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    D'étranges disques ont été découverts lors d'une fouille archéologique au nord-ouest de l'Alaska. Les experts sont perplexes.
     
    Il s'agit de quatre artefacts, à base  d'argile, ronds et gravés de marques indéchiffrables.
     
    A l'origine de cette découverte, des chercheurs de l'Université de l'Alaska qui semblent dubitatifs et ignorent ce qu'ils ont vraiment exhumer.. Ayant découvert quatre disques similaires dans une zone relativement petite, l'équipe pense avoir trouvé quelque chose qui provient de la fin de l'ère préhistorique.
     
    Selon les chercheurs, ces objets ont clairement une signification particulière .Ces disques pourraient être des pièces d'un jeu  inconnu, des décorations utilisées pour l'ornementation de temples ou lors de cérémonies, comme les perles ou les amulettes.
     
    Sur certains sites documentés en Alaska, des pétroglyphes semblent imiter les gravures trouvées sur ces disques d'argile.
     
    Cet hiver, l'équipe effectuera des recherches plus approfondies sur les disques afin  d'obtenir une meilleure estimation de leur âge et de percer leur signification.
     
     
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    Ce n'est pas de la science-fiction, et l'échéance se rapproche : un satellite américain, grand comme un bus, doit retomber sur Terre vendredi. A quelle heure ? Difficile de le dire. Où ? Encore plus problématique. Ce sera quelque part entre 57 degrés de latitude nord et 57 degrés de latitude sud, une superficie qui couvre une grande partie de la Terre. Mais la Nasa se veut rassurante : selon l'agence spatiale américaine, il n'y a que 0,03% de risque qu'un humain soit touché par les débris. Car il y aura bel et bien des restes solides de l'engin qui auront résisté à la traversée de l'atmosphère, et qui atteindront le sol : "Si une grande partie du satellite va se briser en de nombreux morceaux (...), tous les débris ne vont pas brûler", a expliqué la Nasa. Qui tient toutefois à préciser que jusqu'ici, "il n'y a jamais eu d'accident provoqué par un engin spatial revenant dans l'atmosphère", et qui rappelle que sur toute l'étendue terrestre susceptible de servir de point d'impact, "90% est inhabitée".
    Le petit plaisantin dont on guette ainsi le retour "from outer space", comme le chantait Gloria Gainor, ou selon l'expression consacrée par l'inoubliable nanar d'Edward Davis Wood Jr (l'un des plus mauvais films de science-fiction qui ait jamais été projeté sur les écrans) répond au doux patronyme d'Upper Atmosphere Research Satellite. En bon anglais : UARS, à prononcer "YOU-arz", à la façon d'un ours qui bâille. C'est un satellite de la Nasa d'une dizaine de mètres pesant près de six tonnes. Il a été mis en orbite en 1991 par la navette Discovery pour étudier la haute atmosphère. UARS a fini sa mission en 2005 et va retomber sur terre faute de carburant.
    En 2002, l'agence spatiale américaine avait mené un audit sur les risques induits par la retombée du satellite. Il en découle que sur les 5668 kg du mastodonte, 532 kg seulement pourraient survivre à l'entrée dans l'atmosphère. Soit 26 objets parmi lesquels on compte des roues et des batteries. "Des engins de cette taille retombent en moyenne une fois par an", relativise Mark Matney, un scientifique de la Nasa spécialiste des débris spatiaux. Le plus gros engin spatial à être retombé sur terre est la station spatiale soviétique Salyut 7 dont les débris ont arrosé une ville d'Argentine en 1991, sans faire de victime.
     
    La Nasa a prévu de communiquer sur la chute 12 heures, 6 heures et 2 heures avant l'arrivée du satellite. Mais, même deux heures avant, les ingénieurs ne pourront pas faire mieux que d'avancer une zone d'impact large de 12.000 km. Et ce n'est qu'à 20 minutes de la chute qu'ils pourront se prononcer précisément. "Cette incertitude s'explique notamment par la trajectoire vagabonde du satellite et par ses culbutes qui nous empêchent de savoir comment il va évoluer", a expliqué Mark Matney.
     
    L'agence américaine de gestion des crises (Fema) "est mobilisée" comme toutes les agences américains qui s'occupent de la sûreté publique, a indiqué la porte-parole de la Nasa Beth Dickey. La Nasa a demandé aux gens qui seraient en contact avec les débris de l'engin de ne pas les toucher. Non parce qu'ils sont toxiques ou inflammables mais parce qu'ils pourraient être coupants. Et aussi "parce que, formellement, ils appartiennent au gouvernement américain", a rappelé la porte-parole.
     
    le 22 septembre 2011 à 08:10
     
    http://lci.tf1.fr/science/nouvelles-technologies/un-satellite-gros-comme-un-bus-va-percuter-la-terre-6723435.html
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  • happy Ca c'est mon coin...


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    Malgré la position majoritaire affirmant que le voyage dans le temps est impossible, certains physiciens  (de plus en plus nombreux), dont le fameux Stephen Hawking, affirment le contraire.
     
    Vadim Alexandrovitch Chernobrov est de ceux-là.
     
    Il prétend même avoir construit une machine à voyager dans le temps !
     
    Qui est Chernobrov ?
     
    Passionné d'ufologie et  de mystères, Vadim Alexandrovitch, né en 1965, à Volgograd, est le fondateur et dirigeant de Kosmopoisk, une organisation à caractère scientifique, mouvement international depuis 2001, dont les recherches se focalisent dans les domaines suivants : l'ufologie, la cryptozoologie, et les grandes énigmes scientifiques.
     
    L'organisation compte plus de 2500 membres actifs ; plus de 100 groupes sont répartis dans 25 pays. Les principaux objectifs de l'organisation  sont : recueillir des informations sur les événements ufologiques et paranormaux en URSS et  développer la technologie  temporelle via l’élaboration de dispositifs expérimentaux (machines à voyager dans le temps).
     
    Chernobrov et le voyage temporel
     
    Vadim Alexandrovitch Chernobrov prétend avoir réalisé le rêve de moult scientifiques (certains prétendent que De Vinci avait ce projet en tête) : créer une machine à voyager dans le temps.
     
    Son  véhicule spatio-temporel est une sphère métallique qui ressemble beaucoup aux vaisseaux spatiaux  et aux satellites soviétiques et américains du début de la conquête spatiale. D’un diamètre de deux mètres , elle pourrait accueillir un « chrononaute ». D’après l’ingénieur russe, le voyage dans le temps nécessiterait de puissants champs magnétiques qui résonnent sur et dans la capsule et affectent le cours naturel du temps.
     
    Pendant ses expériences, Chernobrov a montré que les chronomètres les plus précis, synchronisés avant que le champ soit mis sous tension, avaient enregistré une déformation significative du temps.
     
    Chernobrov est convaincu que son modèle expérimental est presque au point  et envisage de tenter l’expérience avec un cobaye humain ( sans doute lui-même ) ... dans quelques temps.
     
    Il ajoute que voyager dans le temps peut être dangereux et avertit les apprentis voyageur temporel : voyager dans le passé peut affecter le cours de l’histoire !
     
     
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    EDGAR CAYCE, L’HOMME DU MYSTERE

    Tout jeune, Edgar Cayce, fait preuve d’un étrange pouvoir de perception : voir des parents morts, s’entretenir avec eux etc. Cet « homme du mystère », a manifesté, pendant toute sa vie, un don de voyance, aussi bien dans l’espace que dans le temps… des « visions » de l’Atlantide… des prophéties…

     

    « En terre Atlante, quand il y eut la destruction du pays par suite du mauvais usage des vérités spirituelles pour des gains matériels et la recherche du pouvoir physique… »

    « En Atlantide, au temps où la discorde régnait, quand beaucoup partaient vers des pays étrangers, un mathématicien (c’est l’entité avec qui le voyant est en communication) partit pour les Pyrénées, voyagea par les airs, et arriva plus tard en Egypte ».

    « Les documents (…) se trouvant dans trois endroits sur terre, telle qu’elle est aujourd’hui : dans la partie engloutie de l’Atlantide, où Poséidia, où des vestiges des temples, peuvent être découverts un jour sous la vase des siècles et des courants marins, près de l’Île de Bimini, au large des côtes de Floride… »

    Nous passons sous silence les seconds et troisièmes lieux qui sont les archives de certains temples égyptiens et celle du Yucatan, mais rappelons qu’en 1970 Dimitri Rebikoff à découvert un mur cyclopéen à Bimini, qui pourrait bien être un vestige de l’Atlantide !

    L’homme qui eut ces « visions » de l’Atlantide et fit ces prophéties, s’appelait Edgar Cayce. C’était un paysan américain habitant dans le Kentucky ; sa famille possédait une ferme non loin de Hopkinsville. C’est là qu’il naquit le dimanche 18 mars 1877. Tout jeune il se fait remarquer par un étrange pouvoir de perception dépassant de loin l’étendue de ses cinq sens, d’un pouvoir « supra normal » : voir des parents morts depuis peu et s’entretenir avec eux. Il peut aussi apprendre ses leçons en dormant la tête posée sur l’un de ses livres de classe, ce qui lui fait faire d’étonnants progrès à l’école. Il n’en abandonne pas moins ses études à l’âge de seize ans et commence à travailler dans la ferme de l’un de ses oncles. Ce garçon grand et mince aime le calme et la solitude des champs, où il peut, tout à son aise, écouter les oiseaux, observer les insectes et les petits animaux de la terre…

    Une nuit il fit un rêve étrange : il marchait avec une jeune fille, la main dans la main. Elle était couverte d’un voile, si bien que les traits de son visage demeuraient invisibles. Mais il savait que tous deux s’aimaient profondément. Ils rencontrèrent une créature ailée qui jeta un brillant tissu d’or sur leurs mains jointes en leur disant : « Ensemble, vous pouvez tout accomplir ; séparés, vous ne pourrez rien ». Puis le couple franchissait un ruisseau, traversait une route boueuse et arrivait au pied d’une falaise abrupte dont le sommet, lointain, se perdait dans les nuages… Avec beaucoup de peine et d’efforts, ils grimpaient, grimpaient, mais ne voyaient toujours pas le sommet…, quand Edgar se réveilla. Ce rêve allait se répéter plus de cinquante fois, au cours de l’existence de Cayce. Chaque fois, il montait un peu plus haut avec sa compagne. Dans les derniers temps, il voyait le sommet de la falaise. Mais le visage de la femme demeura toujours caché. Il savait, pourtant, après son mariage, qu’il avait rencontré la jeune fille au voile.

    Son père ayant quitté la campagne pour la ville- Hopkinsville en l’occurrence- Edgard, sur l’injonction d’une « voix », alla rejoindre ses parents et se mit en quête d’un travail. Devenu commis de librairie, il y fit un jour la connaissance d’une jeune fille du nom de Gertrude Evans. Ce fut pour Edgar comme un choc électrique. Gertrude et sa famille l’accueillirent avec amabilité et gentillesse : il en avait besoin pour lutter contre sa timidité. Mis en confiance, il finit par lui avouer qu’il n’était pas comme tout le monde, et elle trouva merveilleux les dons particuliers du jeune homme. Bientôt, ils décidèrent de se marier…

    Mais bien des aventures et mésaventures allaient retarder leur union. L’évènement, certes, le plus dramatique, fut la perte de sa voix : il devint aphone non à la suite d’un accident à ses cordes vocales, mais à la suite d’une défaillance de son système nerveux. Et cette aphonie se prolongea plusieurs mois, minant sa santé morale et physique. Comment travailler et gagner sa vie sans voix ? Devenu assistant photographe, il retrouva sa bonne humeur et sa santé. Mais il était toujours aphone : ses paroles n’étaient qu’un murmure rauque. De plus en plus, il se persuadait- et Gertrude pensait comme lui- que son mal était un avertissement, ou une punition, envoyés par Dieu, pour l’exhorter à suivre une autre voie. Mais laquelle ?

    Un jour, un hypnotiseur vint dans la petite ville. Il s’intéressa au cas d’Edgar. Il réussit à le faire parler normalement sous hypnose. Mais, malgré toutes ses tentatives de suggestion post-hypnotique, ce fut, à chaque réveil, l’échec. On s’entretenait, maintenant, de Cayce jusqu’à New-York où un grand médecin s’intéressa à son cas et vint le voir à Hopkinsville. Il s’agissait de faire tomber notre jeune homme dans le sommeil profond, le « troisième stade ». Le médecin y parvint enfin, mais alors il ne put réveiller Edgar. Celui-ci ne sortit de sa léthargie qu’après plus de 24 heures, et il n’était pas guéri de son aphonie. Alors apparut un petit bonhomme malingre nommé Al Layne, qui étudiait l’hypnotisme en amateur et offrit d’essayer. Malgré les réticences de sa famille, Edgar accepta de tenter une unique expérience, avec Al Layne, le dimanche 31 mars 1901, une expérience originale et nouvelle, puisqu’il s’agissait d’obtenir qu’Edgar s’hypnotisât lui-même. Layne avait compris que là était la solution. C’était d’ailleurs, la manière qu’il pratiquait jadis pour apprendre ses leçons en dormant sur son livre… Et ainsi fit-il !

    Quand il fut en état d’autohypnose, Layne parla :

    « Votre esprit examine l’intérieur de votre corps. Votre subconscient regarde votre gorge. Il va nous dire ce qui affecte cette gorge et nous donner le remède pour la guérir ». Une minute plus tard la voix d’Edgar se faisait entendre, forte et autoritaire :

    « Oui, nous pouvons voir le corps. L’affection que nous constatons est une paralysie partielle des cordes vocales due à la tension nerveuse. Il suffit de suggérer au corps d’augmenter la circulation sanguine dans la partie affectée, pendant un bref moment ». Le coup du patient rougit : le sang y affluait. Edgar reprit :

    « L’affection est guérie. Suggérez à la circulation de redevenir normale et au corps de s’éveiller ». Cayce, au bout de quelques instants, rouvrit les yeux :

    « Qu’est-ce qui s’est passé cette fois ? ». Il s’interrompit, ouvrit de grands yeux étonnés, puis se mit à hurler : « Mais je parle ! Je peux parler ! Je parle ! ». Il s’était guéri lui-même, après s’être mis en état d’autohypnose.

    Il allait pouvoir guérir les autres par la même méthode : en transe hypnotique, il parlait comme un médecin. Sa vocation venait de naître… Il se souvint alors d’une vision qu’il avait eu, quand il n’était encore qu’un enfant : une femme lui était apparue et lui avait dit : « Sois fidèle à toi-même. Aide les malades, les affligés… » Edgar accepta donc d’essayer… sa carrière de guérisseur miracle allait commencer, elle allait durer plus de quarante ans, jusqu’à sa mort, en 1945 ! Edgar Cayce, dont l’instruction et les connaissances sont rudimentaires, va, désormais, pouvoir, en présence d’un malade, non seulement diagnostiquer sa maladie avec une stupéfiante précision, sans aucune erreur, mais encore prescrire les médicaments, les remèdes qui conviennent le mieux, toujours sans erreur, et ce dans des milliers de cas. Il ne sera jamais pris en défaut, ne se trompant jamais, ni dans ses diagnostics, ni dans ses prescriptions. Il y aura parfois désaccord avec les médecins traitants, mais, en fin de compte, on devra reconnaître, que c’est Cayce qui a raison !

    Quel est donc le mécanisme de ce savoir en prise directe ? Consiste-t-il en la capacité de recevoir une information contenue dans le corps d’un autre ? Où d’aller puiser dans ce que Carl Jung a nommé l’inconscient collectif, dans ce que les Sages de l’Inde appellent la Substance Universelle ? Ou bien Cayce était-il la réincarnation d’un éminent médecin de jadis ? Ou bien encore était-il inspiré par des esprits supérieurs désincarnés ? Se dédoublait-il, pendant son sommeil hypnotique, et faisait-il un voyage astral dans l’univers de la Quatrième Dimension ? Toutes hypothèses incontrôlables… Quant à lui, il s’en tint longtemps à la première explication : il pensait recevoir une information, venue du patient lui-même : autrement dit, il aurait simplement servi de truchement, d’interprète, de révélateur à la connaissance que le patient a, sans le savoir, de son mal et de la façon de la guérir… « Savoir en prise directe », a-t-on dit du merveilleux don de cet Américain tranquille, modeste et désintéressé. « Téléphone branché sur un standard cosmique », a-t-on encore défini cet « homme du mystère ».

    Oui, « homme du mystère », car ses pouvoirs ne se sont pas limités à la seule guérison : il a manifesté, pendant toute sa vie, un don de voyance, aussi bien dans l’espace que dans le temps. C’est bien sûr, son pouvoir de guérisseur miraculeux qui a le plus frappé ses contemporains. Mais on ne saurait passer sous silence ses « voyages » aussi bien dans le passé- l’Atlantide- que dans le futur… Pour en savoir plus sur sa « technique », donnons-lui la parole, ses « lectures » ayant été toutes transcrites en sténographie, et conservées dans une bibliothèque spéciale, qui constitue le fonds de base de la Fondation Cayce, installée à Virginia Beach, dans l’état de Virginie, depuis 1932. Pour essayer de comprendre le mécanisme de ces voyances, Edgar, à l’instigation de sa femme Gertrude, décida un jour de s’interroger lui-même, et voici quelle fut la réponse, assez nuancée et complexe, comme on va le voir :

    -Nous avons le corps, Edgar Cayce, nous l’avons déjà eu. Dans cet état, l’esprit conscient est sous la domination du subconscient, ou esprit de l’âme. Les renseignements obtenus et donnés par ce corps sont acquis grâce au pouvoir de l’esprit sur l’esprit, ou le pouvoir de l’esprit sur la matière, ou obtenus par la suggestion donnée à la part active du subconscient, qui reçoit les renseignements, soit des autres subconscients mis en contact avec le pouvoir de suggestion de l’esprit contrôlant la parole du corps, soit des esprits passés dans l’au-delà, mais qui laissent leur impression et sont amenés en contact par le pouvoir de suggestion. Ce qui est connu d’un esprit subconscient, ou âme, est connu d’un autre, que l’on en soit conscient ou non. Eh bien ! On retrouve dans ces explications ce que l’on pressentait : mise en communication avec le fonds commun des acquisitions de l’Humanité présente et passée.

    Ce même jour, où le guérisseur s’interrogea lui-même, il posa une autre question qui le tourmentait, celle concernant l’astrologie :

    -Les planètes ont-elles une influence sur le destin des hommes ? Certainement. Le caractère de l’homme est gouverné par les planètes sous lesquelles il est né. Ainsi, le destin de l’homme demeure lié au champ d’action des planètes. Avec la position donnée du système solaire à l’heure de la naissance, on peut déceler le caractère de l’individu et son avenir, mais en tenant compte du libre-arbitre. Les grands, les vrais astrologues, n’ont jamais soutenu une autre théorie. Depuis Ptolémée, ils répètent : « Les astres inclinent ils n’obligent pas ».

     

    LES VISIONS DE L’ATLANTIDE

    Elles ont été recueillies et publiées- partiellement- en un petit livre passionnant, - qui nous fait revivre- les principales étapes de la longue histoire du continent englouti. Echelonnées entre 1924 et 1944, ces « lectures de vie » concernent des existences passées de personnes venues consulter le guérisseur. Car il en était arrivé à admettre la réincarnation et était persuadé d’en avoir acquis la preuve pour lui-même… De ces « visions », toutes plus extraordinaires les unes que les autres, nous n’en retiendrons qu’une, et c’est une prophétie : elle indique l’existence d’une petite pyramide, encore enfouie dans les sables du désert, près de l’une des pattes du Sphinx de Gizeh. Cette pyramide contiendrait un tombeau plein d’archives provenant de l’Atlantide et de l’Egypte préhistorique, et, si l’on en croit Edgar Cayce : « Elle sera découverte et ouverte en 1978 ». Les « lectures » où notre guérisseur voyait l’avenir sont assez impressionnantes. Elles ne sont guère réjouissantes, mais n’ont tout de même pas ce caractère de cataclysme et d’apocalypse marquant la plupart des autres prophéties qui circulent depuis des années et qui nous annoncent catastrophes et calamités pour l’an 2000 ! Elles gardent un ton scientifique et sobre qui inciterait plus à les croire. Par exemple, lorsque Cayce a « vu » un tremblement de terre désastreux ravager la Californie avant la fin de notre siècle (2000), et plus particulièrement vers les années 1978 ou 1980, on ne peut que lui faire, malheureusement, confiance : les savants ne répètent pas autre chose depuis plusieurs années, mettent les habitants de San Francisco et de Los Angeles en garde contre la dangereuse faille de San Andrea, qui parcourt le pays du nord au sud et dont les soubresauts sont peut-être imminents… Le voyant à, de même, 3 plusieurs reprises annoncé la famine mondiale :

     

    « Celui qui peut acheter une ferme a de la chance. Achetez-en une, si vous ne voulez pas connaître la faim dans les jours à venir… » On ne fait que nous menacer, maintenant, de la famine universelle, à cause, tant de la démographie galopante du Tiers-Monde, que de la diminution et de l’usure des terres arables… A ces deux prophéties on pourrait riposter que le bon sens suffit à tout un chacun pour en faire autant. Mais, il faut avouer que, voici un tiers de siècle ou plus, les Américains ne professaient pas ces théories pessimistes et désabusées, et qu’aux alentours de 1965-1970, Hermann Kahn débordait d’optimiste, quand il prédisait les lendemains qui chanteront en l’an 2000, quand il annonçait la joie et le bonheur de l’ère post-industrielle. Hors de ses transes hypnotiques, où le guérisseur parlait avec l’autorité d’un savant absolument sûr de lui, Edgar Cayce était un homme simple et modeste, qui doutait constamment de lui, un homme timide et désintéressé, qui fut toujours tourmenté de devoir accepter une part des honoraires demandés par son entourage pour ses « lectures ». Sans fortune, consacrant la plus grande partie de son temps à soigner les innombrables malades qui venaient à lui, il fallait bien assurer sa vie matérielle ainsi que celle de son équipe : sa femme et une secrétaire sténo-dactylo, pour le moins. Aussi finit-il par poser la question de l’argent :

    -Ce pouvoir peut-être employé pour aider l’humanité tout en tirant des bénéfices financiers ?

    -En tirer bénéfice est obtenir ce qui est juste pour ceux qui dépendent de ce « corps » pour vivre… ce « corps », dans son langage, c’était le sien, c’était lui, qui devait faire vivre ses collaborateurs…

    Il lui fallut accepter un jour de plus grosses sommes d’argent pour créer l’hôpital que ses « lecteurs » lui avaient à maintes fois recommandé, puis réclamé. Il y avait eu de nombreuses tentatives qui, toutes, s’étaient terminées par un échec, et Cayce n’y croyait plus guère, quand un de ses admirateurs fervents, un certain Morton Blumenthal lui remit un chèque et une clé.

    -Je vous ai acheté une maison à Virginia Beach. Dépêchez-vous d’aller vous y installer, parce que les choses vont aller vite.

    Notre homme s’y rendit et découvrit sans enthousiasme une plage peu avenante, battue par un océan déchaîné. Néanmoins, tout le monde se mit au travail pour aménager la nouvelle demeure, qui, peu à peu, s’organisa. C’est là, avec des hauts et des bas, qu’Edgar Cayce allait passer les vingt dernières années de sa vie accumulant « lectures » sur « lectures », soins médicaux et visions du passé, ou de l’avenir… Le 1er janvier 1945 l’une de ses secrétaires, Naé, vint le voir : il était paralysé depuis plusieurs semaines. Il lui sourit, de son demi sourire d’hémiplégique- le côté gauche était paralysé- et lui dit, dans un souffle :

    « C’est tout arrangé. Je serai guéri, vendredi, le 5 janvier… »

    Sa dernière prédiction s’avéra exacte elle aussi : il rendit le dernier soupir dans la soirée du mercredi 3…, si bien que, le 5, il était guéri, mais plus en ce monde…

     

    *

    L’ARE (Association for Research and Enlightenment, Inc.) fut fondée en juin 1931. La fondation se concentre sur la médecine holistique : la réincarnation, les rêves, les phénomènes psychiques et la spiritualité.

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