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     Il n'a encore blessé personne mais flanque la frousse à tout le monde. Un monstre trouble depuis un mois la quiétude de la petite ville sud-africaine de Steytlerville. Selon l'adjudant Zandisile Nelani, de la police du Cap oriental, la créature a été signalée à deux reprises encore dimanche soir. Sa particularité, qui est pour beaucoup dans la peur qu'elle inspire, est qu'elle change à chaque fois de forme et d'apparence.

    C'est d'abord un homme portant une veste noire qui a été vu près d'une taverne. Un habitant qui s'approchait a constaté qu'il n'avait pas de tête. L'inconnu, selon le policier, s'est ensuite transformé en un chien méchant aussi gros qu'une vache. Le monstre se serait ensuite montré à plusieurs personnes dans la même rue, prenant l'aspect d'un gros singe, avant de disparaître.

    Il regardait par les fenêtres de l'église

    La police de Steytlerville avait déjà reçu la semaine dernière des dépositions d'habitants signalant la présence de ce monstre changeant de forme quand on le regarde, qui n'apparaît que la nuit. Un témoin a expliqué qu'il a été successivement un homme en costume, un cochon et ensuite une chauve-souris. D'autres ont dit qu'il volait. Le monstre avait auparavant été vu par des paroissiens: il regardait par les fenêtres de l'église, lors d'un service. Sa première apparition remonte à un mois, alors qu'il s'était invité à deux enterrements.

    Selon l'adjudant Zandisile Nelani, les habitants, apeurés, ont réclamé une réunion avec la police. Celle-ci a donné son accord de principe, à condition qu'on arrive à photographier le monstre, comme preuve de son existence. Une photo du monstre se reposant sous un arbre a été prise : il a forme humaine, mais au développement, selon le policier, la photo a révélé un animal inconnu. «C'est une chose très étrange qui se passe à Steytlerville, mais personne n'a été blessé», a conclu l'adjudant.

    LeParisien.fr 

     

     
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     L'Allen Telescope Array (ATA) a été temporairement mis en sommeil, faute de moyens financiers pour assurer son fonctionnement.


    Seti privé de son principal moyen d'écouteLa décision d'arrêter les écoutes radio de la Galaxie en quête de signaux artificiels est un rude coup pour le programme Seti de recherche d'intelligence d'extraterrestre : l'ATA était son outil d'observation dédié.

    Seule la maintenance du radiotélescope, installé au nord de la Californie, reste assurée. Seti devra parvenir à se greffer sur le temps d'observation d'autres instruments pour continuer ses écoutes.

    Des ambitions déjà amputéesL'ATA devait à terme être constitué de 350 antennes radio de 6,1 m de diamètre pour écouter les astres simultanément. Seules 42 paraboles ont vu le jour en 2007, grâce au mécénat initial de Paul Allen, cofondateur de Microsoft.

    Depuis, la seule exploitation de l'ATA pour Seti coûte 2,5 millions de dollars par an. Beaucoup trop dans un contexte de réduction drastique des financements publics de l'État de Californie et de la National Science Foundation.

    À la recherche de fondsLa survie de Seti repose plus que jamais sur les dons privés. Une campagne de levée de fonds a ainsi été lancée pour financer une recherche de deux ans centrée sur les 1235 planètes découvertes par Kepler.

    Autre piste, la vente de services à l'US Air Force pour surveiller les débris orbitaux risquant d'endommager les satellites de la Défense américaine.
     
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    LES ENVAHISSEURS SONT PARMI NOUS

    CERTAINS COMMENCENT A LE PENSER SERIEUSEMENT…


     


    Et si les extraterrestres vivaient déjà depuis plusieurs années parmi nous ? C’est le thème d’une série à succès en France et outre manche à l’époque : Les Envahisseurs (The Invaders). Dans cette histoire, à mi-chemin du feuilleton policier et de science-fiction, les extraterrestres avaient réussi à imiter l’aspect physique des hommes, à un léger détail anatomique près (le petit doigt relevé) et ils avaient décidé d’envahir notre terre en s’infiltrant, peu à peu, dans la population de notre globe.


    Et bien cette histoire qui a pu paraître rocambolesque à certains, des savants sont, aujourd’hui, prêts de le croire tout à fait plausible. Jacques Bergier était de ceux-là. « A mon avis, disait-il, après la période de simple contrôle et d’enregistrements de ce qui s’est passé sur Terre, vint la période, commencée depuis quelques siècles, où les Intelligences décidèrent d’effectuer des expériences. Celles-ci consistent à introduire dans notre milieu des êtres susceptibles de provoquer les réactions les plus diverses et à étudier, ensuite, la façon dont nous nous comportons, comme on étudie le comportement des rats dans les labyrinthes artificiels ».

     

    Et, en effet, on trouve, à différentes périodes de notre histoire, le récit de certains de ces êtres débarqués sur notre terre, venant de nulle part. L’un des plus célèbres est, évidemment, le comte de Saint-Germain que personne n’a jamais vu mourir et qui revient périodiquement au fil des siècles. Kaspar Hauser, « l’orphelin de l’Europe » dont on a fait le héros d’un film dans les années 80, est également un cas troublant. Cet adolescent apparut, un jour de mai 1828, à Nuremberg. Il avait une quinzaine d’années, mal habillé, il était incapable de parler et savait à peine marcher. Il avait bien deux lettres dans sa poche, mais les indications qu’elles donnaient  se révélèrent totalement fausses et elles étaient faites d’une curieuse matière, ni papier, ni parchemin, mais plutôt une sorte de cuir ultra-mince. Kaspar Hauser ne savait pas d’où il venait. Il réussit à apprendre à parler, mais ne put rien révéler sur sa mystérieuse origine. Il fut assassiné, le 14 décembre 1833, dans un parc, par un inconnu qui lui avait donné rendez-vous, sous prétexte de lui révéler son identité. Kaspar Hauser n’était pas de ce monde, en ont conclu certains. Il provenait d’une autre planète, peut-être même d’un autre univers.

    Au XVIIe siècle, en Angleterre, une jeune femme avait causé la même surprise. Elle était apparue, un jour d’avril 1817, dans le petit village d’Almondsbury, vêtue d’un sari et parlant une langue inconnue. Elle ne savait pas écrire et tout ce que l’on tira d’elle, avec force signes, fut qu’elle devait se nommer Carabo. On la recueillit, on lui apprit à parler et elle raconta qu’elle était princesse d’un pays lointain, mais qu’on ne parvint jamais à situer sur aucune carte. Plus tard elle se maria et déclara qu’elle avait menti, qu’elle était, en réalité, anglaise et s’appelait Mary Wilcox. Malheureusement toutes les démarches entreprises ne permirent jamais de retrouver une trace de cette femme. Et la princesse Carabo mourut, à l’âge de soixante-dix ans, en emportant dans la tombe le secret de sa mystérieuse origine. Au 19 ème siècle on découvrit, également, à Paris, un amnésique qui ignorait tout de son identité. On trouva dans sa poche la carte d’une planète qui n’était pas la terre. En 1954 on dut vérifier, à la suite d’émeutes, les passeports de tous les étrangers qui se trouvaient au Japon. Dans un hôtel la police découvrit ainsi un personnage qui possédait un passeport apparemment en règle. Il n’y avait ni grattage, ni surcharge, la photo d’identité était exacte, ainsi que les empreintes digitales. Mais le passeport en langue arabe, était délivré par un pays qui n’existait pas : le Tuared. On interrogea l’homme qui expliqua que le Tuared se trouvait entre la Mauritanie et le Soudan. On consulta des cartes anciennes, on s’enquit auprès des Nations Unies. Personne, jamais, n’avait entendu parler de ce pays. Finalement, le ressortissant du Tuared fut enfermé dans un asile psychiatrique. Pourtant son comportement était parfaitement normal.

     

    Mais, parfois, on va encore plus loin dans l’étrange quand les êtres venus d’ailleurs ne sont pas tout à fait comme nous. En août 1887, près du village de Banjos, en Espagne, des paysans virent, tout à coup, sortir d’une cave deux enfants, un garçon et une fille, visiblement perdus et apeurés. On s’empressa à leur rencontre. Ils étaient habillés de vêtements dont le tissu ne ressemblait à aucune matière connue et, surtout, leur peau avait une couleur étrange : verte. Verte comme les feuilles ou l’herbe des champs. Leurs traits étaient un peu de type négroïde, mais leurs yeux en amande, étaient plus proches des Asiatiques. On essaya de les faire manger, mais ils refusèrent tout, sauf des haricots fraîchement cueillis qu’ils dévorèrent crus. Des spécialistes vinrent de Madrid étudier les deux étranges enfants que l’on avait placés chez le juge. Mais ils essayèrent en vain d’identifier la langue qu’ils parlaient, comme le tissu dont leurs vêtements étaient faits. Le petit garçon qui paraissait le plus faible mourut, quelques jours plus tard. La petite fille, elle, survécut quelques années. Assez pour apprendre un peu d’espagnol et donner une description du pays d’où elle venait. Description des plus étonnantes puisqu’elle décrivit son pays comme une région sans soleil où régnait, en permanence, une sorte de crépuscule. Ce pays était séparé, par une large rivière, d’un pays voisin, au contraire très lumineux. La petite fille ne put pas réellement expliquer comment elle avait débarqué sur terre. Elle parla d’un bruit terrible et d’un grand tourbillon.

    En 1948 on a encore retrouvé en Australie – pays où les observations de soucoupes volantes sont particulièrement nombreuses – un cadavre d’un être étrange dans une mine de cuivre désaffectée. Ses yeux étaient dépourvus de cils, il avait des lèvres minces, un nez fort et légèrement épaté, des oreilles très pointues. Dans ses poches on retrouva un mystérieux message codé que personne n’a jamais réussi à déchiffrer. Georges Langelaan, de son côté, rapporte quelques cas particulièrement déroutants.

    « J’ai pour ma part, connaissance d’un fait très troublant qui s’est déroulé en Angleterre, dans les années soixante. Un jeune homme accidenté avait été conduit à l’hôpital. Là on lui fit un prélèvement sanguin, on le pansa, puis on le laissa repartir car sa blessure était bénigne. Mais quelle ne fut pas la surprise des médecins de constater, en analysant son sang, qu’il n’appartenait à aucun groupe connu sur terre. En particulier les globules avaient une curieuse forme ovale. On chercha à retrouver le mystérieux jeune homme, mais on n’y parvint pas, car il avait donné un faux nom et une fausse adresse. Je pense qu’il s’agissait d’un extraterrestre ».

    Aux Etats-Unis on a également découvert certains hommes, morts accidentellement, qui avaient deux cœurs. Et, en 1959, on retrouva, sur la plage de Dantzig, un curieux cadavre. Quand on l’autopsia on s’aperçut qu’il avait une circulation horizontale et non verticale, comme tous les êtres humains vivant sur terre. Le mystérieux cadavre fut transporté dans un hôpital de Moscou, mais, depuis, plus personne n’en a entendu parler. Tous ces faits ont de quoi troubler ou inquiéter. Car ils prouveraient, en effet, que les extraterrestres n’en sont plus seulement à nous surveiller de leur soucoupe, ou même à atterrir pour une rapide exploration. Ils ont déjà débarqué. Ils sont là, parmi nous, sans que nous le sachions. Ce sont peut-être nos voisins de palier ou nos collègues de bureau. D’autres spécialistes avancent des hypothèses encore plus hardies. Les voyageurs de l’espace ne sont pas, comme nous, soumis à la loi inexorable du temps, ils se perpétuent sur des centaines et des milliers d’années. Aussi réussissent-ils, sur terre, à s’incarner dans des enveloppes terrestres dont ils annihilent l’âme et l’esprit pour prendre sa place. Et ils en changent quand la mort a fait son œuvre.

    Ainsi, peut-être allons-nous devenir, peu à peu, des extraterrestres sans le savoir !

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    Nostra n°202 de février 1976- juin 2009

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    1972- UN MYSTERIEUX ENGIN LUMINEUX S’EST POSE A PIERRE-DE-BRESSE


    ENCORE UN ATTERRISSAGE IMPORTANT A ETUDIER DANS LES ANNEES 72

     

     


    Tout laisse à penser que la lumière sur les O.V.N.I. ne se fera pas d’un seul coup, mais qu’il faudra au contraire accumuler les observations, peser bien des témoignages et envisager toutes les hypothèses avant de pouvoir établir l’origine de ces engins et le but de leurs missions. C’est dans cette perceptive que je verse au dossier OVNI  un nouveau dossier qui tend à démontrer que nos visiteurs sont réagis par un cycle basé sur l’année terrestre.


    Dans la nuit du 12 août 1972 un groupe de jeunes gens organisent une veillé dans une sorte d’amphithéâtre aux bords de la célèbre Abbaye de TAIZE, près de Mâcon. Soudain un sifflement insolite les fait sursauter. Tous dirigent leurs regards vers le ciel d’où descend ce sifflement et demeurent sans voix : à une distance qu’ils évalueront à 1500 m, un énorme objet illuminé qui peut mesurer plus de cinquante mètres de long se découpe sur la colline voisine où il s’est immobilisé. Sur l’un des côtés dansent des lueurs orangés, puis des faisceaux lumineux jaillissent et semblent se solidifier en balayant le sol. Au bout d’un quart d’heure d’observation, les témoins ont l’impression d’être en présence d’une lumière solide qui transforme les faisceaux en pylônes. Pendant plus de deux heures, ils vont assister à ce spectacle irréel, jusqu’à ce qu’à quatre heures du matin la masse qui stationnait à quelques mètres du sol s’élève en tourbillonnant avant de s’éloigner à une vitesse fulgurante. D’autres témoins, dans la région, remarqueront ce soir-là des phénomènes lumineux tout aussi inexplicables.


    Or, UN AN JOUR POUR JOUR après cette observation, la jeune équipe qui habite le Mâconnais, revient sur les lieux pour une veillée identique. Ils n’osent espérer revoir ce spectacle. Effectivement « la chose » ne se présentera pas sous le même aspect. Toutefois, aussi incroyable que cela puisse paraître, un peu avant minuit, une lueur intense crève le ciel vers l’Ouest. L’objet se déplace à faible allure et sa lumière clignote. Il semble traîner une « queue sombre de dimensions imposantes » et la vitesse est telle que l’un des jeunes gens peut prendre une photo avant que disparaisse le phénomène. A une soixantaine de kilomètres de Taizé, dans l’immense plaine qui borde le Doubs avant son confluent avec la Saône, les spécialistes des OVNI viennent de relever une coïncidence tout aussi troublante que celle qu’ils ont remarquée voici un an dans la région Mâconnaise. En cette nuit du 14 juin 1975, Pascal Trullard roule à travers la plaine vers PIERRE-DE-BRESSE ; Soudain, à la sortie de Fretterans, sont regard est attirée par une clarté insolite. Elle provient d’un globe lumineux : « un soleil » dira t-il, qui semble immobilisé à 3 ou 4 mètres au-dessus d’un champ. Eberlué, Pascal Trulland ralentit. Il sait qu’à cet endroit, situé à quelques dizaines de mètres de sa route, il n’y a ni maison d’habitation, ni chemin.

    Il ne peut donc s’agir ni d’une lumière électrique, ni d’un phare.


    LE MEME SOLEIL QUE LA VEILLE


    De plus, les teintes jaunes et orange pâle de cette mystérieuse source lumineuse sont irréelles. Elles ne peuvent donc émaner qu’un d’un engin inconnu qui n’a pu venir que par la voie céleste. Il est si troublé par son observation qu’il en fait part au pharmacien. Lorsque, quelques instants plus tard il repasse sur les lieux, l’objet insolite a disparu. Pas pour longtemps, semble t-il. En effet dans la nuit du lendemain 15 juin, Régis Trulland, son frère (qu’il a mis au courant de son observation) en rentrant du bal en voiture, aperçoit un « soleil » en tout point identique, immobilisé approximativement au même endroit que 24 heures plus tôt. Tout laisse supposer qu’il s’agit du même engin que la veille. Pourquoi est-il revenu stationner au milieu de cette plaine ? Où s’est-il dissimulé pendant la journée ? Mystère !...

    Une année s’écoule, au cours de laquelle les O.V.N.I. semble avoir déserté cette partie de la vallée du Doubs.


    Si l’aventure vécue par les deux frères Trullard a suscité des vocations de chercheurs d’extraterrestres, les sceptiques prenant à témoins le ciel vide d’engins mystérieux, sont de plus en plus persuadés qu’ils ont été victimes d’une hallucination. Telle n’est pas l’opinion de la famille Château qui habite le bourg de Pierre-de-Bresse, c’est-à-dire à quelques kilomètres des lieux de l’observation du « soleil » de minuit. François et Pierre, les deux fils, se passionnent tant pour les problèmes posés par les O.V.N.I. qu’ils n’ont pas tardé à faire partager leur passion à leurs parents. Leur plus cher désir, bien sûr, serait de pouvoir observer un engin, mais c’est un rêve qui a peu de chances de se réaliser, et pourtant !

    En cette soirée du 18 juin 1975, il est un peu plus de 23 heures quand  Madame Christiane Cartier, une voisine venue bavarder un instant avec les Château, leur souhaite le bonsoir avant de s’éloigner. Au moment où pour rentrer chez elle, elle vient de traverser la cour de la maison, elle lève la tête au ciel et lance, mi-sérieuse, mi-souriante, à son hôtesse qui la raccompagne : « Tiens, un O.V.N.I. ! »


    A son tour Mme Château lève la tête et, à la vue du spectacle qu’elle découvre sous le ciel pur, c’est le plus sérieusement du monde qu’elle alerte ses fils et son mari. Sans trop y croire, ils accourent, tandis que Mme Cartier court chercher son époux chez elle. Tous demeurent un moment figés sur place. Là-haut, à une hauteur difficile à évaluer, mais assez élevée cependant pour que les six observateurs puissent détailler « la chose », une énorme masse compacte de forme triangulaire avance sans le moindre bruit sous les étoiles. Pierre Château qui est mécanicien dans l’aviation civile à Dijon précise. Il m’a suffit de quelques secondes pour m’assurer qu’il ne pouvait s’agir d’un avion, pour de multiples raisons. Tout d’abord, cet engin n’en avait pas la forme et que les accessoires lumineux dont il était muni étaient pour le moins bizarre. Dans la pointe du triangle situé à l’avant deux lumières blanches et oranges clignotaient. Sur le côté du triangle qui constituait l’arrière de l’engin, deux énormes phares étaient allumés. Et ce n’était sûrement pas de phares d’atterrissage puisqu’ils se trouvaient à l’arrière.


    UN SPECTACLE FEERIQUE


    De plus, cette étrange machine glissait le plus silencieusement du monde, du Nord au Sud. Enfin, elle allait beaucoup trop lentement pour que ce soit un avion. Si lentement que Pierre Château a eu le temps d’aller chercher son appareil photo et de revenir pour faire trois photos et que son frère François peut se munir de ses jumelles (que les observateurs se passeront à tour de rôle pour mieux suivre l’O.V.N.I.) Car c’en était un, affirme Mme Château. Les lumières qu’il projetait étaient absolument irréels et le spectacle était si féerique qu’on pouvait en détacher nos yeux. Les témoins estiment qu’ils ont pu observer l’engin pendant plus de cinq longues minutes avant qu’il ne disparaisse vers le Nord, derrière  les maisons du bourg. C’est un spectacle que je n’oublierai jamais, répète Germaine Château. Je ne pouvais soupçonner qu’il existe des couleurs aussi belles. Par malheur, les clichés pris par son fils, n’ont pas permis de conserver une image de ce gigantesque triangle mouvant (gendarmerie oblige !...) Quoi qu’il en soit, ces six témoins n’ont pas la berlue et le mécanicien d’avion qui se trouvait parmi eux n’a pas pu confondre un boeing ou  autre appareil avec un OVNI.

    Il reste à déterminer si le passage en cette région de cet engin un et trois jours près celui qui avait été observé par les frères Trulland n’est qu’une simple coïncidence ?

    Les O.V.N.I. ne seraient-ils pas régis par un cycle ? Après les observations de Taizé, celles de la plaine du Doubs tendraient à le laisser supposer. Car, lorsque les coïncidences se répètent, dans le domaine scientifique ne deviennent-elles pas des lois ?


    UNE EXPLICATION


    Certain O.V.N.I. utilisent pour leurs repérages et leurs réalimentations d’énergies les forces naturelles telluriques de la planète. Une étude approfondie pourrait même faire comprendre la raison de leur passage à certains endroits et pas à d’autres, et souvent plusieurs fois au même emplacement. J’ai moi-même émis une théorie à ce sujet, ceci pourrait bouleverser, et surtout mettre en place une nouvelle façon d’aborder les recherches E.T.


    Quelques sages doivent retrouver le mode d’emploi total de ces puissances fantastiques, mais aussi très dangereuses mis dans des mains de personnes négatives de notre monde.

     

    1972- L'affaire de l'abbaye de Taize


    Sources : Archives Mairie des communes

    Recherches & Contacts humains sur les lieux

    Et famille Château

     

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     EST – CE  BIENTÔT  NOTRE  TOUR ?


    par  Raymond  TERRASSE

     

     

     

    Lettre circulaire à méditer, envoyée par courrier postal, n’ayant plus d’Internet actuellement.


    Les membres de la population terrestre encore conscients, peuvent se rendre compte de deux choses : 1) L’Humanité actuelle court à sa perte avec la dégradation de la mentalité et des mœurs en général, le mal prenant la pas sur le bien, le négatif étant porté aux nues, et le positif jeté aux oubliettes comme une serpillière usagée ayant fait son temps. 2) Que nous ne sommes pas les propriétaires de notre planète, mais simplement des locataires tolérés jusqu’ici. Et comme notre conduite envers notre monde diamanté auréolé de bleu devient de plus en plus en opposition avec le cahier des charges que nous devrions respecter, il semble que nous nous rapprochons dangereusement de notre expulsion.

    Certes, ce ne sont pas des idées nouvelles, car elles ont fait peu à peu surface en contrepartie de l’abaissement de l’évolution spirituelle de l’espèce humaine. Cependant elles ne sont apparentes que pour peu de personnes, et malheureusement pas pour celles qui par leur position dominante seraient à même d’inverser la tendance.

    Mes derniers travaux en cours d’achèvement m’ont amené à élever le débat, et à me poser une question qui n’attendait que cette occasion pour surgir. La réponse à celle-ci, selon son sens, pourrait éclairer d’une lueur nouvelle la disparition des Humanités antérieures, et sonner le glas de la nôtre, qui reconnaissons-le, mériterait un tel sort sans aucune circonstance atténuante. Il suffit de constater le massacre des baleines par les japonais, sous le fallacieux prétexte d’études scientifiques, contournant ainsi le moratoire de sauvegarde, sans que les autres nations interviennent de manière rigoureuse. Ne parlons pas des combats journaliers se déroulant au Congo depuis dix ans, faisant quatre millions de morts, avec la population terrifiée errant dans la nature, et dont personne ne se soucie. Et ce ne sont que deux des multiples preuves de la bassesse des hommes.

     

    L’orthogéométrie ici sur la taverne dans son ensemble, à révélé et démontré l’existence d’un réseau de figures et de lignes droites sur plusieurs niveaux, créé depuis des millénaires par des entités dont nous ignorons tout, mais que nous pouvons, sans risque de nous tromper, écrire qu’elles nous sont nettement supérieures. Elles ont suscité le phénomène OVNI sous deux aspects concomitants : les atterrissages d’engins et les apparitions mariales.


    Afin que nous puissions nous faire à cette certitude que ces êtres travaillent ou s’amusent ( et je crois que pour eux il s’agit d’un jeu ) sur des éons de temps dépassant de loin notre pauvre petite durée de vie humaine, voici un simple exemple ; entre le moment où le cerf a dessiné le plan de l’église dans la neige au mois de juillet sur le mont Anis au Puy en Velay, et les grandes manifestations mariales du vingtième siècle : Fatima, Beauraing, Banneux, L’Ile Bouchard…il s’est écoulé quinze siècles. Et nous ne savons évidemment pas à quel degré ce chiffre est provisoire. Comme les OVNI sont représentés dans des gravures rupestres remontant à 20 ou 30.000 ans, il est évident qu’ils accompagnent l’Humanité depuis une éternité.


    Contrairement à ce que de nombreux et braves catholiques seraient tentés de supposer, la Sainte Vierge, celle que l’on dit être la Mère du Christ, n’est pas toujours représentative de la douceur maternelle. Certaines de ses apparitions se sont faites musclées pour défendre des positions menacées. Sa ronde sur les murailles de l’île de Rhodes en 1480, portant lance et bouclier, faisant fuir les assiégeants turcs, n’évoque que trop bien la déesse grecque, vertueuse mais redoutable guerrière : Athéna. Ce n’est pas sans raison, même si ce paganisme- chrétien peut choquer les puritains. C’est ainsi que les statues de la Vierge Marie tenant l’enfant Jésus, ne sont autres que la résurgence ou la continuité de celles de la Déesse égyptienne Isis et de son fils Horus.


    Les Dieux de l’Antiquité se sont modelés en fonction des peuplades, modifiant leur apparence au gré de leurs besoins et de la nécessité du moment. Il est évident qu’à Rhodes la venue de Marie-Athéna a eu plus d’effet terrifiant sur les turcs que si elle était apparue sous sa forme traditionnelle. Il est à noter que c’est juste après que les assiégés eurent dressé le portrait de la Sainte Vierge sur les murailles, que la déesse a surgi ; comme si elle n’attendait que cet appel, prête à intervenir ! Ce qui suggère une observation permanente des activités humaines.


    Les Dieux anciens ne sont pas morts avec la naissance de la chrétienté, qu’ils ont peut-être créée, mais se sont adaptés à l’évolution de la présente Humanité. Ce sont les véritables Maîtres et propriétaires de notre Globe. Nous ne sommes que leurs serviteurs, leurs adorateurs, et leurs locataires auxquels ils ont accordé un bail d’entretien et d’épanouissement. Mais ce bail est presque mis en lambeaux, lacéré joyeusement et monstrueusement à coups de poignards par cette Humanité sans âme.

    Si nous le déchirons complètement et le jetons à la poubelle, alors le pire est à craindre et à venir !

    J’ai parlé de mes derniers travaux. Je vais les évoquer brièvement, puisqu’ils sont en voie d’achèvement, avant d’aborder la question qu’ils on fait naître. Grosso-modo, on peut classer les apparitions mariales en trois catégories : le prosélytisme religieux, les guérisons et les interventions défensives du type Rhodes, et les demandes expresses de construction de chapelles. Ces dernières causant parfois pas mal de désagréments aux habitants qui ne s’empressaient pas de satisfaire la Noble Dame (paralysie, cécité, la peste continuant ses ravages…). Ne pas obéir aux Dieux peut coûter cher. Ces trois catégories se retrouvent mélangées avec les atterrissages d’OVNI, pour former les différentes trames qui ont été publiées dans les revues Sentinel Ufo News, Atlantis, ou qui sont sur les sites Internet : La Taverne de l’étrange et Radio-OVNI.


    Cependant, par curiosité, j’ai effectué une dernière tentative, en séparant les demandes de chapelles du reste. Il y en a 43 à ma connaissance à travers le monde, depuis le Vème siècle à nos jours. Une quarante-quatrième, l’Ile Bouchard, bien que particulière, joue un rôle majeur ; peut-être justement à cause de sa particularité, puisque la Sainte-Vierge y est apparue dans l’église Saint-Gilles. Incroyable et extraordinaire, les superlatifs manquent, 18 de ces chapelles se trouvent dans la métropole française, soit 41 % ! Qui plus est, quatorze d’entre elles se concentrent dans le sud sur une superficie de 88.000 kilomètres carrés, soit un sixième de l’hexagone. Le reste se répartit dans onze pays, avec dix chapelles pour l’Italie.

     

    Mais ce qui m’a le plus stupéfié, c’est que ces chapelles mariales, tout en étant déjà incluses dans les canevas précédents, forment une caste à part. Elles dessinent une orthogéométrie complexe, où il m’a été impossible d’y introduire les autres, telles La Salette, Paris, Pontmain ou Pellevoisin.

    Pourquoi cette particularité ? Pourquoi cette concentration dans le sud de la France ? Pourquoi notre pays détient-il plus d’un tiers des chapelles mondiales ? Quel est le dessein des Responsables des OVNI en noyant et dissimulant cette géométrie au milieu de la multitude des apparitions mariales ? Est-ce un réseau de protection, contre quoi ? Question plus grave encore : est-ce un geste ultime du parti de la Sainte Vierge et d’une frange des dirigeants enclins à la mansuétude, pour tenter de sauver l’Humanité actuelle ?

     

    Ce qui amène à la grande interrogation évoquée plus haut : l’Humanité qui court apparemment de manière inexorable vers son destin tragique, est-elle condamnée par une autre faction dure des Responsables des OVNI ? Ce qui expliquerait que loin de vouloir attaquer et envahir la Terre, comme beaucoup le craignent encore soixante ans après le début de l’Ere Ufologique Moderne, les Responsables des OVNI, se montrant ouvertement, ont accentué leur contrôle, notamment sur les sites militaires et les missiles nucléaires. Rien n’est encore perdu, bien sûr, mais nous dansons sur le fil de l’épée placée en travers du précipice. Il n’est pas étonnant que notre monde soit un sur dix, c’est à dire un laboratoire où se côtoient différentes races aux milliers de langages, et aux coutumes disparates. Nous sommes sans doute suivis et surveillés pour nous amener à un niveau de conscience supérieure. Si nous réussissons à passer l’épreuve, il n’est pas impossible que nous soyons alors répartis sur d’autres planètes, afin d’y édifier des civilisations indépendantes, avec la force morale acquise sur ce lieu de combats, et en étant les véritables propriétaires cette fois, car libérés du carcan terrestre. Mais pour le moment, l’examen est loin d’être en notre faveur.

     

    On sait que le déluge biblique est une copie de celui décrit dans l’épopée de Gilgamesh, au temps des sumériens. Tel qu’il est présenté, c’est une évocation un peu enfantine de la fin du monde. Des pluies, aussi intenses soient-elles, ne peuvent apporter plus d’eau que les nuages n’en contiennent, puisqu’il s’agit du processus évaporation-condensation. Impossible donc de dépasser le sommet des montagnes.

     

    Toutefois, sous son apparente naïveté, n’est-il pas un rappel de la destruction des anciennes civilisations par ces Dieux, Maîtres de la planète, lassés des turpitudes débridées ?

     

    Mù, la Lémurie, Gondwana, l’Atlantide, tenues pour légendaires, ont-elles atteint un haut degré technique avant de sombrer dans la dépravation, la débauche, la luxure éhontée, l’absence de conscience prenant le dessus ? les Dieux auraient alors condamné et mis à mort ces déchets d’Humanités, avant de redonner une nouvelle chance aux rares survivants, redémarrant leur existence dans des cavernes préhistoriques. Lesquelles disparurent à leur tour, avec la race qui une fois encore avait échoué, avant de laisser la place à la suivante.

     

    Si ces précédentes civilisations ont réellement existé, nous serions peut-être la cinquième sur laquelle les Dieux fondent leurs espoirs, englobant les sumériens, les égyptiens, grecs, romains, jusqu’à nous. Et tout repose sur nos frêles épaules. Cependant, pourquoi des être si supérieurs se donneraient-ils tant de mal pour recommencer à plusieurs reprises l’édification d’une nouvelle Société, et la détruire lorsqu’elle échoue ? Peut-être parce que c’est un défi qu’ils se sont jeté, avec l’espoir de réussir. Il est possible qu’il s’agisse d’un jeu à l’échelle cosmique, une compétition entre eux, avec confrontation, opposition, aide partielle aux hommes, coups de pouce à travers l’Histoire. Mais aussi, accès à la Connaissance retardé ou annulé, et mise en place de force destructrice. A cet égard, on peut considérer que l’avènement de Louis XIV, voulu et orchestré par la Sainte Vierge, amenant la France au sommet des Arts, a été contrebalancé de manière dramatiquement négative par la révolution française, et la naissance de la république.

     

    J’avoue avoir un faible pour cette hypothèse, de par son aspect farfelu, et invraisemblable à nos sens limités de terriens. Mais au niveau des Dieux ?

    Ou encore parce qu’ils en ont reçu mission d’entités nettement supérieures !

    Quelle que soit la véritable solution, nous sommes sans doute plus proches de notre fin que nous l’avons été. Auquel cas, c’est une sixième Humanité qui prendrait la relève, car la patience et la longueur de temps vont parfaitement ensemble…jusqu’à un certain point. Du temps, les Dieux n’en manquent pas.

    Quant à la patience, ils commencent peut-être à la perdre.

    *

    Raymond  TERRASSE , le  04 septembre  2008.

     

     

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