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    La Mary Celeste en 1890
     
    Le Mary Celeste après l'incident en 1890

     

    Le Mary Celeste, un brick-goélette immatriculé à New York, a été découverte en 1872 en pleine mer, en parfait état mais abandonnée par son équipage. Cet évènement constitue l'une des plus célèbres énigmes du monde maritime dans la catégorie des vaisseaux fantômes.

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  • OBSERVATIONS ETRANGES EN PLEIN CIEL

    Par Vincent Willaime

     

    En septembre 1941, dans l’Océan indien, deux marins et un officier britannique qui se trouvaient sur le pont du S.S. Pulaski, un navire marchand polonais qui transportait des troupes britanniques, observèrent pendant une bonne heure un phénomène étrange. Une sphère de lumière verdâtre se déplaçait dans le ciel, environ deux fois plus petite que la pleine lune, telle qu’elle apparaissait aux trois hommes.

     

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    Le S.S. Pulaski, transporteur de troupes

    L’année suivante, cette fois-ci se sont des équipages d’aviateurs qui rapportent de plus en plus d’observations similaires et surprenantes, de une, voire plusieurs boules lumineuses qui escortent ou suivent à distance leurs escadrilles de chasseurs ou de bombardiers, ou parfois même un appareil isolé. Les témoignages de certains équipages font même mention de véritables formations de ces boules lumineuses. Quelques pilotes affirment qu’une de ces choses aurait tenté de les percuter en leur fonçant droit dessus, avant de dévier brusquement de leur trajectoire au dernier moment. D’autres encore, de les abattre, ce qui s’avérait totalement impossible.

    De tels rapports d’observations furent établis par des pilotes et des équipages aussi bien sur le théâtre d’opération européen que sur celui du Pacifique jusqu’à la fin de la guerre, et qu’ils soient britanniques, américains, allemands ou japonais, ils concordent tous. De jour, ces curieux et inquiétants objets volants sphériques ressemblaient à des petits globes métalliques. La nuit, ils brillaient avec des couleurs différentes, blanches, jaunes, oranges, ou rouge. Ces objets approchaient de près les avions, et les équipages cherchaient à les éviter, pensant qu’ils pouvaient exploser. Au moment des manœuvres d’évitement, les mystérieux objets suivaient le mouvement, continuant à suivre l’avion. Ils se comportaient comme s’ils étaient sous le contrôle d’une forme d’intelligence, se « jouant » des pilotes, mais ils se semblaient pas avoir de comportement agressif. En effet, ils apparaissaient et disparaissaient soudainement, sans raison apparente.

     

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    Voici un exemple de témoignages. Le 10 août 1944, au-dessus de l’Océan Indien, les copilotes d’un bombardier lourd B-29 Superfortress de l’U.S.A.F. ont rédigé ce compte-rendu :

    « Un objet étrange nous suivait à environ 500 yards (475 m) au large de l’aile droite. A cette distance il apparaissait comme un objet sphérique, probablement de 5 ou 6 pieds (1 à 2 m) de diamètre, d’un rouge ou d’un orange très lumineux et intense il semblait avoir un effet de halo. Mon mitrailleur a rapporté qu’il est arrivé depuis une position à 5 heures (arrière droite) à notre niveau. Il semblait palpiter ou vibrer constamment. Supposant que c’était quelque objet radio-commandé envoyé pour nous repérer, j’ai effectué des manœuvres évasives, changeant constamment de direction, jusqu’à 90°, et d’une altitude d’environ 2000 pieds (600 m). Il a suivi chacune de nos manœuvres pendant environ 8 mn, tenant toujours une position à environ 500 yards et à environ 2 heures (avant droit) par rapport à l’avion. Quand il est parti, il a fait un virage brusque de 90°, accélérant rapidement, et a disparu dans la couverture nuageuse. » Extrait du livre de J. Clark & Lucius Farish : “The mysterious Foo Fighters of World War II “.

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    PANIQUE A L’ETAT-MAJOR

    La principale explication qui commence à circuler nerveusement aussi bien chez les Alliés que parmi les Forces de l’Axe est que ces sphères sont des prototypes d’armes secrètes testées par le camp d’en face. Les rapports sur des « boules transparentes métalliques et rougeoyantes inexplicables » ont afflué en grand nombre en juin 1944, au moment où les Alliés débarquaient en Normandie et où l’Allemagne nazie se mettait à envoyer ses fusées V-1 vers Londres, inaugurant par ce fait l’ère des missiles sans pilote. Les rapports se sont intensifiés en novembre 1944, peu de temps après que les premières fusées V-2 balistiques allemandes aient été tirées vers Londres et Paris. L’impressionnante réalité de ces fusées V-1 et V-2 a largement contribué à alimenter la rumeur courante à cette époque d’armes très avancées détenues par les Nazis, et beaucoup de personnes ont supposé que ces objets étaient un dispositif antiaérien ennemi expérimental et qui devait entrer bientôt dans sa phase opérationnelle.

     

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    Fusée V-2 sur son véhicule mobile de tir

    Ces objets reçoivent toutes de sortes de noms, indiquant le manque de compréhension de leur nature et de leur origine. Le 27 novembre 1944, à la suite d’une nouvelle observation au-dessus de Spire, en Allemagne, le terme « foo fighter » est pour la première fois utilisé pour désigner le phénomène. Il serait entré dans le jargon militaire le soir du 27 novembre, lors du debriefing du 415ème escadron de chasseurs de nuit, basé à Dijon. Donald J. Meiers, l’un des opérateurs radar et amateur de la bande dessinée « Smokey Stover the Foo-Fighter », aurait jeté une de ces BD sur la table en s’écriant « it was another of those f*** foo fighter ! » (« C’était un autre de ces p*** de foo fighter ! »). Les pilotes Henry Giblin et Walter Cleary ont déclaré avoir été harcelé par « une énorme lumière brûlante » qui volait au-dessus de leur avion à environ 250 miles par heure, mais le radar du secteur a fait un rapport négatif car rien ne s’était enregistré sur l’écran.

     

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    L’expression « f*** foo fighter », qui désigne un style de pilotage imprévisible avec des manœuvres extrêmes et qui est spécifique à l’U.S.A.F., a été adoptée faute d’un meilleur terme pour nommer le phénomène, et a été raccourci de façon plus civile en « foo fighter » un mois plus tard par le journaliste Bob Wilson venu écrire un article sur le sujet.

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    DES ARMES SECRETES ALLEMANDES ?

    A l’époque des faits, on pensait donc naturellement aussi bien du côté Allié que du côté de l’Axe que ces sphères lumineuses étaient certainement des prototypes testés par l’adversaire. On y vit tout d’abord une sorte d’arme psychologique puisqu’elle ne semblait pas à priori offensive, mais à la fin de la seconde Guerre mondiale, l’accès aux archives des différents protagonistes invalida cette hypothèse : aucune armée engagée dans le conflit n’expérimenta de prototype d’appareil sphérique et lumineux, et aucun pays ne déclara en avoir été l’instigateur. Néanmoins, ce qui est curieux est que ces phénomènes étaient rarissimes avant 1943 et qu’ils disparurent quasiment à la fin des hostilités. L’armée américaine a toujours nié avoir eu connaissance de ce qu’étaient réellement les « foo fighters », et jusqu’en 1990, les demandes déposées par les enquêteurs pour demander des informations n’avaient mené à rien, la réponse officielle des autorités gouvernementales étant qu’elles n’en avaient jamais entendu parler !

     

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    Le Messerschmitt 163 Komet

    On a parfois attribué une partie des observations de « foo fighters » à des possibles observations rapprochées de l’avion fusée allemand Messerschmitt 163 Komet, entré en service en 1944. Conçu en tant qu’intercepteur, le Me 163 affichait des performances en matière de vitesse ascensionnelle phénoménale pour son époque : il pouvait en effet atteindre l’altitude de 9000 m en deux minutes et demie ! Par contre son autonomie était limitée à environ 10 mn, et obligeait le pilote à rentrer généralement en planant. Cette hypothèse est rendue très peu plausible par le fait que l’appareil ne disposait que de quelques minutes d’autonomie, et qu’il n’était pas équipé pour le vol de nuit. Les autres engins allemands suspectés d’être derrière les témoignages de « foo fighters » et qui auraient pu tromper les pilotes incluent le Messerschmitt 262 Schwalbe, les surprenantes ailes à réaction Horten, ainsi que les V-1 et les V-2, mais aucune de ces inventions ne présente les caractéristiques associées au phénomène décrit et observé aussi bien par les aviateurs alliés, allemands, et même japonais.

     

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    Le Messerschmitt 262 Schwalbe et l’aile volante Horten

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    LA THESE DE RENATO VASCO

    Un des partisans les plus convaincus de l’hypothèse d’une arme secrète allemande est Renato Vasco, pour qui les « foo fighters » étaient bien une arme secrète nazie, comme l’avaient supposé les Alliés pendant la guerre, mais en aucun cas on ne peut la confondre avec une de celles qui sont habituellement retenues et relativement bien connues du grand public.

    Pendant la guerre, Renato Vasco «était un jeune ingénieur en aéronautique, il a longuement étudié par la suite les armes secrètes allemandes, et ses recherches à propos des « foo fighters » confirment les observations notées dans le rapport de l’armée américaine retrouvé par Friedrich Georg. Après une longue enquête sur le terrain, il décrit cette dernière comme un genre de projectile radio-guidé tiré à l’aide d’une sorte de canon spécifique (des anciens membres de l’armée américaine, ainsi que parmi la communauté du renseignement, ont quelquefois parlé « d’un canon d’un modèle inconnu » tirant une « arme spéciale », et qui aurait été rapportée aux Etats-Unis après la guerre). Après avoir été guidé à partir du sol, un dispositif de repérage infra-rouge prenait le contrôle de façon automatique. La chaleur due à la rotation du turboréacteur circulaire créait un effet lumineux visible qui faisait ressembler l’objet à une boule de feu dans le ciel nocturne.

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    Les « foo fighters » auraient donc été une sorte de drone conçu pour suivre les avions ennemis, déconcentrer leurs pilotes, et éventuellement interférer avec le fonctionnement des radars et des moteurs. Mais l’existence d’une telle arme n’a jamais pu être prouvée, il semble malgré tout peu probable qu’elle ait pu être réalisée avec la technologie de l’époque, et la thèse de Renato Vasco a plus de détracteurs que de supporters.

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    DES PHENOMENES NATURELS

    Il semble donc hasardeux de conclure avec certitude sur l’existence d’une telle arme, fut-elle encore à l’état de prototype ou proche de son stade opérationnel. Il reste donc à trouver des explications plausibles, et les scientifiques ont d’abord cherché du côté des phénomènes naturels et ont évoqué plusieurs possibilités mais sans qu’aucune ne parvienne véritablement à convaincre qui que se soit.

     

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    Une hypothèse fréquemment avancées est celle de la foudre globulaire. C’est un phénomène météorologique rare qui se présente sous la forme d’une sphère lumineuse d’une vingtaine de centimètres de diamètre et qui peut apparaître au cours d’un orage. Les connaissances à sont sujet restent encore de nos jours vagues et son explication repose essentiellement sur des théories. Dans le même esprit, on a évoqué aussi les feux de Saint-Elme. Ce sont des phénomènes physiques connus depuis l’Antiquité, se produisant dans certaines conditions météorologiques, et qui se manifestent par des lueurs apparaissant aux extrémités des mâts des navires et des ailes des avions. Enfin, on a aussi parfois parlé d’un éventuel phénomène électromagnétique induit par la présence rapprochée des bombardiers. Mais aucune de ces hypothèses, reposant sur des phénomènes naturels déjà observés mais qu’on a du mal à comprendre, n’est satisfaisante, car elles n’expliquent pas les changements de cap ou le comportement « intelligent » des « foo fighters ».

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    HALLUCINATIONS COLLECTIVES OU ILLUSIONS D’OPTIQUES ?

    Lorsque les esprits scientifiques demeurent impuissants à fournir des explications rationnelles, il est souvent d’usage de se replier sur des certitudes et de dénigrer la valeur des témoignages. Le phénomène mystérieux qu’on est incapable d’expliquer n’existe tout simplement pas : vous avez rêvé, c’est tout ! Certains sceptiques ont alors parlé de cas d’hystérie collective des équipages, due au stress des missions de combat. Mais les chances que tout un équipage entier soit victime d’hallucinations collectives est très improbable, et quand toutes ces hallucinations se regroupent en un même et unique témoignage, alors cela relève d’avantage du paranormal que du possible. Et le fait que sur plusieurs années consécutives, de nombreux équipages différents de plusieurs nations auraient eu cette même hallucination collective invalide cette hypothèse. D’autres scientifiques ont parlé d’illusions d’optiques, vraisemblablement causées par la persistance rétinienne après l’exposition à la lumière des tirs d’artillerie des batteries DCA. Une autre étude menée en avril 1945 par le Dr Edgar Vinacke conclu un peu rapidement et de façon similaire sur le fait que les observations de « foo fighters » seraient provoquées par le « vertige de l’aviateur ».

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    DES VISITEURS DE L’ESPACE ?

     

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    Au cours des dernières décennies, avec le développement de l’aviation, les témoignages se sont multipliés, et des pilotes civils ont pu observer ces boules lumineuses et établir des rapports similaires à ceux des pilotes de la Seconde Guerre mondiale. Puisque ni la nature ni l’homme, aussi bien par sa capacité à créer des choses réelles qu’à en inventer des imaginaires, ne semblent être la source de ce phénomène, c’est que l’explication vient peut-être…d’ailleurs ! de nos jours, les « foo fighters » sont fréquemment considérés comme une des plus anciennes manifestations du phénomène « OVNI ». Evidemment, l’hypothèse extraterrestre, retenue comme étant la plus probable maintenant que toutes les autres ont surtout démontré leur incapacité à donner des explications solides, ne va certainement pas faire l’unanimité d’elle-même, chaque camp ayant ses sceptiques.

    50 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les témoignages des aviateurs ont été rendus publics et ont été consignés dans le Rapport Cometa, qui a été remis à Jacques Chirac et Lionel Jospin en 1999. La COMETA est un organisme très sérieux et qui étudie les conséquences des phénomènes de type OVNI dans le domaine de la Défense nationale. Le rapport conclu à « la réalité physique quasi-certaine d’objets volants totalement inconnus », et que « l’hypothèse extraterrestre est de loin la meilleure hypothèse scientifique ; elle n’est pas prouvée de façon catégorique, mais il existe en sa faveur de fortes présomptions, et si elle est exacte, elle est grosse de conséquences ».

    LE MYSTERE DES « FOO FIGHTERS » RESTE ENTIER, MAIS NOUS VOILA PREVENUS !

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    Source- Mondes Etranges HS N°3 Juillet 2011

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    Observations étranges en plein ciel !

     
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    ENQUÊTE SUR LES MEDECINS EXTRATERRESTRES !

     

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    Par Magali Marcia, Chercheur

     

    L’ufologue Preston Dennet publie un ouvrage plutôt intriguant sur l’un des aspects parmi les moins étudiés du phénomène OVNI : les guérisons extraterrestres ! Son livre compile ainsi de multiples témoignages en provenance du monde entier qui démontrent que certaines entités exotiques ne viennent pas seulement observer les habitants de la Terre, mais qu’elles peuvent aussi parfois leur venir en aide sur un plan médical. Qui sont ces médecins extraterrestres, quel sont leurs objectifs ? L’ouvrage de Dennet, publié aux éditions Trajectoire et baptisé « Guérisons extraterrestres : récits authentiques », apporte quelques éléments de réponse.

     

    LES 3 SCENARIOS TYPES D’UNE GUERISON EXTRATERRESTRE

    Avant de nous pencher sur les témoignages contenus dans l’ouvrage, il apparaît important de remarquer les similitudes troublantes dans une majorité de récits. Après avoir compilé plus d’une centaine de témoignages, l’ufologue Preston Dennett s’est ainsi aperçu qu’il existait de forts parallèles entre ces dossiers. Il en dégage trois types de scénarios relatifs aux guérisons extraterrestres :

    -Scénario1 : un individu se réveille dans sa chambre et aperçoit des entités extraterrestres au pied de son lit. Le témoin est ensuite emmené à l’intérieur d’un OVNI, où on lui fait passer un examen médical et on lui annonce qu’il a une maladie que les entités se proposent de guérir. Après opération, le contacté est reconduit dans sa chambre à coucher et toutes traces de l’intervention et de la maladie ont disparus.

    -Scénario2 : une personne est hospitalisée suite à un accident ou une maladie. Seul dans sa chambre, il reçoit une visite d’une entité étrange qui lui administre un remède inconnu sous la forme de pilules. Après la rencontre avec ce mystérieux « docteur », les symptômes de la maladie disparaissent rapidement.

    -Scénario3 : un individu circule en voiture sur une route lorsqu’un OVNI effectue un passage à très basse altitude juste au-dessus de son véhicule, en émettant un faisceau de lumière. Le conducteur se trouve alors enveloppé dans cette lumière et quand l’OVNI quitte les lieux, la personne constate qu’elle ne souffre plus de la maladie ou du handicap qui le faisait souffrir dans la vie de tous les jours.

    Dans tout les cas et dans tous les types de scénarios, on ne peut que s’étonner de la rapidité du processus de guérisons et de l’efficacité des médecins de l’espace, comme le résume John Beresford, docteur en médecine, en introduction de l’ouvrage :

    « Le fait est que la guérison se produit avec une rapidité quasi magique. Il est envisageable qu’après que l’intervention a eu lieu, le corps poursuive son propre processus de guérison, mais à une vitesse incroyable. Les guérisons extraterrestres allient une certaine pratique médicale à la rapidité de la guérison spontanée ».

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    ABDUCTIONS… ET GUERISONS

    Les abductions- les enlèvements d’êtres humains par des entités extraterrestres- sont majoritairement décrites dans la littérature ufologique comme des expériences extrêmement traumatisantes et négatives pour les victimes. Pourtant, certains chercheurs pensent que l’objectif de ces abductions est peut être de guérir ces personnes ! C’est notamment l’avis de la doctorante en philosophie Edith Fiore, qui a mené des recherches approfondies sur ce phénomène. « L’une des conclusions les plus intéressantes qui ressort de ce travail repose sur les nombreuses guérisons ou tentative de guérisons de la part des visiteurs (…) Dans approximativement la moitié des cas dans lesquels je me suis impliquée, il y a eu des guérisons dues à des opérations et/ou des traitements. Parfois, les guérisons sont permanentes. D’autres fois, les maladies réapparaissent (…) Si vous notez une guérison ou une amélioration inexplicable (…) il est possible que vous ayez reçu de l’aide de visiteurs » constate la spécialiste du dossier. 

    Quant à l’ufologue Dan Wright, son étude statistique sur les propres cas qu’il a étudié lui permet d’affirmer que 11% des effets physiologiques causés par les OVNI sont représentés par des guérisons. « Presque un tiers des sujets ont signalé un effet physique comme résultat direct d’une abduction. Il y a eu des saignements de nez dans 13 cas et des cicatrices dans 12 cas, dont la moitié sur la jambe ou sur le genou. Curieusement, dans 4 cas le sujet s’est vu dire par une entité ou bien a conclu de lui-même que ces êtres avaient guéri un problème médical par chirurgie réparatrice » observe-t-il. Même son de cloche chez Richard J. Boylan, un enquêteur indépendant auteur de l’ouvrage « Close extraterrestrial Encounters » (Rencontres extraterrestres rapprochées), qui au terme de son enquête conclut qu’ « il arrive que des soins soient pratiqués à bord des OVNI. Bien que la technologie soit souvent si exotique que les personnes qui ont été enlevées sont incapables de dire ce qui leur a été fait ou de décrire le matériel utilisé, un certain nombre de témoins ont rapporté avoir reçu des soins extraterrestres pour des maladies que des médecins humains avaient préalablement diagnostiquées et qui nécessitaient une surveillance. Dans d’autres cas, les extraterrestres ont diagnostiqué et guéri la maladie au cours de l’expérience à bord ».

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    UNE VISITE MEDICALE EXTRATERRESTRE ?

    La plupart des témoignages reviennent sur l’examen subi durant l’expérience de contact rapproché avec une ou plusieurs entités extraterrestres. Un examen qui ressemble fort à … la visite médicale que l’on passe chez le généraliste avant certains entretiens d’embauche ou une épreuve sportive ! L’ufologue Richard J. Boylan revient sur cet étrange entretien médical :

    « Il arrive que les résultats de l’examen soient communiqués au sujet, en particulier si une maladie inquiétante a été identifiée ou s’il demande pourquoi une certaine procédure a été nécessaire. Pour les entités, l’objectif de l’examen semble être de faire le bilan physique et génétique du sujet, et de déterminer son état de santé général. Parfois, un extraterrestre dira à l’abducté qu’une maladie nécessite un suivi et lui conseillera de consulter un médecin humain pour la traiter, ou bien qu’elle peut et sera soignée ultérieurement ».

    La visite médicale prend des allures beaucoup plus exotiques quand une technologie alien inconnue entre en scène : « Parfois, une puissante lumière, souvent colorée, est diffusée en direction de la personne examinée ; il peut s’agir de photothérapie ». De nombreux témoignages évoquent en outre le professionnalisme des médecins extraterrestre : salle d’examen très propre et aseptisée comme dans un hôpital, examen rapide, travail soigné et efficace… Nul doute selon Preston Dennett que les occupants des OVNI sont d’excellents praticiens de santé dont les compétences médicales surpassent largement celles des hommes : « Sur le plan de la médecine, ces entités sont sans pareilles. Leur équipement médical et leur façon de procéder sont très en avance sur les nôtres. Leurs connaissances sur le corps humain sont également bien plus approfondies que ce que nous savons nous-mêmes ». Passons donc désormais aux cas concrets, à travers quelques témoignages compilés dans l’ouvrage de Preston Dennett.

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    OVNI : DES HÔPITAUX VOLANTS ?

    Un cas particulièrement intéressant provient d’un agent de police, dont les déclarations ne peuvent guère remises en doute étant donné que cet officiel n’avait absolument rien à gagner de ce témoignage si ce ne sont les moqueries de ces collègues et les risques encourus pour son poste vis-à-vis de sa hiérarchie. L’affaire se passe le 3 septembre 1965, au Texas : deux agents de police, les shérifs-adjoints Robert W. Goode et Billy McCoy roulent le long de la Highway 36 au sud de Damon. Goode souffre d’une blessure douloureuse ; il a été mordu par un bébé alligator et son doigt le fait atrocement souffrir. Soudainement, McCoy aperçoit des lumières dans le ciel sur le côté droit de la route. Il immobilise le véhicule et Goode constate également la présence de ces étranges lumières qui s’approchent de leur voiture. Quand l’OVNI arrive à proximité, les policiers distinguent une masse volante solide d’une centaine de mètres de long pour quinze de large, environ la taille d’un terrain de football !

    Tout à coup, un faisceau de lumière en provenance de l’OVNI est projeté dans la direction des deux agents qui, terrorisés, fuient à grande vitesse jusqu’à la ville la plus proche où ils racontent leur mésaventure. C’est alors que Goode se rend compte que son doigt ne le fait absolument plus souffrir ! « Je me suis soudainement aperçu qu’il ne me faisait plus mal et j’ai retiré les bandages. Bon sang ! On n’aurait jamais dit que j’avais été mordu » commente-il.

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    L’observation est signalée à l’armée de l’air mais l’OVNI demeura non identifié. Tout ce que l’on sait, c’est que c’est ce mystérieux rayon de lumière qui est à l’origine de la guérison. Mentionnons des cas encore plus troublants qui concernent des guérisons de paralysie partielle, comme le dossier du « Docteur X » qui, atteint par un faisceau lumineux similaire dans les Alpes françaises en novembre 1968, se vit guérir d’une paralysie affectant son bras gauche et sa jambe droite. L’OVNI à l’origine du rayon était un disque blanc au sommet et rouge sur le dessous, qui émettait un puissant flash à intervalles réguliers. Le lendemain de cette rencontre rapprochée, le docteur ne souffrait plus d’aucune paralysie et ne boitait plus. Il existe ainsi une quantité impressionnante de témoignages qui mentionnent la guérison instantanée de plaies cutanées, de coupures, mais aussi de fractures et de paralysie.

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    CURE DE JOUVENCE EXTRATERRESTRE !

    Il semble par ailleurs que certains rayons de type laser guérissent également des affections bénignes tels que les rhumes, migraines, rhumatismes, grippe et autres infections bactériennes. Evoquons le cas de Chuck Doyle de Florence dans le Kentucky, qui était sorti pour aller voir son cheval un après-midi de mai 1975. Se retournant en entendant un bourdonnement sourd, l’homme aperçoit un objet volant métallique d’environ six mètres de long en forme de « raie manta (sic) » ; l’OVNI émettaient des lumières de couleurs vertes et un faisceau vert se dirigeait vers le sol. Le faisceau se mit à décrire des cercles de plus en plus grands. Chuck s’enfuit alors mais est enveloppé complètement par le rayon.

    « C’était un rayon qui n’allait pas en s’évasant ça ressemblait à un laser (…) et puis il est venu sur moi. Lorsqu’il m’atteint, c’était comme si on m’avait jeté un seau d’eau glacée ; j’ai soudain eu froid, je ne pouvais plus bouger » se souvient le sujet. Paralysé par le rayon, Chuck voit alors défiler dans sa tête un flot de symboles et d’images étranges, des équations mathématiques et des visions d’une mystérieuse planète… Soudain, l’OVNI disparaît dans un flash violet et Chuck tombe au sol. De retour chez lui, en état de choc, il constatera que le rhume de cerveau dont il souffrait depuis longtemps a totalement disparu. Consultant un médecin la semaine suivante, ce dernier déclara que Chuck était en parfaite santé !

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    Certaines rencontres rapprochées provoquent d’étranges effets sur le phénomène de vieillissement humain et agissent comme une véritable cure de jouvence. Pour exemple, le cas du professeur d’études indiennes à l’Université du Dakota du Nord John Salter Jr. Il circulait de nuit avec son fils dans le Wisconsin le 20 mars 1988 quand ils furent enlevés et conduits à bord d’un OVNI. C’est sous l’hypnose que le professeur se souviendra avoir reçu des injections à plusieurs reprises alors qu’il était allongé sur une table d’examen. Suite à cette abduction, Salter Jr constata de nombreuses améliorations physiologiques - 18 au total ! - sur sa propre personne.

    « Un beau teint, une meilleure circulation, une vision accrue, une accélération du processus de cicatrisation après une coupure ou une écorchure, une croissance plus rapide des ongles des orteils et des cheveux qui se révélèrent également plus épais. (…) De nombreuses rides faciales ont disparu et d’autres sont en train de s’estomper ;mon visage s’est aminci et mon ou s’est affiné (comme l’ensemble de mon corps à un certain degré), et tout cela sans que ma peau ne devienne flasque. (…) J’ai plus d’énergie et je n’ai plus eu de rhume ou de grippe, ni d’autres maladies, depuis mars 1988 » confirme Salter Jr. Les mystérieuses injections extraterrestres possèderaient donc une substance agissant directement sur le système de vieillissement humain en « boostant » le système immunitaire, les cellules de guérison et le processus de cicatrisation.

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    COMBIEN DE PERSONNES VISITEES DANS LE MONDE ?

    L’ouvrage « Guérisons extraterrestres » de Preston Dennett cite également des affaires de guérisons sur des maladies graves telles que la sclérose en plaques, une maladie chronique du système nerveux incurable qui provoque entre autres symptômes des tremblements, des spasmes incontrôlés et des difficultés à s’exprimer. Une affection redoutable qui touchait Jean Cyr, un officier québécois en retraite de l’armée canadienne. Le 30 août 1979, alors qu’il était en famille, il entendit un curieux bourdonnement à l’extérieur de la maison. Il s’agissait d’un grand disque métallique brillant qui émettait des flashs de lumière ; l’OVNI fut également détecté ce jour-là par la tour de contrôle de l’aéroport de Montréal. Après la rencontre rapprochée, Jean Cyr constata la présence de curieuses marques sur son corps dont l’origine était inexpliquée. Mais le plus incroyable est la guérison de sa sclérose en plaques, qui l’obligeait à suivre jusqu’ici un traitement à l’hôpital toutes les deux semaines. D’autres témoignages font état de guérisons suite à un anévrisme cérébral, un angiome, la tuberculose, la diphtérie, une tumeur cancéreuse ou encore une attaque cardiaque.

    Des dossiers sensibles auxquels il manque malheureusement souvent une caution médicale solide. Il convient donc de demeurer prudent sur les affirmations de ces témoignages qui n’engagent que leurs auteurs. Quoi qu’il en soit, il est bien délicat d’apporter une estimation solide concernant le nombre de cas concernés dans le monde par le phénomène des guérisons extraterrestres. Tout ce que l’on peut dire, c’est que les témoignages proviennent de tous les endroits du globe et que certains datent déjà de plusieurs décennies, ce qui laisse suggérer que l’action médicale des entités exotiques n’est pas récente. Des extraterrestres viennent-ils régulièrement sur Terre dans le cadre de missions de santé publique ?

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    Le livre de Preston Dennett

    C’est en tous cas ce que semble penser Paula Johnson, qui s’intéresse à cet épineux dossier depuis de nombreuses années et constate la difficulté de quantifier en chiffres précis le nombre d’individus ayant été approchés par des OVNI dans un contexte médical :

    « Les archives de différentes organisations sont remplies de récits similaires, ce qui apporte du poids à l’idée que des ufonautes se rendent sur Terre dans le cadre de missions de santé (…) Il est impossible de déterminer le nombre d’OVNI qui sont ici pour des missions de ce type. Il se peut que de nombreuses personnes bénéficient de soins extraterrestres sans en avoir conscience ; d’autres ont peut-être trop peur pour évoquer leurs expériences ».

    Pour conclure, on peut donc dire que les récits de soins extraterrestres représentent une section marginale du phénomène OVNI ; d’une part parce que peu de personnes acceptent de témoigner sur un sujet aussi sensible, d’autre part parce que le dossier des médecins extraterrestres est lui-même rarement étudié par la communauté ufologique dans son ensemble. Néanmoins, les guérisons inexpliquées en corrélation directe avec les OVNI constituent une caractéristique particulièrement intéressante, car elles nous obligent à nous interroger sur les motivations potentielles des visiteurs. Ces expériences médicales sont-elles organisées par pure bienveillance ? Ou bien représentent-elles, comme le pensent plusieurs enquêteurs, des tests génétiques destinés à mieux comprendre l’espèce humaine ?

    LA QUESTION RESTE POSEE…

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    Source- Magazine « Mondes Etranges » N° 17 d’octobre 2012

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    Aura2

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  • ovnitriangle1988

    L’AFFAIRE DE L’OVNI EN BOURGOGNE ET A L’ILE D’OLERON EN 1977

     

    La Côte-d’Or d’abord, la Charente-Maritime ensuite. Des O.V.N.I. sont apparus au-dessus de ces deux régions au cours du récent mois de novembre 1977. Ou bien un seul O.V.N.I. Car on se demande, bien sûr, si ce,’est pas le même visiteur qui s’est manifesté à plusieurs reprises et en deux endroits différents, impossible, comme toujours, de répondre à cette question.

     

    Quoi qu’il en soit, ces survols présentent plus d’intérêt que d’autres manifestations ufologiques : ils ont donné lieu, en effet, à de très bonnes observations ; ils ont suscité quantité de témoignages précis et circonstanciés qui se recoupent assez fidèlement les uns les autres. Preuves que le public se laisse moins prendre au dépourvu que naguère. Il songe davantage à enregistrer tous les éléments et indices possibles, même s’ils n’ont droit qu’à un très court moment de spectacle.

    Pour la Côte-d’Or, le premier phénomène est intervenu le jeudi 10 Novembre à 7 h 15, l’heure où le soleil se levait. A ce moment précis, un habitant de Corcelles-les-Monts, à 6 km de Dijon, ouvrait la fenêtre et regardait vers le ciel pour deviner le temps qu’il ferait, il s’agit de M. Jean Barbas, sous-chef de gare en retraite, dont voici le témoignage- J’habite au pied du mont Afrique. De ma terrasse je domine Dijon et toute la zone vers Belfort. J’ai un panorama de plusieurs centaines de km et, par beau temps, j’aperçois le mont Blanc. Ce matin-là le soleil n’était pas encore tout à fait levé. Au-dessus des nuages je pouvais voir les trainées des avions de ligne dans les directions nord-sud et sud-nord. Soudain, à 30° au-dessus de l’horizon, j’ai aperçu le « drôle d’engin ».

    Je l’avais pris tout d’abord pour un avion. Il avait trois fois la taille d’une étoile de première grandeur. Il était sombre avec un rond lumineux en son centre. Une sorte de panache lui tombait en son centre. Une sorte de panache lui tombait à l’arrière, alors que les traînées des appareils de lignes sont toujours horizontales. Au bout d’une dizaine de minutes il s’est mis en mouvement. Il suivit une ligne qui passait dans l’axe de ma maison et j’ai pu le voir de plus près. J’ai évalué sa taille à un autorail et demi. Il était arrondi à l’avant, comme une fusée. Difficile d’évaluer l’altitude. Sans doute entre  5000 et 6000 mètres. Il ressemblait, en plus effilé, à ces dirigeables publicitaires que l’on voit évoluer, l’été au-dessus des plages. Il a bientôt disparu au-dessus du mont Afrique à très grande vitesse. Les gendarmes sont venus sur place un peu plus tard. Ils ont entendu le récit. Un récit d’autant plus digne d’intérêt que M. Barbas es plus habitué que bien d’autres à observer et à interpréter le spectacle du ciel : il est adepte de la voile, depuis qu’il a pris sa retraite il navigue sur mer quelque six mois par an.

     

    DES DIZAINES DE TEMOINS

    Cinq jours après ce premier événement, le 15 Novembre donc, la même région fut survolée par des objets mystérieux. Et cette fois, il y eut beaucoup de témoins : des dizaines de Dijonnais et, surtout, des officiers et des hommes de la base aérienne 102 de Dijon-Longvic.

    Soit les personnes les plus qualifiées qui se puissent trouver. Ce fut à 7 h 45, cette fois. On vit apparaître, à l’est de la base, un gros point lumineux accompagné de deux plus petits.

    Ce jour-là, dit un témoin, il y avait quelques gros nuages dans le ciel. Ils filtraient les rayons du soleil. Les objets étaient au-dessus, dans le ciel bleu, et brillaient intensément ? Soudain, un des plus petits s’est mis en mouvement. Il a décrit un cercle au-dessus du principal qui était de forme allongée. Et puis plus rien. Les lumières se sont éteintes exactement comme ont peut éteindre, soudainement, la lumière d’une lampe de poche. Parmi les autres témoins on peut encore citer un professeur d’enseignement technique et tous ses élèves : ils ont retardé de quelques minutes leur entrée en classe pour regarder l’insolite spectacle.

    Eux aussi parlent de trois points, un gros et deux petits.

    Voici, à présent, ce que nous a déclaré le lieutenant-colonel Archer, directeur des vols et commandant en second de la 2° escadre de Longvic. Moi-même, je n’ai rien vu. Je n’étais pas au dehors à ce moment. Mais beaucoup d’officiers et de sous-officiers m’ont expliqué minutieusement ce qu’ils ont observé, c’est-à-dire la présence de « chose » mystérieuses dans le ciel. 7 h 45 c’est l’heure précise d’arrivée d’une bonne partie du personnel sur la base. Il y avait donc beaucoup de monde un peu partout autour de nos bâtiment et installations. Beaucoup de témoins dont les récits sont identiques. Je peux préciser encore qu’à cette heure matinale la météo était excellente et qu’on avait une visibilité de 100 km. Aucune approche  d’avion n’était signalée. Quant aux radars ils n’ont absolument rien décelé. Une certitude donc : il ne pouvait absolument pas s’agir d’un avion. De tels spécialistes de la navigation aériennes ne peuvent commettre de confusion de cet ordre. Mais ce que l’on retient surtout c’est la similitude des récits fournis par des témoins, aussi bien les civiles que les militaires aviateurs, qui furent, pour une fois, au nombre de plusieurs dizaines.

    Ce fut le 19, quatre jours après ce survol de Dijon, que la Charente-Maritime fut à son tour « visitée ». Ou, plus précisément, le ciel de l’île d’Oléron. Ce furent trois habitants de Saint-Denis d’Oléron qui virent, au même moment, un objet non identifié. C’était à 8 h 05. Le ciel était parfaitement dégagé. Un retraité d 66 ans. M. Gimming, aperçut, selon sa propre description, « un engin d’une brillance extraordinaire, de forme allongée, avec deux fusées à l’arrière », qui resta immobilisé quelques instants à la verticale exacte de la ville. Ce « cigare » fut contourné, à un moment donné, par « une sorte d’avion » qui s’éloigna le premier. Les récits des deux autres témoins comportant des variantes de détails. Pour ceux-ci, Mme Thoumieux et M. Cazan gade, il y avait aussi un deuxième engin en rotation autour du premier. Mais eux ne le comparent nullement à un avion. Ils le définissent comme une sphère brillante et assez petite (en comparaison de l’autre objet) qui laissait comme une trainée de fumée derrière elle, panache qui resta visible quelques minutes après la disparition définitive des « engins ».

    Certains spécialistes de l’ufologie estiment, nous l’avons dit, qu’il pourrait très bien s’agir des mêmes O.V.N.I. que ceux qui survolèrent la Bourgogne quelques jours plus tôt.

    Ils relèvent, en effet, une concordance des récits : un objet principal de forme allongée et un ou deux autres plus petits et sphériques. Ils notent, en autre, que les heures d’apparition sont identiques (c’est toujours entre 7 h et 8 h du matin) et que l’on est toujours en présence des mêmes comportements : les « petits » tournent autour du « gros » et les départs s’effectuent à la vitesse vertigineuse. Quoi qu’il en soit, voici infirmées, de façon catégorique, toutes les hypothèses de quelconques hallucinations collectives : quantité de récits ont été faits par des personnes qui ne se trouvaient pas ensemble et qui n’eurent pas davantage, ensuite, l’occasion de se rencontrer et d’échanger leurs impressions. Ces observations s’inscrivent, assurément, parmi les plus intéressantes recueillies à ce jour.

    *

    Sources : Extrait des révélations des journalistes de l’époque (En particulier Patrick FORESTIER) dans mes archives personnelles

     

    claude burkel avatar
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