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    Steven Spielberg est-il un initié ?

    La série télé Taken ( Disparitions ) produite par Steven Spielberg a reçu en 2003 l’Emmy Award de la meilleure mini-série. Mais certains s’interrogent : le cinéaste de génie utilise-t-il ses films pour faire passer des informations sur les ovnis auprès du public.

     

    *** Disparitions, la série ***

     

    Steven Spielberg affiche depuis longtemps son intérêt pour la S.F ( A.I, Minority Report ) et pour l’ufologie ( Rencontre du IIIème Type et E.T ). Après le succès d’une autre mini-série qu’il avait produite Band of Brothers ( frères d’armes ), il revient donc au petit écran pour produire une saga sur les enlèvements extraterrestres ( d’où le titre original Taken, qui signifie « enlevés » ) et sur le complot gouvernemental destiné à dissimuler la présence d’aliens sur Terre. Le format de la série ( 15h, soit 10 fois 90mn ) est ici parfaitement adapté au développement des personnages et à l’exposition détaillée de divers thèmes de l’ufologie. L’intrigue met en scène la vie de trois familles, les Crawford, les Clarke et les Keys, chacune étant mêlée de près aux évènements, ce qui permet de jouer sur plusieurs registres, drame humain, chronique familiale ou réflexion sur la quête du sens de la vie. Le défi était de taille car la télé avait déjà donné le jour à plusieurs séries sur le même thème, telles Les Envahisseurs, précurseurs en la matière, Dark Skies, ou bien sûr X-Files.

    En regard, la série Disparitions ne déçoit pas, bien au contraire. Bref, une oeuvre envoûtante et énigmatique.

     

    Steven Spielberg est-il un initié ?

     

    A la différence de Rencontre du IIIème type où il était scénariste et réalisateur, Spielberg n’est ici que producteur exécutif, mais personne n’est dupe. Ce projet est le sien : il en a suivi de très près toute la confection, ainsi que le rappellent les principaux responsables de la production et du tournage. Le travail d’auteur de Leslie Bohem a beau être impressionnant, son scénario a la « touche » Spielberg, philosophique et humaine. Disparitions repose sur quelques-uns des piliers du phénomène ovni, à commencer par le thème central de la série, les enlèvements répétés d’humains. Autres éléments du scénario, les foo-fighters vus par les aviateurs alliés au-dessus de l’Allemagne, l’Affaire Roswell, la base secrète de la Zone 51 dans le Nevada, la dissimulation des preuves de l’existence des ovnis par les autorités américaines et l’aspect physique des aliens, très proche des fameux « Gris » avec leur grosse tête, leurs grands yeux et leur corps fluet. Mais ces éléments subissent une distorsion, plus ou moins importante, par rapport aux « canons » de l’ufologie.

     

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    *** Soucoupes volantes et foo-fighters ***

     

    Les foo-fighters sont des sortes de disques lumineux se déplaçant avec une incroyable aisance, apparus en 1943 parmi les vagues de bombardiers alliés au-dessus de l’Allemagne. Un temps, on crut à une arme secrète allemande, mais les investigations d’après-guerre démentirent cette hypothèse. L’une des caractéristiques des foo-fighters était de ne circuler qu’un moment entre les avions puis de disparaître, sans intervenir en rien dans les combats entre bombardiers alliés et la DCA et intercepteurs allemands. Le scénario de la série Disparitions fait participer les foo-fighters à un combat pour « enlever » l ‘équipage d’un bombardier, dans le cadre d’une nouvelle expérience génétique.

     

    *** Encore du nouveau à Roswell ! ***

     

    L’affaire de Roswell, elle, est adaptée par une astuce : la soucoupe s’est écrasée au sol après avoir heurté un ballon Mogul, présenté aujourd’hui comme l’origine réelle des débris mystérieux retrouvés par le major Marcel sur les terres du fermier Mac Brazel début juillet 1947 ! Un tour de passe-passe astucieux, drôle au deuxième degré à défaut d’être crédible, qui devrait réconcilier un instant les sceptiques séduits par les explications de l’US Air Force et les tenants les plus endurcis du crash extraterrestre. La série évoque les deux sites présumés du crash, l’un, couvert de débris, au ranch de Mac Brazel, l’autre abritant la soucoupe volante écrasée. La « mythologie » de Roswell veut que des cadavres d’aliens aient été retrouvés, mais aussi un survivant, maintenu quelque temps en vie. Disparitions y ajoute encore un autre alien, échappé celui-là, qui est bien sûr un élément déterminant du scénario.

     

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    *** Unité secrète et zone fantôme ***

     

    Quant au complot des autorités occultant Roswell et les soucoupes volantes, le scénario le minimise, mais ne l’élimine pas. De complot d’Etat, il devient machination du diabolique colonel Crawford, chef d’une unité spéciale secrète. Hélas pour lui, impossible de rien faire fonctionner dans la soucoupe, où l’on n’arrive même pas à déterminer l’emplacement du système de propulsion ! Voilà qui rejoint la conviction de certains partisans de la capture d’un ovni accidenté à Roswell, pour qui la conspiration vise surtout à cacher que personne ne sait même brancher l’allume-cigare. Un seul endroit, bien sûr, où cacher la soucoupe de Roswell : la Zone 51… Base ultra-secrète du Nevada, associée depuis un demi-siècle à la mise au point des avions futuristes de la CIA et de l’US Air Force, son existence n’a été officiellement reconnue qu’il y a peu, quoique assiégée, depuis vingt ans, par tous ceux qui pensaient qu’on essayait d’y faire fonctionner des ovnis capturés. Disparitions ne peut qu’intégrer ce haut-lieu du secret militaire à son scénario, mais l’évoque plutôt brièvement.

     

    *** Qui veut croire aux « contactés » ? ***

     

    Les « contactés » sont des gens affirmant être en contact régulier avec des « grands frères de l’espace » bienveillants venus, en général, expliquer aux Terriens qu’ils courent au suicide avec les armes nucléaires. Très médiatiques dans les années 1950, les contactés attirent vite l’attention des services de renseignements américains, surtout le plus célèbre d’entre eux, George Adamski, car leur discours pacifiste peut cacher de la propagande communiste. De leur côté, la plupart des ufologues voient en Adamski et ses confrères une bande d’illuminés, voire d’escrocs, soucieux avant tout de vendre leurs livres et leurs conférences. On note enfin, dans Disparitions, des allusions à des affaires célèbres : l’enlèvement « historique » de Betty et Barney Hill, le cas Cash-Landrum avec l’héliportage nocturne de la soucoupe hors de la Zone 51. Et la maison des Clarke, où tout se termine, se trouve à Lubbock, Texas, théâtre d’une célèbre apparition d’ovnis en 1951. Sans oublier les célèbres crop-circles, utilisés de manière vicieuse par les ennemis du colonel Crawford pour détruire sa crédibilité…

     

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    *** Les aliens ne sont plus ce qu’ils étaient… ***

     

    Le changement de l’approche scientifique des ovnis depuis 1947 est mis en lumière par un ancien savant allemand aux méthodes peu orthodoxes, à qui succède un scientifique moderne très brillant, un peu disjoncté et décalé. Dans Rencontre du III ème Type, la « magie » était du côté des aliens ; vingt-cinq ans plus tard, la science humaine a commencé à rétablir un peu l‘équilibre, et les extraterrestres ont perdu de leur angélisme. Ceci correspond assez à l’impression générale du public, et cette nouvelle incursion de Spielberg dans l’ufologie accompagne ce changement de point de vue. La médiatisation des histoires d’enlèvements est passée par là…

     

    *** Enlèvements pour une bonne cause ? ***

     

    A propos des enlèvements, le scénario puise dans la théorie classique selon laquelle les victimes sont choisies par les aliens à des fins d’expérimentation génétique, subissent des enlèvements à répétition durant leur vie, et sont « marquées » par un implant dissimulé dans leur corps. Mais il laisse entendre que les aliens agissent pour se réapproprier des facultés perdues, comme la compassion, redécouvertes chez les humains. On s’éloigne ici de l’idée d’une infiltration hostile, pour se rapprocher de la vision spielbergienne d’un enrichissement mutuel, vision incarnée dans Disparitions par la petite Allie Keys, réceptacle de ce qui est bon de part et d’autre et qui jure « de ne jamais faire de mal à personne ». Enfin, un des points les plus intéressants de la série est cette faculté qu’ont les aliens de faire apparaître aux humains ce qu’ils désirent voir. Elle renvoie de manière frappante au côté « mise en scène » du phénomène ovni. Certains n’y verront qu’une astuce scénaristique, d’autres la « preuve » que Steven Spielberg sait beaucoup de choses. Décidement, cette série est bel et bien un ovni télévisuel !

     

    Steven Spielberg est-il un initié ?

    La taverne de l’étrange- 30 juin 2006

     

    Site à voir :

     

    http://www.spielbergfansite.com/spielberg/filmo.html

     

    http://esoterisme-exp.com/francais/verseau/enseignements/jedi/jedi9/Cours375.htm

     

    http://dr.jones.free.fr/spielberg/index.php

      


     

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  • 01 

     
    Ils furent le thème central du film « Signes » avec Mel Gibson en 2003, les crop circles ou « cercles de céréales » apparaissent un peu partout dans le monde depuis le début des années 1980. Certains sont convaincus qu'’il s'’agit d’'équations énigmatiques émanant d’'une intelligence extraterrestre. D’'autres pensent qu’'ils sont l'oe’œuvre de mauvais farceurs ou le résultat d’'expérimentations secrètes. Aucune réponse scientifique sérieuse n'’a pu encore être apportée à ces phénomènes… 

     

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    Chaque année, entre 150 et 300 crop circles apparaissent un peu partout dans le monde et cela, jusqu’'en 2005. Leur taille varie de celle d'’un simple cercle de moins d'’un mètre de diamètre à celle d’'énormes dessins sophistiqués dépassant, eux, les 250 mètres. En août 2001, une formation gigantesque composée de 409 cercles a couvert une surface de plus de 50 000 mètres carrés. Beaucoup ne voient là qu’'une astucieuse mystification. Pourtant des recherches internationales et interdisciplinaires ont démontré que, parallèlement aux copies réalisées par l’'homme, il existait un phénomène bien réel, toujours inexpliqué et qui apparaît de manière mystérieuse dans les champs.

     

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    Ces étranges zones apparaissent généralement au beau milieu des champs ( blé, seigle, orge, colza et avoine ) où elles ne sont découvertes que lors du passage des moissonneuses. Les fermiers sont furieux : quels sont les vandales qui osent saccager leurs récoltes ? En dépit des récompenses promises par la NFU ( union nationale des fermiers ) à qui parviendrait à les débusquer, jamais un « coupable » n’'a été surpris en flagrant délit. Aucune hypothèse ne parvient à expliquer l’'origine des crop-circles, pas même celle de rotors d'’hélicoptères en vol stationnaire à basse altitude au-dessus des champs, ou d'’adeptes du grand sabbat. Une nouvelle catégorie de spécialistes s'’improvise, les céréalogues. Ils inspectent, photographient, mesurent les cercles et, à grand renfort de publications et de conférences, dressent les caractéristiques de ce phénomènes déconcertant : la zone frontière du cercle est toujours d'élimitée d’'une façon extrêmement nette, il n’'y a pas d’'empreintes de pas, ni d’'instruments, ni de véhicules ( seules sont visibles les anciennes ornières des tracteurs qui avaient répandu fertilisants ou pesticides ), nul plant n’'est arraché ; les tiges couchées, tordues, mais jamais abîmées continuent de pousser à l'’horizontale, sans se redresser. La spirale peut aussi bien tourner dans le sens des aiguilles d’'une montre que dans le sens contraire. Dans certains cercles, deux mouvements spiralés inverses se superposent ; les plantes sont parfois étroitement « tressées » entre elles.… D'’autres détails insolites se précisent. Les animaux sont effrayés et refusent de s'’aventurer à l'’intérieur des crop-circles, certaines personnes y éprouvent de forts malaises, d'’autres, un sentiment d'’euphorie ; les boussoles s’'y dérèglent, les radiésthésistes y captent de forts courants énergétiques, les caméras et autres appareils sophistiqués souffrent de pannes inexplicables. Des sons étranges, de forts vrombissements déchirent la nuit, tandis que des boules lumineuses survolent les champs où l’'on découvrira plus tard les cercles. De quoi intéresser les ufologues qui établissent un lien entre crop-circles et ovnis.

     

     

    On croit généralement que les cercles dans les blés sont un phénomène récent, révélé par les médias. En réalité, cercles énigmatiques et formations géométriques existent depuis des centaines d'’années… si ce n’'est plus. Partout dans le monde, que ce soit dans la mythologie des Indiens d’'Amérique ou dans les légendes et le folklore de l’'Europe centrale, on trouve déjà la trace d’'apparitions identiques à celles qui se produisent aujourd'’hui dans nos champs. En 1678, un opuscule intitulé Le Diable moissonneur raconte la surprenante histoire, illustrée de gravures sur bois, de la découverte de cercles dans des champs de céréales du comté anglais de l’'Hertfordshire.

     

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    L'’interprétation infernale suggéré, par le titre donne une bonne idée de l’'origine qu’'on attribuait aux cercles dans les siècles passés. Le premier article scientifique sur le sujet fut publié en 1880 dans la célèbre revue Nature. Il rapportait la découverte en Angleterre d’un champ constellé de cercles dans le Surrey. Aujourd’'hui, plus de 350 cas dits « historiques » ou « précurseurs » ( cercles apparus avant 1980 ) ont été enregistrés par des organisations telles que The International Crop Circles Archives ( ICCA ). A partir de 1980, les cercles dans les blés commencèrent à attirer l’'attention de scientifiques et de chercheurs tels que Pat Delgado ou Colin Andrews. Depuis les données enregistrées sur ce phénomène n'’ont cessé de s'’enrichir. Nous avons affaire ici non seulement à de simples cercles mais aussi à des figures de plus en plus compliquées. En 1990, cette évolution a franchi un stade évolutif majeur lorsque des formations ressemblant à des pictogrammes et dépassant les 100 mètres de long sont apparues dans les comtés de Wiltshire et du Hampshire, au sud de l’'Angleterre. Depuis- et pour une raison encore inconnue- ce phénomène à caractère annuel démontre une complexification croissante doublée d’'un nombre d'’apparitions en constante augmentation. Depuis près de 30 ans, cet énigmatique phénomène, loin de décliner, a pris une véritable ampleur ( en 1980, on dénombre 30 cas, en 1985, plus de 100, en 1988, plus de 300, en 1990, plus de 1000 ). Au début, les formations se concentrent en majorité- 98 % des cas- sur les collines crayeuses du Wiltshire et du Hampshire, régions encore imprégnées des anciens cérémonials de l'’âge du Bronze, comme Silbury Hill, la plus haute colline préhistorique artificielle d’Europe, ou les sites mégalithiques d’'Avebury et de Stonehenge, sites qui connurent, dans les années 70, une recrudescence d’'observations d'’ovnis.

     

     

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    Telle une épidémie, les crop-circles se répandent ensuite dans tout le sud-ouest, le pays de Galles, puis le Norfolk et l’'Ecosse. Elles gagnent les USA, le Canada, le Mexique, le Brésil, l’'Australie, l’'Afrique du Sud et le Japon où, en octobre 1990, sont repérés plusieurs cercles dont certains entourés d'’un anneau près du site archéologique de Yoshinogari, dans l’île de Kyushu. Elles atteignent- timidement- l'’Europe. La Suisse revendique son premier crop-circle à Klein-Gümmenen, dans le canton de Bernes, en 1993; fin janvier 1997, un cercle- de 8,50m de diamètre- d'’herbe brûlée et couchée en spirale, flanqué de trois groupes de trois petits cercles apparaît en plein centre de Munich, dans le parc Luitpold. Le phénomène ne se contente pas de s’'étendre, il évolue et, au fil des ans, atteint un niveau stupéfiant de complexité. Les cercles sont alignés, éparpillés, disposés en crosse, reliés à d’'autres par de belles droites, agrémentés de triangles, d'’haltères, de clés, de pinces, de rectangles, enclos à l'’intérieur d’'une série d’'anneaux concentriques.

     

    A partir des années 90, une débauche de formes géométriques de plus en plus sophistiquées semblant reproduire des images connues ( toiles d’'araignée, insectes ), des symboles alchimiques, kabbalistiques, celtiques, astronomiques, voire même des « objets mathématiques » ( fractales, Julia, figures de Mandelbrot ?? ), draine des foules dans les champs dont les propriétaires monnayent l'’accès, se constituant un joli pécule. Grâce aux interventions des céréalogues, le survol des régions concernées du sud de l’'Angleterre est systématique depuis 1987 ; il favorise la découverte de splendides formations dont seule une vue aérienne permet de saisir l’'ensemble tant les dimensions sont impressionnantes ( les crop-circles géants de la région d’'Alton Barnes mesurent entre 120 et 400 mètres de long, par exemple ) et les éléments constitutifs nombreux, comme pour le « triple Julia », apparu dans le Wiltshire en 1996, qui mesure 300 mètres et est composé de 194 cercles disposés sur une spirale à trois bras.

     

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    Aussi ne parle-t-on plus seulement de crop-circles, mais d’'agroglyphes et, surtout, de pictogrammes. Chaque été amène son contingent d’émerveillements et d’interrogations.

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    *** 4000 manifestations dans 45 pays ***<o:p></o:p>

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    Cela n’'empêcha pas les médias de sauter en 1991, sur l'’histoire de deux vieux Anglais, Doug et Dave, qui clamaient être à l’'origine de « tous les cercles dans les blés ». Par la suite, le duo fut évidemment bien incapable de prouver ces allégations. Le phénomène est bien plus ancien que leur prétendues interventions et il s'’étend sur plus de 45 pays, avec plus de 4000 manifestations un peu partout dans le monde. Aujourd’'hui, une nouvelle génération de faiseurs de cercles a pris le relais, se présentant comme artistes paysagers ou créateurs d'’un mystère des temps modernes. Mais, un fois de plus, à l'’image de l'’histoire inventée de toutes pièces par Doug et Dave, leurs oeœuvres sont bien incapables de soutenir la comparaison avec ce qu'’on appelle le « phénomène authentique ». Nombre de ces formations ont été analysées en détail par des géomètres, des architectes et des mathématiciens tels que le professeur M. Glicksmann ou le Dr G.S.Hawkins de l’'université de Boston. Ceux-ci ont établi qu’elles étaient tout simplement trop élaborées pour avoir été réalisées en seulement quelques petites heures d’'une nuit d'’été. On n'’a que peu d’'éléments sur le temps réel nécessaire à la formation des cercles authentiques mais il existe des témoignages oculaires sérieux indiquant que, quelles que soient la complexité et l’'étendue de la figure, il n'’y a jamais besoin de plus de quelques secondes pour sa réalisation.

     

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    Ces observations furent confirmées en 1996 à l’'occasion d’un événement stupéfiant, la formation d’'une magnifique et gigantesque spirale constituée de 153 cercles, en plein jour, entre 17h30 et 17h45, sans que personne ne s’'en aperçoive sur le moment, dans un champ situé juste en face du mystérieux monument mégalithique circulaire de Stonehenge. Des analyses d’'échantillons de plantes et sols collectés dans les cercles de blés sont faites. Comparées à des échantillons témoins, 95% des plantes en provenance des formations concernées présentent des modifications significatives dans leur structure cellulaire telles que des nodosités agrandies et allongées dans les tiges, visibles même à l'oe’œil nu, et la présence de « cavités d’'expulsion » au même endroit, là où des particules d'’humidité semblent avoir explosé vers l’'extérieur, laissant derrières elles des cavités visibles. La plupart de ces effets ayant pu être reproduits à l’'aide d'’un rayonnement micro-ondes, cela suggère fortement l’'action d’une chaleur intense et brève lors de la formation.

     

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    D'’autres plantes ont été trouvées recouvertes d'’une fine couche d'’oxyde de fer qui nécessite des températures supérieures à 500° C. L’'analyse la plus récente montre également que la structure cristalline des minéraux argileux du sol s’'est trouvée modifiée à l'’intérieur des formations étudiées. Ce qui appuie encore l'’idée de l’'intervention ponctuelle d’'une chaleur intense, cette modification ne pouvant s’'être produite qu'’à des températures bien supérieures à 800° C. De toute évidence, plantes et sols n’'auraient pas pu être exposés plus de quelques nano- secondes à de telles températures sans être carbonisés. Quand on sait que cela n’a jamais été détecté, dans aucune des figures fabriquées par l’'homme, soutenir que des mystificateurs humains armés de planches et de rouleaux aient pu provoquer de tels effets est tout simplement ridicule.

     

    Qu'’est-ce qui est à l’'origine de ces formes et dessins superbes ressemblant aux chefs-d'oe’œuvre d’'une sorte de génie des céréales ? Beaucoup de cercles dans les blés parmi les plus complexes trouvent leur équivalence dans des formes naturelles comme les cristaux, les alvéoles des nids d’'abeilles ou les figures circulaires qui apparaissent lorsque certaines fréquences sont dirigées sur des surfaces liquides. Des chercheurs ont démontrés que de nombreux cercles dans les blés apparaissent basés sur le nombre d’'or et autres principes de la géométrie sacrée. D’'autres figures de cercles dans les blés sortent des capacités géométriques de la nature car ils apparaissent plus artificiellement planifiés. Ce serait pourtant un peu rapide d'’y voir des œoeuvres humaines alors que notre propre nature nous reste encore impénétrable.

     

    Certains pensent que les crop-circles pourraient-être l’œ'oeuvre d’'une intelligence non humaine qui viendrait d’'une autre dimension, à moins que ce ne soient des visiteurs extraterrestres. Pour d’'autres, l’armée serait en cause, les conspirationnistes pensent qu’elle crée ces dessins à partir des satellites en utilisant des rayons lasers ou des micro-ondes afin de tester ses nouvelles armes et de connaître les réactions du public à des stimuli non ordinaires. Sans oublier que la nature elle-même pourrait être elle aussi considérée comme une forme d’'intelligence non humaine… Que sont ces étranges lumières sphériques, d’'une taille oscillant entre celle d’'un œoeuf et celle d’'un ballon de football, observées au-dessus et à l'’intérieur des cercles dans les blés et qu'’on peut voir sur des films et des photographies ? L’'un de ces films, réalisé par l’'anglais Andy Buckley, montre les images étonnantes d’'un oiseau de proie plongeant vers une des sphères lumineuses pour s’'en saisir avant de faire brusquement demi-tour au dernier moment. Est-ce là la preuve de la présence d'’une intelligence non humaine à l'oe’œuvre ? Pourquoi les animaux réagissent-ils aussi étrangement quand il pénètrent dans les zones de céréales aplaties contre le sol ? Pourquoi les témoins ont-ils rapportés de leur côté des impressions bizarres, des réactions physiques et même des expériences proches de la vision alors qu'’ils se trouvaient eux aussi à l'’intérieur des cercles, tout particulièrement ceux de formation récente ? Puisque nombre d'’effets rapportés ici s’'observent également sur des êtres vivants placés à proximité de forts champs électromagnétiques, on peut y voir l’'action des énergies présentes au moment de la formation…même si les sceptiques continuent, de leur côté, à prétendre que les témoins ont été mystifiés par une sorte d'’effet placebo.

     

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    Pourquoi la plupart des cercles dans les blés du monde entier ont-ils été découverts à proximité immédiate d’'anciens sites de pierres levées, de terrassements néolithiques, de chambres en pierres mégalithiques, de tumulus ou de cercles de pierres ?

     

     

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    Faut-il y voir l’effet des puissants points d'’énergie à l’'intérieur de maillage électro-magnétique de notre planète décrits par les sourciers et les géomanciens modernes, mais aussi par les anciennes cultures du monde entier, parme lesquelles l’'art traditionnel asiatique du fen-shui ? Quelle que soit l’'opinion qu’'on a sur les cercles dans les blés, c’'est en fin de compte toujours la même chose qui fascine en eux : ils constituent le plus beau et le plus pacifique de tous les mystères de notre temps. Et ce qui les rend encore plus intéressants pour les chercheurs c'’est qu'’ils constituent le seul phénomène « paranormal » qui ne s'’évanouisse pas soudainement, qui soit de nature permanente. Son existence n’'est donc pas une question de croyance ou de non-croyance. Les cercles sont dans nos champs, on peut les visiter, entrer en eux, les toucher. Et s'’ils peuvent apparaître comme une provocation pour certains, ils restent avant tout une invitation pour nous tous.

     

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    <o:p></o:p> Ici les plus beaux !!!  crop-circles :

     

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    *** Anecdotes ***<o:p></o:p>

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    En 1996, un pilote qui survolait le site de Stonehenge, a découvert dans un champ proche de ce site, une énorme formation en forme de fractale constituée de 145 éléments différents. Ce pictogramme ne s’'y trouvait pas 45 minutes auparavant !!!

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    Le 22 octobre 1987, le Harrier Gr5, un avion britannique « top secret » piloté par Humphrey Taylor Scott, s'’écrase dans l’'Atlantique au sud de l’'Irlande lors d'’un vol expérimental. Six minutes après son décollage, il était au-dessus du Wiltshire, non loin de Stonehenge, quand il perdit le contact radio ( d’'après l’enquête, cette perte de contact eut lieu alors qu'’il survolait un champ avec des crop-circles ). Peu après, le Harrier fut filmé par un avion militaire américain dont le film atteste que cet avion ne possédait plus ni verrière de cockpit ni …pilote ! Le 23 octobre, on retrouva le corps de ce dernier ( qui ne s'’était pas éjecté, le siège éjectable étant toujours dans l’'avion ) écrasé dans un champ où étaient apparus des crop-circles le 22 août, soit juste deux mois avant l’'accident. Lien ou coïncidence ?

     

    ***

    Pour le chercheur Pat Delgado, les crop-circles sont causés par une « intelligence inconnue ». Une position assez proche de celle de son collègue Colin Andrews pour qui « ces pictogrammes élaborés semblent créés par une sorte de force vivante et intelligente dans le but de communiquer avec l’'humanité » et exprimeraient les  « lamentations de Gaïa », notre Mère-Terre si malmenée par les humains. Le professeur Charles d’'Orban ( Département des études orientales de l’'université de Londres ) trouve que certaines formations ressemblent à des œoeuvres sumériennes.

     

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    La taverne de l’'étrange- 26 juin 2006

     

    Aura2 

     

    Mise à jour le 24 septembre 2013

     

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    <o:p></o:p>

    http://www.lucypringle.co.uk/photos/<o:p></o:p>

    http://www.cropcircleconnector.com/interface2005.htm<o:p></o:p>

    http://www.culture-crop.com/index.htm<o:p></o:p>

    http://webmaster555.free.fr/ovni/crop-circle.html

    <o:p></o:p>


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    6 commentaires
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    John Lennon témoin d'une apparition...

     

    Une information étonnante accompagne la " beatlemania " des années 90 au moment où l'union des 3 " beatles " vivants, pour réaliser l'enregistrement d'un nouveau disque, a remis à la mode ce groupe légendaire de Liverpool. Il semblerait que le leader et fondateur de The Beatles, John Lennon, ait été témoin de l'apparition d'une " soucoupe volante " en 1974. Dans sa chanson " Strange Days ", Lennon disait : " Il y a des Ovnis sur New-York, et je n'en suis pas très surpris ". Cette apparition a eu lieu vers 9h du soir le vendredi 23 août, lorsque le chanteur charismatique était en compagnie d'autres personnes sur la terrasse de son appartement à New-York. Toutes les personnes présentes ont été d'accord pour décrire l'objet comme quelque chose d'énorme et lumineux en forme de cône renversé. La " soucoupe volante " a survolé la terrasse au-dessus des têtes de Lennon et de ses amis. Cet objet était entouré de lumières blanches à sa base et possédait une lumière rouge au milieu de sa partie supérieure...

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  • Les géoglyphes

     

     

    Ce sont des traces, dessins, figures géométriques, que l'on peut voir et distinguer du ciel par avion et depuis peu par satellite. Dans des pays, comme l'Angleterre, le Chili, le Pérou, les Usa et bien d'autres, des civilisations anciennes ont dessinés à même le sol, des traces, des dessins qui pour certains encore, de nos jours, reste énigmatiques.

     

    *** L'influence chamanique ***

     

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    La diversité des géoglyphes et autres « sculptures telluriques » en Californie et en Arizona est réellement impressionnantes. Tous proviendraient de la même culture, celle des Amérindiens. Les archéologues pensent que les motifs représentent des « formes-pensées », une sorte de transcription des visions et des transes des chamans. Ils donnent ainsi un aperçu unique des rituels d'une culture ancienne. La plupart de ces figures se trouvent près de sites préhistoriques d'art rupestre qui présentent des images similaires, mais à une plus petite échelle. C'est à partir de ces lieux sacrés que les chamans devaient entrer en contact avec le monde des esprits. Le spécialiste de ces lignes terrestres Paul Devereux disait : « Que ce soit dans les déserts de l'ouest des Etats-Unis ou dans la cordillère des Andes sud-américaine, les figures telluriques procèdent toutes de la même culture : le chamanisme. »

     

     

    *** La parole aux esprits ***

     

     

     02

     

     

    La majeure partie des gravures rupestres sont dites « entoptiques », c’'est-à-dire qu'’elles relèvent de sensations lumineuses qui ont pour origine l'oeil lui-même. Elles sont donc en quelque sorte des hallucinations. Mais au cours d’'états de transe ou sous l'influence de drogues psychotropes, le cerveau les interprète comme si elles émanaient réellement du monde extérieur. Les figures géométriques au sol correspondent aux lieux où les chamans entraient en transe. Il est probable qu'ils employaient ces motifs abstraits comme des sortes de cartes symboliques du territoire spirituel qu'ils avaient à explorer. Chez les indiens, le chaman avait en effet la charge d'entrer en contact direct avec des êtres surnaturels ou esprits- contact qui devait assurer quelques fonctions vitales pour la communauté : une chasse ou une pêche favorable, une victoire contre des ennemis, etc. En ce qui concerne les figures animales et humanoïdes, elles représentaient sans doute des personnages mythiques, dotés d'une puissance « surnaturelle »- c'est le cas notamment des animaux symbolisant la virilité ou la force.

     

     

    *** Le mystère Nazca ***

     

     

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    Qui ne s'est pas posé de questions sur les lignes de Nazca ? Les archéologues tentent encore de comprendre la signification de ces figures géométriques gravées dans le sol de la pampa Péruvienne.

     

    Au cours des années 1930, le trafic aérien au-dessus des Andes péruviennes ne cessa pas de ce développer. Au même moment se multiplièrent les récits de pilotes et de passagers mentionnant de vastes tracés visibles sur le sol. En 1926, alors qu'ils étaient à la recherche de vestiges archéologiques dans la pampa de Nazca, Alfred Kroeber et Toribio Mejia Xesspe découvrirent ces fameuses lignes. Ayant grimpé sur une colline, ils furent surpris d’'apercevoir des sillons gravés dans le sol pierreux du désert. Ils crurent d'abord que ces « fissures » étaient les restes d'un ancien système d'irrigation. Ce ne sont que quelques années plus tard seulement qu'ils perçurent leur origine mystérieuse.

     

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    Aux Etats-Unis, Paul Kosok, un chercheur de Long Island, entendit parler de ces lignes mystérieuses. Quand il parcourut la pampa en 1941, il se rendit compte immédiatement que les tracés n’avaient rien à voir avec un quelconque système d'irrigation. Peu de temps après le solstice d'été, il eut l'occasion de voir le soleil se coucher derrière l'extrémité d'une des lignes. Il en conclut qu'il avait sous les yeux « le plus grand manuel d’'astronomie du monde ». Les tracés étaient un calendrier astral. Maria Reiche, une mathématicienne allemande, devait bientôt partager ses convictions.

     

    A partir des années 1940, elle étudia les tracés à pied, les mesura, les répertoria. Elle en assura même la protection, vivant près du site pendant plus d'un demi-siècle.

     

    *** Lire entre les lignes ***

     

     

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    En 1968, Gerald Hawkins, membre de l'’Institut Smithonian de Washington D.C, effectua un relevé des tracés, à la fois sur le terrain, par avion et par ordinateur. Il s'était fait précédemment connaître en interprétant le site de Stonehenge comme un « ordinateur » d'astronomie préhistorique. Mais il ne parvint pas à démontrer de façon stricte que les lignes de Nazca étaient disposées selon les astres. Maria Reiche avait déjà remarqué ce qu'elle avait appelé des « centres en étoiles » : des petites collines ou promontoires d'où partent des lignes en rayons, ces centres étant également reliés entre eux par d'autres tracés. Les nouveaux enquêteurs ont confirmé cette découverte. Et ils ont mis au jour bien d'autres « centres rayonnants », comme on les appelle désormais. Ils ont aussi remarqué des chemins qui semblent avoir été empruntés assidûment- peut-être pour des pèlerinages, mais rien ne permet de le confirmer.

     

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    Un relevé détaillé des lignes a révélé que certaines d'entre elles semblaient être en corrélation avec d'antiques cimetières dans la pampa, ainsi qu'avec d'anciens aqueducs  et arroyos ( lit d'une rivière à sec du désert ). Quelques unes des lignes semblent être orientées vers les montagnes habitées par les dieux de l'eau ou de la pluie, selon la tradition amérindienne. Il y a dans les tracés des amas de pierres et des clairières curieuses où l'on trouve quelquefois des débris de poteries, probablement des offrandes religieuses. La nouvelle étude a donc confirmé les conclusions initiales de Hawkins : rien ne prouve la signification astrale des tracés.

     

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     Quoi qu'il en soit, les lignes de Nazca, en particulier les dessins au sol ou « géoglyphes », ont été faites dans l'intention d'être vues d'en haut. De plus, bien qu'exécutés à très grande échelle, les dessins sont absolument symétriques et bien proportionnés. Ils n'ont donc pu être réalisés que d'après des modèles réduits ou par des équipes au sol dirigées depuis le ciel. Certains chercheurs ont émis ainsi l'hypothèse que le peuple de l'ancienne culture Nazca savait voler en utilisant l'air chaud. Une expérience pratique a d'ailleurs eu lieu, dont les résultats ont prouvé que les anciens habitants pouvaient a priori voler en ballon. Rien ne permet cependant d'affirmer qu'ils l'ont fait réellement.

     

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    Toutefois, ces dessins pourraient avoir un rapport avec le chamanisme, un système religieux tribal dans lequel les pratiquants entraient en transe, afin d'effectuer un « voyage astral » pour communiquer avec les ancêtres, les dieux ou d'autres habitants du monde des esprits. En novembre 1975, l'explorateur américain Jim Woodman transporta à Nazca la montgolfière Condor 1. Il voulait ainsi prouver que les créateurs des lignes de Nazca maîtrisaient le vol. Le ballon était fait d'un tissu semblable aux échantillons prélevés sur les momies des tombes trouvées à Nazca. La nacelle du passager était faite en roseaux, comme en font les habitants du lac Titicaca à 3500m d'altitude dans les Andes. Maria Reiche qui assistait au décollage était ravie. Elle soupçonnait depuis longtemps chez les hommes de Nazca la maîtrise du vol aérien. Mais cette expérience fut loin de convaincre tout le monde. Pour faire décoller le ballon, il fallut creuser une grande fosse pour faire du feu et produire ainsi de l'air chaud. Or, on ne trouve sur le site aucune trace de telles fosses.

     

    Décidément, la pampa de Nazca n'a pas encore délivré son secret

     

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    Info du 24/04/2006

     

    *** Pérou: nouvelle découverte à Nazca ***

     

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    Géoglyphe Nazca Pérou - AFP - Yamagata University

     

     

    Des chercheurs japonais ont mis à jour une centaine de nouveaux motifs sur le plateau de Nazca.

     

    Le mystérieux site archéologique de la plaine côtière du Pérou, à 400 km au sud de Lima,

    vient de révéler de nouveaux dessins et figures géométriques, aux formes jusque là inconnues.

    Ceux-ci ont été découverts dans le sud du plateau, loin de la zone où des centaines de lignes et d'images énigmatiques attirent déjà de nombreux touristes.

     

    «  Nous avons eu confirmation de cela en analysant des photos satellite et en visitant les lieux en mars » a expliqué Masato Sakai, professeur assistant à l'Université Yamagata (nord du Japon). Les dessins et figures géométriques de Nazca, parfois appelés « géoglyphes » , couvrent environ 450 km2 et sont classés au patrimoine mondial par l'Unesco depuis 1994. Ces très grandes lignes et dessins tracés dans le sol entre 500 avant Jésus-Christ et 500 après figurent parmi les grand mystères de l'archéologie. Les chercheurs estiment qu'ils pourraient avoir une fonction rituelle liée à l'astronomie.

     

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    Aura2
     

    La taverne de l'étrange- 15 juin 2006  

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    4 commentaires
  • D'étranges traces, dessins, symboles, endroits et sites stratégiques, lieux insolites, etc... vu du ciel par Google Earth
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