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Tourné en 1954, dans le désert de l'Utah, près de la petite ville de Saint-Georges, où des essais nucléaires ont été effectués par le gouvernement américain, le film " Le Conquérant ", réalisé par Dick Powell (1956), est considéré comme le plus meurtrier de l'histoire du cinéma.Un authentique navet !Rassurés par des représentants du gouvernement sur la sécurité de la région, Dick Powell et son producteur Howard Hughes ont décidé de tourner le film dans le désert près de la petite ville. Le casting de " The Conqueror " est prestigieux : John Wayne, Susan Hayward, et Agnes Moorehead, entre autres, en font partie." Le Conquérant " est une biographie romancée du conquérant mongol, Gengis Kahn - avec John Wayne dans le rôle principal. C'est une histoire d'amour : Khan tombe éperdument amoureux de la fille du chef tartare ennemi. Il l'enlève, ce qui conduit à la guerre... Le film fut un échec commercial, un véritable flop, complet et total. Considéré comme le pire film de John Wayne et souvent classé comme l'un des pires films de tous les temps, " Le Conquérant " est entré dans l'Histoire du cinéma et de Hollywood...Le film le plus meurtrier de l'HistoireMais c'est sans doute pour une autre raison que ce film fait encore aujourd'hui parler de lui : des acteurs, des figurants et des techniciens sont mystérieusement décédés après la sortie du film.Dick Powell, le réalisateur, est décédé en 1963, d'un cancer.L'acteur Pedro Armendariz a également trouvé la mort en 1963, quand il s'est suicidé après avoir été diagnostiqué d'une forme terminale de cancer du rein.Susan Hayward, John Wayne, et Agnes Moorehead sont tous morts dans les années 70 d'un cancer !Environ 220 personnes ont travaillé sur le tournage de ce film, et en 1981, 91 d'entre elles avait un cancer, et 46 étaient décédées. Alors que l'hypothèse la plus fréquente met en cause des radiations nucléaires, de nombreux scientifiques sont en désaccord. Les analyses effectuées sur le site du tournage ont révélé que le niveau de rayonnement dans la région était si faible qu'il ne pouvait causer toutes ces pathologies, en particulier les cancers. Si les radiations nucléaires ne peuvent être rendues responsables de l'énorme quantité de cancers et de décès qui ont suivi le tournage de ce film, alors quelle pourrait en être la cause ?Est-il possible qu'une malédiction pèse sur ce film ?L'esprit de Gengis Kahn, l'un des plus farouches conquérants qu'est connu l'Humanité, a-t-il plané sur celles et ceux qui tentèrent d'évoquer sa vie ? Certains experts ès surnaturel et paranormal ont suggéré la possibilité d'une telle malédiction.À ce jour, le sort des participants à ce tournage n'est pas encore pleinement explicité et " The Conqueror " demeure l'un des films les plus meurtriers jamais tournés. La malédiction qui semble le toucher rappelle étrangement celles qui entourent d'autres films ayant pour protagoniste des stars mondialement connues.*
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Une puissante éruption frappe la Terre. Elle bombarde notre planète de particules magnétiques qui pourraient perturber les communications par satellite.
Une éruption solaire de très haute intensité a commencé à frapper la Terre. Elle s'est déclenchée dimanche près du centre du soleil et devrait projeter des particules de protons en direction de la planète jusqu'à mercredi, a averti l'Administration nationale des océans et de l'atmosphère (Noaa).«L'éruption elle-même n'avait rien de spectaculaire mais elle a projeté dans l'espace une masse coronale (nuage de plasma au champ magnétique intense, ndlr) à la vitesse phénoménale de 6,4 millions de kmh», a déclaré Doug Biesecker, physicien au Centre de prévision météorologique spatiale de la Noaa.La tempête géomagnétique provoquée par le soleil est la plus forte depuis 2005 mais elle ne se classe qu'en catégorie 3 sur une échelle qui en compte 5, a-t-il précisé. Elle est donc considérée comme «forte» mais pas «sévère».Selon le site internet de la Noaa, un événement de catégorie 3 peut provoquer des perturbations dans les systèmes informatiques embarqués à bord de satellites ainsi que dans les communications radio au niveau des pôles. La navigation aérienne, les plateformes pétrolières et les explorateurs pourraient ainsi rencontrer une gêne dans ces régions.«Nous n'attendons pas d'impact majeur d'un événement de ce type», a souligné Doug Biesecker. Les habitants d'Europe et d'Asie pourraient aussi en profiter mardi soir pour admirer des aurores boréales, a-t-il expliqué.*(afp/Newsnet)
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Une vidéo de touristes chinois montre une image assez claire : celle de la princesse Lady Di !
Diffusée par le blogueur et écrivain ès paranormal, Michael Cohen, la vidéo est frappante.Les vidéastes prétendent avoir filmé le fantôme de la princesse lors d’une visite dans une église de Glasgow, la plus grande ville d'Écosse. Durant la présentation de la vidéo postée sur le Net, Michael Cohen se porte garant et assure que le visage de feu le princesse Diana apparaît sur l'un des vitraux de l'église.Selon Michael Cohen, « les scientifiques nous disent que les fantômes n'existent pas, et pourtant, des gens partout dans le monde continuent de les voir. » Il conclut ainsi : « peut-être certains fantômes n'en ont pas fini avec nous... »À vrai dire, la silhouette, le port de tête, la coiffure, une certaine fragilité sont autant de caractéristiques qui faisaient le charme de Lady Diana et que l'on semble retrouver sur ces images !Fantôme ou illusion d'optique ?La vidéo est en ce moment même entre les mains d'experts.Certains sceptiques crient déjà à l'illusion d'optique, en omettant sans détour l'hypothèse d'une hantise ou d'une manifestation irrationnelle. Et, pourtant, il semble que cette apparition magique ne soit pas à ranger du côté des images de Jésus apparues sur des toasts ou sur des portions de Google Map : le contexte (une enceinte chrétienne) installe indéniablement un parfum de miracle...
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OVNIS : l’hypothèse intraterrestre
Tunnels mystérieux et bases secrètes
Il réside dans les grottes et les cavités souterraines une mystérieuse atmosphère qui fascine et interroge en même temps sur les surprenantes créations de la nature. Ce climat, pour certains étouffant, pour d’autres attirant, émane sans nul doute de l’obscurité qui y règne. Plus encore, ces formations géologiques étonnantes sont des ouvertures sur les entrailles de la Terre. Jules Vernes a imaginé l’existence d’un autre monde au cœur du globe terrestre, dans son célèbre « Voyage au centre de la Terre ». Dans ce roman le héros, géologue, découvre la cheminée d’un cratère dans une ancienne mine qui mène vers le centre de la Terre et un nouveau monde… Ces tunnels, ces boyaux souterrains, ces galeries et les immenses grottes qui traversent le sous-sol terrestre, jusqu’à des profondeurs de plusieurs km parfois, provoquent une inquiétante étrangeté dans l’esprit humain, imaginant aisément les créatures qui pourraient y vivre.
Cette terreur primitive devant ce qui est profond et inconnu est aussi puissante que la peur du noir chez l’enfant : et si cette crainte était fondée ? Et si jamais il existait un réseau de ces tunnels sillonnant tout le globe ? Certains s’interrogent sur l’origine de certaines parois parfaitement lisses : il est impossible que l’écoulement de l’eau en soit responsable, aucune machine humaine ne peut réaliser non plus de tels souterrains aussi parfaits et rectilignes… D’étranges trous profonds ont été découverts à travers le monde au cours du siècle et même récemment mais aucune explication valable n’a pu être donnée par les autorités.
Schéma de la base souterraine de Dulce
Depuis l’Affaire de la Base souterraine secrète de Dulce au Nouveau-Mexique, à la fin des années 1980, de nombreux ufologues recherchent dans ces excavations insolites des traces d’une présence d’aliens cachés sous nos pieds. Des vaisseaux, des laboratoires et des scientifiques extraterrestres se dissimuleraient dans le but de nous « observer ». Qu’en est-il des preuves et de ces incroyables trous aujourd’hui ? L’Humanité doit-elle craindre une invasion venue des entrailles de la Terre ?
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DES TROUS ENIGMATIQUES
Est-ce qu’un monde inconnu existe sous nos pieds ? De curieuses légendes ont circulé pendant des siècles sur des cavernes souterraines coupées du reste du monde, et des étranges êtres qui les peuplent. Un petit nombre d’ufologues ont envisagé la possibilité qu’il s’agissait d’entrées vers des bases secrètes, construites par des visiteurs de l’espace afin de mener sur notre planète des expériences sur les humains. Il existe plusieurs cas récents de trous mystérieux apparus aux Etats-Unis, en Russie et dernièrement au Guatemala.
Trou apparu en mai 2010 au Guatemala
A la fin des années 1980, dans trois régions reculées de la campagne russe, vers Riazan, Kalouga et Krasnoïarsk, dans des zones forestières isolées, des promeneurs ont découvert des tunnels, peu larges et très profonds, creusés dans des endroits fortement éloignés des accès routiers, des lieux inaccessibles à des engins de forages, tels que peuvent en utiliser des entreprises pétrolières ou gazières… En Sibérie, sur le plateau entre la Mer d’Aral et la Mer Caspienne, un homme a pu enregistrer des gémissements profonds et sourds venant de l’un de ces trous : il les a mis sur cassette et envoyés à l’Académie Sovietique des Sciences. Malheureusement, ces enregistrements ont été perdus et l’affaire a été abandonnée, certainement par manque d’intérêt. Dans une interview à un journal russe, le capitaine Kulinichenko raconte avoir été le témoin d’étranges manifestations sonores au cours de ses missions à bord de sous-marins. Un jour, alors que le vaisseau est à deux cents mètres de profondeur, un marin l’appelle au poste de commandement de toute urgence car il capte des « sons non identifiables ». L’alarme est lancée. En effet, personne ne connaît ce type de sons : ce n’est ni un sous-marin, ni un navire en surface, ni un animal aquatique. Kulinichenko les décrits : « Les sons variaient selon la longueur et le ton. La majorité d’entre eux ressemblaient au long coassement d’une grenouille. » La majorité des sons aquatiques sont connus, décrits et répertoriés précisément afin d’aider les sous-marins en mission. Aucune réponse à ce jour n’a défini la source des mystérieux bruits.
L’hypothèse de l’existence de bases sous-marines extraterrestres est née dans l’esprit d’Ivan T. Sanderson, un naturaliste américain spécialiste de cryptozoologie. Ces travaux sont exposés dans son livre : « Invisible Residents : The Reality of Underwater UFOs » préfacé par David Hatcher Childress, un spécialiste des sciences extraterrestres. D’après Sanderson qui s’appuie sur des statistiques sérieuses, l’existence des bases submersibles est une certitude : plus de la moitié des témoignages d’ovnis concernent une zone au-dessus des mers ou des grands lacs. De plus, en 1963 un appareil sous-marin inconnu a été suivi par les autorités américaines aux alentours de Porto Rico. Sur un sonar, l’objet allant à plus de cent cinquante nœuds (soit presque trois cents km/h) est détecté pendant plus de quatre jour. Il navigue à une profondeur de huit mille mètres puis a été perdu, aucun sous-marin ne pouvait le suivre. Quel type de submersible peut résister à la pression d’une telle profondeur ? Quel engin peut se déplacer à une telle vitesse sous l’eau ? On retrouve chez tous les Tibétains, une croyance populaire selon laquelle le royaume de Shamballah existe encore, caché dans quelques vallées lointaines de l’Himalaya, voire peut-être de l’Afghanistan, du Pamir ou du Cachemire.
Il existe même des ouvrages spirituels qui permettraient à un explorateur d’en retrouver les traces, comme Henrich Schliemann utilisa le texte de l’Iliade pour découvrir les ruines de Troie sur la butte d’Hissarlik, dans la plaine qui borde les Dardanelles, sur la côte Nord-Ouest de la Turquie. Le royaume de Shamballah serait localisé, par exemple selon le Grand Commentaire sur le Kalachakra de Mip’am, un des grands maîtres bouddhistes du XIXème siècle : « au Nord de la rivière Sita et divisé par huit chaînes de montagnes, le palais des Rigdens, les souverains impériaux de Shamballah, est bâti au sommet d’une montagne circulaire qui se trouve au centre du pays. D’après Mip’am, cette montagne se nomme Kaïlasa. Le palais, qui porte le nom de palais de Kalapa, s’étend un merveilleux lac, appelé Malaya, au milieu duquel s’étend un temple consacré à Kalachakra, construit par Dawa Zangpo ».
A la base des recherches d’Hitler, se trouve la société de Thulé. Thulé s’occupait du patrimoine spirituel des « aryens » nordiques, lesquels seraient les « protecteurs de la lumière » pour le monde entier. Cette société mystique est l’amalgame de deux traditions ésotériques : un courant venant de la Thulé hyperboréenne et une tradition d’Asie Centrale. Ces deux courants avaient le même symbole : le swastika…
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LA BASE DE DULCE AU NOUVEAU-MEXIQUE
Dulce : petite ville paisible située tout au Nord du Nouveau-Mexique, à quelques kilomètres de la réserve apache de Jicarilla, est habitée à l’année par un petit millier d’habitants. On y trouve quelques magasins et un unique hôtel… Ce n’est guère une ville touristique et il est rare d’y voir de l’agitation. Cependant, Dulce hébergerait un bien étrange secret selon quelques-uns : une base secrète souterraine.
Sous la montagne Archuleta Mesa est dissimulé un laboratoire mystérieux dans lequel des aliens et des membres du gouvernement américain mèneraient d’étranges expériences génétiques sur des hommes et des animaux. L’officier de police Gabe Valdez s’est retrouvé mêlé à ce qui croyait être une légende lorsqu’il fut appelé un jour pour mener l’enquête sur le cadavre d’une vache retrouvée mutilée dans un champ à quelques kilomètres de la ville. Entre 1976 et 1978 plusieurs carcasses de vaches ont été retrouvées de manière similaire. Afin de comprendre comment les vaches ont été choisies, Gomez, le propriétaire bovin et Valdez, l’enquêteur, décident de mener une expérience en juillet 1978. Ils sont aidés par Howard Burgess, un scientifique à la retraite. Ils font passer quelque cent vingt bêtes dans un couloir sous une lumière ultra-violette. Ils découvrent sur certaines bêtes des paillettes sur le côté droit du cou, l’oreille droite et la patte droite. Les échantillons sont prélevés et envoyés dans des laboratoires à Albuquerque pour des analyses. Ces substances s’avèrent contenir d’importantes doses de potassium et de magnésium, jusqu’à soixante-dix fois supérieures à la norme animale. Certains chercheurs n’ont pas hésité à l’époque à mettre ces mutilations sur le compte d’aliens du fait que de nombreux signalements d’ovnis avaient été faits dans la région notamment de manière accentuée durant la période des enlèvements de bovins.
L’officier Gabe Valdez examinant une vache mutilée en 1976
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PAUL BENNEWITZ : UN ENQUÊTEUR ACHARNE
D’après Greg Bishop, les révélations et les premières recherches de Bennewitz ont contribué à révéler au public l’existence de la base secrète souterraine de Dulce. Physicien et homme d’affaires ayant créé la société Thunder Scientific Corporation, Bennewitz est à l’origine de l’invention de nombreux équipements destinés à l’Air Force américaine, utilisés en particulier sur la base de Kirtland. Le scientifique a également mis au jour les preuves d’un programme de recherche militaire hautement secret, de l’US Air Force, destiné à contrôler les satellites de l’Union Soviétique, dans les années quatre-vingts. Selon lui, les extraterrestres sont présents sur Terre. Et à travers les témoignages de mutilations d’animaux, d’enlèvements et de signalements d’ovnis, il voit la preuve irréfutable d’une alliance avec le gouvernement américain.
Photo prise par Bennewitz en 1985 sur la montagne Archuleta Mesa
A son arrivée près de la base supposée de Dulce, Bennewitz déclare avoir communiqué mentalement un comptage aux extraterrestres pour savoir quand il devait prendre un cliché avec son Hasselblad vitesse 500. Il déclare que le vaisseau sauta sur l'image au comptage. Cependant, il ne vit pas effectivement le vaisseau lui-même, trop rapide. La falaise à des ouvertures de 40 pieds pour l'accès de vaisseaux à l'intérieur de la base. Selon lui, parfois ces entrées sont ouvertes et parfois fermées à l'aide de rochers et d'un système hydraulique. Depuis sa disparition en 2005, le travail commencé par Bennewitz a trouvé un grand nombre de successeurs. D’après les découvertes les plus récentes, des expériences horribles sont menées ou ont été menées dans les sous-sols de la base. Ces expériences portent sur des manipulations génétiques, rendues possibles grâce à des techniques révélées par les étrangers de l’espace. Egalement l’existence d’un mystérieux projet mené dans les années soixante, le Projet Aquarius, fut mise au jour. Ce programme a été conduit par la CIA pour enquêter sur les ovnis…
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DES ETRANGERS VIVANT SOUS TERRE : LES NAGAS
Selon une croyance ancienne mais toujours défendue par certains, en Inde, une race souterraine de « serpents » vit toujours à Patala et Bhogavati. La légende raconte qu’ils auraient mené une guerre sur le Royaume d’Agartha. Les Nagas, ces habitants des profondeurs sont décrits comme des êtres très avancés utilisant une technologie particulièrement développée. Ils auraient également un grand mépris pour l’espèce humaine qui les aurait enlevés, torturés et sur qui ils auraient mené des expériences de croisement avec leur espèce. Bhogavati, capitale du royaume souterrain des Nagas, se situerait dans l’Himalaya, dans la région de Nagaloka. Cette ville est également appelée Putkari. L’entrée du monde des Nagas serait proche de Bénares : plus précisément près du puits de Shehsna. Cette région abrite de nombreuses espèces de serpents extrêmement venimeux. Des descriptions indiquent que ce puits est fait d’une quarantaine de marches qui descendent de manière circulaire et qui mènent à une porte en pierre fermée, décorée d’un cobra…
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LES DERNIERES HYPOTHESES INTRATERRESTRES
Mac Tonnies, spécialiste anglais de l’Ufologie a publié en 2010 un livre intitulé de façon un peu curieuse « Les Cryptoterrestres : enquête sur un peuple alien et humanoïde vivant parmi nous ». Pour Tonnies, les humanoïdes autochtones sont une race de gens qui vivent tranquillement sous nos pieds, dans des grottes profondes et tunnels cachés. D’après lui, ces « crypto » connaissent une technologie de pointe et sont à l’origine des manifestations d’ovnis à travers le monde.
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SHAMBALLAH : UNE CITE AU CŒUR D’AGARTHA
Agartha est le nom couramment donné à une cité souterraine légendaire indienne, avec Shamballah, la capitale de la terre légendaire. Olaf Jansen, un marin norvégien du dix-neuvième siècle, a fait l’objet d’une biographie parue en 1908, écrite par George Emerson. Jansen aurait voyagé au cœur de la Terre pendant presque deux ans et aurait noué des amitiés avec des « géants » vivant là. Le livre a pu être écrit grâce aux notes et aux carnets de voyage de Jansen : en 1829, alors qu’il navigue entre les icebergs au large de la Norvège, il découvre avec son père qui l’accompagne dans ce voyage un endroit où la température est élevée. Ils voient au loin une mer dégagée et un ciel clair. Mais cette mer semble inconnue et ne figure pas sur leurs cartes. Ils décident de continuer vers le Nord et au bout de trois jours se heurtent à une violente tempête et des vents tourbillonnants. Le brouillard s’installe autour de leur bateau tandis que le père et le fils luttent pour essayer de maintenir le cap et empêcher l’embarcation de se retourner. Une fois l’orage passé, la mer redevient calme mais ils ne sont pas tirés d’affaire pour autant : la boussole tourne dans tous les sens et la lumière du soleil est étrange… Ils finissent par regagner la Suède et racontent leur étrange aventure mais ils sont ridiculisés car personne ne veut croire à leur récit et leurs étranges découvertes d’une zone maritime chaude perdue dans les mers glaciales du nord du globe. L’histoire sera oubliée jusque dans les années mille neuf cent quarante et la semblable expérience d’un aviateur.
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RICHARD E. BYRD : VOL AU-DESSUS D’UN MONDE INCONNU
En 1947, l’officier Richard E. Byrd vole pendant sept heures au-delà du Pôle Nord. Il dirige une escouade d’appareils et atteint une zone jusque là jamais explorée ni enregistrée. Il décide de s’aventurer dans cette zone qui semble être un gigantesque creux révélant en son cœur une terre verte et incroyablement luxuriante… En 1956, Byrd fait une déclaration publique à la radio sur ce qu’il a découvert : « l’expédition que j’ai conduite a découvert une nouvelle et vaste terre… ». Cependant, le gouvernement américain à l’époque jette le discrédit sur Byrd et tente de l’empêcher de donner plus d’informations aux médias.
Richard E. Byrd (1888-1957).
D’après lui, la Terre est creuse en son centre et cet « espace » est habité par des êtres supérieurs technologiquement : ils peuvent aller et venir à leur guise à la surface, par des entrées secrètes. Dans cette partie, il y a une lumière naturelle, artificielle, qui maintient un climat proche de celui des Tropiques. L’eau des lacs est tiède et la végétation très abondante… Byrd n’était pas seul dans ses découvertes : David Bunger en 1947 a mené une exploration similaire qui l’a conduit à trouver cette « vaste terre au-delà des pôles »… mais ses surprenantes révélations sont restées classées « Top Secret ». Il est admis aujourd’hui que les moines tibétains sont les seuls à connaître les entrées vers cette « terre creuse ». Ces endroits sont situés au Pôle Nord, dans l’Himalaya, au Pérou, en Bolivie, dans les Andes, en Californie et au mont Fuji au Japon…
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NIBIRU, LES ANCIENS ASTRONAUTES ET LA TERRE CREUSE
Certains ufologues spécialisés dans la recherche de la Terre Creuse, assurent qu’il existerait un réseau de tunnels construits par des Géants, avant le déluge de l’Ancien Testament et le sauvetage de Noé. Ce réseau souterrain ne serait pas abandonné aujourd’hui et serait toujours « en service ». Mais ces différents accès ont disparu en raison des différents tremblements de terre survenus au cours des siècles. Les Nephilim, les premiers géants ayant vécu sur Terre, auraient survécu en créant un royaume souterrain. Les Nephilim sont les géants qui disparaissent après le Déluge. Ces Titans ou géants sont également apparus dans les traditions ou les légendes des peuples indo-aryens et ils furent appelés, de l’Inde jusqu’en Asie, géants dans le sanskrit qui est « raksasa ». Nephilim vient de la racine hébraïque naphal signifiant « tomber ». La littérature juive interprète cette racine dans le sens d’une déchéance : les Nephilim seraient des « anges déchus ». On dit que ces Nephilim auraient disparu au moment du Déluge suite à une condamnation de Dieu à cause de leur révolte : conséquence de la supériorité que leur conférait « leur force » ou leur habileté dans « l’art de la guerre »… Sont-ils à l’origine des tunnels qui courent dans le sous-sol terrestre ?
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LES ENTREES A TRAVERS LE MONDE
Liyobaa : la Caverne de la Mort. Le village de Mictlan est situé dans l’ancienne région habitée par les Zapotèques ; à côté se trouve Liyobaa. C’est là qu’est placée la Caverne de la Mort. Elle a été fermée par les prêtres catholiques qui croyaient que c’était une entrée vers « l’enfer ». La Caverne de la Mort était située en réalité dans la dernière chambre d’une construction ou Temple à huit salles. Ce temple avait quatre chambres au-dessus du sol et quatre chambres plus importantes sous terre. Cette construction était localisée à Theozapotlan et l’entrée du tunnel menait sous la montagne.
Chili : La légende du premier Inca « Manco Capac » raconte que lui et ses disciples, les fondateurs du peuple Inca, sont venus de grottes souterraines. A cette époque, « le dieu des trésors souterrains », Urcaguay était vénéré. Ce dieu est représenté comme un grand serpent dont la queue est très grande et possède une tête de cerf. Il est couvert de nombreuses chaînes d’or. Il est évoqué dans la légende l’existence de souterrains. Les références aux tunnels sont parvenues jusqu’à nous à partir des informations que les Conquistadores ont obtenues à l’époque de l’invasion des terres sud-américaines. A partir d’une source inconnue, ils ont appris que la richesse du domaine de l’Inca a été stockée dans un immense tunnel souterrain. Pizzaro a gardé alors prisonnier l’Inca Atahuelpha afin d’obtenir sa fortune, qui, disait-on, était gardée dans un vaste tunnel souterrain qui court sur plusieurs kms en-dessous de la surface de la terre. L’Inca, s’il avait des informations concernant l’entrée de ce tunnel, ne les a jamais révélées. Les prêtres du dieu Soleil et la femme de l’Inca étaient renseignés, est-il raconté, sur le sort éventuel de l’Inca, par des moyens occultes et magiques. Ils savaient que Pizzaro n’avait pas l’intention d’épargner la vie d’Atahuelpha. Ainsi, ils firent sceller l’entrée et l’ont si bien cachée qu’elle n’a jamais été trouvée à ce jour. Quelques Indiens Quincha, qui sont des descendants de la lignée (pure et préservée) des prêtres, racontent encore avoir connaissance de l’emplacement de l’entrée de ce tunnel. Ils sont les gardiens privilégiés de cet accès : c’est ce qui est dit aujourd’hui au Pérou.
Malte : Sur la rive Nord de Malte, il y a un certain nombre de grandes baies. Une d’entre elles est connue sous le nom « Grand Harbor ». Cette baie possède une pointe de terre sur laquelle la ville de La Valette, la capitale, est construite. A quelques kilomètres de cette ville vers le Sud, dominant la plaine qui mène à la rive, se trouve un vaste plateau connu sous le nom Corradino. Le petit village de Casal Paula est construit sur ce plateau, et du village on peut voir, donnant sur la mer, La Valette, le Grand Port et la plaine qui y conduit. C’est dans ce petit village de Casal Paula pendant l’année 1902 que des ouvriers qui creusaient un puits, sont littéralement tombés « dans la Terre ». Ils avaient découverts l’antichambre de l’entrée de la Grotte de Malte, comme il est convenu de l’appeler. Depuis lors, le puits a été creusé et élargi. Cette première grotte a permis la découverte par la suite d’un réseau complexe de grottes, dont trois sont une série de chambres creusées dans le roc sur trois niveaux. Cette entrée est connue comme « l’hypogée de Hal Saflieni ».
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L’ENIGME DE LA GROTTE DE MALTE : UNE ABDUCTION SOUS TERRE ?
Une ouverture dans le mur en face de l’entrée de cette grotte conduit à un passage étroit et tortueux, c’est là que se trouve la véritable entrée des grottes. Ce passage se termine sur une voie qui s’étend le long d’un ravin, un sentier le long du bord d’un véritable gouffre, une voie qui conduit toujours plus bas le long des tunnels, et qui mène vers une série de grottes qui sont réputées permettre de parcourir toute la longueur de l’île et même plus loin…La légende veut que ces passages soient en rapport avec les cryptes souterraines à partir desquelles les catacombes de Rome ont été créées. Cela peut très bien être vrai, car il faut se rappeler que la Méditerranée a été créée après le Néolithique par les nombreux tremblements de terre dans cette région sismique, et par le déplacement des plaques de la croûte terrestre. Par conséquent, tandis que les anciens tunnels peuvent avoir existé, ils auraient pu être fermés par des cataclysmes de ce type, et la connaissance de leur existence peut venir jusqu’à nous à travers les légendes. Les tunnels situés sous l’hypogée (nom latin d’un ouvrage souterrain) ont été parcourus depuis par un professeur d’une école de Malte, accompagné de ses trente élèves. Ils ont disparu dans les grottes, égarés dans les tunnels, guide et accompagnateurs compris.
Il a été raconté à l’époque que les parois se sont effondrées sur eux. Les équipes de recherche n’ont jamais été en mesure de localiser ne serait-ce qu’une trace de ces personnes. Le mystère reste entier. D’aucuns parlent aujourd’hui d’une véritable abduction souterraine. Des rumeurs ont alors circulé affirmant que pendant des semaines des pleurs et des cris d’enfants ont été entendus à travers les souterrains, dans les différentes parties de l’île, mais personnes n’a jamais pu localiser la source des cris. Si les parois se sont effondrées, pourquoi l’éboulement n’a pas pu être trouvé et fouillé pour libérer les enfants ? D’autres questions se posent. Comment les enfants ont-ils pu vivre et hurler pendant des semaines, bien plus tard après leur disparition officielle ? Voilà une autre énigme. En tout cas, l’entrée souterraine des grottes à Malte a été fermée depuis, et personne n’est autorisé à enquêter sur le site.
Peut-on dire que ces personnes ont été enlevées par des intraterrestres, habitants mystérieux des entrailles de la Terre ?
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Source- Mondes Etranges N°10 de janvier 2011 (auteur Gilles Canal).
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A Châtel-Saint-Denis (FR), une salle de classe montrée du doigt pour ses troubles électromagnétiques aurait également abrité des «entités».
Tout n’a pas été dit sur le bâtiment scolaire La Châteloise à Châtel-Saint-Denis (FR). Une enseignante avait alerté les autorités communales en novembre 2010 en signalant que le wi-fi contribuait à faire de sa salle de classe un véritable calvaire électromagnétique («Le Matin Dimanche» du 11 décembre 2011). Les autorités communales puis cantonales ont alors lancé cinq expertises qui ont toutes démontré que les normes en vigueur étaient respectées. Toutes? Presque… L’expertise de Nicolas Bertherin, architecte, géobiologue et administrateur de la Fondation Emergence à Bulle (FR), a détecté une autre forme de perturbations. La présence d’«entités». En clair, des phénomènes paranormaux qui pourraient s’apparenter à des «esprits errants». Si le constat a été fait oralement et relayé dans le rapport de synthèse établi par la commune, les détails ont été enlevés de l’étude par Nicolas Bertherin lui-même. «Le Matin Dimanche» l’a rencontré pour en connaître les raisons. Pourquoi ne pas avoir fait mention du problème des «entités» dans votre rapport? Je ne souhaite pas partir en croisade et imposer un point de vue que tout le monde n’est pas prêt à accepter. J’ai des perceptions et des convictions, mais je ne cherche pas à convertir les gens.Qu’entendez-vous par «entités» ?Il y a trois sortes de corps: physique (enveloppe du corps), éthérique (enveloppe énergétique) et spirituel (de source divine). L’entité est la forme éthérée. La pensée est une forme d’entité. C’est une empreinte énergétique qui agit sur la mémoire des murs.Des fantômes, en quelque sorte ?Tout le monde n’est pas d’accord. Je dirais que ce sont des phénomènes paranormaux.Est-ce que vous en avez constatés dans ce bâtiment scolaire ?Oui, il y avait des entités qui formulaient des demandes d’aide.Que voulaient-elles ?Qu’on les aide à partir. Le bâtiment était empreint d’énergies de personnes ayant vécu des choses difficiles. Il faut se souvenir qu’il y avait un cimetière à proximité et un monastère à cet endroit autrefois.Les entités sont-elles dangereuses ?Si on ne les respecte pas, cela peut le devenir.C’est-à-dire ?Je pense que les gens ne respectent pas le culte des morts au sens large.Qu’est-ce que c’est ?Entre autres, le rituel de veiller le mort durant trois jours, trois nuits avec trois cierges de chaque côté.Comment procéder au culte des morts ici, lorsqu’il n’y a plus de corps ?Une simple prière peut suffire. Mais il faut trois éléments fondamentaux: la conscience, je sais ce que je fais, la confiance, je sais pourquoi je le fais et la sincérité, je sais comment je le fais, sans imposer quoique ce soit.Concrètement, comment avez-vous procédé dans ce bâtiment ?Je me suis mis de côté, j’ai allumé une bougie, avec de l’encens, et j’ai fait une prière et une incantation.Et ça a fonctionné ?Oui. Mais encore une fois, ça dépend de la perception des gens. Ce n’est pas parce qu’ils ne disent rien que c’est fini. Ils peuvent ressentir d’autres choses.Comment les entités se présentent-elles à vous ?En général, je ressens des picotements sous-cutanés ou frissons, c’est ce qui s’est passé à Châtel-Saint-Denis. Mais il m’arrive de les voir. Elles prennent la forme de flammèches blanches en leur centre.Peuvent-elles revenir dans ce bâtiment scolaire ?Tout est possible, mais en principe celles qui sont parties ne reviennent plus. Mais d’autres peut-être. Cela dépend de la perception des gens. Il faut laisser faire.*
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