comme à Vienne, cet engouement suscita l’animosité des médecins contre lui. Une commission royale fut chargée d’étudier ses thèses. Mesmer expliqua à ses juges que, pour lui, tous les êtres étaient soumis à l’influence d’un agent universel, nommé par lui « fluide magnétique ». En ayant recours à certains procédés comme les passes ou les baguettes de fer, ce fluide peut s’accumuler et provoquer des guérisons. Les enquêteurs rejetèrent cette théorie. Le fluide n’existe pas, déclarèrent-ils, ce qui était vrai, ajoutant que Mesmer était un imposteur, ce qui était faux puisqu’il magnétisait réellement des malades et les guérissait. Un ami de Mesmer, Deslon, régent de la faculté de Médecine, essaya de le défendre :

    « Si M. Mesmer n’avait d’autre secret que celui de faire agir l’imagination efficacement pour la santé, plaida-t-il auprès de ses collègues, n’en aurait-il pas toujours un bien merveilleux ? Car si la médecine d’imagination était la meilleure, pourquoi ne ferions-nous pas la médecine d’imagination ? »

    Rien n’y fit. Mesmer fut condamné. Dépité, il s’exila d’abord en Angleterre, puis en Allemagne où il mourut en 1815. Quels que soient les défauts de ses théories, il n’en fut pas moins un grand pionnier et le créateur de la psychologie expérimentale. Certains de ses disciples, comme Coullet de Veaumorel, continuèrent à croire au fluide. Par contre, d’autres, comme le chevalier de Barbarinet le marquis du Puységur déjà cité, continuèrent à pratiquer le magnétisme de Mesmer en rejetant ses conceptions. Pour eux, le fluide n’existait pas ; c’était uniquement la suggestion qui permettait de réaliser l’hypnose. « Le mot aimant, disait Puységur, comme ceux de densité, électricité, pesanteur, etc. n’est qu’un substantif de convention adopté pour la facilité de s’entendre et ne désigne aucune substance. » James Braid, comme on l’a vu plus haut, créa le terme d’hypnose, en démontra la réalité et fixa les moyens de l’obtenir. Grims, à partir de 1848, en vulgarisa les procédés aux Etats-Unis. Le magnétisme est bien mort, il ne restait plus que l’hypnose. Elle devait acquérir ses lettres de noblesse quand le docteur Charcot, nommé médecin de la Salpétrière, décida de l’utiliser dans le traitement de l’hystérie. Parmi ses élèves, certains devinrent célèbres, parmi lesquels Janet, Richet et, surtout, Freud, créateur de la psychanalyse.

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    Tableau de Brouillet- Charcot lors d’une séance d’hypnose

    Charcot se servait de procédés classiques, les passes, l’influence de lumières vives, la pression sur les globes oculaires pour obtenir l’état d’hypnose. Il constatait l’effet bénéfique qu’elle avait sur ses malades, mais refusait de chercher à expliquer pourquoi. En tout cas, il refusait d’admettre que l’hypnose put avoir une origine psychologique. Elle était pour lui uniquement un phénomène physique. Simultanément, un médecin de Nancy, le docteur Liébault, pratiquait systématiquement l’hypnose avec ses élèves. Découvrant que le sommeil hypnotique avait beaucoup de points communs avec le sommeil normal, il conclut que c’était seulement la suggestion qui en était la cause, sans intervention de phénomène physique. La lutte fut vive entre les deux écoles. Pourtant, au fur et à mesure que s’accumulaient les expériences, la majorité des spécialistes prirent le parti de Liébault contre Charcot. C’est la théorie psychologique qui a prévalu, même si depuis quelques années on a tendance à croire qu’il existe une communication parallèle, une sorte d’intercommunication entre l’hypnotisme et l’hypnotisé. Maintenant, la réalité de l’hypnose n’est plus mise en doute. Presque partout, elle est utilisée dans les buts thérapeutiques, même si en France le corps médical se montre parfois plus réservé qu’à l’étranger. Ce qui est moins connu, c’est le rôle de l’hypnose dans les domaines parapsychologiques. Selon certains, les états hypnotiques favoriseraient grandement la perception extra-sensorielle. Des recherches sont en cours et tout tend à prouver que leurs résultats seront étonnants.

    Il existe de nombreuses méthodes employées pour obtenir un état hypnotique. Les passes classiques ne servent généralement à rien. Elles permettent de capter l’attention du sujet, mais elles ne l’endorment que très rarement si elles ne sont pas accompagnées d’autres stimulations. En général, on distingue trois grandes catégories de stimulations qui, toutes les trois, sont utilisées conjointement avec une stimulation verbale. La stimulation sensorielle a recours à des excitations optiques ou auditives. Ce peut-être par exemple l’observation prolongée de tâches lumineuses ou de formes géométriques comme les mandalas bouddhistes. La stimulation chimique consiste à administrer au sujet une substance narcotique comme le bromure d’éthyle, le chloralhydrate et la scopolamine. Le penthotal ou « sérum de vérité » peut aussi être employé. La stimulation verbale proprement dite est la plus couramment mise en œuvre. Elle consiste à capter l’attention du sujet et à provoquer la suggestion en lui parlant. L’une des méthodes la plus classique est celle dite du « pendule de Chevreul ». On fait osciller un pendule devant ses yeux en lui disant lentement :

    « Regardez la bille et concentrez-vous totalement sur cette bille. Restez bien décontracté. Vous allez bientôt constater que la bille commence à bouger un peu. Qu’importe le sens, mais elle bouge, elle commence à remuer un petit peu au début. Maintenant, elle commence à prendre de l’amplitude… Observez la bille… Elle bouge… Pensez au mouvement de la bille. Si vous le faites, elle prend de plus en plus d’amplitude… En avant. En arrière… La bille oscille de plus en plus. Bon, comme son amplitude augmente de plus en plus, vous ne pouvez plus maintenant l’arrêter. Plus vous essayez de le faire et moins vous y parvenez. »

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  • manuel-uribe-heaviest-man-21-jpg
     
    Manuel Uribe, l'homme le plus gros du monde est décédé hier à l'âge de 48 ans. La cause exacte de sa mort reste pour l'heure inconnue. Rappelons toutefois qu'il souffrait d'obésité morbide depuis 1992.
     
    Ce dernier avait acquis en 2007 le titre d'homme le plus gros du monde avec 597 kilos.
    Juste après son titre dans le Livre Guinness des records, il avait entamé un régime qui lui avait fait perdre plus de 200 kilos. Mais au début du mois de mai, il avait dû être transféré à l'hôpital à cause d'une arythmie cardiaque. Une grue avait même été amenée le transporter.
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    Les Bolas, plus connues sous l’appellation de sphères parfaites ou autres œufs de pierre sont des curiosités très présentes dans le Delta du Diquis, au sud du Costa Rica. Le mystère entourant leurs fabrications et leurs fonctions fait naître de nombreuses interrogations… Comment les Bolas ont-elles été taillées ? Retour sur un phénomène étrange.

     

    ORIGINES ET MIGRATION

    Il existe deux natures de pierre : la grande majorité est constituée de granodiorite, une roche magmatique plutonique issue de la coulée volcanique dans la cordillère de Talamanca et plus précisément près de la rivière Térraba et quelques rares spécimens sont composés de coquina (calcaire). Les Bolas ont été découvertes, dans la région de Palmar, à 80 km de leur lieu d’origine. Une question se pose : comment ont-elles été déplacées ? Les précolombiens ont probablement utilisé des techniques éprouvées par les civilisations passées : dans les passages marécageux ou d’accès difficile, endroits où les sphères de pierres ne pouvaient pas être poussées, ils ont pu utiliser des systèmes de levier ou encore créer un passage dans la jungle pour amener les Bolas jusqu’à leur destination finale. Autre possibilité évoquée : la jungle n’en était peut-être pas encore une, ce qui expliquerait que l’on retrouve des Bolas à une telle distance de leur « carrière »…

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    Il est impossible de dater de manière formelle les Bolas. La seule possibilité réside dans l’analyse de l’environnement des sphères et des éléments archéologiques qui s’y trouvent. Quelques poteries ou autres objets retrouvés à proximité des pierres rondes donnent une datation possible entre -200 et -800 avant notre ère. Sans certitude, car la grande majorité des sphères de pierre ont été déplacées et donc éloignées de toutes traces archéologiques datables… D’après Yvon Leclerc, il existe un moyen de datation possible : il suffirait de dater le travail sur la pierre en identifiant et en relevant les traces laissées par les différents outils et les comparer à celles laissées sur des objets façonnés par l’homme comme les poteries… A ce jour aucun essai de datation avec cette méthode n’a encore été réalisé.

    HYPOTHESES DE TAILLE

    Le premier mystère des Bolas résident dans la technique de taille. Comment des artisans précolombiens ont-ils pu sculpter cette roche avec les outils rustiques de l’époque ? Par quel moyen ont-ils réussi à former des sphères presque parfaite ? Certains chercheurs avancent la thèse que les sculpteurs auraient utilisé de simples gabarits de bois pour tailler la pierre en une sphère grossière, sphère qu’ils auraient poli avec du sable ou un autre abrasif à leur disposition. Yvon Leclerc, directeur de la société scientifique parallèle et chercheur à l’Institut international du Paléozoïque, propose une technique légèrement différente. D’après ses observations sur une boule de 3pi (0,9144 cm), le chercheur pense que la pierre a effectivement été travaillée avec un gabarit et qu’un outil de 5cm de largeur a été utilisé pour les finitions. Toujours selon les frottis réalisés sur la boule, l’artisan aurait taillé en suivant des bandes verticales, toujours en vérifiant avec le gabarit pour garder l’aspect sphérique.

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    La boule était ensuite roulée d’un quart de tour. Le sculpteur aurait ensuite taillé de manière en bandes horizontales de manière à réaliser de petits carrés de repère. D’après Yvon Leclerc, les artisans auraient achevé les finitions de la sphère avec des ciseaux de taille et non un abrasif, ce qui expliquerait la marge d’erreur de 2 mm sur une sphère de 2 m, vérifiée sur une boule de 2 m de diamètre. Une hypothèse qui pourrait être vérifiée avec une pierre peu endommagée…

    LE SECRET DANS LA ROCHE

    D’après les mesures de Samuel Lothrop effectuées dans les années 40 au Costa Rica, les sphères présentent une irrégularité de diamètre de 2,5 à 5 cm de diamètre. Les plus contestataires proposeront l’argument suivant quant à l’aspect parfait et la méthode de taille des Bolas : les pierres ont subi de nombreux dommages, elles ont subi les intempéries, les actes de vandalisme et été déplacées de leur lieu d’origine ce qui a eu pour conséquence soit de les détériorer, soit de les voir polir et de les rendre plus « parfaites ». Difficile de savoir si c’est un argument de poids en tout cas, il paraît valable.

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    Ifigenia Quintanilla (photo dessus en 1999), archéologue, propose une thèse qui va en ce sens. Elle a découvert, dans le lit de la rivière Térraba, dans le delta du Diquis, des pierres semi taillées qui ont donné naissance à une nouvelle hypothèse sur la taille des Bolas. D’après les archéologues, la granodiorite est une roche relativement friable qui supporte mal les écarts de température. Elle se craquelle et s’émiette facilement en surface. Placée à proximité d’un feu puis aspergée d’eau froide, la surface de la pierre se craquelle et peut alors être taillée plus facilement, sans effort surhumain. L’expérience a d’ailleurs été réalisée avec succès par un artisan costaricain qui a réussi à tailler une pierre semi-ronde et à la transformer en véritable Bolas sans l’aide de la technologie ! Pour certains, les Bolas n’ont rien d’artificiels et ne sont pas issues du travail de l’homme. Leurs réflexions est basée sur la forme brute et la nature de la roche qui font de cette pierre un objet naturellement sphérique… Selon cette thèse, les déplacements naturels (intempéries, glissements…) et artificiels (dû à l’activité humaine) auraient contribué à effriter la surface de la pierre et à l’user pour lui donner cette forme sphérique si caractéristique…

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    LA VERITABLE ENIGME

    A quoi servaient les Bolas ? La réponse est toute trouvée pour ceux qui pensent qu’elles sont le fruit de l’érosion : ces sphères ne servent à rien, elles sont naturellement là comme le sont les autres roches. D’autres hypothèses circulent, sans toutefois avoir été confirmées ou infirmées : Marqueraient-elles l’emplacement de tombes ? Etaient-elles un point de repère, symbolisaient-elles un territoire ? Ou une simple monnaie d’échange ? Etaient-elles de simples éléments de décorations comme elles le sont aujourd’hui  pour les Costaricains ? Etaient-elles, comme les Moai de l’île de Pâques, dédiées aux Ancêtres ? Les Bolas sont la source de 1001 hypothèses, toutes possibles et crédibles. Seule l’archéologie pourra trouver la clé de ce mystère…

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    aura animé edito
     
    Source- Le Monde de l’Inconnu n° 334 d’octobre-novembre 2008
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  • Juste à regarder tant cet évènement était fantastique avec ce mode "infra-rouge"... Je cherche la musique si vous pouvez m'aider merci !

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  • Boeing 777, vous allez tout comprendre ! Attention, accrochez vos ceintures !
     
     
    Malaysia Airlines: 20 ingénieurs liés à la défense US à bord
     
     
    Il y avait donc vingt employés du groupe Freescale à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines. Ils étaient en route pour une réunion d’affaire à Pékin. C’est le PDG du groupe, Greg Loewe, qui l’a annoncé dans un communiqué précisant que douze d’entre eux étaient  de nationalité malaisienne, huit de nationalité chinoise.
     
    Freescale Semiconductor est une firme basée à Austin. Elle dispose d'une équipe de spécialistes dédiée à l'appui aux forces de défense. Les produits commerciaux de Freescale couvrent divers secteurs :
     
        -Les Communications sur le champ de bataille.
        -L'avionique.
        -Les bandes radar HF par L et  S.
        -Le guidage des missiles.
        -La guerre électronique.
        -L'identification, ami ou ennemi (IFF).
     
     
    OK…
     
    Personne n’en parle dans les média mainstream. Est-on là au cœur  des raisons de cette disparition ? Il paraît évident que ce ne sont pas des laveurs de vitres qui faisaient ce voyage mais des ingénieurs de haut niveau. Alors ?
    Les chroniques de Rorschach approfondissent ainsi le sujet :
     
    « Concernant le mystère du vol MH370, deux informations importantes n’ont pas été diffusées.
    1)- A l’aide de l’armement électronique d’aujourd’hui, un avion peut sembler disparaître.
    2) Les vingt passagers de Freescale sont liés à des contractants US de la Défense dans le domaine de l’armement électronique Hugh Tech.
    Les capacités de la guerre électronique comprennent des armes qui permettent de cacher des avions. Cet armement électronique est non seulement disponible, il est d’ores et déjà en cours de déploiement. A-t-il été utilisé pour masquer ou camoufler l’avion disparu ? »
     
    Mais voyons ce que sont ces nouvelles techniques : « De nouvelles armes électroniques permettent le brouillage, l'aveuglement, l'assourdissement et plus encore, de sorte qu'un avion pourrait disparaître des radars de détection tandis que les systèmes de sécurité ne seraient pas activés. Au niveau du radar les stratégies de contre-mesures électroniques basiques utilisées dans la guerre électronique sont :
     
    1 ) les interférences radar
    2 ) la modification des cibles
    3 ) la modification des propriétés électriques de l'air .
     
    Par exemple, un rapport d'évaluation du renseignement américain a conclu qu'une attaque israélienne contre l'Iran irait bien au-delà des frappes aériennes avec des avions de combat et verrait probablement le déploiement d'armes électroniques contre le réseau électrique, l'Internet, les réseaux de téléphonie mobile ainsi que les fréquences d'urgence utilisées par les premiers secours en Iran.
     
    Autre exemple, Israël a développé une arme capable d'imiter un signal de maintenance qui commande au réseau des portables de " se mettre en veille " stoppant ainsi efficacement les transmissions. 
     
    En 2007, l'armée syrienne a obtenu un avant-goût de cette guerre quand  les radars de défense aérienne du pays ont étés leurrés par les forces Israéliennes. Dans un premier temps, elles ont fait en sorte qu'ils ne montrent aucun avion dans le ciel puis l'instant d'après, elles ont fait en sorte que les radars montrent des centaines d'avions.
     
    L'année dernière, il a été annoncé que la nouvelle technologie de la furtivité des avions les rend invisible non seulement au radar mais également à l'œil humain à la manière d'une cape d'invisibilité.
     
     A-t-on à faire à un détournement fait pour éliminer ou capturer ces cerveaux ? Un nouvel élément, révélé par le Nouvel Observateur, rend cette thèse possible :
    Deux sources proches de l'enquête ont indiqué à Reuters que des données radar suggèrent que le vol MH370, qui a disparu le samedi 8 mars 2014 sans laisser de traces, a été délibérément orienté vers les îles Andaman.
    Un avion non identifié qui pourrait être le Boeing 777 en question suivait un cap défini par des "waypoints", ce qui suppose que quelqu'un ayant des compétences en matière de pilotage se trouvait aux commandes lorsqu'il a été repéré pour la dernière fois par des radars militaires au large de la côte nord-ouest de la Malaisie, dit-on de mêmes sources.
     
    Tout ceci n’est-il pas su depuis longtemps par les différents gouvernements. ? Pourquoi perdre du temps à chercher des débris qui n’existent pas ? Y-a-t-il des négociations secrètes ?
    A-t-on sacrifié 219 passagers pour éliminer 20 savants ? Ou a-t-on enlevé 20 cerveaux pour utiliser leurs connaissances ?
    Que sont devenus les autres passagers ?
    Un simple épisode de la grande guerre technologique ?
    Qui est à la manœuvre ?
    Est-ce une manière, après l’attentat de la gare de Kunming qui avait fait 30 morts et 133 blessés, de dire à la Chine de se tenir à l’écart du conflit US-Russie ? Sous-entendu : « On a les possibilités de vous empoisonner la vie à peu de frais… »
     
    Interrogeons-nous puisqu’on a demandé aux internautes de chercher des débris sur la mer.
    Mais pas que sur la mer…Sur le grand flot d’internet, bien des indices aussi posent question.
     
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    Maintenant, parlons du brevet !
     
    Voila ce que vous devez tous savoir. Partagez cette information à tous vos proches. Quatre jours après la disparition du vol MH370 un brevet est approuvé par le Bureau des Brevets.
     
    4 des 5 individus titulaires du brevet sont des employés de Freescale Semiconductor à Austin au Texas. Le brevet a été partagé en 5 parties de 20% pour chaque titulaire, dont la répartition est la suivante :
     
    Peidong Wang, Suzhou, Chine (20%)
    Zhijun Chen, Suzhou, Chine (20%)
    Zhihong Chen, Suzhou, Chine (20%)
    Li Ying, Suzhou, Chine (20%)
    Freescale Semiconductor, Etats-Unis (20%)
     
    Si un titulaire du brevet meurt, alors les titulaires qui restent se partagent équitablement les dividendes d’une augmentation.
     
    Si 4 titulaires du brevet sur 5 meurent, alors le titulaire restant possède 100% des profits accumulés par le brevet.
     
    Le dernier titulaire vivant du brevet est Freescale Semiconductor.
    Qui possède Freescale Semiconductor ?
     
    Jacob Rothschild via Blackstone (quel nom intéressant pour une compagnie, ‘pierre noire’) qui possède Freescale. Voila votre motivation manquante pour le boeing disparu. Les 4 titulaires chinois du brevet étaient à bord.
    Ci-dessous des liens intéressant, et un lien vers le fameux brevet !
     
     
     
    et le brevet :
     
     
    Vole le bel avion en or massif !
     
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    Caro pour WikiStrike
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