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    LES O.V.N.I. PEUVENT ÊTRE DANGEREUX

     

    L’EXPERIENCE PROUVE QU’IL VAUT MIEUX NE PAS LES APPROCHER DE TROP PRES.

     

     

    Ne pas trop s’approcher des O.V.N.I. (Mon avis personnel est que les pilotes de ces engins, savent parfaitement que leur mode de propulsion est dangereux pour les humains), même s’il paraît facile de le faire et malgré notre intense curiosité, notre souci d’en savoir davantage. C’est le conseil que nous avons formulé et répété. Car il y a un danger physique à trop s’enhardir, comme le prouvent les divers exemples que je présente ici.

     

     

    Le 9 août 1962, en Floride, un chef scout aperçut un objet étrange qui venait de « tomber » dans un buisson et s’approcha. Il distingua un engin métallique d’où jaillit « quelque chose de brillant ». Il perçut comme une décharge électrique et souffrit, ensuite, de légères brûlures.

    Plus grave fut le cas de l’Argentin Douglas, chauffeur routier de son état, qui dans la nuit du 17 au 18 avril 1963, alors qu’il circulait en pleine campagne dans la région de Cordoba, fut ébloui par une vive lumière et ressentit quelques brûlures au visage. Il stoppa, mit pied à terre et se trouva en présence de trois êtres étranges qui semblaient l’attendre. Pris de panique, il tira son pistolet et ouvrit le feu dans leur direction, sans d’ailleurs, les atteindre. Mais les « intrus » réintégrèrent aussitôt leurs engins stationnés près de là. L’appareil survola plusieurs fois Douglas qui fut atteints d’autres brûlures. Le malheureux chercha du secours. Il subit  un examen médical et les praticiens parlèrent de « curieuses lésions » qu’ils ne savaient expliquer, les brûlures semblaient devenir lumineuses dans la nuit.

     

    En 1968, quatre Américains qui avaient eu des contacts avec des O.V.N.I. furent atteints de malaises divers en même temps que de troubles psychiques. Le Dr Berthold Erich Schwartz, psychiatre de l’état de New Jesey, publia, sur leur cas, une étude dans la revue « Medical Times ». Il parlait de cécité temporaire, d’affaiblissement et de troubles respiratoires.

    Le 31 décembre 1973, Mr Liefoog observa trois objets lumineux. Il rentre chez lui, les yeux larmoyant et les paupières cerclées de rouge, soit les symptômes ordinaires de la conjonctivite. Bien des témoignages, en somme, citent les mêmes désagréments : brûlures, troubles de la vue, ennuies respiratoires, affaiblissement, perte de mémoire. Henry Durant, a classé les réactions physiologiques signalées en deux catégories.

     

    Première catégorie : Paralysie instantanées, sensation  de chaleur, brûlure par proximité ou contact, sensation de décharge électrique, transpiration postérieure à l’observation, desquamation, prostration, somnolence plus ou moins prononcée, impression d’une compression du crâne, migraine, simple stupéfaction, crise d’hystérie, cécité plus ou moins prolongée à la suite d’observation rapprochée, brûlure aux yeux par radiation, sensation de picotement sur la peau, de choc électrique, de chair de poule, cheveux hérissées.

    Deuxième catégorie : Paralysie plus ou moins prolongée après avoir été touché par un rayon, brûlure plus ou moins grave par rayon, brûlure par projection d’un corps ou d’un élément incandescent de nature indéterminée, affaiblissement de l’ouïe après contact d’un rayon, cécité partielle ou totale, momentanée ou définitive, malaises plus ou moins prolongés, avec ou sans vomissements, perte de poids, somnolences léthargies.

    Paralysies partielles : Les cas cités ci-dessus ne comportent  pas la notion d’agression, infligés. Il en est d’autres qui parent de rayons délibérément orientés vers le témoin et qui lui causent des paralysies partielles de durée variable, accompagnées ou non d’autres dommages mineurs ou graves ?

     

    Le 10 septembre 1954, Marius Dewilde observa un grand engin sur les rails de la voie ferrée près de laquelle sa maison est construite. Deux êtres qu’on aurait pu prendre pour des humains d’assez petite taille marchaient alentour. Marius Dewilde s’avança. Un faisceau aveuglant de lumière aveuglant de lumière blanche sortit alors de « l’objet » et l’atteignit, un peu à la manière d’un projecteur. Notre homme fut étourdi et paralysé un certain temps. Quelques années avant sa mort, j’ai rencontré Mr Dewilde qui  m’a confirmé ces événements.

    Le 1er juillet 1965, à Valensole, en Haute Provence, Maurice Masse observa un étrange engin posé dans  son champ et près duquel se tenaient également deux petits êtres. L’une de ces créatures sortit un objet d’un étui et dirigea un rayon vers « l’intrus », lequel fut immédiatement paralysé et le resta jusqu’au départ des visiteurs et de leur mystérieuse machine volante. Ils existent donc bel et bien, ces fameux rayons, tout comme dans les films de science-fiction. Mais ce n’est pas tout : il y en a toute une variété, toute une gamme, et chaque modèle n’a pas les mêmes effets. La « Société d’investigation Scientifique dans l’inconnu » a effectué une étude minutieuse et détaillée sur les effets physiologiques provoqués par les O.V.N.I. et publié ses premières conclusions dans la revue « Inforespace »

    Ce travail classe les rayons en cinq catégories bien définies.

     

    Les rayons blancs : Ils provoquent des troublent de vue, des nausées, des pertes de poids, des brûlures légères, des amnésies et des états d’hypnose (pour le chercheur l’aspect amnésie est assurément le plus regrettable puisqu’il rend suspects, par définition, les récits et témoignage).

    Les rayons bleus ou violets : Ils sont responsables de pertes de poids, d’états d’hypnose, de douleurs dans les membres, des paralysies, de taches jaunes ou bleues sur tout le corps. Et, cette fois encore, d’amnésies partielles.

    Les rayons rouges : Ils occasionnent des troubles de la vue, des états d’hypnose, des douleurs dans la tête et les riens, des brûlures au premier et au deuxième degré.

    Les rayons orangés : Ils sont facteurs de paralysies et d’éruptions cutanées (érythème).

    Les rayons verts : Ils sont, de loin, les plus nocifs, les plus redoutables. Ils provoquent des douleurs généralisées, des pertes de poids, des apparitions de taches sur le corps, des nausées, des brûlures graves et, parfois, même la, mort par leucémie ou aphasie médullaire, c’est-à-dire destruction des cellules souches sanguines. Oui, il faut en être conscient, ces mystérieux phénomènes peuvent provoquer mort d’homme. Le cas le plus affligeant que l’on ait eu à déplorer et que l’on connaisse avec le plus de détails est intervenu au Brésil voici quelques années. La victime fut un bûcheron. Et voici comment sa femme a rapporté le dramatique événement : Nous rentrions chez nous. Une grande machine ronde était posée devant notre maison et trois petits « hommes » étaient près  d’elle. Mon mari leur cria de partir. Comme ils n’en faisaient rien, il prit son fusil et tira sur l’un d’eux qui tomba. Les deux autres l’emportèrent à l’intérieur de la machine et celle-ci s’éleva de quelques mètres. Il en sortit, alors, un trait lumineux qui toucha l’épaule gauche de son mari et le blessa grièvement. Si grièvement, en vérité, qu’il fallut de toute urgence transporter le malheureux à l’hôpital. Il mourut trois jours plus tard sans que l’on ait décelé la nature précise de son mal.

    L’autopsie fut pratiquée. Elle révéla qu’un grand nombre de cellules avaient été touchée par un rayon. Une hyper leucémie s’était ensuite déclarée et très rapidement propagée, assez comparable à celle que peut provoquer une puissance irradiation radioactive.

     

    Prudence, donc, je ne cesserais de répéter en présence des visiteurs de l’espace. Et pas d’agressivité, surtout. Les « petits êtres » ont surabondamment prouvé qu’ils avaient de quoi se défendre ou riposter. Vienne le jour où s’établira un code intersidéral de bonnes manières, où l’on connaîtra par tout l’Univers les gestes de l’intention pacifique, voir de l’amitié ! Que tout nos ufologues de 2009 pensent plus sérieusement à ce problème cela permettrait d’avancer plus rapidement dans cette recherche.

     

    CLAUDE BURKEL pour la taverne - 17 avril 2010

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    LE SORT TRAGIQUE DES LOUPS-GAROUS

    Malades mentaux, drogués ou possédés par le diable ?

     

    « C’était un jeune garçon âgé, les yeux hagards, enfoncés et noirs. Il avait les dents fort longues, claires, larges plus que le commun, les ongles aussi longs, certains noirs depuis la racine jusqu’au bout et on eût dit qu’ils étaient à demi-usés et plus enfoncés que les autres… » Ce portrait peu engageant, c’est celui que les chroniqueurs firent, au XVIe siècle, d’un certain Jean Grenier arrêté au terme d’une longue poursuite, jugé et condamné comme… loup-garou !


    « Ce qui montre clairement qu’il a fait le métier de loup-garou, continue, en effet, le rapport de police sur Jean Grenier, et comme il usait de ses mains et pour courir et pour prendre les enfants et les chiens à la gorge, il avait une merveilleuse aptitude à aller à quatre pattes. Il me confessa, aussi, qu’il avait inclinaison à manger de la chair des petits enfants, parmi lesquels les petites filles lui étaient en délices parce qu’elles sont plus tendres. »

    Ces êtres, mi-homme mi-bêtes ont toujours fasciné les populations. Le premier cas de loup-garou est, en réalité, un cas de bœuf-garou. Il s’agit, en effet, du roi de Babylonne Nabuchodonosor II transformé par le diable en bœuf et qui allait brouter l’herbe autour de son palais. Mais c’est à un roi de la mythologie, Lycaon, souverain d’Arcadie, que l’on doit le nom savant donné au phénomène de la lycanthropie. Lycaon aurait, en effet, été transformé en loup pour avoir osé offrir un sacrifice humain à Jupiter. Pourtant, c’est au Moyen Age que la lycanthropie connut vraiment son apogée. A l’époque où l’on poursuivait dans les campagnes les sorciers, les magiciennes et autres jeteurs de sort. Les peuples primitifs ont toujours voué un culte à l’animal et ont essayé d’acquérir ses pouvoirs. Avant de partir à la chasse les Indiens chantent :

    « Je suis un vrai loup, un vrai daim, un vrai renard et un véritable opposum ».

    Pour hâter la transformation ils hurlent longuement comme le loup, glapissent comme le renard et grattent la terre de leurs prétendues pattes. Les sorciers, plus tard, firent de même pour épouvanter leurs semblables et les subjuguer par leurs pouvoirs. Comment devenait-on loup-garou ? Avec l’aide du diable, bien sûr. Mais aussi grâce à quelques « trucs ». La plus simple était de se couvrir de la peau de l’animal et de poser son masque sur le visage. Mais, parfois, une simple ceinture faite de sa fourrure suffisait. On pouvait, aussi, boire l’eau laissée dans l’empreinte de l’animal sur le sol. Ou, encore, comme pour se rendre au sabbat, s’enduire d’un onguent fait de chair de l’animal mêlée à des herbes et des racines mystérieuses dont celle de la belladonne. En y ajoutant force incantations, naturellement ! Et pour revenir à une forme humaine ? Parfois il suffisait d’enlever la peau de l’animal. Mais on pouvait aussi se plonger dans l’eau, se rouler dans la rosée des prés, brouter un buisson de roses, être appelé soudain par son nom de baptême, recevoir trois coups de couteau au front ou perdre trois gouttes de sang. Le drame c’était lorsque le retour à l’état humain dépendait d’une tierce personne. Car il suffisait alors qu’elle disparaisse ou soit tuée pour que le loup-garou erre éternellement sous la forme de la bête.

    A quoi reconnaissait-on un loup-garou d’un vulgaire loup ? A ses yeux, tout d’abord. Si l’homme prenait, en effet, l’apparence de l’animal, ses yeux restaient ceux d’un être humain. On prétend aussi qu’il n’avait pas de queue. Enfin quand ils dévoraient une proie les loups-garous se gardaient toujours- par un reste de terreur religieuse sans doute- de manger la tête ou le côté droit de leur victime, celui qui est marqué du signe de la croix. Si un loup-garou était blessé au cours de ses folles escapades on retrouvait sur l’homme la trace de ces blessures, une fois qu’il avait repris son apparence naturelle. C’est ainsi, bien souvent, qu’on le découvrait. Comme le prouve cette aventure survenue à un gentilhomme d’Auvergne.

    Celui-ci rencontra, un jour, un de ses amis de retour de la chasse. Il l’invita à prendre une collation en son château et à lui raconter son expédition. Le chasseur ne se fit pas prier et raconta comment il avait affronté un énorme loup. Il l’avait tiré, manqué mais en se battant au corps à corps avec lui, il avait fini par le mettre en fuite en lui coupant une patte. Le chasseur, ouvrant sa besace, s’apprêtait à montrer à son hôte sa prise, lorsque, à sa grande surprise, il retira de son sac… une main de femme couverte de bagues ! Le visage de son interlocuteur devint livide, il contempla la main humaine, puis se précipita vers les appartements de son épouse. Il la découvrit se chauffant au coin de la cheminée, les mains dissimulées dans un ample manteau. Il lui saisit le bras, pris d’un affreux doute, et découvrit le poignet sectionné de la jeune femme. Convaincue de sorcellerie et de lycanthropie, la noble dame fut brûlée quelques semaines plus tard, sur la grande place de Riom. Tel était, en effet, toujours le sort des loups-garous : la roue ou le bûcher. Tant ils inspiraient de peur aux villageois. D’ailleurs dès qu’un loup-garou était signalé on organisait dans les villages d’incroyables battues auxquelles tout le monde participait.

    Mais les paysans croyaient-ils vraiment à la réalité de la transformation ?

    De grands esprits comme Paracelse et des juges réputés, comme le grand chasseur de sorcières Jean Bodin, en étaient intimement persuadés.

    « Si nous confessons, écrivait Bodin, que les hommes ont bien la puissance de faire porter des roses à un cerisier, des pommes à un chou et changer le fer en acier et la forme d’argent en or et faire mille sortes de pierres artificielles qui concurrencent les pierres naturelles, doit-on trouver étrange si Satan change la figure d’un corps en l’autres. »

    En revanche, beaucoup d’autres savants ou pères de l’église comme saint Jérôme ou saint Thomas estimaient qu’il n’y avait pas transformation réelle, mais simplement hallucination de la part du sujet, une hallucination telle qu’elle pouvait se communiquer aux assistants. Comme les sorcières qui croyaient se rendre au sabbat alors qu’en fait elles étaient seulement endormies sous l’action de drogues hallucinogènes, les loups-garous croyaient, se transformer en animaux, tout en restant simplement endormis. Ainsi une femme qui se vantait d’être un loup-garou parut devant les juges. Devant eux elle s’enduisit d’un onguent mystérieux et tomba dans un sommeil profond. Trois heures plus tard elle se réveilla et prétendit avoir dévoré une brebis et une vache près d’un petit village voisin. On s’y rendit… et tout ce qu’elle avait décrit était parfaitement exact. Alors qui croire ? L’explication c’est peut-être Eliphas Levi, l’un des maîtres de l’occultisme qui la donne :

    « Un loup-garou, dit-il, n’est autre chose que le corps sidéral d’un homme dont le loup représente les instincts sauvages et sanguinaires et qui, pendant que son fantôme se promène ainsi dans la campagne, dort paisiblement dans son lit et rêve qu’il est un véritable loup… les coups portés aux loups-garous blessent réellement la personne endormie par congestion sympathique de la lumière astrale, par correspondance du corps immatériel avec le corps matériel. »

    C’est peut-être, en effet, l’explication. En tout cas si chez les peuples primitifs les hommes-tigres, les hommes-loutres, les hommes-renards continuent d’être révérés à l’égal des sorciers, chez nous les loups-garous ne sont plus traités comme des criminels mais comme des malades qu’il faut d’abord soigner.

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    Source : recherches et données personnelles.

     

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