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    1954- Rencontre inhabituelle à Quarouble... 

     

    Automne 1954, après s'’être manifesté aux USA, le phénomène Ovni gagne l’'Europe et plus particulièrement la France, le mois de Septembre et Octobre sont riches en apparitions célestes et de ses machines volantes habitées par des êtres non moins étranges qui se posent sur son sol.

     

      

     

     

    Une petite maison au bord d’'une voie ferrée, dans la commune de Quarouble, à proximité de la frontière Franco-Belge, c'’est là que vit la famille Dewilde en cet Automne de l’'année 1954.

     

    Nous sommes dans la soirée du 10 Septembre, Marius lit son journal, sa famille est couchée, l'’horloge de la cuisine indique qu'’il est alors 22h30. Subitement il est attiré par les aboiement de son chien au dehors; …il sort de sa maison, il fait nuit et à quelques mètres sur sa gauche, il distingue une masse sombre sur la voie ferrée, et pense alors qu'’un paysan aura laissé sa charrette de foin là, car les chemins sont mauvais dans cette région et les cultivateurs passent souvent par là pour rentrer leurs récoltes. A ce moment, son attention se reporte vers son chien qui aboie dans la direction opposée, il entend des pas et distingue une silhouette, il braque sa lampe torche et il remarque alors deux curieux personnages, à 4 m devant lui qui marchent dans sa direction, leur taille ne dépasse guère 1m, chacun d’eux porte un casque et une combinaison évoquant la tenue des scaphandriers (les tenues d’'astronautes n'’existaient pas encore à cette époque)….

     

     

     

     

    Poussé par la curiosité, Marius s'’approche des deux êtres lorsque soudain, un puissant rayon lumineux provenant de la masse sombre posée sur la voie est braqué sur lui. Surpris, il tente d’'esquisser un mouvement, mais il ne peut plus bouger ! Il veut crier, mais aucun son ne sort de sa bouche, il se sent littéralement paralysé ; son corps est envahi de picotements. Comme dans un rêve, il perçoit la présence des curieux personnages qui marchent en direction de l’'engin mystérieux. Puis il entend un bruit, semblable à la fermeture d'’une porte à glissière, puis le rayon qui était braqué sur lui disparaît. L'’obscurité règne à nouveau, la sensation paralysante s’'efface, Marius retrouve le contrôle de ses muscles. Il voit alors l’'engin s'’élever silencieusement, et ressent un violent déplacement d’air, l’'objet s'’illumine au fur et a mesure qu’il prend de l’'altitude et n’'est plus qu’'un point rougeoyant qui disparaît dans le ciel obscur. Très éprouvé par son aventure, il se rend à la gendarmerie les prévenir, mais n'’y faisant rien, il va alors au commissariat d'’Onnaing, où il fait une déposition, le commissaire impressionné par l'’émotion du témoin, écarte l’'hypothèse d’'un canular. Le lendemain, des enquêteurs de la police et de la DST ( défense de la sécurité du territoire ) arrivent sur les lieux de l'’incident ; les journalistes débarquent également, et Marius doit inlassablement répété son histoire. Rapidement, les enquêteurs se rendent comptent de la bonne foi du témoin, car d’'autres personnes ont vus également une lueur rouge dans le ciel en direction de Quarouble. A l’'endroit où s'’est posé l’'engin, sur la voix ferrée, trois des traverses de bois du ballast portent des traces; …des marques récentes présentant une certaine symétrie, elles semblent indiquées qu'’une forte pression a été exercé a cet endroit.

     

     

    D'’après les ingénieurs des chemins de fer, la pression est de l’'ordre de trente tonnes. Les pierres à proximité s’'effritent, comme si elles avaient étés calcinées par une haute température. Tout ceci semblait confirmer le récit de Marius Dewilde, aucune solution ne fut donnée et l’'enquête en resta là. …C'’est alors que le 10 Octobre vers midi, un mois jour pour jour, après ces évènements surréalistes, apparaît sur une autre voie ferrée passant derrière la maison de Marius, un objet plat et circulaire surmonté d'’une tourelle, qui repose sur le ballast, à une cinquantaine de mètres des témoins. Plusieurs êtres, apparemment les mêmes que la précédente apparition, se tiennent à proximité de l’'engin. Ils portent des combinaisons gris foncé d’'une matière souple évoquant du plastique où du caoutchouc. L’'un des êtres s'’approche de lui, alors il distingue derrière la vitre du casque qu'’il porte, un visage lui souriant et paraissant du type asiatique. L’'être venu d’'ailleurs se met à caresser la tête du fils de Marius en prononçant des paroles incompréhensibles mais curieusement audibles malgré son casque. Apercevant des poules à proximité, le visiteur se saisit d’'une des volatiles, bizarrement, au lieu de s'’enfuir, la poule se met ventre à terre et se laisse prendre docilement.

     

     

    Après un signe d’'amitié envers les témoins, le visiteur fait signe à Marius de s’'éloigner de la soucoupe, et regagne son bord avec ses autres compagnons. Peu après, l’'engin décolle dans le plus grand silence, suivi des yeux des deux témoins les laissant perplexe. …Cette apparition hors du commun fit une victime, son chien qui dépérit peu à peu et mourut six mois plus tard.

     

     

    Marius Dewilde est décédé le 1er octobre 1996

     

    Source article : Ceux venus d’'ailleurs par J. Lob & R. Gigi – Dargaud Editeur- 1973

     

     

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    Info : du nouveau dans l’'affaire Marius Dewilde

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    Mise à jour le 22 août 2006

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    Homme de terrain passionné par le phénomène ovni depuis 1977, Claude Burkel est ce qu’'on a coutume d’'appeler dans le milieu ufologique un « chercheur ». En 1994, il prend contact avec Marius Dewilde, le témoin d'’une des affaires les plus connues de l’'ufologie française. A plusieurs reprises les deux hommes vont s’'entretenir au téléphone. Puis c’'est la rencontre, à Tours, où demeure Marius. Une rencontre chaleureuse entre les deux hommes. Aidé de ses notes, claude nous livre aujourd’'hui la teneur des confidences que lui fit Marius, et qui laissèrent à jamais une forte et troublante impression dans l’'esprit du chercheur… Marius Dewilde devait décéder deux ans plus tard, le 1er octobre 1996.<o:p></o:p>

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    *** De nouvelles infos ***

     

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    claude burkel avatar 

     

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    Le 12 septembre, soit deux jours après les évènements, à Quarouble, un commerçant anonyme, au volant de sa voiture, est paralysé par un rayon vert émanant d'’un engin qui décolle. Le 13 septembre, c'’est la découverte de trois vaches mortes dans un champ voisin de la maison de la famille Dewilde. Une autopsie révèlera que les bêtes étaient évidées de leur sang. Pour Marius, les ennuis ne font que commencer. Un second atterrissage a lieu un mois plus tard, durant lequel il reçoit deux objets. Le premier, une « valise », est rapidement récupéré par la DST ( défense de la sécurité du territoire ), tandis qu'’il parvient à conserver le second, en dépit des énormes pressions.

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    *** Ma rencontre avec Marius Dewilde ***

     

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    Marius avec son fils devant sa maison 

     

    En août 1994, je me rends à Tours et je rencontre Marius pour la première et dernière fois, dans sa maison, avec son épouse et ses deux chiens. Gitan d’'origine, c'est encore un homme robuste, malgré ses 73 ans. Ses yeux sont vifs et il parle un langage assez rustre avec un fort accent. Il a perdu son bras droit dans des circonstances très étranges. Nous nous connaissons déjà par téléphone, aussi suis-je particulièrement bien reçu. Marius est un homme simple, son langage est rustique, et toute notion scientifique lui est totalement étrangère. La science lui est inaccessible, faute de culture générale, et pourtant de par le contact qu'’il a vécu, il semble capable d'’émettre des concepts très supérieurs aux connaissances actuelles. Tout de suite, il me parle de Marc Thirouin : « C’'est un de mes plus grands amis, l’'un des plus sincères de tous les ufologues », me dit-il. Marius sait que j'’ai travaillé avec lui dans la fin de sa vie, c’'est d’'ailleurs comme cela que je me suis présenté à lui.

     

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    *** Confidences de Marius ***

     

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    Marius et les gendarmes sur le site

     

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    Nous parlons alors de ces documents que nous nous sommes échangés par voie postale et que nous n'’avons jamais reçus. Il m’'avait prévenu au téléphone : « Ecoutez. Si vous m’'envoyez quelque chose, faites-le en recommandé avec accusé de réception, parce qu'’il y a tellement de courrier qui ne me parviennent pas. Tout est plus ou moins saisi, vous voyez ». Les courriers étaient donc partis en recommandé et ils ne sont jamais arrivés. Après avoir fait le tour de cette disparition postale, Marius me retrace toute l’'affaire de 1954, dont les évènements sont déjà bien connus du public. Il me parle aussi, en des termes affectueux, de son chien Kiki qui lui aussi fut témoin du premier atterrissage et qui tomba malade peu après. Il évoque son fils, âgé de trois ans en 1954, et qui était présent à ses côtés pendant toute cette période. Comme je lui demande où se trouve son fils aujourd’'hui, il me répond qu’il a désormais très peu de contact avec lui. « Mon fils ne veut plus entendre parler de cette histoire. C'’est un garçon qui a peur. Lorsque j’'ai été chez lui, j’'ai vu des ovnis, et cela à 200 km de chez moi. Il a pris son appareil et les a photographiés. Nous avons tous peur. Il y a tellement de menaces. Et encore les menaces… lorsque c’'est verbal… moi je suis manchot maintenant. C’'est pour ça que je n’'en dis pas trop au téléphone, et que je préférais que vous veniez me voir directement chez moi. » Peu à peu une confiance s'’instaure entre nous. Il me raconte alors les problèmes qu'’il a rencontré avec des services de renseignements français et américains.  « Je vais vous dire quelque chose. J'’ai toujours des contacts avec ces « êtres » mais je ne dis plus rien car on est venu m’'assaillir chez moi. J'’ai eu le bras coupé, et ils sont revenus, j'’ai eu quatre côtes cassées et la mâchoire décrochée…. Pour mon bras c'’était en 1971, et c'’est en 1982 ou 83 qu'’ils m’'ont cassé les côtes et la mâchoire. Ils cherchaient ce qui était resté dans ma tête. Mais je ne suis pas fou… »

     

    Marius face aux enquêteurs...

     

    Il me raconte qu'’il a été invité par des ufologues américains, des spécialistes de Roswell, à se rendre aux Etats-Unis. Il devait recevoir un chèque de 10000 dollars. Malheureusement, suspecté d'’espionnage, il ne put répondre à cette invitation. Il n'’a donc pas quitté le territoire, et par conséquent, il n’a jamais reçu l’'argent. « Un jour, me dit-il, j’'ai fait une conférence, j’'étais invité par des amis ( le Gepan ). J’'ai dit tout ce que je pensais du gouvernement, et tout ce que j’'avais sur le coeœur. J’'ai été invité dans beaucoup d’'endroits. J'’ai accepté de passer à la télévision à condition que je dise la vérité sur le gouvernement. Ils ont refusé. Ils ne veulent pas que je raconte des trucs pareils. Pourtant, il faut voir ce que ces « êtres » m’'ont fait vivre. Ils m’'ont donné beaucoup de choses. Ce sont des êtres qui possèdent une science supérieure. Pour eux, nous, nous ne sommes que des bêtes ! » Puis, après une bonne heure de discussion, Marius en est arrivé à me parler de la fameuse « valise » de 70 cm de long et 40 cm de profondeur et autant de largeur, que les « êtres » lui avait confié et qui avait été récupérée par un commandant, un capitaine et deux hommes de troupes en armes, avait été remise aux Etats-Unis à la suite de transactions entre les gouvernements français et américains. « Là encore, me dit-il, on m’'avait promis de l’'argent que je n’'ai jamais reçu ». Il me raconte alors qu'’il a été soumis à la torture par les services secrets. Tout d’abord ce fut pour le faire parler, puis dans un second temps, ce fut pour le rendre fou et le faire passer pour quelqu'’un de dangereux. Ces pratiques ont duré plusieurs années. Puis il y eut les menaces verbales, la surveillance, l’'ouverture de son courrier. D’'après ses dires, tout cela durait encore en 1994.… Je lui ai demandé de m’'en dire un peu plus sur cette valise ou cette boîte. Avant de la cacher dans le tas de charbon de sa cave, Marius l’'avait ouverte et m’a confirmé qu'’il y avait bien toutes sortes de « cadrans » sans aiguille à l’'intérieur. « Ca clignotait ; c’'était de toutes les couleurs. Il n’'y avait pas de relief. » Puis, il m’a expliqué qu’'une fois la boîte refermée, les jointures ont disparu. Elles se sont comme escamotées et il n’'a jamais été en mesure de rouvrir la « boîte ». Le poids de celle-ci devait faire à peu près 5 à 6 kg. Lorsqu'’il tapait dessus, ça résonnait comme si elle était vide…. Vers la fin de notre entretien, il m’a dit qu'’il possédait encore l’'autre objet : une plaque ronde de 10 cm de diamètre et 3 cm d'’épaisseur. Il y avait des signes gravés à la surface qui ressemblait un peu à des crop-circles. Et sans me témoigner la moindre méfiance, il m’a montré la plaque. Je ne sais pas ce qu’elle est devenue maintenant. Toujours est-il qu’il n’'a pas souhaité que je fasse des photos. « Trop dangereux, m’a t-il dit, en précisant que son fils n'’avait jamais eu l’'occasion de voir cette plaque, « Je vais vous dire quelque chose, j'’ai tellement de menaces…. C’'est pas possible Monsieur, j’'ai tout expliqué, on m’a tout pris, tout. Je ne sais pas si vous avez lu le livre… c’'est une véritable trahison qu’ils ont fait là. J’ai raconté quelques petites choses de ma vie, et le directeur… il a tout gardé pour lui…. Tout ce que j’'ai expliqué ne se trouve pas sur mon livre.… Moi j'’ai eu un petit tirage mais ils pris ce que j’'avais dit et ils ont écrit un livre en Amérique et réalisé un film avec ça. Alors, je vous le demande, à qui voulez-vous que je fasse confiance maintenant ? »

     

     

    Au moment de nous séparer, nous avons parlé des poules mortes et des bovins exsangues et vidés de leur moelle épinière. A l’'époque, il avait posé la question aux « êtres »… Leur réponse : « Nous avons besoin de certains de vos éléments pour nos superpositions d’'adaptation aux différentes civilisations… ». Marius avait bien retenu cette phrase qui l’'avait marqué.… Il se souvenait également parfaitement bien de sa visite à bord de l’'ovni, et surtout des bases existantes sur terre. Sa description était précise et il ne manquait aucun détail.

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    *** Conclusion ***

     

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    <o:p>ICI l'interview téléphonique de Marius réalisé en 1995 par C. Burkel !</o:p>

     

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    J’'ai eu beaucoup de chance de rencontrer cet homme et de pouvoir discuter avec lui à plusieurs reprises au téléphone. Il n’'est plus parmi nous aujourd'’hui. Le premier atterrissage et les péripéties exceptionnelles qui suivirent ne peuvent pas être mis en doute. Trop de recoupements, trop d’'éléments matériels. Il n’'en est peut-être pas tout à fait de même des évènements qui suivirent. Que penser des pressions militaires ; du rôle des services secrets ; des contacts répétés qu’'il eut par la suite avec ces visiteurs.… Bref au sujet de tout ce qu’il affirma par la suite, je suppose que la raison impose la prudence la plus élémentaire. Qui peut connaître la vérité d’un homme qui fut réellement et brutalement confronté à un phénomène inconnu…? Le 10 septembre 1954, cet homme a vécu une expérience hors du commun. Il n'’était pas fou, en aucun cas, quand je l’'ai rencontré. Tout au long de nos conversations, il était complètement sincère.… Toutefois, si ce qu'’il m’a dit était bel et bien sa vérité, était-ce pour autant conforme à la réalité ? On a vu d'’autres exemples où le « phénomène » pouvait projeter des images, des évènements, des souvenirs dans l’'esprit de certains contactés qui dès lors les tenaient pour réels. D’'un autre côté, il y avait ces courriers recommandés disparus ; il y avait ces objets en sa possession, cette plaque qu'il m’a montré, et ces excroissances de nickel qu'’il disait avoir pris dans le vaisseau par poignées. « Des résidus » lui avaient répondu les « êtres » alors qu'’il leur demandait ce que c’'était.

     

    01cg4.png

     

    Il m’a offert une petite quantité de ces résidus, et peut-être un lecteur pourra-t-il me dire d’'après la photo à quoi peut bien correspondre cette formation métallique pleine, comme si le métal- à la manière d’'un végétal- avait poussé. Certains amis m’'ont dit que ce genre de chose ne pouvait se faire que sous apesanteur… une confirmation serait la bienvenue. Une analyse sérieuse de ce matériel pourrait nous apporter le début d’'une réponse, une fois pour toute.

    D’'une façon ou d’une autre, Marius Dewilde a payé très cher d’'avoir touché du bout des doigts au grand mystère des ovnis. Et quoiqu'’il arrive, il a emporté son secret avec lui… <o:p></o:p>

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    Info de la revue Top secret N°17

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    Source-  Claude Burkel

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    Un livre fut consacré à l’affaire Marius Dewilde et à ses contacts avec ces « êtres »

    « Ne résistez pas aux extraterrestres ». Edition du Rocher

     


     

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    4 commentaires
  • socorro1

     

    1964- L’'affaire Socorro…

     

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    Tout commença le 24 Avril 1964, lors d’'une banale poursuite avec un conducteur qui roulait à vive allure, dans la ville de Socorro au Nouveau-Mexique, ville qui allait par la suite devenir célèbre dans le monde entier, grâce à l’'observation inhabituelle du policier Lonie Zamora.

    Prenant en chasse un automobiliste indélicat, Lonie entendit au loin, une forte explosion et aperçut une flamme bleuâtre dans le ciel, il décida d'’interrompre sa poursuite avec le chauffard et se rendit en direction de l’'explosion, car il est vrai, dans les parages se trouvait un entrepôt de matières dangereuses et explosives, il arriva sur place et ne trouva rien d'’anormal, pas d’'incendie à l’'horizon, sauf qu'’il remarqua sur une colline proche de lui, un engin de forme ovoide, de couleur métallique posé là, qu'’il prend tout d'’abord pour un véhicule accidenté, dans son affolement, il appela le shérif par radio pour signaler qu'’un accident avait eu lieu, car il se trouvait à une distance d'environ 250 m, une fois arrivé sur place, il aperçu deux silhouettes portant des combinaisons blanches qui s'’affairaient autour du « véhicule », mais très vite il se rendit compte que c’'était quelque chose qui lui était inconnu, il était alors à 40 m de l’'engin, il remarqua sur celui-ci, un symbole : 

     

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    un demi-cercle avec une flèche pointant vers le haut d’'environ 40cm de côté. Puis au bout d'’un moment, il entendit une explosion émanant de l’'intérieur de l'’engin, il se protégea alors derrière sa voiture craignant que celui-ci n’'explose, et c'’est là que l’'engin se mit à quitter le sol, il aperçut une flamme sous l’'appareil, le tout dans un vacarme assourdissant, puis il disparut dans le ciel comme un éclair. Entre temps, le shérif arriva et découvrit Lonie totalement abasourdi par ce qu'’il venait de voir ; les deux policiers se rendirent sur le lieu de l’'atterrissage et constatèrent que le sol fumait encore et que des traces subsistaient, là où l’'engin avait décollé.… Par la suite, des enquêteurs militaires arrivèrent et examinèrent scrupuleusement le site, ils recherchèrent des indices et d'’éventuelles traces de radioactivité.

     

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    D'’après la description de l’'engin faite par Lonie, les enquêteurs tenteront de lui expliquer qu'’il aurait pu confondre l’'engin extraterrestre avec un prototype d’'appareil appartenant au programme LEM ( luna exploration module ), mené dans une base d'’essai militaire implantée non loin de la zone d’'observation, sans réussir toutefois à le prouver. Commandité par l'’US Air Force, le projet « Blue Book », était chargé de récolter le maximum d’'information sur les Ovni, mais ce projet fut loin de combler les attentes du public et des ufologues, l’'enquête semblait servir à masquer la vérité …néanmoins, J. Allen Hynek, ancien astronome et conseiller scientifique auprès de l'’US Air Force, se rendit lui aussi sur le site à Socorro, afin d'’enquêter et plus tard il confia que cette affaire reste une des plus intéressante qu'’il lui ai été donné de voir.

     

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    Pour info :

     

    - le réalisateur S. Spielberg fit appel à lui pour son film « Rencontre du 3ème type », tourné en 1977, il fut chargé des questions et des différentes descriptions concernant les ovni, d'’ailleurs l’acteur français F. Truffaut joua dans le film le propre rôle de J. Allen Hynek .

     

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    Pour plus d’'info voir le site :           http://www.rr0.org/

     


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  • valensole1

     

    Une rencontre très rapprochée

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    En 1965, Maurice Masse, solide agriculteur de 41 ans, habitant de Valensole ( Alpes de Haute-Provence ) était bien énerver, en effet, depuis plusieurs jours, son père et lui avait remarquer que leur champ de lavande était « visité » par des vandales, des échantillons de plants étaient cassées, et emportées, mais on ne savait pas par qui. …Puis, le 1er Juillet 1965, il entend comme un sifflement et aperçoit, derrière une butte en pierre, une forme qui, de suite, lui fait rappeler celle d’une voiture, ressemblant à une dauphine pour l’'époque, qui était garée là, au beau milieu de son champ! Mais au  fur et à mesure qu'’il s’'approche, il en est tout autre, il découvre « un engin » de la forme d’'une poire, d’'un ballon de rugby, enfin quelque chose dans ce genre, le tout est posé sur six pieds, avec un support central et d'’un habitacle transparent visible sur le sommet de l’'engin. Et là, il vit deux petits êtres qui étaient accroupis et tenaient des pousses de lavandes, il faut signaler qu'’il ne les avait pas remarquer sur le moment, il a d'’ailleurs penser après qu'’il s'’agissait de deux enfants lui paraissant avoir environ 7 où 8 ans, pas plus, ils ne semblaient pas dérangés par sa présence et c'’est seulement au bout de quelques minutes, que l’'un des petits êtres sortit une espèce de tube où pistolet qu'’il oriente vers l’'agriculteur, immédiatement, ce dernier fut paralysé, par contre il ne ressentait rien et put continuer à les observer, la scène était surréaliste, il put les voir parler entre-eux, une espèce de bruit incompréhensible, mais leur attitude était amicale, aucun signe d'’hostilité, leurs têtes, assez grosses, étaient enfoncées dans leurs épaules et devait mesurer environ 1m. Puis les deux êtres remontèrent dans leur engin et une porte se referma de haut en bas, l'’agriculteur était toujours paralysé et put les distinguer dans leur habitacle transparent. Un bruit « sourd » se fit entendre et l’'engin commença à se lever, le pied central sortit de terre et les six pieds se mirent à tourner, aucune fumée, ni de poussière se souleva au décollage de l’'engin, je pus le voir pendant quelques temps et il disparut sur place en une fraction de seconde. C'’est seulement au bout de 15mn que je réussis à reprendre mes esprits et à bouger mes membres, il constata que des traces était visible, notamment celle laissé par le pied central, profond de 30cm, dans la soirée, l’'agriculteur confia que la terre était dure comme du ciment à l’'endroit où l’'engin avait stationné.

     

    valensole2

     

    Les journaux de l’'époque fit leurs unes de cet événement hors du commun, et Mr Masse devient une star malgré lui, des manoeœuvres militaires eurent lieu dans le secteur et on parla d'’un hélicoptère de type Alouette mais cette hypothèse devait être oublié, il s'’est passé ce jour là, une rencontre entre les hommes et des créatures venant d’un autre monde, c'’est un des cas les plus connus en France concernant l’'ufologie, il y a eu beaucoup de gens qui se sont déplacés à Valensole, journalistes, ingénieurs, chercheurs, etc. …même les américains sont venus et ont demandés à l’'agriculteur s'’il voulait les suivre chez eux afin de raconter son histoire surréaliste !

     

     
    L'enquêteur Guy Tarade et Maurice Masse.

     

    Suite à tout ça, Maurice Masse souffrait d’'hypersomnie et pouvait dormir jusqu'’à 18h par jour, il disait aussi qu’'il avait garder de cette rencontre rapprochée, un sentiment quasi-religieux, un respect envers ces êtres venus de l’'espace, et à confié à ses proches de n'’avoir pas « tout dit » de peur d’'être enfermer dans un asile de fou, il s’'est éteint le 14 Mai 2004.

     

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    Une étrange apparition…

     

    3 - Le Spiritisme, une étrange apparition...

    Voici un article qui est paru dans Parasciences & Transcommunication en Sep.1998, revue auquel j’étais abonné et qui traite de sujet tel que, le paranormal, la survie après la mort, etc…

     

    A l ‘époque, je pratiquais la TCI ( voir article ici ) et un peu de Transvidéo, technique qui consiste à filmer avec un camescope où caméra vidéo, sur un écran de télé, des images paranormales, mais j’en parlerais plus dans un prochain article ici, bref, il m’était arriver une histoire bizarre chez moi, donc, je leur ai écrit un courrier relatant les faits, voici un résumé de l’article :

     

    …Image paranormale ou phénomène purement rationnel ? L’enquête ne fait que commencer. Toujours est-il qu’un de nos lecteur a enregistré, au beau milieu d’un film, une image qui laisse perplexe…

     

    3 - Le Spiritisme, une étrange apparition...

     

    - En Novembre 1995, je regardais tout en l’enregistrant, le film «  Amsterdamned » diffusé sur la chaine M6 lorsqu’un visage de femme est apparu, rapide comme l’éclair ! Je dois dire que je pratiquais la TCI assez régulièrement et j’ai tout de suite compris que j’avais enregistré quelque chose « d’anormal ». Par la suite, j’ai donc visualiser le fameux passage, image par image, il faut dire que 1 seconde de film correspond à 24 image/s, l’apparition est visible sur 3 images sur les 24, et pratiquement invisible à l’œil nu quand on regarde le film, sauf pour un œil exercé, un peu comme les images subliminales...

                                        

                                                           

     La personne qui apparaît sur l’image semble être sans vie, on distingue un hématome sur la joue droite ; peu de temps avant, mon amie Sylvie a eu un tragique accident, elle a fait une chute, et est décédée peu de temps après, lors de son transfert à l'hôpital. Je dois dire que je l’ai reconnue de suite, une fois retrouver l’image où elle apparaît dans le film. Peu de temps après, il y a une scène où le personnage principal se rend dans une morgue…Ya-t-il là un rapport entre la mort de mon amie et cette étrange apparition ? Il est toujours difficile de conclure au caractère paranormal d’un événement tant qu’une enquête approfondie n’a pas été menée. Dans le cas de cette bande vidéo, nous n’avons pas l’intention d’en rester là. Peut-être que des lecteurs ont-ils dans leur vidéothèque le film « Amsterdamned ». Grâce à l’image ci-dessus, ils auront la possibilité de retrouver la scène où se déroule l’étrange apparition. Une enquête auprès de la chaîne qui a diffusé ce film est actuellement en cours. Si des techniciens vidéo ont connaissance de cette « apparition », ils peuvent toujours nous écrire pour nous donner leur avis.

    Voilà en ce qui concerne l’article paru dans la revue, les photos de cette affaire son visible dans la rubrique photos étranges ici.

     

    Pour plus d’info :

     

    JMG Editions, 8 rue de la mare, 80290 Agnières – Tél : 0322901103  Fax : 0322901728

     

                    

     http://www.parasciences.net

    des images captées par webcam !

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