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     Un astéroïde de la taille d'un porte-avion se dirige vers la Terre et devrait passer à proximité de notre planète à l'automne. Selon la trajectoire estimée par les scientifiques, il se trouvera bien plus près de nous que la Lune à ce moment-là.

    Non, la fin du monde n'est pas prévue pour l'automne prochain. L'astéroïde YU55 qui se dirige vers la Terre et devrait passer à 325.000 kilomètres de notre planète le 8 novembre prochain ne présente aucun danger, rassurent des scientifiques cités par le site Space. Don Yeomans, qui dirige le programme "Near-Eath Object" ("objets à proximité de la Terre") de la Nasa, juge bon de préciser : "YU55 ne représente aucune menace de collision avec la Terre, au moins pour 100 ans encore (...) Lorsqu'il sera au plus près de notre planète, son effet gravitationnel sur la Terre sera minuscule et impossible à mesurer".

    Au contraire, la perspective de cette rencontre est très excitante pour les astronomes, et le passage de cet astéroïde pourrait leur apporter des connaissances supplémentaires sur ce corps céleste. Par le passé, la technologie n'avait pas permis aux scientifiques de saisir cette opportunité. D'après Don Yeomans, "il s'agit là de l'astéroïde le plus imposant qui doit passer à promixité de la Terre d'ici 2028".

    L'astéroïde tant attendu, par la Nasa notamment, fait environ 400 mètres de large. Il a été découvert en décembre 2005 grâce au programme "Spacewatch" de l'Université d'Arizona à Tucson, aux Etats-Unis. Il s'agit d'un astéroïde de type C (pour "carboné"). Selon les astronomes, 75% des astéroïdes connus sont de ce type. Leur composition chimique étant proche de celle du système solaire primitif, les scientifiques ne veulent surtout pas rater ce rendez-vous qui pourrait s'avérer très enrichissant.

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    source ici :

     

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    Tyron- Histoires Extraordinaires Des Voyageurs de l'Espace

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     PREMIER COLLOQUE NATIONAL SUR LES ORBES A L'ESPACE ST MARTIN 

    situé au 199 bis rue Saint Martin à Paris (75003) à la salle Héliopolis.

     

     

    Organisé par le Réseau National des Orbes (R.D.O.)  

     

    ADAMA, créateur du forum prend la parole :

     

     Chers membres des forums du R.D.O. et inscrits sur nos sites WEB et blogs, Le colloque national sur les orbes aura lieu le 15 octobre 2011.

     
     
     
    Donneront conférences Gildas Bourdais, Joël Mesnard, l’IFRES, Jean Claude Bourret, etc.
     
     
    LE MATIN :
     
     
    9h00 - 10H00 : Gildas Bourdais L’histoire de l’ufologie et l’arrivée de la question des orbes.
     
     
    10h00 - 11h30 : La place des anomalies photographiques dans l’ensemble des preuves en ufologie : 40 ans de collecte par Joël Mesnard, Directeur de la revue L.D.L.N.
     
     
    11h30 - 12h30 : 2009 - 2011 Trois ans au contact d’un phénomène croissant, Orbes et OVNIS  par Monsieur Jean-Luc L.  
     
     
    12h30 - 14h00 : déjeuner
     
     
    L'APRES-MIDI :
     
     
    14h00 - 16h00Table Ronde avec messieurs Jean-Claude Royens, Président de l’IFRES (Institut Français de Recherche et d’Expérimentation Spirite)  et Joël Ury, vice-Président sur la thématique :
     
     
    Le spiritisme expérimental, histoire du Module de l’IFRES et les entités. Les photographies d’orbes à visage : au-delà des limites de la pareidolie.  La TCI tradtionnelle et la TCI photographique pratiquée par des membres du R.D.O.
     
     
     
    16h00 - 17h00Table Ronde sur les OVNIs et les Orbes avec Messieurs Gildas Bourdais et Joël Mesnard
     
     
    17h00 à 18h00 :  Conférence de Monsieur Jean-Claude Bourret : Le dossier des O.V.N.I.s. 
     
     
    Conclusion du colloque par Jonathan Giné Fondateur du RDO :
     
     
     Le Paramètre Invisible un nouveau paradigme pour l’inexpliqué? Suivi d’une première classification rationnelle des phénomènes. 
     
     
    Après le colloque, sera procédé par Jonathan Giné et Abigaelle à une démonstration de vol de drones et de video sous-marine à l’aide d’un mini sous marin afin d’illustrer l’utilisation révolutionnaire de nouvelles technologies dans les enquêtes de terrain.
     
    Des annales de ce premier colloque national seront publiées en Français, Anglais, Espagnol et Allemand. Les annales seront disponibles sous forme d’un cahier ou d’un fichier PDF.
     
     
    Un point vente Lumières Dans La Nuit et des Publications de l’IFRES sera disponible au Château.
     
     
    Biographie des intervenants : 
     
     
     
     
     
    Joël Mesnard : A son actif 40 ans d’enquête de terrains en France et en Europe, Joël Mesnard a rencontré les témoins de la plupart des grandes affaires d’OVNI de tous types, mais également des centaines de personnes d’affaires moins connues mais qui font l’ufologie et pose le problème des OVNIs. Professeur de mathématique il quitte l’enseignement pour se consacrer entièrement aux OVNIs. Passionné d’aviation depuis l’âge de 9 ans, il participe à de nombreux articles dans des revues spécialisées comme Aviation Magazine,  Air et Cosmos, etc. en élaborant des dessins techniques d’avions pour ces revues. C’est en 1966 qu’il enquête son premier grand dossier avec l’affaire passionnante de Cussac devenu un des grands classiques des cas OVNIs de RR3 en France. Il se bat inlassablement pour la reconnaissance de la vague du 5 novembre1990. Il est le Directeur de la célèbre et plus ancienne revue d’ufologie de France : Lumières Dans La Nuit. qui a publié et publie des articles de fond des plus grands acteurs de l’ufologie de ces dernières quarante années, avec des colonnes ouvertes aux enquêteurs du groupement LDLN. 
    Il s’est rendu de nombreuses fois au Col de Vence en compagnie de Monsieur Pierre Beake pour constater les phénomènes étranges qui s’y passe. En outre, Monsieur Mesnard est le premier ufologue a s’être intéressé de près à la problématique des photographies «surprises» dont les premières remontent à 40 ans et qui depuis n’ont fait que s’amplifier comme nous le savons de nos jours. Il possède l’une des plus grandes banques de données sur le sujet, le Réseau national des Orbes activement collabore avec ce chercheur sur ce sujet. Il est l’auteur de plusieurs livres sur les OVNIs, dont un sur les M.I.B. : Les Mens In Black : l’étrange affaire des hommes en noir et des OVNIs aux Editions du Mercure Dauphinois - 2005.
     
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    Gildas Bourdais : Ufologue spécialiste des dossiers OVNIs américains, et en particulier du dossier de Roswell. Il travaille également sur les dossiers des Abductions dont il est l’un des grands spécialistes en France. Il a rencontré maintes fois le regretté Docteur John Mack qui consacra une partie de sa vie à étudier de très près les dossiers d’enlevés. Il a participé également à la traduction et à la diffusion du Rapport Cometa auprès des groupements ufologiques des USA et de différentes organisations américaines. Il a donné de nombreuses conférences dans différents pays : Etats-Unis, Brésil, Grande Bretagne, Italie, etc. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur les OVNIs.
     
     
    Plus d'info ci-dessous pour prendre connaissance des nombreux ouvrages de ce chercheur :
     
     
     
     
    Le dernier en date étant OVNIs vers la fin du secret? aux éditions JMG.
     
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    Jean-Claude Bourret : Célèbre journaliste, grand reporter et écrivain qui a contribué à faire sortir des cercles spécialisés l’ufologie par ses émissions de radio et ses nombreux ouvrages dans les années 1970 en suscitant dans le grand public un véritable intérêt pour les dossiers OVNIs. Il commence sa carrière le 1 juin 1967 à France Inter, grand reporter il couvre les déplacements de tous les Présidents de la République. Il couvre également l’ensemble des tirs Apollo vers la Lune depuis Cap Canaveral. Il devient en 1975 le rédacteur en chef des journaux télévisés de TF1. En 1986 c’est Jean-Claude Bourret qui révèle que le nuage de Tchernobyl ne s’est pas arrête à la frontière française.  Il est nommé en 1999 conseiller du Directeur Général de la Gendarmerie Nationale. Le 27 novembre 2007 il est élevé au grade de Colonel par le Général d’armée Guy Parayre. 
     
     
    Il a eu accès dans les années 1970 aux dossiers de la Gendarmerie sur les OVNIs, a rencontré le ministre de la Recherche Claude Pohers, et bien d’autres personnalités sur ce sujet. Ces ouvrages sont devenus des grands classiques du sujet :
     
     
    Aux Editions France Empire :
     
     
    La Nouvelle vague des soucoupes volantes, 1974
    Le Nouveau défi des OVNI, 1975
    La Science face aux extra-terrestres, 1977
    OVNI, l’armée parle, 1979
     
     
    Aux Editions de l’Atelier 786 :
     
     
    Témoignage OVNI (une remarquable BD avec pour les planches Patrick Claeys).
     
     
    Avec Jean-Jacques Velasco : OVNI la science avance, 1993
     
     
    Aux Editions Michel Lafon :
     
     
    OVNIs : 1999, le contact? 1997
     
     
    Très récemment Jean-Claude Bourret à choisi d’ouvrir de nouveau dossier de la Bête du Gévaudan dans lequel il à fait de nouvelles découvertes publiées aux Editions Julien Grycan en 2010 :
     
     
    Le secrets de la bête du Gévaudan Tome 1 et Tome 2.
     
     
    Bien sur Monsieur Jean-Claude Bourret à écrit bien d’autres livres : sur le GIGN, la sécurité, l’acupuncture, l’archéologie, etc.
     
     
    Jean-Luc Royans et Joël Ury  : Fondateurs de l’Institut Français  de Recherches et d’Expérimentation Spirite sont à l’origine de travaux révolutionnaires dans le domaine du spiritisme expérimental avec la construction du «MODULE» qui permets de prendre des images de l’au-delà d’une remarquable précision.
     
     
    Une machine qui a été dictée par des communications spirites.
     
     
    Ils sont également les fondateurs des séances du mardi soir que tout un chacun peut suivre depuis son ordinateur, lors de la mise en fonction du Module en présence d’un médium.
     
     
    L’Institut existe depuis 1982 mais ces statuts furent déposés en Avril 1986. Il est rattaché à l’Union Spirite Française et Francophone. L’IFRES explore de nouveaux moyens pour entrer en relation avec l’espace d’après vie, l’objectif étant des recherches nouvelles sur la survivance de l’esprit après la mort. Messieurs Royans et Ury avec leur équipe étudient actuellement la possibilité d’exploiter l’extraordinaire support lumineux que sont les Hologrammes.
     
     
    L’IFRES a publié un livre remarquable «Daniel je sais pourquoi?».
     
     
    L’Institut a rencontré dans son parcours de nombreux chercheurs, qui ont soutenus son action dans les années 1980.
     
     
    Le Réseau national Des Orbes et l’IFRES ont des projets de collaboration active sur la problématique des orbes à visages dont les photographies se rapprochent (avec moins de netteté malgré tout) que les résultats de l’IFRES.
     
     
    Le site avec tous les renseignements :
     
     
     
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     Administrateur
     
    Jonathan Giné :  Petit neveu d’un photographe professionnel d’Oran ayant contribué au rayonnement de la photo en format six-vingt en Algérie, (à l’époque Département Français). Il est le Fondateur du Réseau national des Orbes en Décembre 2007, groupement de fait. Il se passionne pour les anomalies photographiques suite à un voyage à Rennes-le-Château. Auteur du premier blog entièrement consacré aux orbes en France, «Le mystère des orbes» dont le titre a été depuis maintes fois repris sur la toile, il a depuis contribué à répandre le goût de l’étude des orbes dans le grand public, et explore des voies technologiques nouvelles avec l’aide d’ingénieurs de différentes spécialisations pour apporter de nouveaux éléments tangibles sur la recherche sur les orbes. Avec le concours de Joël Mesnard il contribue à poser les fondements de l’orbologie comme discipline indépendante de l’ufologie ou des différents domaines du paranormal. Il dirige le Réseau national des Orbes qui regroupe des centaines de témoins, forme des enquêteurs et encourage à l’enquête individuelle des personnes qui le souhaite, et est en relation directe avec des chercheurs qui apportent leur aide discrétement.
     
     
    De formation scientifique il étudie les mathématiques et la physique aux Arts et Métier, et à Jussieu Paris VII. A l’époque membre de l’Union Rationaliste il quitte le mouvement à la fin des années 1980 étant en désaccord avec le traitement de la question OVNI à l’U.R.. Il étudie l’archéologie syro-palestinienne et l’archélogie hellenistique à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, et donne une communication sur la Cabale avec le soutien de son ami le chercheur Charles Mopsik au sein de l’E.P.H.E.. 
     
     
    Il publie depuis vingt ans dans différentes revues des articles spécialisés sur différents sujets, pour Historia, Connaissance Helleniques, Ed. Ramuel, Ed. Arqua, Top Secret, LDLN, etc.
     
     
    En 1991 il est l’initiateur et créateur du Festival d’Astronomie et de Sciences de l’Espace d’Hyères dans le Var en Août 1991 en collaboration avec la Marie d’Hyères et la Société Astronomique Hyéroise d’Amateur. Il obtient un soutien de la Société Astronomique de France, du C.N.E.S., et de The Planetary Society de Carl Sagan. (Dossier de presse qui rapporte l’événement dans Var matin et Nice matin). A cette occasion il rencontre avec un ancien du GEPAN Monsieur Renato Nicolaï dix ans après les événements en sa maison de Trans en Provence. Ce Festival fera parti des manifestations à être associées à la première Nuit des Etoiles Filantes de France Television devenu depuis un rendez vous annuel des passionnés d'astronomie.
     
     
    Désormais il consacre tout son temps au développement du Réseau national des Orbes  qui est présent par ses membres dans toute la France  et privilégie des technologies nouvelles pour sortir de «l’impasse de l’EXIF» comme l’avait dit Joël Mesnard. Des nouvelles technologies révolutionnaires de traitement de l’image sont en expérimentation au sein du RDO, et l’application de la cybernétique dans les enquêtes de terrain est une innovation importante qui ouvre de nouveaux champs d’investigation en orbologie.
     
     
    Voilà pour l'information de ce premier colloque, premier d'une longue série, croyez moi, avec des invités de renom dans le milieu. Pour plus d'info veuillez contacter Adama à l'adresse email ci-dessous :
     
     
     
     
     
    La taverne de l'étrange- mai 2011
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  •   LA BIBLE RESPECTE LA VERITE HISTORIQUE

     

    LA BIBLE RESPECTE LA VERITE HISTORIQUE


    On a longtemps suspecté les récits bibliques. Certes, leur valeur spirituelle, même pour l’incroyant, n’a jamais été mise en doute. Mais la science réfutait a priori leur intérêt historique. Il n’était pas question de prendre pour argent comptant des textes narrant des événements par l’extraordinaire. On préférait, par facilité sans doute, les verser au dossier du mythe et de la légende religieuse. Aujourd’hui, avec les nouvelles découvertes archéologique et les progrès de la recherche tous azimuts, une nouvelle conception se fait jour chez les savants.


    A la lueur de récents travaux, scientifiques et international, (et du CNRS), il apparaît qu’elle est beaucoup plus exacte qu’on le croyait, du moins quand on la déchiffre correctement. Des recherches intenses archéologiques conduites depuis 1948 à 1998  en territoire Hébreu prouvent cette version.

    Soucieux d’affirmer leur identité et surtout leurs droits imprescriptibles (sur cette terre), les Israélien ont été pris d’une véritable frénésie archéologique. Le général Moshe Dayan, mort depuis 30 ans a passé ainsi toute sa vie à l’époque, à effectuer des fouilles en se guidant avec la bible… En trente ans, les trouvailles se sont multipliées et l’on commence à savoir avec précision ce qu’était la vie en ces terres voici plusieurs millénaires. Et chaque découverte confirme ce qui est écrit dans la Bible.

    Ainsi, a-t-on récemment exhumé les restes de la Jérusalem bâtie par le roi David qui régna de 1010 à 970 (environ ?) avant notre ère. On croyait sa cité quasiment mythique, ne connaissant que les ruines de fameux temple de Salomon et la partie de la ville de l’époque d’Hérode, contemporain du Christ. En outre, dans le reste du pays, l’historien Aharoni a pu faire le relevé de trois cent soixante-villes identifiables à l’époque royale sur les quatre cent soixante-quinze dont la Bible cite les noms à de nombreuses reprises. Exactitude historique, donc, en ce qui concerne les lieux et les hommes dont, par ailleurs, on retrouve largement trace dans les textes des civilisations voisines, de l’Egypte à la Babylonie. Mais que faut-il penser des événements eux-mêmes, surtout lorsqu’ils prennent un caractère d’épopée comme la destruction apocalyptique de Sodome et Gomorrhe, la prise de Jéricho ou l’épisode curieux de la tour de Babel ?

    Un historien allemand qui fut très connu, à sont époque, Werner Keller, a publié une synthèse à ce sujet. Pour lui, cela ne fait aucun doute. Tout ce que l’on croyait être légende et récits mythiques est au contraire absolument exact. Les dernières découvertes de 1998 le démontrent et, dans l’avenir, nous n’avons pas fini d’être étonnés par la précision historique de ce grand texte sacré.

    « Alors l’Eternel, nous dit la Genèse (XIX, 24), fit pleuvoir du ciel sur Sodome et Gomorrhe, du soufre et du feu de par l’Eternel, il détruisit ces villes, toute la plaine et tous les habitants des villes, et toutes les plantes de cette terre. »

    On a longtemps pensé que les deux cités maudites n’existaient peut-être même pas ou qu’elles n’étaient que deux bourgades accidentellement détruites par un petit cataclysme naturel que la religiosité du temps avaient attribué à une hypothétique colère divine. Or, Keller démontre qu’il s’est effectivement passé quelque chose de plus étrange dans le coin de la mer Morte où se situaient les deux villes. Il cite à l’appui de cela les travaux des deux archéologues italiens, Paulo Matthias et Giovanni Pettinato. Ces derniers ont découvert des tablettes d’argile qui mentionnent le nom des deux cités et la catastrophe. Déluge de soufre et de feu, éruptions volcaniques ou quelque chose d’autre, comme une intervention Extraterrestres, vu la radioactivité importante dans ce lieu ?
    Il semble qu’à Sodome et Gomorrhe se soit produit une curieuse et terrible explosion qui oblige d’évoquer une technologie que l’on s’attendait fort peu à trouver dans cette Antiquité lointaine.

    Est-ce une déflagration nucléaire qui aurait réveillé le volcanisme local ? Mais par qui ? L’utilisation d’une arme singulière dont le secret est aujourd’hui perdue et appartenait alors au mystérieux peuple des anges (qui a averti Lot et sa famille de quitter la ville menacée ?) Nous le saurons sans doute jamais ce qui s’est exactement passé. Mais la Bible a exactement rendu compte de l’événement. D’étranges traces de la « colère divine » demeurent dans les sites archéologiques du Jourdain où l’on croit avoir découvert les vestiges des malheureuses cités. Keller cite ensuite la miraculeuse destruction de Jéricho. Les Hébreux de Josué auraient abattu les murs de la ville avec des cris et son des trompettes sacrées. L’archéologie a prouvé que les fameux murs de Jéricho existaient bel et bien et qu’ils ont sans doute été détruits de curieuse façon. On doit à ce sujet des fouilles significatives à l’historienne britannique Kathleen Kenyon qui a exhumé les fortifications de la cité biblique.

    Elle s’est demandé comment elles avaient été détruites. Toutes hypothèses examinées, force lui a été de conclure qu’il fallait accorder foi au récit du livre de Josué. Les Hébreux ont abattu les murs en émettant avec leurs trompettes certaines fréquences d’infrasons, amplifiées par la mystérieuse Arche d’Alliance. (Les infrasons et ultrasons utilisés actuellement pour la destruction des calculs rénaux, et dans des armes secrètes pour arrêt cardiaque à distance, et oui…) Cette dernière en effet devait être une sorte de générateur de forces inconnues et terribles. On en a la preuve dans d’autres passages du texte sacré. Uzza fut frappé à mort parce qu’il la toucha simplement, et les habitants de Beth-Schémesch furent mystérieusement châtiés pour avoir voulu regarder à l’intérieur. Rappelons encore les immenses pouvoirs qu’elle conférait à Moïse ou à David. A Jéricho furent mis en œuvre les pouvoirs secrets du son.
     
    La science actuelle les découvre ou les redécouvre. Il semblerait qu’ils aient été couramment utilisés dans l’Antiquité indienne, égyptienne ou grecque. D’où les tenaient nos lointaines ancêtres ? Si la Bible dit vrai, pourquoi n’en serait-il pas de même des autres mythes nous parlant de continents engloutis dont les peuples auraient maîtrisé des forces à la fois simples et terrifiantes qui les auraient d’ailleurs conduits aux catastrophes que l’on sait ?

    Les historiens nazie ont cherché la clé de ces mystères et après eux les spécialistes russes qui ont eu accès aux dossiers secret du III° Reich. On ignore tout de ce qui a pu être découvert par les uns ou les autres. Notons simplement au passage que les Russes multiplient depuis trente ans, les expériences en matière de sonorités étranges et qu’ils ont mis au point certaines armes uniquement basées sur les fréquences qui ont abattu les murs de Jéricho. En France même dans les années 70, un scientifique, le professeur Gavreau, mit au point dans ses laboratoires de Marseille, un canon sonore aux terrifiants effets sur l’homme comme sur tous les matériaux. Ses recherches furent interrompues par décision spéciale, mais le secret défense à tous les détails de cette arme ?
     
    Il se peut que nous ne sachions pas lire la Bible et avec elle les textes sacrés fondamentaux de l’histoire des hommes. Ils sont historiquement exacts, du moins quand on possède les clés pour les décrypter. Alors, pourquoi ne pas penser que s’y trouvent dissimulés quelque part les secrets de ces sciences perdues. Sans sa thèse la Musique de la Bible révélée, S. Haïk Ventours à découvert que le graphisme même des versets hébraïques traditionnel recelait une notation oubliée. (Les Templiers utilisent la Musique comme codage secret pour les initiations). Musicienne avant tout, elle s’est attachée à restituer le caractère artistique de cette musique. Mais, n’en doutons pas, dans l’écriture même de la Thora se trouve cachée quelque part une formidable puissance. Il reste à la découvrir. Dans son livre, Werner Keller évoque encore de nombreux aspects des textes bibliques qui ont été confirmés récemment par les découvertes des archéologues et des historiens. Le royaume de Salomon, par exemple. On pensait que la gloire de ce souverain était surtout le fait de ses historiographes désireux  de le porter aux nues pour lui être agréables.

    Il n’en est rien. Le docteur Nelson Glueck, de la prestigieuse American School of Oriental Research, a démontré que Salomon était à la tête d’un empire qui dépassait de loin les frontières du petit Etat hébreu. Il exploitait des mines de fer et de cuivre dans le désert d’Arabie. Ses bateaux firent le tour de l’Afrique, peut-être avant ceux de Phénicie. Ses ingénieurs étaient les plus remarquables de l’époque et des tablettes babyloniennes prouvent qu’ils disposaient de technologies secrètes ramenées de très loin. Quel peuple perdu ont-ils rencontré là-bas ? Il ne fait pas de doute que Salomon entretenait avec lui des relations commerciales et culturelles poussées. Certains historiens parallèles ont écrit qu’il disposa peut-être des connaissances du GONDWANA dont étaient issus les constructeurs oubliés de la cité africaine aux murs cyclopéens. Certes, c’est là pure hypothèse. Mais, encore une fois, tout est possible.

    Même l’histoire de la tour de Babel n’est pas un mythe. Le chercheur allemand Robert Koldewey a découvert les vestiges de cette construction. Il a noté, comme les autres, que la structure en briques de la tour correspondait exactement à la description qu’en fait la Bible. Alors, il nous faut croire aussi à la civilisation qui a édifié la tour. Celle des hommes, nous dit le texte, aux temps où les langages ne les séparaient pas encore. Celle d’une humanité au noyau commun avec des dieux venus du ciel pour la guider…

    Si tout cela est vrai, une fois de plus, pourquoi pas le reste, tout le reste.

    *
     


    Sources : Centre de recherches de Jérusalem et de Kasrin
    Centre des documentations Archéologiques du CNRS
    Archéologue Michael Sanders (Archives des recherches)
    Centre de recherches Française de Jérusalem
    Centre Jean Berard (40 ans de fouilles)
    Laboratoire de géologie UMR 8538- ENS-CNRS
    Documentations  de Paulo Matthias et Giovanni Pettinato (archéologues)


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