•  

     C’est l’une des plus belles réussites de l’ère spatiale : à cinq ans et sept mois d’intervalle, la comète Tempel 1 a été explorée par deux sondes différentes... Un succès historique, du à la remarquable longévité des robots spatiaux et aussi à la capacité des ingénieurs et scientifiques américains à oser les utiliser pour des missions pour lesquelles ils n’étaient pas conçus..

     Après la sonde Deep Impact, qui avait visité la comète Tempel 1 le 4 juillet 2005, c’est ce 14 février 2011 que la sonde Stardust a croisé à son tour la comète à moins de 180 km de distance et plus de 10 km/s... La comète est désormais bien mieux connue : la moitié de l’astre seulement avait été photographiée par Deep Impact, c’est désormais quasiment la totalité de sa surface qui est scannée et prête à être cartographiée avec précision. Les planétologues américains espéraient aussi retrouver, sur les nouvelles images de Tempel 1, des régions photographiées cinq ans auparavant par Deep Impact. La comète, entre temps, s’étant approchée du Soleil et ayant été chauffée, érodée par son rayonnement, devait révéler des paysages différents... C’est effectivement ce qu’a montré Stardust : la comparaison des images de 2005 et de 2011 révèle de légères différences topographiques : par endroits, des reliefs ont été effacés, ou se sont creusés, les zones les plus actives de la comète, où probablement jaillissent des geysers glacés lorsqu’elle se rapproche du Soleil, ont été érodées d’une vingtaine de mètres ! Mais, globalement, en presque six ans, la comète n’a pas changé d’aspect : les terrains étranges qui dessinent ses paysages, sont les mêmes : zones de cratères très érodés, usés, vallées lisses, sans structures apparentes à l’échelle des images – qui montrent des détails d’une quinzaine de mètres au maximum – rides, collines de quelques dizaines de mètres de hauteur... La comète est un monde miniature, mesurant 7,6 km x 4,9 km seulement. Minuscule et léger : la densité de la comète est inférieure à celle de l’eau (0,6) et sa masse ne dépasse pas 80 milliards de tonnes. On se souvient aussi que la sonde Deep Impact avait lancé sur la comète Tempel 1 un impacteur de 370 kg qui avait provoqué – en apparence – une gigantesque explosion à la surface de l’astre et projeté dans l’espace un immense et éblouissant panache... L’un des objectifs des astronomes américains était donc de trouver, sur la comète, la trace de l’impact, sous l’aspect prévisible d’un profond cratère... Est-ce un clin d’oeil que la comète a voulu faire aux planétologues, pour les punir de leurs méthodes quelque peu cavalières avec elle ? Toujours est-il que les photos de l’impact prises par Stardust ne montrent rien... Rien ou presque : les planétologues américains déclarent apercevoir, dans la zone touchée par l’impacteur, les traces de l’impact, sous l’aspect de vagues traces bien difficiles à interprêter, mais la vérité oblige à dire que ces infimes différences topographiques peuvent tout aussi bien être dues à cinq ans d’érosion naturelle sur la comète...
     
    La sonde Stardust

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  •   L’AURA

    Ce mystérieux halo qui nous entoure…

     

     L'AURA
     
     

    Un spectacle indescriptible ! On voit s’allumer des lumières électriques, puis ce sont des flammes ou des couronnes azurées et orange, de longues traînées violettes, des éclairs aveuglants. Certaines lumières brillent d’un éclat fixe, d’autres se promènent comme des étoiles filantes. On dirait une sorte de jeu fantastique, ensorcelant, mystérieux, un univers de feu !

     

    Ce qui provoque un tel enthousiasme chez l’électrotechnicien russe Sémione Davidovitch Kirlian, c’est la vision de l’aura, ce halo étrange, dû, semble-t-il à une ionisation de l’air, qui entoure tout corps vivant, animal ou végétal, lorsqu’il est placé dans un champ électromagnétique de haute fréquence. Ces lueurs multicolores oscillantes et rayonnantes autour d’un point, comme les feux Saint-Elme, constituent ce qu’on appelle l’effet Kirlian. Ce corps bioplasmatique ne cesse depuis des années d’intriguer tous les savants qui s’y sont intéressés. On a découvert, entre autres choses, que son étude permettait de déceler l’état de santé.

    Mais il apparaît de plus en plus que cette aura est beaucoup plus importante qu’ils ne le croyaient. « J’ai été toute ma vie consciente du fait que les individus possédaient un second corps, un double, affirme Mrs Eileen Garrett, présidente de la Fondation de Parapsychologie de New York (dans les années 70). L’existence du double est un fait acquis dans la philosophie orientale et dans la théosophie qui le décrivent comme un « corps d’énergie », une surface magnétique associée à l’enveloppe charnelle. Ces doctrines en font l’endroit privilégié où les forces du cosmos, du système solaire, des planètes et de notre milieu ambiant viennent se fondre dans l’existence et les croyances de l’individu ».

    Et Eileen Garrett est formelle. Pour elle, c’est cette aura qui constituerait le support de la projection télépathique. Evidemment sa conviction se fondait sur tout un ensemble de fortes présomptions, mais ne pouvait être prouvée scientifiquement. Or, il semble désormais qu’elle était loin de se tromper. En somme, la transmission télépathique ne serait que la rencontre de deux auras. De nouvelles perspectives s’ouvrent également dans un autre domaine, celui de la bilocation et de la projection astrale. Ce que l’on constatait sans pouvoir l’expliquer serait un des nombreux phénomènes dus au déplacement de l’aura dans l’espace.

    Les recherches sont ardues, car si l’on constate scientifiquement l’existence de l’aura, si on peut la faire apparaître à volonté à l’aide d’un équipement approprié, si l’on constate aussi ses effets d’une manière indiscutable, on se perd en conjonctures sur sa nature réelle. Aussi loin que l’on remonte dans l’histoire, on trouve des témoignages de ce que, faute de mieux, on nomme l’aura, mot latin qui signifie « souffle », mais que certains préfèrent appeler corps-énergie, corps astral ou encore corps éthérique. Il est fort possible que l’auréole traditionnelle des saints, telle qu’on la représente dans l’iconographie chrétienne, ne soit autre chose que leur aura, rendue visible à ceux qui vivaient dans leur entourage et transformée en couronne lumineuse par la transmission de bouche à oreille.

    ODEUR DE SAINTETE ET AUREOLE MYSTIQUE

    « Le jour de la Pentecôte, lit-on dans les Actes des Apôtres, ils étaient tous ensemble dans le même lieu quand soudain vint du ciel un bruit semblable à celui d’un coup de vent qui remplit toute la maison où ils étaient assis et ils virent des langues de feu se partager et venir se poser sur chacun d’eux ». Cette scène bien connue, interprétée par les théologiens comme la descente du Saint-Esprit sur les Apôtres, pourrait bien être un effet de la matérialisation de leur aura. Il est admis qu’un état de grande tension spirituelle s’accompagne dans le corps humain de réactions physico-chimiques inhabituelles. C’est ainsi que certains scientifiques expliquent « l’odeur  de sainteté », si souvent constatée.

    La visualisation de l’aura serait un phénomène de même nature. L’auréole n’est pas d’ailleurs spécifiquement chrétienne. Dans presque toutes les religions, on trouve des saints, des mages ou des grands mystiques représentés au centre d’un halo lumineux. Sur les images pieuses, sur les vitraux, dans tous les livres religieux, on représente toujours les saints avec la tête entourée d’un halo lumineux jaune doré. Aux Indes, à Ceylan, au Japon, aussi, les grands hommes sont représentés, la tête entourée de cette brillante auréole. Sur les monuments égyptiens, on voit fréquemment un hiéroglyphe représentant une étoile. C’est la figuration traditionnelle du « Ba », le double spirituel de l’homme qui se détache de son enveloppe charnelle après sa mort.

    « La force vitale n’est pas enfermée dans l’homme, mais elle rayonne autour de lui comme une sphère lumineuse », affirmait le grand Paracelse. Après lui, presque tous les médecins de la Renaissance crurent, sans en voir la preuve, à l’existence de l’aura. Ce mot était employé dans les anciens traités pour désigner une exhalaison qu’on supposait s’élever d’un corps. C’est ainsi qu’on était persuadé que la fécondation résultait de l’action d’une vapeur émanée du sperme à laquelle on donnait le nom d’aura seminalis. Par la suite, de nombreux médecins enseignèrent que l’aura était une vapeur qui, dans les cas d’épilepsie et d’hystérie, semblait monter d’un point quelconque du corps vers la tête et précédait ordinairement la crise.

    On s’est moqué de ces théories lorsque la médecine est devenue une science. Or, à la lueur des découvertes récentes des caractéristiques de l’effet Kirlian, on se rend compte qu’elles étaient beaucoup moins absurdes qu’elles ne le paraissaient. Et il faut bien reconnaître que la vieille conception de cette aura, toute entachée d’erreur qu’elle ait été, est une géniale intuition. Sémione Kirlian n’est pas le premier à avoir étudié scientifiquement l’aura. En 1908, le docteur Walter J. Kilner, praticien de l’hôpital Saint-Thomas de Londres utilisa au cours d’une expérience sur un appareillage électrique une plaque de verre teinté avec de la dicyanine pour éviter d’être aveuglé par les gerbes d’étincelles. C’est alors qu’il aperçut un halo lumineux entourant le corps de son assistant. Aussitôt, il pensa que cette frange lumineuse pouvait bien être l’aura dont parlaient les vieux traités médicaux. Perfectionnant ses filtres, il réussit à obtenir des images nettes qu’il étudia pendant des années avant de publier, en 1920, un ouvrage magistral intitulé L’atmosphère humaine. Pour lui, l’aura devait permettre à tous les médecins d’effectuer des diagnostics beaucoup plus précis qu’avec les techniques habituelles.

    UN NUAGE DE 15 CENTIMETRES

    « Il y a à peine une personne sur dix mille, soutenait-il, qui est consciente du fait qu’elle est entourée, d’un halo intimement lié à son corps, qu’elle soit endormie ou éveillée, qu’il fasse chaud ou froid. Ce halo, invisible généralement, peut pourtant fort bien être vu dans certaines conditions ». L’aura vue par le docteur Kilner à travers ses filtres à la dicyanine apparaissait comme une sorte de nuage épais de quinze à vingt centimètres entourant le corps entièrement et offrant des teintes diverses. Formes et couleurs changeaient d’aspect selon l’état de santé de celui qui était à l’origine de cette émission. Presque  à la même époque, un psychiatre de Munich, le docteur Gerda Walther, étudia elle aussi l’aura et constata comme son homologue britannique le changement de forme et de couleur sous l’effet de la maladie ou même d’un simple changement d’humeur.

    Elle fit aussi d’autres constatations qui semblent faire correspondre l’aura au psychisme. « D’habitude, déclara-t-elle, l’aura se comporte comme une sorte de nuage immatériel lié à l’état de développement spirituel et intellectuel. Ainsi, par exemple, une personne intelligente et ayant une grande vie spirituelle a de fortes chances d’avoir une aura très largement déployée autour de son corps ». Un certain nombre de techniques ont été employées pour visualiser l’aura. Un chercheur britannique de l’université de Cambridge, Oscar Bagnall, influencé par les théories du docteur Kilner, utilisa des lunettes à verres creux remplis d’une solution de goudron. D’autres chercheurs ont essayé, quant à eux, non pas de voir l’aura, mais de la déceler simplement à l’aide d’appareils de mesure du champ électromagnétique. Tous ont constaté l’existence de ce corps éthérique aux propriétés encore peu connues.

    Le grand apport de Sémione Davidovitch Kirlian et de sa femme Valentina, qui l’assista dans ses travaux, est d’avoir réussi à mettre au point un appareillage scientifique capable d’enregistrer l’aura. C’est ce qui leur a permis d’aller beaucoup plus loin dans leurs recherches que les premiers pionniers, comme le docteur Kilner par exemple, qui en étaient réduits à observer l’étrange frange lumineuse à travers des plaques de verre teinté. Pourtant, c’est tout à fait par hasard que Sémione Kirlian a fait sa découverte. Excellent électrotechnicien, il fut un jour convoqué par un chercheur de l’Institut scientifique de Krasnodar pour réparer un appareil électrique. Kirlian fut intrigué par le fonctionnement d’un générateur à haute fréquence utilisé en électrothérapie. Chaque fois que le praticien approchait une électrode de verre du malade, un bref éclat lumineux apparaissait.

    Cette technique de l’électrothérapie, appelée aussi faradisation en hommage au chimiste et physicien anglais Michaël Faraday, est pratiquée depuis le XIXe siècle. Elle agit surtout sur la contractilité musculaire et l’excitation nerveuse, permettant de remédier à certaines paralysies. Il existe d’ailleurs dans le commerce des petits appareils générateurs de courant à haute fréquence servant à stimuler l’organisme, soulager les rhumatismes et rétablir la souplesse des articulations en cas de foulure ou de tout autre accident de ce genre.

    L’APPAREIL DE KIRLIAN

    C’est avec un appareil semblable que Sémione Kirlian tenta tout d’abord de photographier l’éclat lumineux qui l’avait tant surpris. Ce n’alla pas sans mal. En effet, l’électrode de verre voilait continuellement la plaque photographique. Kirlian essaya de la remplacer par une électrode métallique, ce qui lui permit d’avoir enfin des clichés satisfaisants, mais au prix d’atroces brûlures. Enfin, après de longs tâtonnements, il parvint à construire un appareillage aussi parfait que possible lui permettant soit de photographier l’aura, soit même de l’observer directement. Sheila Ostrander et Lynn Schroeder, les meilleurs spécialistes des recherches parapsychiques en U.R.S.S., décrivent ainsi la technique employée par Kirlian : « la photographie des champs électriques haute fréquence nécessite un générateur à étincelles haute fréquence spécialement conçu ou un oscillateur électrique produisant de 75.000 à 200.000 oscillations par seconde.

    On peut relier le générateur à divers appareils : plaques, instruments d’optiques, microscope, microscope électronique, etc. L’objet à étudier (doigt, feuille d’arbre…) est placé entre deux électrodes avec le papier photosensible. On branche le contact et il se crée un champ haute fréquence entre les électrodes reliées au générateur. L’objet projette une sorte de bio-rayonnement sur le papier photosensible. Il n’est donc pas nécessaire d’utiliser un appareil photographique ». Pendant longtemps, la détection et l’enregistrement de l’aura ne pouvaient être faits que par des scientifiques disposant de ce genre d’équipement. Désormais, il existe un appareil portatif, le Vérograph, permettant de visualiser l’aura sans problème.

    Cet appareil, exposé au public pour la première fois en mars 1976, lors de la semaine de l’hypnose d’Avignon, est fabriqué par la firme hollandaise Aura-Electronics B.V. Son fonctionnement est des plus simples : il suffit de poser sur le plateau supérieur faisant fonction d’électrode la partie à étudier, de mettre le contact et de tourner un potentiomètre jusqu’à ce que l’aura apparaisse. Malheureusement, le Vérograph n’est construit qu’en petite série et son usage est réservé aux seuls spécialistes. En effet, étant donné que l’aura renseigne sur l’état de santé et permet de déceler des maladies avant même que les premiers symptômes ne se fassent sentir, les constructeurs ont craint que leur appareil ne soit utilisé par des charlatans prêts à abuser des souffrances d’autrui.

    C’est une attitude louable, mais qui risque, hélas, de freiner les expérimentations. Quoi qu’il en soit, il est pratiquement sûr que l’effet Kirlian va nous permettre sous peu d’élucider le mystère du corps-énergie. Des spécialistes y travaillent d’arrache-pied dans le silence des laboratoires, mais on sait d’ores et déjà, grâce à des indiscrétions, qu’ils sont sur le point de résoudre un problème qui intrigue les savants depuis plusieurs décennies.

    * 

    Source : documents personnels/mai 2009

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  •  3 février 2011

     


    Regardez bien ce reportage du réseau de nouvelles MSNBC sur la crise en Égypte et portez votre regard à 10:27 dans l'écran de gauche, celle où on voit les manifestants...

    vidéo ici : 

    gros de l'anomalie sur Youtube ici 

    Vous devriez voir très clairement un cavalier monté par un espèce de personnage vert translucide.  Revoyez la séquence si l'image ne vous apparait pas au premier regard, elle deviendra évidente à la deuxième écoute.  

    Ce n'est certainement pas une illusion, ni un jeu de lumière, ni le reflet vert fluo d'un feu jaune!  Un trucage, peut-être, une projection holographique, peut-être, un phénomène inexpliqué, peut-être, mais pourquoi pendant un reportage de MSNBC???

    Peu importe, la symbolique du cheval vert n'est pas anodine et pas très éloignée de ce qui se passe en ce moment...

    "Je regardai et je vis un cheval verdâtre. Celui qui le montait avait pour nom «la Mort», et le séjour des morts l'accompagnait. Ils reçurent le pouvoir, sur le quart de la terre, de faire mourir les hommes par l'épée, par la famine, par la peste et par les bêtes sauvages de la terre."  Apocalypse 6

    Je n'ai aucune explication, je suis sans mot...

    *

    source envoyé par Christian provenant du site :

     

     http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/index/p/2011/02/984244

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  •  

     LE SCANDALE DE L’HISTOIRE MODERNE


    Les mensonges continuels à l’égard des élus et du public, tout cela a engendré une psychose de dissimulation permanente, parce que la divulgation provoquerait le plus vaste scandale de l’histoire.


    Par exemple, comment le public réagirait-il s’il savait que la dégradation des écosystèmes et la perte irréversible de milliers d’espèces de plantes et d’animaux en cause, auraient pu être évitées par la diffusion d’une information honnête dans les années 50 ? Quelle serait la réaction de la société si l’on savait que des milliards de milliards de dollars ont été dépensés au fil des ans pour des projets non autorisés, et anticonstitutionnels ?


    Et si l’on savait que l’argent du contribuable ( en France aussi ) a été affecté par des consortiums à la mise au point, dans le secret, de technologie dérivées de l’étude des objets extraterrestres tombés sur terre, puis brevetées et exploitées à grands profit ? Non seulement le contribuable a été dépossédé par la ruse, mais en plus il doit payer pour utiliser des progrès technique dont il a déjà financé les recherches à son insu. Notons également en passant qu’il y eu vol de propriété intellectuelle à l’égard de nos visiteurs de l’espace. Les industries n’ont pas seulement profité de la rétention de technologies dans les domaines de l’énergie et des transports, mais elles récoltent un don providentiel grâce aux progrès de l’électronique, de la miniaturisation et de leurs retombées.

    Tout cela constitue un vol d’argent et de technologie qui devrait appartenir au domaine public, le contribuable ayant payé déjà pour cela. Ce n’est pas tout. Que diraient les gens s’ils savaient que les programmes d’exploration spatiale monstrueusement coûteux utilisant des fusées, sont des expériences primitives et inutiles, puisque des technologies et des moyens de propulsion infiniment plus avancés étaient déjà disponible avant même que nous n’allions sur la Lune ?


    La NASA et la plupart des compagnies associées sont autant victimes du secret que le gouvernement et le public. Une toute petite fraction cloisonnée au sein de la NASA est seule au courant des technologies extraterrestres qui se cachent derrière certains projets. M. Chantelain qui a travaillé à la NASA, a été, lui aussi, victime du secret, car tout accès à des informations sur les technologies de pointe lui a été refusé, il a dû, comme tout le monde, se contenter de l’ancienne physique et des propulseurs à combustion périmés. Quelle honte ! Notre destinée a été prise en otage pendant cinquante années. Si le coup d’Etat discret perpétré au début des années 50 était révélé maintenant, cela provoquerait un séisme social sans précèdent.


    LE PIRE N’A PAS ETE DIT


    Tout ce qui vient d’être décrit est secondaire face à un autre problème ; le groupe occulte qui dirige tout ces programmes secrets issus des O.V.N.I. a aussi la main mise exclusive sur la relation naissante entre les Extraterrestres et les humains. Et cette relation a été tragiquement mal conduite, au point de nous mener au bord d’une catastrophe majeure mondiale. Que se passe-t-il lorsqu’un groupe non élu, non mandaté, auto désigné et à dominante militaire s’occupe seul du rapport entre humains et e E.T. Pareil groupe n’a du monde qu’une conception bornée et univoque. Dans cet environnement, des décisions extrêmement dangereuses peuvent être prises sans réplique, sans débat, sans perspective ni vision ouverte. Nous savons que, dans le secret total des militaires, des actes excessivement dangereux ont été commis à l’égard de certaines races d’Extraterrestres. Nous tenons de nombreuses sources internes que des technologies avancées ont été utilisées pour cibler et détruire des OVNI. Si seulement 10 pour cent de cela est vrai, nous sommes  de, en présence d’une crise diplomatique et sociale globale qui échappe totalement à notre contrôle et constitue une menace pour la planète entière. Quel que soient les intentions  de ce puissant groupe, il est urgent qu’il apparaisse au grand jour et que les hommes d’Etat du monde puissent intervenir sur cette situation. (Seul, JOHN KENNEDY a voulu rendre public le contact avec les extraterrestres, nous avons vu le résultat.)


    Bien que nous n’avons aucune raison de croire que les êtres de l’espace sont hostiles à notre égard, il est pourtant clair qu’ils ne tolèrent pas qu’on les agresse ; l’autodéfense est probablement un réflexe universel, ils ont jusqu’ici témoigné d’une grande patience, mais si les technologies développées en secret par les hommes arrivent à égalité avec les leurs et qu’ils se sentent menacés, un point critique pourrait être atteint ; cette perspective devrait nous faire réfléchir.


    LA DIVULGATION, UNE QUESTION DE SURVIE


    Pour faire face à pareil problème, il faudrait des hommes valables à la tête des Etats.

    Mais si on les maintient à l’écart et que l’affaire demeure dans l’ombre, notre sort est entre les mains de la poignée d’irresponsables qui décident à notre place.

    Cela doit changer, et vite. Les motivations du secret sont claires ; pouvoir MONDIAL, contrôle économique et technologique, gel de la situation géopolitique, peur du scandale et la mise à nu du comportement de certains, etc. Mais même si divulguer l’affaire OVNI /ET est de nature à provoquer un chambardement radical de toutes les facettes de la vie sur Terre, et je ne préfère pas parler des religions, et du Vatican évidemment. Une relation qui pourrait être prometteuse entre l’humanité et des aliénes se trouve confisquée par des militaires aux vues biaisées et aux programmes secrets dangereux. Après cinquante années de cet abus, il ne nous reste plus beaucoup de temps  avant que ne s’effondrent  les écosystèmes de la planète.

    Il n’y a pas de choix facile, mais, il faut nous aider à faire le bon choix.


    DISQUE ABATTU A HUNTER LIGGETT


    Nous avons demandé à un grand spécialiste Henry Deacon, un complément d’information sur l’ovni abattu à Hunter Liggett, en Californie fin 72 ou début 73. Son équipe essayait des armes à laser expérimentales sur diverses cibles dans la campagne. Soudain, un vaisseau de forme discoïdale, d’environ 30 m de diamètre et 8m d’épaisseur fit son apparition à quelques 135 à 180 m de distance. Quelqu’un tira dessus avec le laser expérimental de l’US Air Force qui était monté à l’arrière d’un camion M-35 de 2,5 tonnes. Henry ne se souvient pas avoir constaté des dégâts visibles sur le vaisseau, mais celui-ci s’avéra tout de même hors d’usage.

    Trois personnages de petite taille (qui n’étaient pas des Gris) en sortis sains et saufs, ont été capturés puis transférés à une base Niken (NdT : missiles) dans les collines près de Tilden Park, à l’est de Kensington, en Californie. Tout cela s’est passé très vite et à la grande stupéfaction générale.

     

    ECOUTES TELEPHONIQUES


    Henry nous a avertis de l’existence de technologies avancées d’écoute de conversations, même à l’extérieur. Selon lui, des lasers satellisés  sont même capables de détecter les vibrations des vêtements d’une personne. On sait qu’un processus élémentaires déjà ancien permet de capter les vibrations imprimées à une vitre par une conversation ayant lieu derrière celle-ci. Il faut prendre conscience qu’il n’est plus nécessaire de placer des puces d’écoute à l’intérieur des habitations. Les téléphones cellulaires  peuvent être activés pour relayer la parole, même lorsqu’ils sont éteints ; la seule parade consiste à ôter la batterie. Nos conversations peuvent être entendues pratiquement partout, n’importe quand, selon le bon vouloir des agences de renseignements.


    CONCERNANT LE 11 SEPTEMBRE


    Henry nous a également révélé qu’il avait su longtemps à l’avance que quelque chose se préparait, et que sur son lieu de travail lui et ses collègues avaient reçu quelques heures avant l’événement des instructions détaillées. Ce qui l’avait choqué à ce moment-là, c’est le ton très discret du message en question, mais aussi l’apparente absence de réaction chez la plupart de ses confrères. Le but était de leur éviter de s’inquiéter lorsqu’ils apprendraient la nouvelle par les médias : «  Lorsque vous entendrez cela à la radio plus tard dans la journée, ne paniquez pas, c’était prévu » .Cinq ans après l’événement, Henry est probablement le premier initié qui apporte la confirmation que le 11/9 était planifié de l’intérieur.


    Voici quelques-unes de ses affirmations : les avions qui ont percuté les tours étaient téléguidés (se substituant aux pilotes grâces à des modifications apportées au logiciel de pilotage automatique, autorisant des virages serrés normalement impossible car dépassant les limites programmées). La commande à distance se trouvait à des milliers de kilomètres des avions ; l’avion qui a percuté le Pentagone était un petit jet de la marine, également téléguidé.

    La manœuvre eut été impossible pour un Boeing 757 parce que l’effet aérodynamique du sol l’aurait empêché d’approcher aussi bas à pleine vitesse, il aurait dû ralentir comme pour une prise de terrain ; les appels par téléphones portables étaient des faux. Osama Ben Laden n’avait rien à voir dans l’affaire, sauf qu’il constituait un atout pour le gouvernement.

    Henry pense aussi qu’il y a eu perte de contrôle du vol 93, écrasé ou abattu au-dessus de la Pennsylvanie, et que cette phase du programme a échoué. Un autre bâtiment en était la cible, mais il ignore lequel, il ignore également ce qu’il est advenu des passagers du vol 77 censé percuté le Pentagone. C’est là tout ce qu’il nous a dit savoir sur cette affaire.

    Je n’ose penser à la véritable raison de cette attaque, mais il y a une relation directe, avec la guerre en Irak.


    La population de la Terre est véritablement prise en otage par un groupe de personnes, (LE NOUVEL ORDRE MONDIAL), et qui échappe au Chefs d’Etats du monde.


    *

    Source Extrait des confidences de Steven M. Greer, MD docteur en médecine, fondateur et directeur du Disclosure Projet (Projet Divulgation). En mai 2001, il présida la conférence de

    Presse du projet Divulgation pour le National Press Club de Washington, DC. Plus de vingt personnalités bien informées.

    Extrait :Projet CAMELOT de Henry Deacon

     

     


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